L'un dans L'autre

BÊTA PUBLIQUE

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Elle essaie de tourner quelque peu sa tête vers la mienne.

Je vois que ça lui plaît.

Je commence à lui caresser le clitoris, en faisant de petits mouvements circulaires.

Puis j'accélère la cadence.

Elle commence à frémir, à se cambrer.

Avec mon autre main, je lui tire assez fort le téton tout en essayant de conserver mon étreinte.

Comme elle a déjà eu un orgasme clitoridien quelques minutes auparavant, je pressens que tout comme moi, elle est envahie d'un mélange de léger désagrément et d'excitation.

Toute sa vulve est tellement mouillée.

Marielle va jouir de nouveau d'un moment à l'autre.

Soudain, elle se penche vers l'avant de manière impétueuse, en poussant un fort gémissement.

Je l'accompagne dans son mouvement, et m'applique à poursuivre de la caresser pendant cet instant orgasmique.

Tout comme elle un peu plus tôt, je n'ai toujours pas enlevé ma main de son clitoris et lui malaxe encore le téton, je vais faire durer le moment le plus longtemps possible.

Marielle n'en peut plus.

Elle se débat, essaie de s'esquiver de mon étreinte, mais je résiste et la maintient en position.

Je continue encore plusieurs dizaines de secondes, jusqu'à sentir que la gêne est trop grande lorsqu'elle pose sa main sur la mienne avec insistance.

« Merci, c'était vraiment bien... »

Marielle m'embrasse alors, puis se lève et va se doucher.

Je comprends qu'elle doit partir de nouveau pas trop tard, comme les fois précédentes.

Le soir tard, il me suffit de penser à Marielle et à nos ébats quelques heures plus tôt, pour avoir la queue toute raide.

Je me branle alors en pensant à elle, en regrettant même d'avoir effacé sa photo quelques jours plus tôt.

Au total, j'aurais éjaculé pas moins de trois fois en l'espace de quelques heures.

J'ai l'impression de retomber en adolescence, où je me rappelle avoir eu une période ou j'étais en rut vingt quatre heures sur vingt quatre.

Je lui envoie un message sur Teams : « 🍆🍑», comme les ados le font.

Sa réponse ne se fait pas attendre : « 🥵😈 », avant de finalement me remercier : « Au fait, merci d'avoir pensé aux capotes en tout cas, car j'ai aucun moyen de contraception ».

Pour le coup, j'ai eu le nez creux.

J'ai quand même l'impression qu'au moment de l'acte, Marielle n'aurait peut-être rien dit si j'étais parti pour y aller sans protection.

Mais quoi qu'il en soit, j'ai vraiment bien fait d'assurer.

Le lendemain, on reprend les mêmes, et on recommence.

Elle me rejoint à l'hôtel, et aussitôt arrivée, je la saute.

Cette fois-ci, je me suis appliqué à ce que ça dure un peu plus longtemps que la veille. Missionnaire, andromaque, levrette, cuillère.

Marielle sait ce qu'elle veut. Elle connaît par cœur ce qui lui fait du bien.

Le fait qu'elle soit une sacré cochonne, osons dire les termes, et qu'elle soit cash dans ses propos, me rappelle mes premiers mois de relation avec Sophie.

Et ça me stimule terriblement.

Nous remettant de nos ébats, et alors que l'on est tous les deux allongés sur le lit, elle la tête posée sur mon torse, je suis en train de scroller à travers mes mails sur mon téléphone.

Oui, même dans ces moments là, dur de décrocher du boulot.

Quand soudain, une notification Teams surgit sur mon téléphone.

C'est Michel qui m'écrit.

« Qu'est c'qu'il te veut encore, celui-là? », s'exaspère alors Marielle, qui m'avait déjà demandé de poser mon téléphone quelques minutes auparavant.

Comme je ne sais pas, dans le doute j'ouvre la conversation. Michel n'est pas du genre à travailler en dehors de ses heures de bureau, donc c'est peut-être important.

Mais non, devinez ce que c'est?

Oui, c'est encore un lien Instagram, comme la dernière fois.

J'espère vraiment qu'il ne m'a pas encore envoyé une autre photo de Chelsea...

En tout cas, ça n'a pas échappé à Marielle qui regardait aussi mon écran. Elle a tout de suite capté de quoi il s'agissait.

Et avant que je ne puisse réagir, elle se redresse soudain et me subtilise mon smartphone.

J'essaie de le lui reprendre tout en lançant un « Marielle, arrête c'est privé », mais trop tard, elle a déjà cliqué sur le lien.

Je la vois alors prendre un air de surprise complète, presque choquée, la bouche ouverte tout en rond et les yeux écarquillés, alors qu'elle décroche son regard de l'écran pour venir le poser sur le mien.

Elle retourne le smartphone face à moi.

En effet, à mon grand désarroi, il s'agit bien d'une photo de Chelsea en maillot de bain, devant une cabine à UV, et qui date du week-end dernier.

« Ha mais en fait, vous êtes vraiment des porcs, vous les mecs. »

« J'y suis pour rien moi, c'est Michel qui m'envoie ça ! »

« Ouais, ouais, tu vas me faire croire ça. Tu sais, j'sais bien que Chelsea plaît à tous les hommes au bureau. Le fameux fantasme de l'hôtesse. »

Le ton de ses propos me laissent, de manière assez surprenante, entrevoir plus de malice que de véritable répulsion.

Mais bon, comme je la connais à peine, j'ai tout de même peur que Marielle prenne la mouche à ce moment-là.

Qu'elle soit déçue de mon attitude.

Cependant en y repensant, après m'avoir déjà surpris en train de me branler à mon bureau, pas sûr que çela change grand chose en fait.

« Alors comme ça, tu kiffes Chelsea toi aussi? »

« Mais enfin, non, qu'est ce que tu racontes... »

« Alleeeez, pas la peine de me raconter des bobards. T'as peur que je me vexe si tu me dis que si, c'est ça... Meuh, t'es trop mignon. Allez dis moi, t'avais flashé sur elle au début c'est ça? Tu l'as dit à Michel et c'est pour ça qu'il t'envoie ça? Avoue. »

« Alors déjà non, mais oui je suis juste un homme, et oui je la trouve bien. Et oui j'te trouve bien aussi. »

« C'eeeeest ça, tu la trouves juste bien et t'avais aussi flashé sur moi ! Mais pourquoi tu me dis pas juste que tu la trouves bonne? Elle t'excite, c'est ça? C'est quoi? Son teint bronzé pas naturel du tout du coup, ou ses gros seins? »

« Quoi? »

« J'suis sûre que tu t'es déjà branlé sur son Insta, là le soir sur ton lit. Allez, avoue. »

« J'te jure que non, c'est la première fois que Michel m'envoie une photo d'elle. »

« Haha, pas à moi ! »

Elle repose ses yeux sur le téléphone, et se concentre comme si elle essayait de se remémorer un souvenir.

Puis elle relève soudain la tête vers moi.

« Haaaaaaa mais oui, je sais maintenant. Le jour où je t'ai surpris en train de te palucher au bureau, j'me souviens que Michel avait passé toute son après-midi sur son téléphone, et il se cachait à moitié derrière la plante qui nous sépare, j'me rappelle j'avais même trouvé ça bizarre. En fait, il t'envoyait discrétos des photos de Chelsea, et toi tu te branlais dessus. Allez avoue quoi ! »

Putain, pour le coup elle est vraiment perspicace.

« Non mais n'importe quoi, qu'est-ce que tu vas pas inventer... »

Je suis bien embarrassé, mais j'ai encore une minimum de dignité, non mais.

Marielle se redresse alors, saisit mon smartphone d'une seule main, et me montre de nouveau la photo de Chelsea.

« Tu fais quoi là? »

« Attends, attends, doit y'avoir mieux. »

Elle se met à scroller sur mon téléphone quelques instants, et finit par me présenter une autre photo Instagram de Chelsea, où on la voit de plus près, laissant surtout apparaître son énorme décolleté plongeant.

« Alors, elle t'excite? »

Marielle s'approche alors doucement de moi, et se met à frotter sa main contre mon sexe au repos.

Et alors que j'ai éjaculé il y a quoi, seulement quinze ou vingt minutes, je sens un afflux sanguin rapidement atteindre mon entrejambe.

« Arrête Marielle, c'est toi qui m'excite, là. »

Marielle me fixe, avec un regard de braise.

« T'aimes bien te branler sur elle hein, p'tit coquin? »

Clairement, une nouvelle fois, elle sait ce qu'il faut faire pour me chauffer à blanc.

Et comme je sens que la situation l'émoustille aussi, je me surprends de nouveau à avoir une gaule bien dure en quelques secondes.

Marielle retourne de nouveau le téléphone vers elle, et recommence à scroller parmis les photos de Chelsea, tout en se mettant à me masturber de l'autre main.

Elle m'en présente une autre ou en effet, les deux obus de Chelsea sont particulièrement bien mis en valeur.

« J'vois bien qu'elle t'excite. Alleeeez vas-y, décharge moi tout ton foutre pendant que tu mates bien ses gros seins, lâche prise et fous-en partout, là sur les draps. »

Elle accélère la cadence des vas-et-viens de sa main. De nouveau, je sens une vive chaleur m'envahir, et me monter jusqu'au cerveau. Mon rythme cardiaque s'accélère, et je respire de plus en plus fort.

« Vous êtes vraiment tous des porcs vous les mecs. Dis moi, t'aimerais lui faire quoi, hein? Lui décharger entre les seins? Nan dis rien je sais, toi tu s'rais plutôt du genre à tout lui cracher dans la bouche à cette salope. Allez, vas-y. Décharge lui tout dans la bouche. »

Marielle parle vraiment crûment.

Et Dieu que ça m'excite.

Ça dépasse tout ce que j'ai vécu jusqu'à aujourd'hui.

La cadence de la branlette s'accélère encore un peu, jusqu'au point de non-retour.

Je finis par éjaculer en jet dans une série de spasmes saccadés, tandis que Marielle continue de m'astiquer, tout en ralentissant peu à peu le rythme, s'assurant que tout le sperme soit bien sorti.

« Voilààààà, ça y est. Regarde, t'en a mis partout, t'es content? Et après tu vas me dire que Chelsea t'excite pas ! »

Wow, encore une fois, c'était vraiment intense.

Elle m'a vraiment vidé les boules jusqu'à la dernière goutte.

Je me remets de mes émotions, pendant que Marielle scrolle de nouveau sur l'Instagram de Chelsea, les doigts plein de sperme.

« Mais en fait elle triche, elle fait des UV c'est pas fair-play. Putain par contre c'est vrai qu'elle est quand même bien foutue la salope. »

« T'as p'tète la peau blanche, mais c'est pas Chelsea qui m'excite, c'est toi », j'arrive enfin à lui glisser après avoir repris mes esprits.

Elle pose alors le téléphone, et m'embrasse.

Elle me lâche quand même : « C'est vraiment chou, mais vous êtes quand même vraiment tous des cochons » avant d'aller prendre une douche, puis de se rhabiller pour partir.

Avec Marielle, je sens que j'ai touché le gros lot.

Je m'étais déjà imaginé avoir une amante un jour, mais là, c'est plutôt un vrai bon plan cul que j'ai dégoté.

Sexuellement, c'est proche de la perfection.

Tout ce qu'elle fait m'excite à mort.

À partir de ce jour-là, coucher avec Marielle devient une habitude.

Tout le reste de la semaine, quand je suis à Paris, je ne pense qu'à ça.

Les lundis et mardis soirs, elle passe me voir à l'hôtel, et on baise.

Même lorsqu'elle est indisposée, on arrive à se faire du bien.

Parfois, on arrive aussi à s'arranger pour se faire une petite partie de jambes en l'air avant que je ne parte le mercredi soir.

Pour le moment, on s'en est tenus à la chambre d'hôtel. Nous préférons tous les deux rester discrets sur cette liaison naissante, même si une fois c'est c'est passé tout proche que je la prenne dans une salle de réunion au bureau.

Ce qui me chagrine un peu, c'est que ces moments sont toujours trop courts.

Marielle ne peut jamais rester trop longtemps.

Ça me frustre souvent, même si d'un côté cela aide aussi à garder la relation purement sexuelle. Et c'est bien ce qu'on s'était promis dès le départ.

On a donc mis en place nos petites techniques pour rester discret.

Code secret pour accéder à nos conversations sur Teams, changement d'hôtels régulièrement, on ne part jamais en même temps le soir, on ne se sort pas ensemble en ville ou autre, ...

En règle générale, le sexe est toujours très intense, sans être systématiquement extravagant.

Marielle aime essayer différentes choses, différentes positions.

Elle n'est pas toujours « crue » dans sa manière de faire, mais elle est très créative et toujours entreprenante.

Levrette sous la douche : OK, très classique.

Cunnilingus après avoir baisé : un peu moins, mais ça reste basique.

Fellation en plein milieu de l'ébat et me sortir « fais moi sucer ma propre mouille » : là ça ressemble plus à ce qu'on voit dans les films porno.

Parfois même, ça sort vraiment de l'ordinaire.

Un matin, par exemple, où je suis arrivé tôt au bureau pour finir de préparer une grosse réunion. L'un des dirigeants sera là, il vient voir où en est le projet.

J'ai mis mon costume le plus classe pour l'occasion, et j'ai même sorti ma cravate.

Je viens de finir mes slides et fais les cent pas en me répétant mon discours, tout en essayant de me détendre au maximum.

Il n'est que 7h30, les bureaux sont encore vides, et là, Marielle arrive sans crier gare.

Sur le coup, je suis surpris et lui demande ce qu'elle fait là.

« La réunion n'est que dans une heure !? »

« Je sais, justement. »

Je commence à la connaître un peu, elle a une idée derrière la tête.

Elle s'approche de moi, regarde furtivement derrière elle, puis voyant qu'on est à priori bien seuls, se met à frotter sa main contre mon sexe, par-dessus mon pantalon.

Comme à chaque fois, ça n'y coupe pas, et en quelques secondes j'ai la verge toute tendue.

Mais quand même, là dans le bureau, si quelqu'un venait à nous surprendre, on serait grillés pour de bon.

J'essaie de lui faire part de ma pensée, mais elle anticipe, et met son index sur ma bouche.

« Chtttt. Profite juste, ça va te détendre. »

Elle agite sa main avec tant d'énergie que sous mon pantalon, ça me décalotte le prépuce frénétiquement, me conduisant rapidement à m'éjaculer dessus comme un jeune puceau.

Marielle est fière d'elle et ça se voit, puis elle s'en va avec un grand sourire.

Une autre fois, en début de soirée alors nous sommes tous deux nus, allongés sur le lit de la chambre d'hôtel après nos ébats quotidiens, Sophie m'appelle. Depuis le départ, je ne décroche jamais quand Marielle est là.

Ça me gêne honteusement, car je sais très bien ce que je suis en train de faire, je trompe ma femme, et ça vient me le ressasser en pleine face.

Mais cette fois, Marielle s'empresse d'attraper mon téléphone et décroche à ma place, puis me le tend aussitôt, en se retenant de pouffer de rire.

Un peu affolé, je prends l'appel et entame la conversation avec Sophie.

« Coucou mon chéri, tiens, tu décroches jamais si tôt d'habitude? »

« Mais si pourquoi tu dis ça? Je suis encore au bureau là, j'vais pas tarder. »

« Ha Ok, bonjour l'accueil glacial, même pas un p'tit mot d'attention, la prochaine fois réponds pas si je te dérange surtout. »

« Pardon ma chérie, mais non c'est pas ça... »

Il faut dire que si c'est si dur de se concentrer sur la conversation, c'est parce que pendant ce temps, Marielle a commencé à me sucer.

Elle m'a tendu le téléphone et a aussitôt mis ma demi-molle dans sa bouche, et maintenant je bande déjà bien fort.

Dieu que j'ai honte, mais Dieu que c'est stimulant.

Je vois bien que le fait de réussir à me faire bander en deux coups de cuillère à pot, Marielle adore ça.

Ça la fait se sentir hautement désirable.

Pour cette fois, la conversation ne dure pas trop longtemps, et j'arrive à me retenir jusqu'à ce qu'elle se termine.

Mais une autre fois, alors que la même situation est en train de se produire, je lâche la purée dans la bouche de Marielle, alors que Sophie est en train de me narrer sa journée de boulot.

Je ne vous raconte pas l'extrême difficulté à laquelle j'ai dû faire face, pour continuer la discussion comme si de rien était.

Quand j'y pense à tête reposée, la situation me gêne bien entendu affreusement. Je me sens coupable de faire ça à Sophie, qui pour l'instant ignore tout de ce qu'il se passe avec Marielle. Pourtant, quand je vis l'instant, c'est toujours tellement jouissif que je n'arrive pas à me résoudre à dire non à Marielle.

Notre vie sexuelle oscille donc entre sexe passioné dans la chambre d'hôtel et anecdotes croustillantes, dont certaines n'ont rien à envier aux films porno.

En adoptant cette posture, Marielle ne s'est pas trompée, car maintenant dès que je la vois, je suis « tout chose ».

Et ce même lorsque que je suis au bureau avec elle, alors qu'elle ne laisse rien transparaître.

Je meurs d'envie de la sauter peu importe où je la croise.

En fait, je suis excité tout le temps, de manière générale.

Depuis qu'on a commencé à baiser avec Marielle, ça a complètement reboosté ma libido.

Moi qui par exemple avait peur que justement, cela me détourne encore plus de mon épouse sur ce plan là, ça aura eu l'effet inverse.

À la maison, je suis ainsi moi-même plus entreprenant, plus demandeur.

Et Sophie apprécie clairement, du coup ça va mieux entre nous.

Alors que nous nous étions habitués à du deux ou trois fois par mois depuis un certain temps, et ce bien avant que je ne parte pour Bordeaux, maintenant certaines semaines, c'est tous les soirs.

Et ce qui est top, c'est que non seulement c'est plus quantitatif, mais aussi plus qualitatif.

Finis les missionnaires à 23h dans le lit conjugal le samedi soir, la levrette et la douche font leur grand retour, tout comme le canapé, les cunni ou même encore la chambre de mes parents en plein après-midi alors qu'une réunion de famille bat son plein dans le jardin !

Je connais bien Sophie, et en relançant sa libido, elle commence parfois à me parler d'un troisième enfant, qu'elle prend des hormones depuis trop longtemps et qu'elle va arrêter de prendre la pilule.

Pas sûr du tout pour le troisième chérubinpour ma part, mais ce qui est vrai c'est qu'avec ma femme, le sexe a toujours été nature. Le nombre de fois où on a utilisé des capotes se comptent aisément sur les doigts de la main.

Alors qu'avec Marielle, à date, j'ai déjà dû acheter au moins plus de dix boîtes en à peine six mois.

Bien sûr, j'ai aussi très, très envie de sauter Marielle sans capote, mais pour l'instant je ne me vois pas lui demander de reprendre la pilule ou autre.

Ce jour viendra peut-être.

Quand je me pose parfois, je me rends compte que malgré la situation, je parviens à bien gérer mes deux relations.

J'arrive à prendre beaucoup de recul sur ma relation avec Marielle, c'est une très bonne sex-partner, mais rien de plus.

Je l'apprécie beaucoup physiquement, ça c'est sûr elle me plait, elle est ultra bandante et elle s'est y faire en matière de cul.

Mais bien entendu, au delà de nos ébats, on ne reste plus là forcément à se regarder dans le blanc des yeux. De fil en aiguille, au travers de nos discussions « intercoïtales », Marielle m'a ainsi parfois fait quelques confidences sur sa vie privée.

Je sais par exemple que son mari est chauffeur livreur, et qu'entre eux ça ne se passe vraiment pas bien, et que notamment sexuellement, c'est le calme plat.

J'ai du mal à y croire, vu comment c'est une tigresse au lit avec moi. Mais bon je ne vais pas me plaindre non plus.

Je comprends parfaitement maintenant ce qu'elle est venue chercher dans mes bras.

De mon côté, j'essaie de ne pas trop parler de ma vie parisienne. Elle sait déjà que j'aime les Avengers, et c'est bien suffisant !

Malgré tout, je n'ai pas développé de sentiment pour elle.

Et c'est tant mieux, car c'est le « deal » qu'on a passé ensemble au départ.

Un dimanche, quelques semaines plus tard et alors que je suis dans le train, Marielle m'envoie un message sur Teams.

« Dis, j'ai dit que je partais quelques jours pour le boulot, jusqu'à mercredi, ma mère est à la maison pour garder la petite, je peux venir « chez » toi 😉? »

Et ben, très honnêtement, je ne m'attendais pas à ça.

Jusqu'à maintenant, je retrouvais Marielle uniquement quelques heures les lundis et mardis soir.

D'un côté ce qu'elle me propose là, j'en ai très envie, c'est même vraiment exaltant, car comme à chaque fois j'ai très envie de la retrouver.

Mais de l'autre côté je suis un peu, disons dubitatif concernant cette initiative, et je n'ai pas envie que cela signifie qu'elle attendrait « plus » de ma part.

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