M.A.K. My Life.... Ou Presque 07

BÊTA PUBLIQUE

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- Doucement Kemb, doucement, il a mal. Je ne veux pas le faire souffrir.

- Il va prendre l'habitude. C'est bon de toute façon, j'y suis. Ton mari est mon enculé. Tu vois que c'est possible. On va aller doucement ne te fais pas de mouron ma Gazelle.

Kemb a ajouté du gel entre mes fesses sur son membre fiché en moi.

- Il est bien perforé ton mec. Le garage est ouvert. C'est serré la dedans. IlL a le cul bien onctueux. Je peux continuer ma Gazelle? A toi de décideré, j'te l'ai promis. Si tu veux je le laisse tranquille. Mais c'est encore pire pour lui..

Elle m'a embrassé à nouveau. Puis m'a regardé fixement. D'un regard excité.

- Merci Didou, je t'aime. Uoi continue mais doucement

Je me suis écroulé sur le lit. Visage contre le drap. Inerte et sans volonté en sentant ce pieu me mettre à sa botte. Il a raison. Je suis un enculé.

Je me suis laissé démonter le cul et le corps. J'étais à lui. Un enculé de mari complaisant et consentant. Plus un mec. Juste un mari cocu soumis. Son sexe dans mon cul c'était comme si on m'avait mis en cage ou en esclavage. Juste un mauvais roman porno.

Mais ma femme était heureuse.

Je n'ai pas senti quand il a joui, j'ai rien senti. Trop mal.

Il m'a enfin libéré. Ça sentait la sueur et la merde dans la chambre et c'était une humiliation de plus.

- Casse-toi maintenant et laisse couler pour bien comprendre ce que tu es.

- Ne lui parle pas comme ça Kemb.

- Ton mari est une fiotte ma Gazelle..

- Pour moi Kemb, pour moi. Et c'est mon mari.. Et je l'aime...

- Cà je sais! Inutile de me le rappeler Margot.

- Bonne nuit Chéri. Vas te reposer dans ta chambre.

Je me suis nettoyé tant bien que mal mais mon cul coulait. De toute façon j'avais pas le courage de me laver. Peur de toucher mon anus irrité.

Au matin, très tôt, il est venu dans mon lit.

- Fais-moi une place ta femme dors encore et j'ai envie. En Position mon cocu!

- Non laisse-moi Kemb, j'ai encore mal..

- Tourne toi j'te dis. Tu vas avoir moins mal mec. Plus je t'encule moins tu auras mal, allez. C'est marrant d'enculer un mec. Mais je préfère casser le cul de ta meuf.

J'ai tenté de me lever mais il m'a retenu

- Ecoute mec, t'as aucune chance d'y échapper. Même ta femme le souhaite. C'était ton cul ou je la larguais. Et t'as aucune chance de me résister vu ton gabarit. Ne m'oblige pas à sévir et ne fais pas de peine à ta femme, c'est un conseil mec. Tu vas voir qu'à force de te faire enculer tu n'auras plus mal. Je suis pas pd mec. Mais certaines règles de combat impliquent de soumettre de cette façon. L'histoire de mon pays est pleine de ce genre de chose. Je suis le maître et tu es ma chose. C'est comme ça. Et de toute façon c'est quand même elle qui gagne à tous les coups.

Plus envie de discuter, ou de me révolter. Il avait raison. C'est ma femme qui avait exigé cette nouvelle humiliation en contrepartie de son retour à mes côtés. Cela ne servait à rien de refuser après la séance d'hier. Alors je me suis mis à plat ventre en ouvrant mes jambes.

- C'est bien petit Didou, tu as compris. Offre-moi bien ton cul de cocu.

Il avait raison, j'ai eu moins mal au début, mais encore plus honte. Il a investi mon cul en prenant son temps et avec beaucoup de salive. Il sortait lentement sa queue à l'exception de son gland puis l'enfonçait d'un coup puissant, me faisant sursauter et gémir de douleur.

Il allait de plus en plus fort et mon corps se cabrait sous ses coups de boutoirs. La douleur est revenue, plus intense. Elle se diffusait dans tout mon corps. Je gémissais le visage contre l'oreiller.. J'avais l'anus en feu malgré la salive et envie aussi de pisser. Ma bitte molle frottait contre le drap couvrant le matelas qui bougeait sous la puissance de Kemb.

- Je vais faire de toi une vraie femelle. Faudra mettre un tube de gel ici. Ah non zut les enfants risquent de le trouver.

Quelques coups de rein encore plus puissants qui envoient ma tête contre le mur. Cette fois, je le sens se vider en moi. Liquide chaud qui emplit mon cul dévasté.

- T'as un super cul pour un mec. C'est pas si mal.

Il est parti se préparer pour son footing. Avant de quitter la chambre il m'a dit.

- Tu devrais prendre l'habitude de faire des lavements. C'est plus hygiénique. Surtout pour toi mec. Au fait n'oublie pas de remettre ton plugg.

oooOOOooo

C'est vite devenu une habitude ou un rituel d'enculer le mari cocu. Juste pour le fun comme il dit. Recevoir sa queue ou porter le plugg. Pour me rappeler ce que je suis réellement. Un chômeur cocu et soumis. Un type incapable de garder sa femme et qui en plus file son cul à l'amant. Il me le disait en ces termes. Crûment. Sans fioriture.

Et quand Margot lui demandait d'être moins grossier.

- Mais ce que je dis est vrai ma Gazelle. Ton mec ce n'est pas un homme. Juste une lavette sous médoc et incapable de faire face à ses obligations. Un cocu pluggé comme dans les films pornos.

Pour lui c'était juste un moyen supplémentaire de me dominer ou de m'humilier aux yeux de ma femme. Margot ne lui répondait pas et venait souvent me câliner. Comme un gamin.

Un dimanche soir nous sommes seuls, au lit. Les enfants couchés. Margot s'est tournée vers moi. Elle avait à la main une petite pochette en papier de couleur blanche, décorée de motifs criards, plutôt féminin.

- Tiens mon Ange tu devrais mettre cela après. Le soir.

- C'est quoi?... Après quoi?...

- Ouvre tu verras bien.

J'ai ouvert la pochette scellée pour en sortir une petite serviette très fine en forme de huit allongé. Je savais vaguement ce que c'était pour en avoir vu dans la salle de bain. Mais je ne savais pas trop à quoi cela pouvait bien servir.

Devant mon regard interrogateur elle a précisé à voix basse.

- C'est une protection.

- Une protection?...

- Oui.

Elle était embarrassée par ce qu'elle voulait dire.

- Pour ne pas que tu tâches tes slips ou tes pantalons. Crois-moi mon Chéri, c'est mieux de la mettre après. Tu comprends..? Des fois ça peut couler après.

Oui j'avais compris. Tellement honte. Tellement humilié.

Je ne savais pas quoi lui répondre. Je me suis tourné dos à elle. Mais elle n'a pas lâché prise. Son visage c'est blotti dans le creux de mon épaule. Elle a chuchoté au creux de mon oreille.

- C'est rien Chéri. Tu mets un protège slip après, surtout le soir pour dormir. Et tu fais un bon lavement le matin quand il est là. C'est rien Didou, et c'est plus confortable pour toi. Moi aussi je le fais Didou. Et toi tu portes un plugg en plus Chéri. Je sais que tu salis tes slips et même tes joggings des fois. C'est normal. Je les vois dans le bac à linge. Même si tu les cache et que c'est toi qui fais la lessive. Et elle ajoute.

- Mettre un protège slip c'est rien. Toutes les femmes en mettent.

Elle se rend compte de ce qu'elle vient de dire et précise confuse :

- Je ne voulais pas dire ça Didou. Excuse-moi Chéri. Mais tu as compris. Tu veux que je te montre comment on le met?... C'est pas fait pour les hommes mais c'est pas grave..

Elle se décolle de moi, pour regagner sa place habituelle dans ce grand lit. Puis elle revient vers moi pour ajouter :

- Tu ferais mieux d'aller le mettre Didou vu comment Kemb t'a pris tout à l'heure. Sinon tu vas avoir des fuites Chéri et tu vas mal dormir.

J'étais sonné et cassé et j'ai obéis. Elle avait raison.

Le samedi suivant Kemb m'apostrophe.

- Alors mec t'as bien laver ton cul? Un bon lavement j'espère. La prochaine fois je vous amène le bon matériel. C'est pas bon de faire cela avec la douche. Hé ma Gazelle, j'espère que t'a encore des protèges slip parce que Mathieu est avec nous ce soir. Et ton cocu va déguster.

Margot ne répond rien, mais elle a pas l'air content. Mathieu savait!

Après le diner, les trois ont rejoint la chambre à coucher me laissant mettre de l'ordre dans le salon. Bien sûr, j'entendais un concert de bruits et gémissements divers qui traduisaient l'intense activité sexuelle en cours.

Au milieu de la nuit Mathieu a rejoint mon lit.

- Putain, ta femme nous a bien vidé. Là je suis à sec mais tu perds rien pour attendre. Je suis pressé de te visiter le fion. Paraît que tu as un popotin accueillant et profond

Effectivement, il m'a réveillé deux heures après en me doigtant avec du gel. Ses deux doigts sont entrés sans difficulté.

- Ben dis donc! Mon pote t'a bien préparé on dirait. T'as la corolle anale déjà bien souple. Tu sais que c'est lui qui voulait ton cul. Et il avait prévenu ta femme. Ou plutôt il voulait qu'elle lui offre. Elle a résisté.

Il frottait sa grosse queue contre mes fesses puis dans ma raie.

- Ils ont même failli se séparer à cause de toi... Mais elle a cédé. Difficile de se passer de nos queues pour une femelle comme elle. Je me demande vraiment ce qu'elle te trouve.

Il a posé son gland contre mon anus

- Ta femme adore être prise en levrette. Je n'ai pas souvent droit à son cul, alors je vais m'occuper du tient. Mets-toi en levrette. Allez à quatre pattes ma poule.

Encore ensommeillé et humilié par ce qu'il avait dit sur Margot, j'ai obéis. Il a rectifié ma position en m'ouvrant plus les jambes et en baissant ma tête jusqu'à ce qu'elle touche le lit. J'étais presque prosterné, cul relevé et reins cambrés.

- Ouais comme ça. Une vraie position de pute. C'est vrai que t'as un beau cul. Presque un cul de femme. On va se régaler avec toi. On n'est pas bi, mais avec toi c'est un plaisir de te casser le cul devant elle.

Il a positionné son gland contre mon anus glissant, puis m'a tenu par la taille.

- Serre les dents salope.

Sous la puissance et la dureté de l'intromission, j'ai eu le souffle coupé avant de m'écrouler. J'ai crié de douleur.

- Empalé jusqu'aux couilles du premier coup mec!...

J'avais les larmes aux yeux et il a commencé à me forer les entrailles. Vite, fort. Sa bitte investissait mon cul à toute vitesse sans repos. Il a collé sa bouche contre mon oreille.

- Kemb m'a demandé de bien te défoncer le cul et la bouche et je ne vais pas me gêner. Faut que Margot comprenne ce que tu es en réalité. Tu vas vraiment avoir besoin de protège slip pour dormir.

Il a tenu parole. Il m'a cassé le cul et la bouche. Margot et Kemb dormaient. Ma femme dans les bras de son amant. Et moi je servais de vides couilles à son copain.

oooOOOooo

De nouvelles règles de vie se sont établies pour moi. Bittes, plugg, lavements, protège-slip la nuit. Et le plugg de plus en plus souvent et longtemps. Au bout de deux mois Kemb a dit à ma femme que j'avais l'anus aussi ouvert que sa chatte.

Elle a ri :

- Tu exagères Kemb.

Elle m'a fait un gros bisou sur la joue. Moi je savais qu'il n'exagérait pas. Mon anus mettait de plus en plus de temps à se refermer.

Le dernier dimanche de Novembre, ils sont les deux dans la chambre. Moi dans la mienne. Je devais aller me nettoyer après le passage de Mathieu dans mon cul. Et son départ pour sa garde de nuit.

Dans le couloir j'entends Margot. La porte est fermée.

- Non Kemb! C'est ça ou rien Kemb... Tu comprends... Ne m'oblige pas...

Kemb est sorti furieux. Il était habillé. Les portes de la chambre puis de la maison ont claqué. J'osais pas aller voir ma femme.

En retournant dans ma chambre, j'ai cru entendre des sanglots.

Longtemps après, elle est venue.

- Je peux dormir avec toi Didou...

Elle s'est couchée, collé contre moi.

- Qu'est qui se passe Margot?...

- Rien Chéri... Rien... Serre-moi contre toi... Comme avant...

- Il ne t'as pas fait de mal....

- Non Chéri bien sûr que non....

Et elle ajoute d'une voix bizarre

- Il y a que toi qui peut me faire du mal.

Elle met son doigt en travers de ma bouche.

- Chut maintenant et dodo.

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

soumis jusqu'à quel point. quel dilemme pour margot ? quelle énigmatique dernière phrase de Margot.....

pour sa femme, il peut aller très loin, mais si les enfants devaient en pâtir d'une manière ou d'une autre..

qu'elles seraient leurs réactions.... l'amour que dans un sens, cela ne peut pas marché longtemps

AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

Je me demande bien quelle nouvelle exigence peut bien avoir en tête Kemb.

Quelque chose que Margot refuse, pour l'instant, de faire (ou plutôt de faire faire à son mari)

OlivX

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