Maître-Chanteur 01: Premier Essai

Informations sur Récit
Un jeune étudiant trouve de quoi faire chanter une fliquette.
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Partie 1 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 02/22/2022
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Je galérais à monter au premier étage de la ruine. J'avais beau être plutôt athlétique, le manoir en ruine auquel je m'échinais à accéder me donnais du mal. Quel idée de faire voler mon drone au-dessus aussi! Bref, j'entrais, inspectais des salles aussi poussiéreuses que semblant prêtes à s'effondrer à tout instant et trouvais l'engin presque intact . Miracle! Je décidais de prendre plus de temps pour filmer au drone quelques intérieurs. Plutôt que vlog, cela tournait à l'urbex, mais pourquoi pas. Le nez en l'air, les yeux sur l'aérocraft , le plancher vermoulu s'effondra sous mon pied. Andouille de moi .

C'est donc les quatre fers en l'air, une couche de poussière sur la figure et heureusement, seulement de gros bleus et petites coupures, que je découvris un petit espace sans porte aux boiseries pourries. J'avais détruit l'essentiel des ouvrages miteux de la bibliothèque, ou étagères, avec ma chute. Mais au milieu, comme là pour que je le vois, un parchemin. Ni abîmé, ni jaunir par le temps. Je le ramassai et le déroulai doucement. Un texte en haut et une liste. Je commençais avec le texte. Il était marqué :

《Le changeur de vie

Moi, Frédéric de Castel-Inconnu, Mage en secret dans cette chasse aux miens, présente ici mon plus beau pacte au cas où je serai à compter au nombre des brûlés. Choisissez simplement une façon d'être et une seule, puis obtenez les pouvoirs qui lui sont liés. Pour cela, une goutte de sang suffira. Appliquez la sur un de vos pousses et placez la un long moment sur le rôle que vous souhaiteriez obtenir. Il vous faudra maîtriser au fur et à mesure vos nouvelles facultés. De plus...》

Je n'ai pas le temps de lire la suite. Le paragraphe se brouille, l'encre se mélange avant de reprendre la forme d'un nouvel écrit.

《Bravo, vous avez choisit maître-chanteur! Vous...》

Je cris : « De quoi? J'ai rien choisit du tout moi! » Alors je baisse les yeux et comprends que mes plaies ont pactisées pour moi. Je peste, je rage puis prends un peu de temps pour réfléchir. Il y a peu de chance que je puisse demander à Frédéric de défaire le lien. Mon seul indice étant le parchemin, je lis à nouveau. Je fouillerai la pièce ensuite.

《Bravo, vous avez choisit maître-chanteur! Vous êtes désormais novice et avez débloqué la faculté d'activer à volonté la vision opportune. Lorsqu'elle est activée, une aura enveloppe toute personne possédant un secret suffisant pour vous permettre de faire chanter la personne. Quel secret? À vous de le découvrir. PS : Elle sera active lors du pacte et jusqu'à désactivation.》

Quelle blague. Et en y repensant, c'est ce que ça devait être. Une caméra cachée. J'étudiai en détail le parchemin pour voir si il est dans une sorte de matière molle faisant office d'écran pour justifier les effets d'encres que j'ai vu. Rien. Je sors un briquet et tente d'allumer le bord, sans aucun effet. En regardant bien si, il y en avait un. Je ne trouvai pas de marque de brûlé. Curieux, je verse un peu d'eau qui glisse comme sur un imperméable. Entre amusement nerveux et légère panique, je tentai de le percer avec un clou qui traîne, de sauter à pieds joints dessus, de le déchirer. Rien. Impossible de lui infliger la moindre marque ou le moindre accrocs. Je m'extrayais donc du trou car le passage menant ici dedans par son moyen normal était effondré et abordai la démarche de l'homme que l'on a bien piégé. Pas de présentateur . Je sortis via la porte principale après avoir déverrouillé le loquet rudimentaire. Toujours pas.

Bon, un restant de blague oublié. Je gardai quand même le parchemin comme trophée, ça fera une histoire à raconter. Je montai en voiture et conduisis jusqu'en ville, ne croisant que d'occasionnelles voitures en ce milieu d'après-midi. À un carrefour, une voiture de patrouille garé devant un immeuble attira mon regard. Bien que la fliquette de 25 ou 26 ans assis sur le capot soit d'une beauté à couper le souffle, avec ses longs cheveux roux et son mince corps élancé, c'était le halo autour d'elle qui m'interpela. Comme une lueur un peu vive sans éblouir. Au bout de deux minutes de scrutation intense, je me repris. Heureusement qu'elle était absorbée à noter dans un calepin ce qu'un homme âgé lui rapportait. Me remémorant le parchemin, et malgré la preuve évidente d'une magie en action, je décidai de rester prudent loin et d'observer.

...

Une semaine plus tard, j'avais suivi plusieurs fois la rouquine. Au cours de cette semaine, elle n'est pas la seule chez qui j'avais observé le phénomène, mais j'avais décidé de commencer par un cas à la fois. Au cours de mes observations, j'ai trouvé quel était le secret dont souhaitait me faire par la magie. Elle fume de la weed, elle a une petite réserve chez elle. Rien de dramatique certes, mais semble-t-il assez pour que le pouvoir l'ait mise en avant. Aujourd'hui, j'étais doncs donc dans une petite ruelle à côté de laquelle elle passerait bientôt en patrouille.

Quelques minutes plus tard, elle arriva. Elle regardait principalement les voitures garées. Lorsqu'elle passa devant la ruelle, je l'interpellai à la façon d'un dealer. Surprise, elle effectua un quart de tour, puis, réalisant que c'est moi qui lui ai lancé « Hey, t'en veux, j'ai de la bonne! » elle commence à sortir ses menottes avec un sourire aux lèvres.

« Tu demandes directement aux flics de te mettre en prison toi? » Plus ou moins la réponse que j attendais. Intérieurement , c'est moi qui souris.

« Mais, on m'a dit que tu consommes. De la weed.

-Et puis quoi encore. Je suis flic tête de gland. Les mains contre le mûr. »

Elle ne laissait rien transparaître, chapeau.

« J'y croyais pas non plus mais on m'a montré les photos. » Cette fois elle se fige.

« De quoi tu parles?

-Et ben, mon pote il t'a pris sur ta terrasse un gros bang à la main. Tiens regardes il me l'a envoyé. » Le pote était un gros bobard. La photo que j'avais prise en revanche était bien réelle. Devant cette preuve accablante, elle sortit son arme et la pointa sur moi.

« Efface ça tout de suite. Ou plutôt donne moi ça que je l'efface.

-Mais le cloud, c'est celui de mon pote il y a que lui qui peut l'effacer. » Encore un gros bobard. À la décharge de la fliquette, elle aurait sûrement mieux réfléchi sans autant de stress.

« Merde » Elle rangea son arme et approcha à quelques centimètres de mon visage. Son parfum sentait un doux et me ravit le nez.

« Casse toi. Et vous effacerez les photos en échange que je ne te coffre pas.

-Je crois pas non. Je pensais pas que ces photos te ferais un tel effet.» Encore un gros mensonge « C'était juste pour te montrer de que je voulais dire, mais je crois que finalement, je peux obtenir bien plus en échange de persuader mon copain de les effacer.

-Attention à ce que tu dis, ma patience à ses limites .

-Mais ton envie de rester flic et libre, est-ce qu'elle en a des limites? » À l'expression quelle affichait, je savais que je la tenais. J'avais déjà follement envie d'elle à observer une aussi belle femme jour et nuit alors forcément, l'intérieur de mon caleçon était déjà prêt à danser à l'horizontal.

« On dirait bien. Maintenant, que demander? » Je fais durer pendant qu'elle me fusille du regard.

« Pourquoi pas...une petite pipe? » Avec des yeux de tueuses, pas surprise du tout, elle hocha la tête lentement, sans me quitter du regard.

« À une condition. Après, tu effaces toutes les photos devant moi. On ira voir ton pote n'importe où, je te coffre si c'est pas fait d'ici deux heures. T'as compris?

-OK. J'efface les photos de toi et ton bang du cloud. » Toujours ce regard prêt à me détruire au moindre faux pas. Elle me fixa longuement, elle réfléchissait manifestement pour savoir si elle avait oublié quelque chose.

« Donne moi ton téléphone. Ne pense même pas à protester. Tu vas essayer de filmer en douce. »

Je lui donnai. Puis comme elle ne bougeait pas, je demandai vachement innocemment :

« Personne va s'inquiéter si on reste là trop longtemps? »

Elle tiqua puis se résoulut à s'y mettre. À gestes lents, elle s'agenouilla et défit ma ceinture, baissa mon pantalon et mon caleçon d'un seul coup, sans rompre le visuel. Elle glissa les mains le long de mes cuisses pour se guider vers mon entrejambe. Lorsqu'elle le toucha, j'étais déjà dur comme l'acier mais surtout, elle arrêta de me fixer pour observer si ses mains lui mentaient. Elle resta deux secondes les mains fixe sur ma grosse hampe puis se rappelant qu'elle voulait en finir vite, elle commença à me branler doucement des deux mains. Dans ses deux douces petites paumes, j'étais aux anges et il me fallut un trésor de volonté pour ne pas envoyer la sauce immédiatement.

« Enlève tes mains. Je veux que tu me suces, pas que tu me fasse une branlette. »

À contrecœur, elle déposa un petit baiser sur le bout de mon grand, ses deux yeux émeraudes au fond des miens. Contente de ma réaction surexcité qui la conforta que le jeune étudiant de 20 ans que j'étais, improvisé maître-chanteur, ne tiendrait pas longtemps, elle entra le début de ma queue dans sa bouche bien ouverte, ce qui était le minimum. La voir obligée de renoncer à aller plus loin que la moitié m'enchanta et...oh merde, sa langue agile, son regard, mon attente. Tout en moi ne pu qu'exploser immédiatement un violent torrent de foutre dans une jouissance bestiale. Je n'eût même pas la présence d'esprit de lui mettre derrière la tête une main impérieuse pour la forcer à tout prendre en bouche. À la place, elle pointa mon foutre sur la brique, sorti un clinex et s'essuya les lèvres , me laissant remballer penaud.

Ensuite, je fît semblant de téléphoner à mon « pote » pour qu'il me donne son soit disant code. J'effectuai une manipulation bidon et lui tendit mon téléphone vide des photos d'elle en pleine consommation.

« Ne m'adresse plus la parole. » C'est sur ces paroles amicales qu'elle me laissa seule dans la ruelle. J'en profitai pour allumer l'appli de mon drone et le faire descendre du toit où je l'avais perché. Une magnifique vidéo d'elle donnant une fellation à un dealer m'aiderai sûrement à aller plus loin la prochaine fois. Après tout, le marché ne portait que sur les photos de sa terrasse. Il faudrait en faire un autre pour ces images-ci.

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Anonymous
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6 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 2 ans

Scénario original. pas Mal. Continue. Cocuforever

Thibault073Thibault073il y a environ 2 ansAuteur

Heureux que cela vous plaise. Deux chapitres en validation, le quatrième avance bien.

Je tâche de ne pas écrire sur un coup de tête cette fois et de me relire mieux trouchard.

charlottelovesexeardbdsmcharlottelovesexeardbdsmil y a environ 2 ans

J'aime beaucoup l'idée, après tout, une fliquette reste un être humain avec des désirs

trouchardtrouchardil y a environ 2 ans

Bienvenue sur le site.

Ton histoire est très bien imaginée.

Toutefois, essaie si tu le peux d'éviter les erreurs de conjugaison et les fautes d'orthographe :)

AnonymousAnonymeil y a environ 2 ans

ça démarre très bien.

Cool

Rudy

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