Histoire de Laurence: Fin

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Résilience; Mourir pour renaitre.
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J'ai cru que c'était ce qui m'attendait quand l'homme m'a fait traverser la salle en tirant sur la laisse. Mais il m'a couchée sur le dos, sur un espèce de large divan. Il a replié mes jambes sur moi, a passé une sangle à la pliure d'un de mes genoux, sous mon dos, sous la pliure de l'autre genoux et a serré. J'étais dans une position bizarre, immobilisée, complètement repliée sur moi-même, comme une grenouille retournée sur le dos, avec les genoux presque à hauteur de mes seins, comme si je présentais mon sexe et mon anus.

Un premier homme est arrivé et m'a prise. Il est entré très facilement car j'étais mouillée et il est allé loin. Il m'a fait gémir, à la fois de plaisir et de surprise. Il glissait bien, il allait profond, mon bassin basculait naturellement vers l'arrière quand il entrait en moi et accompagnait son mouvement.

Quand il s'est retiré de moi, j'ai été frustrée. Car je sentais que j'allais vers l'orgasme. Deux autres m'ont prise par l'anus, presque aussi facilement. C'était bon aussi, mais je ne jouis pas de ce côté là.

Eux aussi se sont retirés assez vite. Comme un autre homme, qui lui m'a fait l'amour par devant mais s'est arrêté au moment où je commençais à monter. J'avais l'impression qu'ils venaient juste goûter mon sexe, ou mon anus, puis allaient en goûter d'autres ailleurs, aussi offerts que les miens. Pour eux, c'était peut-être très bien. Mais pour moi qui n'avait pas eu d'orgasme en faisant l'amour depuis plusieurs mois, c'était frustrant.

J'étais un peu gênée quand même vis-à-vis de mon mari. Il me semblait que j'avais gémi avec ces deux hommes plus fort que lorsqu'il m'avait fait l'amour. J'avais peur qu'il le prenne pour une sorte de trahison de ma part.

Mais quand je l'ai regardé, il n'avait pas l'air perturbé : il faisait l'amour à la femme de l'homme qui m'avait donné la cravache, et ça avait l'air de marcher entre eux.

L'homme à la cravache parlait à un autre type, assez jeune, plutôt costaud. Ils me regardaient tous les deux. J'ai eu l'impression qu'il lui disait ce qu'il devait faire. L'autre type s'est approché de moi en souriant, a sorti son sexe, et a commencé à me faire l'amour, mais en s'occupant vraiment de moi, pas comme les autres. Il me parlait en faisait l'amour, me tenait bien.

Lui, j'ai su qu'il allait rester, que çà allait marcher. Je suis montée régulièrement. Quand c'est arrivé, je n'ai pas voulu crier, vis-à-vis de mon mari, mais dès qu'il a senti mes contractions de plaisir, il m'a mis un pouce dans l'anus. Je ne sais pas si c'est à cause de çà ou parce que l'orgasme était trop fort, mais je n'ai pas pu m'empêcher de crier.

J'aurais adoré le prendre dans mes bras, le serrer, le remercier, l'embrasser. Mon premier orgasme sans caresses depuis plus de six mois, rien qu'avec un sexe. Mais j'étais attachée, et lui il s'en foutait. Il n'a même pas joui en moi, il s'est retiré et il est parti.

L'homme m'a détaché. Mon mari me regardait d'un air bizarre. Je savais ce qu'il pensait : il aurait voulu être l'homme qui me ramène à l'orgasme. Moi aussi, j'aurais préféré que ce soit lui. Mais il n'avait qu'à pas baiser l'autre quand j'avais besoin d'un sexe en moi.

Et puis, le principal, c'est que j'avais recommencé à jouir. De toutes manières, après un orgasme, j'ai toujours eu besoin de tendresses, de caresses. Je me suis jetée dans ses bras, je me suis frottée contre lui, exactement comme si c'était lui qui m'avait fait l'amour. On est rentrés peu après.

Dans la voiture, il ne disait pas grand chose. Moi, je me frottais contre lui. J'espérais qu'on ferait l'amour. Il m'a juste demandé une pipe.

Le lendemain, j'étais très chatte, très câline. J'avais envie qu'il me fasse l'amour. J'étais presque certaine de pouvoir avoir un orgasme. Mais le soir, il m'a sodomisée, sans même me caresser. Je ne comprenais où il voulait en venir. Peut-être redoutait-il de ne pas me faire jouir, alors que l'autre type y était arrivé dans cette boîte.

Le lundi soir, enfin, il m'a fait l'amour, après m'avoir caressée. Je me souviens que j'étais trempée, ouverte, complètement femelle. Le plaisir a commencé à monter très vite. Et cette fois, je ne l'ai pas refusé, au contraire, je l'ai accompagné jusqu'au bout en roulant du bassin, pour que son sexe me frotte encore mieux. Et j'ai joui, très très fort. Après, j'ai pleuré, bien sûr. Mais lui aussi était ému. Ca voulait dire que j'étais pleinement redevenue sa femme puisqu'il me faisait jouir avec sa bitte. On a fait l'amour tous les soirs cette semaine.

Ca marchait très facilement. Je me suis même arrêtée de rouler des hanches quand j'étais proche de l'orgasme. Je savais qu'il allait venir. Je voulais lui montrer que c'était sa bitte, rien que sa bitte, qui me faisait jouir. J'en ai parlé à la psy.

J'étais fière de moi. J'étais " réparée ". Je crois que sa thèse est la bonne. Elle m'a dit que c'est moi qui refusais l'orgasme, pour me protéger. Que je me méfiais du plaisir, parce que je l'associais à ce que Frédéric m'avait fait faire quand il me tenait avec le plaisir. Mais que ce que m'avait fait ce type dans la boîte avait brisé cette barrière mentale, m'avait enlevé la force ou l'envie de résister au plaisir. Elle ne portait toujours pas de jugement. Elle m'a juste dit de ne pas aller trop loin, d'essayer de vivre ma sexualité dans mon couple.

En fin de semaine, mon mari m'a remise en position de soumise sur le lit, mains attachées dans le dos, à genoux. Il m'a caressée, m'a fait gémir et mouiller avec le manche du martinet. Et il m'a parlé. Il m'a dit que le couple qu'on avait rencontré dans la boite était marié. Que l'homme, Pierre, était un maître expérimenté, et qu'il avait décidé de me confier à lui pour qu'il me dresse et fasse de moi une vraie soumise. Moi, je repensais à ce que m'avait dit la psy...

Mais mon mari m'a dit que ce stage ne durerait que quelques week-ends, qu'ensuite je ne verrai plus ce type. J'ai dit oui.

C'est comme çà qu'a commencé mon stage de dressage chez Maître Pierre. Je suis allée chez Maître Pierre le vendredi soir de la semaine suivante, seule. Mon mari m'avait donné un plan, et son numéro de portable. J'étais habillée " sage " et je n'avais pas mon plug, mais j'avais des tenues sexy dans mon sac.

J'avais à la fois un peu peur en y allant mais ça m'excitait aussi. Il avait certainement de l'expérience, puisqu'il m'avait ramenée sur la voie qui mène à l'orgasme. Et même si je ne demandais rien à mon mari (je préférais, en tant que soumise, lui laisser dire ce qu'il voulait me dire), je me doutais un peu que c'était lui qui avait conseillé mon mari ces derniers mois, qui avait changé sa manière d'être et d'agir.

Maître Pierre était toujours aussi froid quand je suis arrivée chez lui. Sa femme était plus sympa, plus accueillante. Dans le salon, il m'a servi un whysky. Je n'aime pas beaucoup boire, et en plus, pas du tout le whysky. Mais je n'ai pas osé dire non. Il ne disait rien. Sa femme faisait la conversation, sur des banalités : la route avait été bonne, j'avais trouvé facilement etc...

Il m'a servi un deuxième whysky dès que j'ai eu fini le premier. Comme je n'avais pas dîné, j'en ressentais l'effet. Puis, il m'a emmené dans une pièce presque vide avec une barre métallique au plafond. La cravache était sur un fauteuil, posée en évidence. Au moins, je savais ce qui m'attendait

Je me suis laissée faire par sa femme, qui m'a déshabillée, m'a mis un bandeau et m'a attaché les mains. J'étais comme la dernière fois, bras tendus au dessus de ma tête. J'ai attendu le premier coup, mais pas avec angoisse, presque avec hâte. J'avais envie que ça commence.

Quand il est arrivé, je me suis tordue un peu, et j'ai gémi. Pas parce que j'avais mal, c'était un coup très doux. Mais parce que je savais exactement ce qui allait suivre. En fait, ce n'était pas les coups qui faisaient mal, mais leur répétition, aux mêmes endroits, avec de temps en temps ce coup plus fort qui me faisait crier.

La douleur restait supportable, même si j'avais les seins endoloris, mais c'était surtout l'attente de ce coup plus fort qui était terrible, et l'incertitude de savoir où allait tomber le coup suivant, s'il serait fort ou non. L'effet est très difficile à raconter.

C'était comme si je me vidais progressivement, comme si je n'avais plus aucune résistance, aucune volonté, aucune fierté. Je criais, je me tordais au bout de la corde, je le suppliais d'arrêter, je répétais tout ce qu'il me faisait dire : que j'étais une chienne, une salope, qu'il allait me dresser, que j'aimais la cravache. En plus, je sentais bien que j'étais mouillée. Je crois que ça a duré longtemps, une demi-heure peut-être, mais c'est difficile à dire.

Quand il a enfoncé deux doigts dans mon vagin, j'ai su que c'était fini. Il m'a tenue comme çà, comme suspendue à un crochet enfoncé dans mon sexe, puis il m'a lachée, la tension sur la corde a disparu, et je suis tombée.

Sa femme m'a pris par le bras pour m'emmener dans le cabinet de toilettes. Elle n'était plus du tout sympa, brutale même. Je n'avais plus la force de résister, ou de protester. Elle en a profité. Elle m'a fait mal en m'enfonçant le tuyau du lavement, elle m'a regardée quand je me suis vidée ce qui m'a gênée, elle m'a fait mal encore avec son ongle quand elle a vérifié que j'étais " propre ". Je suis sûre que c'était volontaire de sa part.

Après, elle m'a ramenée dans la pièce, m'a mise à quatre pattes, et m'a mis un godemichet dans l'anus. Ils m'ont dit de rester là sans bouger, et ils sont partis.

Là, ça a été long. Quand ils sont revenus, elle m'a enlevé le godemichet et ils m'ont fait sortir de cette pièce. Comme l'autre fois, je me sentais complètement ouverte, devant, derrière, dans la tête. J'étais sûre qu'il allait me faire l'amour. J'en avais même envie. Mais au lieu de çà, il m'a emmenée dehors dans son jardin, et m'a dit que je n'avais pas le droit de rentrer avant qu'il vienne me chercher.

Là, j'ai paniqué. Il faisait nuit, mais des voitures passaient dans la rue, et la haie du jardin n'était pas très haute. Je me suis accroupie, mais j'étais très mal à l'aise, surtout avec mon sexe humide, mon anus ouvert et mes seins douloureux. Je suis allée me mettre derrière la maison, contre une haie qui était un peu plus haute, toujours accroupie pour ne pas être vue.

Bientôt, j'ai commencé à avoir froid, mais je n'osais pas bouger. J'avais faim aussi. Et le moindre bruit me faisait tressauter. Ca m'a semblé interminable.

Quand il est venu me chercher, je tremblais de partout. C'était nerveux. Je me sentais brisée, vaincue. J'avais envie d'un peu de tendresse. J'ai voulu aller dans ses bras, j'ai même essayé de l'embrasser. Il m'a repoussée et m'a emmenée dans sa chambre. Je ne savais plus quelle heure il était. Ils m'avaient pris mes vêtements, ma montre. Je n'avais plus de repère.

Sa femme, toujours aussi brutale, m'a embrassé les seins, puis le sexe. Ce n'était pas ce dont j'avais envie, mais c'était au moins une forme de contact physique, un peu de douceur.

Elle savait comment faire, et je n'ai pas résisté, elle m'a fait jouir très vite avec sa langue. Après, elle m'a demandé de lui caresser avec ma bouche. Je ne l'avais fait qu'une fois dans ma vie, au Cap d'Agde. Je ne suis pas experte. Mais là encore, je trouvais qu'il faisait chaud entre ses jambes, que c'était doux. Elle m'a dit comment faire, et elle a joui.

Après son mari lui a fait l'amour. Je commençais à me demander s'il n'était pas homosexuel, ou impuissant. Il ne l'était pas parce qu'il l'a très bien baisée. Mais je suis persuadée qu'elle en a rajouté un peu dans le plaisir, sans doute pour me frustrer.

Parce que moi, je n'ai eu droit à rien de sa part. Juste un baiser. J'y ai répondu avec ma langue, et en pressant mon corps contre le sien pour bien lui montrer que j'avais envie de faire l'amour. Mais çà s'est arrêté là. Heureusement, j'étais fatiguée, et il devrait être tard, car je me suis endormie contre lui, avec sa femme de l'autre côté.

Le matin, il n'a pas voulu que je me lave. C'est difficile pour une femme de se sentir sale. Surtout que sa femme s'était lavée, maquillée, habillée. Moi, il m'a demandé de mettre mes sandales à talons hauts.

J'ai enfin mangé, mais après j'ai dû faire le ménage, ma vaisselle, toujours nue et en talons. Vers midi, ils sont partis déjeuner, et il m'a laissée là, accrochée à un radiateur avec des menottes, toujours nue, avec un pot à côté en cas de besoin. Ils sont restés absents longtemps, car ils sont rentrés avec des paquets : ils avaient les courses.

J'avais fait pipi dans le pot. Sa femme l'a vérifié, et m'a demandé d'aller le laver. Jamais de ma vie je ne m'étais sentie aussi humiliée, même pas par Frédéric. Je n'étais rien pour eux, juste une servante, qui n'existait pas. Et lui, il ne me désirait même pas, alors qu'il était plutôt bel homme dans son genre, et qu'il faisait bien l'amour.

A un moment, il a dit que mon mari m'avait fait un beau tatouage, sur les reins. Je lui ai répondu machinalement que ce n'était pas mon mari, mais mon amant. Il m'a fait raconter ce qu'il s'était passé avec Frédéric. Ca avait l'air de l'intéresser, mais il m'a fait arrêter assez vite. Je suppose que mon mari a dû lui raconter la suite, car lors de la séance suivante, quinze jours après, il est revenu sur des détails que je ne lui avais pas donnés.

Le soir, j'ai eu le droit de me laver, de me maquiller. Il m'a donné un blouson jean's, qui descendait juste en dessous de mes fesses car je suis assez grande. Et nous sommes allés comme çà à la même boîte que l'autre fois, eux habillés, moi en sandales à talons, mais nue sous le blouson. Avant d'entrer, il m'a mis un collier au tour du cou, avec une sangle.

Et on est entré comme çà. J'étais un peu gênée du regard des autres, mais au fond, je m'en fichais. Je savais qu'il y a avait d'autres soumises (et soumis), et j'avais envie de me faire sauter.

Ils m'ont préparée exactement comme l'autre fois : cravache, lavement, godemichet. Il m'a ramenée en haut, mais attachée debout et membres écartés, dos au mur. Il m'a mis des pinces sur les seins. Les hommes passaient, me touchaient. L'un m'a fait l'amour debout. Ce n'est pas ma position favorite, et il me faisait mal aux seins quand il les pressait. Mais j'ai joui quand même, en tendant bien mon bassin vers son sexe.

Après, Maître Pierre m'a détachée, m'a enlevé les pinces (ca faisait toujours très mal à ce moment, quand le sang revient dans les parties pincées), bondée, et m'a couchée sur un divan. Des hommes m'ont fait l'amour, devant comme derrière.

Même derrière, ils rentraient facilement, car j'avais l'anus dilaté par le godemichet, assoupli par le lavement chaud, et ils avaient sans doute des capotes lubrifiées. J'ai joui encore une fois. J'ai dû tailler des pipes aussi, même si ce n'était pas facile dans cette position. Un homme a quand même joui dans ma bouche. Après, on est rentré.

J'avais peur qu'il me renvoie dans le jardin. Mais on s'est couché tout de suite, selon le même processus que la veille : sa femme m'a fait l'amour avant de se faire sauter par lui.

Le lendemain, toujours les tâches domestiques nue, sauf qu'ils m'ont emmenée déjeuner avec eux. Ils m'avaient demandé de m'habiller en salope, sans slip sous ma jupe. On a déjeuné en terrasse. Les hommes me regardaient, car il m'a demandé d'enlever mes sandales et de relever ma jupe au plus haut sur mes cuisses. On avait l'air du couple recomposé : le mari, la femme et la soumise à l'arrière de la voiture.

Le soir, il m'a demandé de me rhabiller exactement comme çà quand je suis rentrée, et toujours sans slip. Au regard qu'il m'a porté, j'ai compris que ça choquait un peu mon mari.

Peut-être avait-il l'impression que Maître Pierre tenait à lui montrer que c'était lui le maître, puisqu'il me renvoyait à lui habillée en salope alors que j'étais arrivée deux jours plus tôt habillée sage. Ou alors que le dressage marchait puisqu'il avait transformé une femme sage en salope. Je ne sais pas. Je me sentais fatiguée, physiquement comme moralement.

Il fallait que je m'occupe des enfants. C'est vrai que j'aurais pu y penser plus tôt, et me changer dans la voiture en rentrant. Je me sentais tellement soumise que je n'y avais même pas pensé : j'avais obéi à un homme, mais pas à mon mari hélas.

La semaine s'est très bien passée avec mon mari. J'étais gaie, j'avais envie qu'il me fasse jouir, je sentais que je glissais de plus en plus naturellement dans ma peau de soumise.

Et lui dans son rôle de maître. Il ne venait plus jamais me demander si j'avais besoin d'un coup de main, ne se levait plus au moment de débarrasser la table. Je passais mes journées habillée " moche ", et le soir, je me mettais sexy avant qu'il arrive

Le dimanche, il m'a vraiment fait plaisir. Il faisait beau, on partait passer l'après-midi dans un jardin public, avec les enfants. Naturellement, j'avais remis un pantalon ample pour sortir, des tennis, une vague blouse. Rien de sexy. Il m'a dit que ça n'allait pas et de m'habiller sexy. Je l'ai fait avec joie.

Au parc, je sentais que les hommes me regardaient. J'étais la seule mère en talons hauts, en bustier court. Moi, je ne regardais que mon mari. Je voulais lui montrer qu'il n'avait plus rien à craindre, que j'étais sa soumise, qu'aucun autre homme ne comptait. J'étais fière d'être belle pour lui, d'être désirée par les autres mais de leur montrer que j'appartenais à mon mari.

Le soir, il m'a quand même dit que les bustiers courts, c'était fini en public. Car derrière, on voyait trop mon serpent sur mes reins, et que ça faisait bizarre dans un contexte familial, avec beaucoup d'enfants autour.

J'ai pensé à ce salaud de Frédéric, qui m'a posé à vie une marque qui m'empêche de mettre des tee-shirts courts, alors que je suis fière de mon ventre plat et de le montrer. Il savait très bien ce qu'il faisait...

Le week-end suivant chez Maître Pierre a été beaucoup plus dur que le premier. Je l'ai compris dès la séance de cravachage des seins, quand il a commencé à me faire demander pardon pour ce que j'avais fait à mon mari, en détaillant toutes mes fautes.

Sa femme semblait encore plus en colère que lui. Elle m'insultait. Et la séance a été très longue, car elle a continué bien après qu'il ait vérifié que j'étais humide. J'en suis sortie anéantie.

J'avais la voix cassée à force de la supplier d'arrêter. Sa femme a encore été brutale lors du lavement. En m'enfonçant le godemichet, elle m'a dit que des femmes comme moi méritaient qu'on leur casse le cul avec une bouteille.

J'ai pleuré. J'avais peur de la suite. Surtout quand ils m'ont emmenée complètement nue en voiture dans une forêt pas loin de chez eux. J'étais presque soulagée quand ils m'ont laissée là, au pied d'un arbre, pas loin d'un chemin.

Mais le calvaire a commencé. C'était cent fois plus horrible que dans son jardin. C'est incroyable les bruits dans une forêt la nuit. J'avais peur qu'un animal sente ma présence. J'étais assise sur de la terre. Rien que ce contact me faisait frissonner. J'ai essayé de bouger, c'était impossible. Je ne voyais rien, je ne savais pas sur quoi je marchais, il y avait des ronces, j'ai failli tomber. J'avais peur de me perdre aussi si je marchais. Et peur qu'ils ne reviennent pas de la nuit. J'ai sangloté jusqu'au moment où ils sont revenus, en demandant pardon à mon mari.

Au lit, Maître Pierre ne m'a pas touchée. J'en avais envie pourtant. Il n'y en a eu que pour sa femme, avec qui j'ai fait l'amour.

Le lendemain, même scénario que l'autre fois, qui m'a encore plus humiliée, car j'étais vraiment sale après cette partie de la nuit passée dans la forêt, j'avais de la terre sous les ongles, des morceaux de feuille dans les cheveux.

Le soir, la séance de cravachage a été dure aussi dans la boîte. Et les pinces m'ont fait mal comme jamais : j'avais des marques quand il les a enlevées, et elles sont restées quelques jours. Les seuls bons moments ont été quand on m'a fait l'amour.

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