Maître-Chanteur 02: Plus Avant

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La barista en nouvelle victime du maître-chanteur enchanté.
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Partie 2 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 02/22/2022
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Alors que je rentrais chez moi, je croisai mon père qui tondait la pelouse, certainement pour la dernière fois de l'année en cette fin d'octobre. Il était le seul de la famille à ne pas briller . Ma belle-mère, toujours aussi sèche, brillait d'un halo blanc très vif. Je m'étais dit que je trouverai un jour son secret pour savoir si l'intensité et, ou, la couleur du halo avait à voir avec le secret de la personne. Sa fille de son précédent mariage brillait elle très faiblement, en blanc également, tout comme mon petit frère. Quelle bêtise ces deux-là avaient été inventer? Enfin, j'avais déjà du mal à voir mon frère pour l'adulte qu'il était devenu officiellement le mois dernier. En rentrant dans ma chambre , je chargeai sur mon ordinateur la vidéo de cette belle rouquine s'occupant de mon entrejambe dans sa tenue de police. Je remarquai alors que son aura était aussi visible sur les images.

Une idée me vint alors. J'ouvris le site de photos journalière où tous les jeunes racontent ou s'inventent une vie accompagnée de photos. Celle de ma belle-sœur étant quasi mise à jour chaque heure, je pus remonter un fil de photos d'elle avec son léger halo. Je trouvais ensuite des photos sans aura. Le secret en question avait donc à voir avec l'université, alors que son dernier selfie « non brillant » de 15h59 la montrait libérée de classe et le suivant au café entre copines toujours au campus à 17h35. N'ayant aucune envie de la faire chanter, suivre son secret n'aurait autre intérêt que d'apaiser ma curiosité, alors je ne m'en inquiétai pas plus que ça. Ce que je souhaitais maintenant, c'était prendre de l'assurance pour le deuxième tour avec la policière . Et pour cela, Céline ferait une cible de choix.

Céline était la barista de matin du petit bar d'angle qui se trouvait au bout de ma rue. Elle s'occupait seule de l'ouverture le matin, de 5 à 8, puis le couples d'anciens qui possédaient le bar prenaient la relève lorsqu'elle partait pour son job de jour, à la caisse de la piscine patinoire, suivant la saison. J'avais déjà un doute la concernant, poussé par le halo rouge à la regarder du coin de l'œil. Il y a deux ans de cela, elle avait été relâchée suite à la mort de son mari, aucune preuve ne l'incriminant. Mais puisque le halo avait une belle couleur sang, elle avait peut-être moins d'innocence que prévu dans cette affaire, et potentiellement donnait un indice sur les couleurs, puisqu'on parle de mort ici.

Je sortai le parchemin pour lui trouver une planque de mon sac, le dépliai pour voir son épaisseur. Peut-être qu'en collant deux carton devant, je serai capable de le cacher à plat dans l'épaisseur d'une pochette pour dessin A3. C'est alors que cela me pris de le relire.

« Bravo! Vous avez utilisé vôtre pouvoir pour la première fois sur quelqu'un! Vous montez donc d'un rang et gagnez un pouvoir supplémentaire.

Objet du chantage : un fois par jour pendant cinq minutes, vous pouvez utiliser une boussole et un bout de la future victime ( un cheveux suffira les bouchers, rangez l'attirail ). La boussole indiquera alors durant ce temps la direction du plus proche indice concernant le secret de la personne.

Pour le prochain rang, il vous faudra faire deux victimes supplémentaires. »

Intéressant. Cela prendra sûrement bien moins de temps grâce à cette nouvelle compétence. J'avais compris au cours de la semaine qu'il suffisait que je le souhaite pour que la vision s'active ou inversement. J'allai donc dans la salle de bain, pris un cheveu long sur la première des deux brosses sans chercher à savoir à laquelle des filles il était , installai une application boussole et tentai le coup. La boussole passa de ce qui devait être le nord à ma gauche , la chambre de ma sœur. Bien, cela semblait marcher. Je sortai dans le couloir et passai devant la chambre. L'aiguille tourna pour continuer à pointer vers l'intérieure. J'avai la réponse, ne cherchai pas plus loin et préféra me coucher tôt.

...

Je me levai tôt pour mon jogging et ma musculation. Après une bonne douche, je me dirigeai vers le café. Une fois à l'intérieure, le halo rouge de Céline étant toujours présent, les investigations pouvaient commencer. J'usai de mon téléphone pour activer la boussole, avant de me rappeler qu'il me fallait un cheveux ou autre avant. Il était donc tant de tester autre methode. Lorsqu'elle approcha pour savoir quoi me servir, j'appreciai son petit haut laissant apparaître sa large poitrine en bonne partie, sa jupe léchant ses jambes à mi-cuisses et le déhanché ample de son pas. Losqu'elle demanda quoi me servir, je fis mine d'hésiter et commandai un expresso, l'air fatigué. Alors qu'elle s'apprêtait à retourner en arrière, j'attrapai son bras gentiment sous prétexte de lui dire qu'au final, un double expresso bien tassé serait un minimum pour cette longue journée, avant de faire mine de lui avoir saisi le bras par réflexe et m'excusai. Pendant les deux secondes lors desquels je l'avais touché, j'avais dans cette main mon téléphone et avais activé mon pouvoir. Comme espéré , il marchait alors que le téléphone n'était plus en contact avec elle.

La boussole indiqua le bar. J'allai au toilette et la boussole bougea plutôt vite, elle sembla indiquer le centre du bar, à mi-hauteur. J'attendis un moment où la serveuse quitta le bar pour la réserve et me penchai au dessus du bar pour voir de l'autre côté. La boussole indiqua alors le bas, juste avant de cesser de fonctionner. Cela se trouvait donc dans le bar lui-même. En réfléchissant...non, elle n'avait pas osé? Mettre le cadavre dans le bar? Ou l'arme du crime? Les deux? Les habits de ce jour meutrier peut-etre? Si j'avais raison, cela était une découverte majeur. Le cadavre, certainement pas. Pas de meutre sans corps, donc la police devait l'avoir trouvé. Mais le reste restait plausible.

N'ayant rien à perdre, je décidai d'y aller au culot. Après avoir payé, je sorti du bar et sur un papier, griffonnai :

« Si tu ne veux pas que j'indique à la police de chercher à l'intérieur du bar ce qui y est caché concernant ton mari mort, attends moi à minuit prêt du barrage. »

Je me plaçai ensuite à un angle pour attendre qu'elle sorte du bar. Lorsqu'elle approcha de son véhicule , elle s'empara du mot en vérifiant la voiture sans le lire en premier lieu, soucieuse de voir où était le heurt . Haussant les épaules, elle finit part le lire. Elle s'affola, regarda à droite à gauche et finalement, démarra en trombe.

...

Ce soir là , j'attendais caché dans des buissons juste à côté du petit barrage. Pas une grande construction, juste quelques mètres de long, pour créer un rapide au niveau d'un vieux moulin à eau abandonné . La roue n'existait même plus. Une planche permettait de franchir le trou créer par l'absence de la roue pour que le barrage devienne un pont piéton non officiel.

Une voiture que je reconnue aussitôt se gara à la fin de la route. Une silhouette encapuchonnée en descendit et s'aventura sur le pont. Elle avait les mêmes chaussures, la démarche, même plus raide, ne me trompa pas. Regardant de partout, elle était désormais à l'arrêt au milieu du pont. Il était minuit moins deux, aussi je sortis des fourrées pour la rejoindre, une cagoule sur la tête. Elle m'aperçut et sa main glissa dans sa poche. Je ne m'inquiétai qu'à moitié, prêt à cette réaction de défense. En approchant, je montrai la caméra installé par la ville suite à quelques tags répété sur le moulin qui restait un beau bâtiment mal entretenu. Elle resta muette, attendant que je la rejoigne.

« Qu'as-tu dans la poche? »

Elle me montra un long couteau de cuisine.

« Si tu t'en prends à moi, tout sera filmé.

-C'était quoi ce mot, une menace?

-Ça me paraît évident.

-Joues pas au plus malin petite merde.

-Parles sur un autre tond, ou il n'y aura même pas de négociation et tu iras directement à la case prison.

-Du chantage alors. Tu veux combiens? Suis pas riche.

-Si tu es pauvre, alors trouves autre chose. Qu'as-tu m'offrir?

-Ma bagnole si tu veux.

-Ton épave? Pour que tu me retrouves en la reconnaissant en plus? Non.

-J'ai rien d'autre.

-Dommage. Même pas...du plaisir? » J'avais tellement répété et je sortais du plaisir, non mais sérieusement, quel baratin de pacotille. Elle fît une moue entre dégoûtée et surprise.

« Quoi? Certainement pas, je suis pas une pute!

-Certaine? Parce qu'en prison, une jolie femme pas des rues, elle va en devenir une belle de pute. Gratos. Enfin, je dis ça, c'est toi qui vois. Aller ciao! »

Je commençai à partir. J'eus l'impression que les dix ou douze pas suivant durèrent une éternité.

« Attends. » Je m'arrêtai et regardai au dessus de mon épaule.

« Quoi? » Elle avait mit ses deux index bout à bout et regardait le sol, balançant un de ses pieds d'avant en arrière comme une enfant de 40 ans prise en pleine faute.

« Il y a vraiment pas d'autre moyen? » Sa voix était très faible, surtout avec le bruit de l'eau.

« Non puisque t'as pas de thune.

-Alors...OK.

-OK quoi?

-Vous savez...l'autre...option." Un passage automatique du tutoiement au vouvoiement, intéressant.

"C'est à dire? Je veux te l'entendre dire pour qu'on soit bien d'accord.

-Me baiser! Voilà vous êtes content, je l'ai dit »

Je me retournai lentement et approchai. Sans dire un mot, je plantai mes yeux dans les siens, technique apprise très récemment. Je dis ensuite :

« OK, mais jettes ton couteau. » Elle le laissa tomber à ses pieds.

« Pousses le dans l'eau. » Elle le tapa doucement du pied pour qu'il bascule dans le torrent.

« Bien, on va dans le moulin.

-Le moulin, mais il est pas en si bon état.

-Alors de un, tu fais ce que je dis meurtrière. De deux, tu veux te faire prendre devant une caméra?

-Non je... » Elle était au bord des larmes. Je lui indiquai de la main le moulin et elle baissa la tête, vaincue. Je lui emboitai le pas. Nous entrâmes dans le vieux bâtiment de pierre que plus aucune porte ne fermait. Les pierres des dalles n'avaient pas trop bougée, sauf un coin où du lierre avait poussé.

« Ça fera l'affaire. Enlève tes fringues. » Elle émit un petit gémissement de chien battu pour se retenir de fondre complètement en larmes et commença par son pull à capuche. Elle portait toujours la même tenue, ce qui me fît immédiatement bander. Elle retira son haut et son opulente poitrine fût difficilement retenue par son soutien-gorge. Elle baissa sa jupe pour révéler des formes un peu plus tombantes que ce à quoi je m'attendais, mais restait un peu jolie. Elle me fixa, implorante, mais encore une fois, mon regard impérieux l'obligea en silence à poursuivre. Sa culotte révéla une chatte pas tout à fait entretenue sans être une forêt foisonnante . Mais ses seins. Ses seins ne me déçurent pas. Peu tombant, ronds avec de grosses auréoles, elle devait faire du D voir du E.

« Bien. À genoux. » Elle obtempéra. Je me plaçai derrière elle et la força à se pencher en avant, sans qu'elle tente de résister pour autant.

J'avais hésité un moment à amener des capotes ou à profiter d'une femme au naturel sans qu'elle puisse protester, mais l'idée de choper une merde avant de m'en prendre à ma cible principale m'en avait dissuadé. J'en enfilai une, grande taille bien sûr, et pénétrai comme un soudard ma pauvre victime ni ouverte ni mouillée. Entre ma grosse queue et l'absence de cyprine, le tout entré d'un coup d'un seul, Céline hurla de douleur et s'effondra en passant de quatre pattes à plat ventre, échappant à ma queue. Je m'allongeai sur elle, encore étonné par ma propre hardiesse complètement irréfléchie. Je poussai à nouveau mon pénis dans sa charte, écartant ses jambes de mes genoux. Elle hurla de plus belle mais je passai outre en commençai mon va et vient dans un torrent de sadisme nouvellement découvert. Il ne fallut pas longtemps avant que j'explose d'un orgasme violent et court.

Je restai dans sa chatte sans qu'aucun ne bouge. Bien que bref, cela nous avait raccourci le souffle, pour de bien différentes raisons. Même par sadisme, c'était un peu excessif.

Puis enfin je me retirai doucement, ce qui m'offrit un gémissement de sa part plus qu'un cri. Elle pleurait doucement. Je m'assis alors qu'elle n'osa pas bouger. Je retirai ma capote et me souvenant d'un film de cul, je lui dit :

《Approches.

-Pitié, laissez-moi partir.

-Obéis ou ce sera pire. » À geste lent, elle se rapprocha à quatre pattes sans que j'ai besoin de lui ordonner ce mode de déplacement.

« Prends ça et avales le sperme.

-Je...non...je. »

Je lui giflai la joue sans qu'elle le voit venir, ce qui lui arracha un hoquet de peur. Elle me regarda désemparée. Je lui tendis alors la capote. Elle la regarda un petit moment sans rien faire.

« Si tu n'obéis pas, tu vas souffrir bien plus que précédemment ». Elle ferma les yeux pour rassembler son courage, saisit la capote en approcha le bout de ses lèvres. Puis elle ouvrit la bouche en basculant la tête en arrière pour vider d'un trait la pochette et gober le tout sans en sentir trop le goût. Elle eût malgré tout une grimace de dégoût et retint un haut le cœur. Puis elle me regarda brièvement dans les yeux avant de baisser le regard. Croyant en avoir terminé, elle commença à attraper son soutien-gorge.

« Qui a dit que tu pouvais partir? » Elle s'immobilisa, puis pleura à chaude larmes en comprenant que je voulais remettre le couvert. Plus pour elle que pour moi, elle murmurait entre deux sanglots « Je peux pas, je peux pas. » Mais j'avais autre chose en tête, ce qui, bien tourné, passerait pour de la magnanimité.

« Je vais être sympa, et je vais pas te baiser à nouveau. Mais à une condition. »

Elle cessa petit à petit de pleurer, essuya ces larmes ce qui étala son mascara déjà bien détruit sur l'ensemble de ses joues et me regarda, pas vraiment convaincue.

« Si tu me fais une bonne branlette espagnole, je me contenterai de ça . Mais si tu donnes pas ton maximum, je te baise encore. OK?» Elle faillit craquer à nouveau sous la menace mais voyant mon sérieux, elle barbouilla plus de mascara sur son minois et renifla. Elle s'approcha et je me penchai un peu en arrière pour qu'elle puisse se pencher en avant et englober une bonne partie de ma verge dans ses énormes mamelles. Elle pressa un peu avec mains de part et d'autre et l'étreinte de son giron devint divin. Mais il fallait qu'elle presse plus.

« Appuis plus fort. Tu sais ce qui va se passer en cas de déception. » Elle appuya bien plus fort. J'aurais giclé à ce moment là si je ne l'avais pas fait juste avant. Elle commença à suivre ma hampe vers le haut avant de redescendre. Elle marqua un arrêt. Puis elle descendit plus bas, prenant mes boules dans son étau de douceur mammaire. Ma queue dépassant à moitié, elle en lécha ce qu'elle pouvait en gardant un maximum de mon engin entre ses seins, ce qui lui permit de lécher une bonne partie de mon gland de l'extrême bout de sa langue, une sensation incroyable. Puis elle reprit un haut bas plus rapide, plus ferme. Son mouvement langue et boules m'avait plus lui donnant suffisamment d'assurance pour penser pouvoir sincèrement s'en tirer avec cette branlette. Rapidement, je soufflai sous sa caresse et alors que l'orgasme venait, elle me prit en bouche pour avaler, les yeux clos, aspirant comme une paille un soda mon foutre lors de ce second orgasme long et puissant.

« Ça, c'était quelque chose. » Ma réaction lui arracha un petit sourire rapide. Satisfaction du travail bien fait ou de la délivrance promise très proche?

« Aller, habilles-toi. » Je fis de même. Je lui indiquai la porte de la main et nous retournâmes à sa voiture. La scène était un peu surréaliste, semblable à un amant masqué raccompagnant en silence son amante d'un soir alors qu'il avait été question de chantage au sexe. Une fois à sa voiture, j'ouvrai même sa portière pour la laisser monter côté conducteur, ce qui la surpris beaucoup, mais pas autant que moi.

Elle resta un peu figée puis dit en entrant:

« Merci.

-De rien. À bientôt. » Alors qu'elle s'asseyait, elle afficha une incompréhension totale à mes mots, puis une terreur. J'avais également dit cela sans réfléchir. En voyant son expression et alors qu'elle se reprenait , sur le point de protester, je levai la main pour l'interrompre et lui imposer l'idée qui ne m'était venue qu'à l'instant.

« Tu devrais faire des années de prison pour ton crime. Alors oui. Même jour, heure et lieu la semaine prochaine. Sinon tu sais ce qui arrivera. » Je lui claquai la porte au nez pour couper sa protestation et disparus dans les fourrées. Elle hurla de rage assez fort pour que la voiture ne suffise pas à étouffer son râle, martela son volant qui klaxonna à répétition. Quand à la suite, je n'étais plus là pour la voir.

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