M.A.K. My Life.... Ou Presque 07

Informations sur Récit
Chroniques d'une vie de soumis.
5.7k mots
4.69
3.6k
1

Partie 8 de la série de 10 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 11/04/2021
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ANDRERP95
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FATALISME VII

oooOOOooo

Novembre 2003

Vacances de la Toussaint.

Les enfants sont chez les grands-parents pendant dix jours. Kemb est avec nous. On sort pas mal les trois. Règle classique. Dans notre quartier, je suis au bras de ma femme. Ailleurs, elle est à son bras. Sans culotte. Accessible aux doigts de son amant et bien sûr interdite aux miens.

Il n'est pas rare que Kemb ou Mathieu, quand il sort avec nous, passent leurs mains sous la robe devant moi, qu'ils la doigtent ou la caressent dans le salon en pleine journée. Qu'ils lui relèvent la jupe à la taille, dévoilant son sexe ou ses fesses devant tous.

Margot se laisse faire, yeux clos, lèvres pincées, narines frémissantes. Savourant les caresses, à la limite de la jouissance.

La nuit ils dorment ensemble. Des fois ils m'appellent pour que je suce ou je lèche. Je le fais sans discuter.

Mathieu est là ce soir, ils sont les trois dans la chambre. Margot m'appelle. A son intonation, je devine qu'elle est très excitée. Quand j'entre dans la chambre, j'ai du mal à comprendre tout de suite ce que je vois. Mathieu est couché sur le dos, ses grandes jambes poilues écartées. Margot est assise sur lui, empalée sur la bitte et couchée sur le torse de Mathieu qui l'embrasse à pleine bouche et lui pétrit les seins. Derrière Margot Kemb à genoux entre les jambes de son ami. Il tient son engin par la racine devant le cul de ma femme.

- Regarde le cocu. Regarde bien comment elle va monter au ciel ta femme.

Il lui place son mandrin entre les fesses et commence à la sodomiser.

Ma femme gémit :

- Doucement. Doucement. Ouiiiii. Oui.. Oh oui. Doucement Kemb s'il te plaît. Ohhhhh. C'est bon. Ohhhhh Didou! C'est bon.

- Tu vas tout prendre ma Belle. Nos deux zobs en même temps devant ton cocu. C'est bon là. Regarde la le cocu. On l'enfile par les deux trous.

Ils sont calés en elle immobiles.

Puis ils commencent à bouger. Mathieu s'extasie :

- Putain! C'est super, je sens ta queue mon pote. C'est vrai qu'elle est fine cette sacrée paroi. C'est des vrais travaux pratiques.

- Et pas sur un cadavre cette fois?

Ils accélèrent et Margot crie. Mélange de bonheur et de douleur.

- Eh le cocu! Regarde ce qu'elle se prend ta femelle!

- Les deux trous bien remplis. On va bien la dilater. Approche, approche, mets-toi à genoux à coté, tu verras mieux.

J'ai obéis. C'était complétement fou de voir le corps de ma femme tremblait au rythme des coups de reins simultanés de ses amants. On entendait les chairs claquer dans des bruits humides. Le lit tanguait sous les coups de boutoirs synchronisée, de plus en plus puissants.

Mathieu serrait le torse de ma femme contre le sien pour l'immobiliser. Margot était en sandwich entre les deux torses puissants luisants de sueur. Le lit bougeait en cadence. Ils ont encore accéléré, et ma femme s'est mise à hurler dans une jouissance absolue. Ses deux amants l'ont accompagné.

Puis la scène s'est figée. Juste des respirations lourdes. Des corps lascifs qui brillent de sueurs sous le faible éclairage de la lampe de chevet. Je regardais Margot écrasée entre les deux corps massifs.

Le trio s'est enfin disloqué. Ma femme avait du mal à bouger.

- Vous m'avez tuée les garçons. Viens Didou. Viens mon Ange.

Cuisses grandes ouvertes, chatte coulante et raie luisante, elle attendait, langoureuse que je fasse mon travail. Je savais ce que cela voulait dire et j'ai obéis pour boire aux deux sources les élixirs de ses amants. Pourtant elle venait de jouir très fort. Elle ne voulait pas jouir à nouveau non. C'est juste devenu une habitude que je la nettoie après leurs passage. Rien de plus. Et c'était pire encore pour moi d'être traité par ma femme comme son animal de compagnie devant ses deux amants.

oooOOOooo

Le Trente Novembre c'est la Saint André, nous sommes seuls dans notre chambre. Les enfants dorment. Margot est nue. Moi aussi. Donald est devenu un compagnon fréquent. Je le supporte assez bien. Margot ne me lèche plus. Mais si je veux un câlin de sa part, je dois accepter que Donald se loge dans mon fondement.

Kemb a décidé de changer mon traitement. Je me sens plus en forme et j'ai comme l'impression que ma libido revient vite. Mais je ne bande pas. J'ai envie mais pas possible de passer à l'acte avec ma femme. Et c'est le plus dur en fait.

Margot me tend un paquet.

- Bonne fête Chéri.

- C'est quoi?....

- Ouvre Chéri.

J'étais perplexe devant l'objet. Une espèce de gros suppositoire allongé soudé sur une base ronde. D'environ une quinzaine de centimètre de long et au plus large, d'un diamètre d'environ cinq centimètres pour se rétrécir à la base à environ trois centimètre. Comme un œuf que l'on aurait étiré au maximum verticalement, soudé sur une rondelle.

Margot avait un sourire gourmand ;

- Je te présente Titi. C'est un plugg. Pour toi mon Chéri.

Je ne comprenais rien. Ou plutôt, j'avais peur de comprendre.

- C'est quoi ce truc Margot, ou t'as eu ça?

- C'est un plugg. C'est pour ton joli popotin mon Ange. Quand on le met, il tient tout seul dans le derrière. C'est pour pimenter nos jeux. Quand tu l'as dans le derrière, il reste fiché en toi, en plus tu le sens bouger à cause du liquide à l'intérieur. J'adore quand tu es mon petit mari sodomisé. On va l'essayer. J'ai tellement envie de te voir avec. Ça se met comme un gros suppositoire.

Elle avait déjà le tube de gel intime dans la main. Elle a pris l'objet pour y faire couler dessus le lubrifiant.

- Mets-toi su le ventre Chéri. S'il te plaît. Pour moi.

- Il n'en est pas question Margot. Je veux pas ce genre de truc dans le cul.

- Je l'ai essayé, c'est rien Didou. Juste un moyen de s'exciter ensemble mon Chéri. Viens ne fais pas ta mauvaise tête. Et tu étais ok pour Donald non? Laisse-moi te le mettre Chéri. Si tu veux, je le porterais après toi.

- Non Margot! T'as qu'à te le foutre toi dans le cul! Après tout t'as l'habitude de te faire enculer comme la première pute venue..!

Je suis parti dans ma chambre, la plantant là avec son engin de merde.

J'étais furieux et triste.

J'avais horreur de me fâcher avec elle. J'étais toujours mal après, et malheureux. J'espérais que cette lubie allait passer. J'ai attendu.

Mais elle ne venait pas. J'étais seul à me ronger les sangs.

La porte de ma chambre s'est ouverte. Elle était sur le seuil, habillée, avec son manteau sur les épaules et son sac à mains.

- Bonne nuit Didou, je reviens demain pour m'occuper des gosses. Je vais chez Kemb. Priori on ne se comprend plus.

- Attends, attends Margot.

Elle est partie sans rien entendre.

Je n'ai pas fermé l'œil de la nuit.

Le lendemain, elle s'est occupée des enfants comme d'habitude et les a emmenés à l'école. A son retour j'ai voulu discuter.

- Désolé Didou mais je travaille, bonne journée.

Le soir après le coucher des enfants. Elle a pris son manteau.

- Margot s'il te plaît attends, attends... On peut parler. Ne me laisse pas.

- Bonne nuit Didou. A demain.

Je me suis retrouvé comme un fou dans la maison. Ne sachant plus que faire. Il me semblait impossible de rester sans elle. Je n'avais même pas le numéro de Kemb. Je ne pouvais pas la suivre à cause des enfants.

Le lendemain j'attendais son retour, prêt à toutes les concessions. J'ai préparé un super petit-déjeuner pour nous deux. J'ai attendu.

On était vendredi. Elle m'a téléphoné.

- Je ne rentre pas André, je vais direct au travail. Tu emmènes les enfants à l'école s'il te plaît. Je les prendrais ce soir et on ira les trois chez tes parents passé le week-end. Ta mère est contente de me voir. A lundi.

- Pourquoi tu fais ça Margot?...

Elle avait raccroché avant la fin de ma phrase.

J'ai appelé samedi matin. C'est ma mère qui a décroché. Elle devait attendre mon coup de fil.

- Bonjour Maman, je peux parler à Margot?

- Bonjour André, je vais te la passer, mais permets moi de te dire que tu as beaucoup de chance de l'avoir.

- Ce n'est pas le moment maman passe la moi s'il te plaît.

- Tu vas la perdre et tu seras encore plus malheureux mon fils. Je te la passe.

- Allo. André?

- Margot je t'en prie rentre. Je t'en supplie Margot.

- Pourquoi?...

J'étais sidéré par la question.

- Pourquoi? Mais tu es ma femme, on est une famille. Pour tout cela Margot. Tu me manques. Tu me manques à mourir Margot.

- A mourir? Et nous laisser seuls les enfants et moi?...

- Tu veux quoi Margot?

- On en discutera dimanche soir, bon week-end.

- Attends, att

- Au fait, j'ai dit à ta mère pour Kemb. Avec beaucoup de douceur bien sûr. Mais elle comprend qu'une femme mariée peut avoir besoin d'un minimum de virilité de la part de son conjoint.

- Quoi! Tu as fait quoi?...

- Elle veut juste qu'on préserve les enfants. Je l'ai juré pour nous deux. Bonne journée.

Elle a raccroché. Je me suis écroulé. Cela a duré longtemps.

Je pensais à rien. Juste à elle. Juste être à ses côtés. La sentir. Vivre avec elle. L'accepter comme elle était. Elle avait gagné et je ne lui en voulais pas. Je voulais juste qu'elle revienne. J'étais prêt à tous les sacrifices pour qu'elle revienne. Et je n'étais vraiment pas sûr de ce qu'elle voulait elle.

oooOOooo

Le samedi soir, je me suis couché seul dans ma chambre. J'avais beaucoup bu et je ne voulais pas dormir sans elle dans notre chambre à coucher. Cette solitude m'était insupportable. J'ai forcé sur les cachets pour oublier et dormir.

Le cocktail alcool, cachets m'a abruti.

Au milieu de la nuit, dans un état semi-comateux, j'ai entendu du bruit dans notre chambre. Les rires de ma femme et la puissante voix grave de Kemb. Puis des gémissements. Ils faisaient l'amour et Kemb la pilonnait comme elle aimait. Je l'imaginais en levrette recevant les coups de boutoir de son amant. Ses seins tressautant au rythme des coups de piston. Dans un semi-rêve, je la voyais reins cambrés, fesses ouvertes, sexe investi.

Je l'entendais crier puis jouir dans un long feulement.

Je ne savais plus ou était la réalité ou l'onirisme.

Groggy sous l'effet des médications. Comme un rêve.

Tout ce mélangeait sauf l'essentiel, son retour.

Je n'ai pas osé les déranger. J'étais content qu'ils soient là.

C'est elle qui est venue. Assise contre mon flanc, sa bouche à mon oreille. Son parfum magnifique. Mélange de senteurs et de sueur. Elle parlait à voix basse.

- Excuse-moi mon ange. Je ne voulais pas te faire tant de mal. Je n'ai rien dit à ta mère. Mais elle se doute de quelque chose. Pour le reste sache que jamais je ne t'obligerais jamais tu comprends Didou.

Elle a posé le plugg sur le chevet, et le tube de gel.

- Fais comme tu veux, je t'attends avec Kemb. Viens avec ou sans, à toi de décider. Je te jure que tout se passera bien. C'est impossible sans toi.

Elle m'a fait un bisou sur la bouche et m'a laissé.

Ce qu'elle me demandait était encore plus dur.

Porter le plugg devant son amant!

Me présenter devant eux avec ce truc dans le cul!

Je savais qu'elle me donnait encore une chance. Mais que l'addition avait grimpé. Bougrement élevée même. Je les entendais discuter sans comprendre ce qui se disait. Des fois le rire de son amant.

J'ai pris l'objet par la base pour le graisser. Puis je l'ai mis entre mes fesses contre mon anus. J'ai dû m'y reprendre à plusieurs fois avant de réussir à le rentrer. C'était gros, lourd, épais, et froid. Son passage m'a fait mal, mais après il a glissé tout seul pour s'encastrer moi. Impression bizarre quand il rentre d'un coup jusqu'à ce que la base ronde le bloque.

C'était fait. J'étais équipé de cet engin. J'étais pluggé pour elle.

La punition ou le supplice pouvait commencer pour moi.

Je marchais lentement. Il bougeait en moi. Douleur et excitation. Le cœur battant, légèrement penché à cause d'une légère douleur au bas ventre, j'ai traversé le couloir vers la chambre à coucher. Les chambres des enfants étaient ouvertes. Je voyais le désordre habituel de la chambre de Julien et l'ordre méticuleux de celle de Mathilde.

Que penseraient-ils, s'ils voyaient leur papa dans cet état. Avec cet engin fiché entre les fesses. Et si jamais un jour ils nous surprenaient. S'ils devinaient ce qui se passait pendant leur absence. Si ils comprenaient ce que leur mère faisait avec ces deux jeunes. Ces idées noires me mouillaient les yeux. .

Puis est venue le moment de l'humiliation quand j'ai ouvert la porte et qu'ils m'ont regardé. Je me suis approché du lit avec difficulté. Je marchais lentement, le visage crispé, les yeux embués. Margot s'est inquiétée.

- Tu as mal?...

- Il faut qu'il prenne l'habitude, c'est tout. Tu vois que c'était inutile qu'on se fâche pour lui. Il va vite supporter le plugg je te le dis moi. Il a le cul pour ton mec. Il va être mignon tout plein avec ce truc dans le cul. T'as bien bossé ma Gazelle. Je t'avais bien dit qu'il le ferait pour toi.

- Tais-toi Kemb, inutile de te moquer. Viens avec nous Didou, près de moi mon Chéri. Viens vite. J'ai envie d'un gros câlin.

Elle était couchée en travers du lit, Kemb assis à sa gauche. Elle a ouvert ses jambes. Sa chatte coulait. Il venait de finir de la baiser. Au regard victorieux de de son amant, j'ai compris que c'est lui qui avait demandé à ma femme que je subisse ce plugg. Il était l'initiateur de ce nouvel acte de soumission. Il avait plus que suggérer à ma femme que je devais être équipé.

- Tu veux mon Chéri? Viens vite me nettoyer..

J'ai obéis. J'avais envie de son odeur, de sa liqueur et les cachets annihilaient encore ma volonté. Je léchais avec application. Ma langue allait le plus loin possible dans son intimité pour ramener les sécrétions de son amant. Kemb l'embrassait à pleine bouche.

- Tourne toi Chéri que je vois cela. Montre-nous ton joli derrière

J'ai pris la position demandée sans cesser de la laper. Elle a saisi la base du plugg pour le bouger, le sortir ou l'enfoncer. Les mouvements de l'engin créé des dépressions dans mes intestins.

- C'est drôle. Il tient bien. C'est marrant ce truc.

- Ouais, il faudrait qu'il le garde un maximum de temps. Comme ça, il prendra vite l'habitude, l'anus est un muscle qui s'assouplit facilement vers l'extérieur mais moins vers l'intérieur. C'est le toubib qui parle.

Il a rigolé avant d'ajouter :

- Faut le lui mettre tous les jours ma gazelle.

- Ça viendra. On n'est pas pressé Kemb. C'est juste un jeu entre nous. Il le mettra tous les jours. Mais on risque de le voir sous son pantalon non?...

- Et alors?... Il faut que ton mari assume son statut. Je t'ai déjà dit Margot. Il faut qu'il reconnaisse une fois pour toute son rôle et sa place.

Ils parlaient de moi sans tenir compte de ma présence. Elle appuyait sur ma tête pour que je la lèche à fond. Elle s'amusait à vouloir faire coulisser le plugg en moi. Cela me faisait mal mais c'était supportable. Ce traitement m'humilait et m'excitait. Je sentais les fourmillements dans mon bas ventre.

- Il est prêt à le faire Kemb, mais inutile d'être brutal ou humiliant. Chéri, suce Kemb s'il te plaît.

Elle avait un ton tout à fait anodin en disant cela. Comme si elle me demandait d'allumer la lumière. J'ai obéis.

La bitte était encore humide des sécrétions de la chatte de ma femme. Je suçais, branlais, léchais, le membre en train de durcir et grossir.

- Il suce vraiment bien ton mec ma gazelle. Une suceuse professionnelle. Vas-y le cocu, bouffe-moi bien la bitte. C'est ça les couilles aussi, plus bas. Allez reviens sur ma bitte.. T'es devenu un sacré pipeur mec.

Il était bien dur, droit érigé vers le plafond.

Il a dit un truc dans l'oreille de ma femme. Elle a fait non de la tête.

- C'est le moment ou jamais ma Gazelle, crois-moi.... Allez... On essaye c'est tout... Je suis toubib Margot. Je sais qu'il n'y a rien à craindre. Crois-moi. IL y a tout ce qu'il faut.

Il lui a chuchoté à l'oreille. Elle a fait non de la tête. Elle a plaqué ma tête contre sa vulve. Kemb parlait à son oreille. La voix hésitante de ma femme.

- Promets-moi que cela se passera bien Kemb?

- Je te jure ma Gazelle. Tout se passera bien... Tiens!C'est toi qui décidera si on continue ou pas ok?

Une longue minute de silence avant que Margot parle.

- Didou attend Chéri. Arrête. Viens te coucher à côté de moi. Oui, comme ça. A plat ventre. On va essayer autre chose. Fais-moi confiance mon cœur.

Kemb était à genoux en train de se branler lentement. Il avait ce regard que j'avais appris à connaître. Un regard de prédateur sûr de sa puissance. Il me regardait. J'ai regardé Margot avec inquiétude.

- Laisse-moi faire.

Elle a libéré doucement mes fesses. Le plugg a fait un plop en sortant de mon cul. Comme le bruit atténué d'un bouchon de Champagne. Elle a mis deux coussins entre elle et moi.

- Couche-toi sur les coussins mon Ange. Ton bassin sur les coussins.

Sa voix était douce, tendre. J'ai obéis. J'ai vu Kemb prendre le tube de gel dans le chevet. Il en a mis dans la paume de sa main.

J'avais les fesses relevées. Je voyais parfaitement Kemb enduire son sexe de gel en se branlant lentement. C'était comme une arme sur laquelle sa main coulissait. Ma femme était couchée à mon flanc droit et me caressait tendrement le dos.

- Ecarte les jambes Didou.

Elle m'a dévisagé avec tendresse. Je devais avoir l'air inquiet.

- Tout va bien se passer. C'est juste un jeu rien d'autre... Je t'aime.

Kemb est venu à genoux entre mes jambes. Le lit s'est creusé sous son poids. Puis il s'est couché sur moi. Ses jambes musclées ont encore plus écarté les miennes. Je sentais ses poils durs contre mes mollets, son bas ventre contre mes fesses. J'attendais comme un animal à l'abattoir attend son sacrifice. J'avais parfaitement compris ce qu'il voulait.

Et ce que ma femme venait d'accepter.

- Vas doucement Kemb, ne lui fait pas mal..

Elle était en train d'offrir le cul de son mari à son amant.

- Ne t'inquiète pas ma belle. Je ne veux pas lui faire mal, je veux juste enculer un cocu devant sa femme. J'en rêve depuis longtemps. Et tu l'as bien préparé avec Donald. Profite ma gazelle, c'est pas tous les jours que tu vas voir ça.

Il a positionné son engin entre mes fesses, le gland contre mon anus. Je n'ai eu aucun mouvement de révolte. Rien. Je le laissais faire devant elle. Pourtant je savais parfaitement ce qui allait se passer. Ce que son amant allait me faire. Je sentais ce gros tube dur et chaud entre mes fesses, contre mon anus. Je sentais le souffle de Kemb sur ma nuque.

- C'est un sacré cadeau que tu me fais là ma Gazelle.

Les mains de ma femme qui me caressaient les cheveux.

- C'est lui qui nous le fait Kemb...

- Te fais pas de mouron, il va vite s'y faire ton cocu.

Il m'a claqué les fesses.

- Aller! On y va la tafiole. Pousse comme pour faire caca mec. Tu auras moins mal. Respire un grand coup et pousse pour chier.

- Vas-y Didou... Écoute-le... Je t'aime mon ange.

J'ai obéis en regardant ma femme. Ses yeux étaient mouillés. Plaisir ou peine, je ne saurais le dire. Elle m'a embrassé sur la bouche. Sa langue a fouillé mon palais. Elle me bâillonnait avec amour.

Juste une douleur infernale qui m'a fait sursauter. Le cul en feu. Du plomb fondu dans mon cul. Ma respiration s'est bloquée. Margot me tenait la tête contre la sienne.

- C'est rien, ça va passer. Ça va passer. Embrasse-moi Didou. Fort. Respire un grand coup... C'est rien... Je connais... Je te jure que ça va passer mon amour.

- Ne l'appelle pas comme çà.... C'est juste ton mari!.. Ton cocu.

Un autre coup de rein et une autre douleur violente, puis une autre. J'ai les larmes aux yeux. Mes fesses sont en feu. Je serre les dents puis mord le drap humide de sueur. Margot me caresse les cheveux. Sa langue fouille ma bouche. Mon corps tressaute sous les coups de bittes de mon enculeurs.

Ma bouche se détache de celle de Margot. Je pousse un cri rauque. De douleur. Des larmes giclent. Je gémis longuement.

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