L'un dans L'autre

BÊTA PUBLIQUE

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On s'installe tous deux sur une table, on branche nos PCs, et nous voilà partis sur la présentation.

Les dix premières minutes, Marielle me donne ses infos et j'en construis des slides. Mais au fur et à mesure, on se met à digresser pour en fin de compte se mettre à discuter d'autres choses, du boulot, de la vie, de la 306 dans laquelle elle a fait le ménage par exemple.

Je lui demande depuis combien de temps elle bosse dans l'entreprise, si elle a déjà visité Paris.

Ou comment s'appelle sa fille.

« Enora »

« J'aime beaucoup ce prénom. »

« C'est vrai? Ça me fait super plaisir. Et toi, tes fils s'appellent comment déjà? »

On commence même à rire ensemble, et les trente minutes allouées au départ passent en une fraction de seconde.

Là clairement, pas possible de se tromper, une alchimie est en train de naître.

Je le vois à ses yeux. On échange de plus en plus de regards, qui chacun dure un peu plus longtemps que les précédents.

J'en suis convaincu, elle a envie qu'il se passe quelque chose entre nous.

Pourtant, elle est mariée, elle sait que je suis marié, et d'ailleurs je porte ma bague à l'annulaire gauche en ce moment-même.

Mais le moment a quelque chose... d'inédit. D'enivrant.

Je me rapproche alors un peu d'elle, feignant de lui montrer quelque chose sur mon écran. Désormais, nos cuisses se touchent presque.

Je finis par me lancer, et je pose doucement ma main sur sa cuisse.

Je sais que c'est risqué, que c'est quitte ou double, mais j'ai envie de tenter.

Aussitôt, elle effectue un petit mouvement de recul, comme surprise de la situation.

Aïe.

J'enlève ma main aussitôt.

Je la regarde, et m'exclame en balbutiant quelque peu.

« Désolé, désolé, j'ai pensé que... »

Je comprends vite à la manière dont elle me regarde à cet instant précis, que je n'ai cependant nul besoin de finir ma phrase.

Elle me lance alors : « On est un peu mal assis ici non, si on allait finir la présentation dans ta chambre? ».

Ha Ok.

Donc ça devient torride comme ça, d'un coup?

Là, clairement, je n'étais pas prêt.

« Euh, oui d'accord. »

Réponse de débutant qui n'a pas su comment réagir, je me suis déjà connu meilleur en répartie.

On se dépêche de ranger nos affaires, je m'engouffre dans le couloir qui mène à ma chambre. Marielle me suit.

J'ouvre la porte avec ma carte magnétique, elle entre.

J'ai le cœur qui bat de plus en plus vite.

Je pressens que là, quand je vais me retourner, elle va me sauter au cou et m'embrasser.

Mais non, elle fait quelques pas dans la chambre, enlève son manteau, et pose son ordinateur sur la chaise.

« C'est sympa ici pour décompresser après le boulot. T'as une belle vue sur la forêt. »

« Euh, ouais c'est sûr, c'est plutôt sympa. On se remet au boulot du coup? Y'a pas trop d'espace sur le bureau mais bon... »

« Raaaah, fais pas genre que tu n'as pas compris », me lance-t-elle alors en s'approchant de moi.

Et là, elle m'embrasse.

Elle m'embrasse fougueusement, tout en passant ses mains autour de mon cou. Et moi, je me laisse faire.

Le moment est trop exquis.

Jamais je n'aurais pu imaginer, une semaine plus tôt, qu'on en serait là aujourd'hui.

Il y a sept jours seulement, elle me surprenait en train de me branler au bureau et partait en courant, et là, on se galoche comme deux adolescents de quinze ans.

C'est à n'y rien comprendre.

Emporté par le moment si intense, et parce que mes pulsions sexuelles sont gentiment en train de pointer le bout de leur nez, je commence d'abord par glisser délicatement mes mains sur ses hanches, puis je les remonte jusqu'à ses seins.

Je commence à les caresser par-dessus son pull.

Elle ne dit rien, et se laisse faire elle aussi.

Dans mon pantalon, mon fidèle petit soldat est devenu grand, et s'est mis au garde à vous en deux temps trois mouvements.

Elle se met alors à passer sa main au dessus de mon sexe, et sens tout de suite qu'il est déjà bien dur. Surtout au travers un pantalon de costume un peu moulant.

J'arrête de l'embrasser, et plonge mon regard dans le sien.

Je vois bien qu'elle en a très envie.

Elle se pince légèrement les lèvres, tout en me fixant avec ses grands yeux marron.

Elle baisse la tête, en direction de mon entrejambe. Elle continue de frotter la paume de sa main contre ma queue, puis me lance de nouveau un regard de braise, qui en dit long sur l'intensité du moment.

J'ai presque déjà la sensation de retomber en adolescence, la purée est en train de monter, et dans mon boxer, clairement, ça bout.

Elle baisse ma braguette, puis saisis les bords de mon boxer, le descend et le rabat derrière mes boules, laissant ainsi apparaitre mon sexe tout raide surplombé par mon gland bien luisant, déjà tout enduit de liquide préseminal.

Elle regarde alors sa montre, et me dit : « On avait pas dit trente minutes? ».

Non, elle ne peut pas me faire ça !?

Je suis là, la queue toute raide quasiment déjà prête à cracher, et elle va faire exprès de me frustrer après avoir aiguiser mon envie en me laissant comme ça?

Même si je ne dis rien sur le moment, elle devine le désarroi soudain sur mon visage.

Marielle esquisse alors un sourire.

« T'inquiète, j'ai encore quelques minutes... », continue-t-elle alors, en me faisant un clin d'œil.

Elle saisit ma queue, et se met à me masturber vigoureusement. Elle pose sa main droite derrière mon dos et effectue une légère pression, tout en m'astiquant avec énergie en usant de sa main gauche, comme si elle voulait que je finisse le plus rapidement possible.

C'est super excitant.

Et seulement quelques dizaines de secondes après qu'elle ait commencé, je suis soudain pris de spasmes, et me mets à gicler en jet sur la moquette de la chambre.

Cela n'arrête pas Marielle, qui continue les vas-et-viens vigoureux avec son poignet.

J'essaie au maximum de rester silencieux, chambre d'hôtel oblige.

Et alors que je n'ai plus que quelques minces filets de sperme qui sortent ci et là, je finis par mettre ma main sur la sienne, pour lui faire comprendre que là, c'est bon, j'ai les boules vides.

Elle commence finalement à ralentir la cadence quelques secondes plus tard.

Wow.

C'était court, mais intense.

Marielle regarde le sol, va chercher un mouchoir pour s'essuyer sa main gauche pleine de sperme, puis jette le mouchoir sur mon lit, attrape son manteau ainsi que sa sacoche, et me dit avec un grand sourire : « Bon bah t'en as mis partout, t'as plus qu'à nettoyer ».

Elle m'embrasse sur la joue, ouvre la porte alors que je suis là, la queue à l'air en train de redescendre et que n'importe dans le couloir pourrait me voir, puis s'en va.

Je m'empresse de refermer la porte, et reste sans voix.

C'était ... surprenant.

Dans le très bon sens du terme.

C'était bien.

Divinement bien.

Ça me ramène douze ans en arrière.

Je réalise aussi que par contre ça y est, j'ai trompé Sophie.

Certains diront que non, que tromper ce n'est pas ça, mais pour moi le mal est fait. De toute façon, vu l'état de notre couple actuellement, je savais que ça finirait bien par arriver.

Je reprends mes esprits, et vais prendre une bonne douche.

Et puis, on a pas fini la présentation avec tout ça !

Plus tard dans la soirée, alors que je me suis apaisé et que je bosse comme toujours, Marielle m'envoie un message sur Teams.

« Alors, t'en as pensé quoi? »

« Ecoute, je ne vais pas te mentir. Je ne m'attendais pas à ça, et même si je m'étais souvent dit que pour moi ce serait « no zob in job », si c'était à refaire tous les jours je le refais ! »

« Depuis que je t'ai surpris en train de te branler, j'sais pas pourquoi, j'ai eu envie de le faire moi-même 😈 »

Que répondre à ça? J'ai envie de lui demander si du coup, c'était juste du one-shot, ou si cela pourrait se reproduire et aller plus loin?

Mais je n'ai pas le temps de lui écrire, que déjà elle me renvoie un message.

« T'as bien nettoyé le sperme sur la moquette j'espère? Tu l'as léché en pensant à moi? »

Houla, là clairement, pour le coup ce n'est pas du tout, mais pas du tout mon délire. Et même si j'ai envie qu'il se passe autre chose entre nous, il faut que l'on soit sur la même longueur d'onde, et je préfère être honnête de suite.

« Houla, non ça c'est pas du tout mon délire... C'est le tien 🤔?... En tout cas je pense à toi depuis tout à l'heure 😊 »

« On pourra remettre ça, et la prochaine fois c'est moi qui le lécherais 😉 »

Wow !

Ultra hot.

Clairement, j'assiste en temps réel à la transformation de Marielle, d'habitude très pro, très calme, plutôt réservée, en vraie chaudasse.

Sur le coup, je ne réponds rien.

Je préfère même effacer la conversation, on ne sait jamais.

Plus tard dans la soirée, alors que je suis sur le point d'aller me coucher, et que je n'arrive pas à m'enlever le visage de Marielle du crâne, je décide de lui écrire de nouveau.

« Tu crois que c'est safe d'échanger ce genre de discussions via Teams? »

« Ouais je pense, plus safe que Whatsapp ou autre, personne ne pensera à aller voir ici. »

On dirait qu'elle y a déjà pensé aussi.

Encore tout émoustillé de ce qu'il s'est passé plus tôt dans la journée, j'ai très envie qu'on puisse remettre le couvert rapidement avec Marielle, et cette fois bien entendu d'aller plus loin.

Par rapport au ton un poil coquin de ses précédents messages, je décide de me risquer à rentrer dans son jeu, et lui envoie :

« Je me branle en pensant à toi, là maintenant. »

C'est le genre de message que j'envoyais à Sophie quand j'avais vingt ans.

Je sais que c'est osé.

Quelques secondes plus tard, Marielle me renvoie une photo de son buste qu'elle vient de prendre, où elle soulève son pull pour laisser apparaître son soutien-gorge légèrement trop petit, et d'où déborde un peu ses deux obus.

« Tiens pour t'aider, mais garde quand même un peu de jus pour moi 😉 »

Là clairement, je me dis que oui, c'est une vraie chaudasse.

Une vraie petite salope.

Je sais que ça peut paraître difficile à comprendre surtout du point de vue de la gent féminine, mais dans ma tête à ce moment précis, tous ces qualificatifs ressortent comme très positifs.

Il faut vraiment le prendre comme un compliment.

Je suis tellement excité, que j'aimerais qu'elle soit là, qu'elle me suce et que je lui décharge tout dans la bouche.

Je sors alors ma queue, et commence à la secouer vigoureusement.

Puis, comme quelques heures plus tôt, ma branlette ne dure pas bien longtemps, et je mate sa photo tandis que j'en mets partout sur ma couette.

Par contre, même si j'ai très envie de conserver cette photo quelque part, je me résout à l'effacer pour de bon.

C'est plus prudent.

Le lendemain, au bureau, pas le temps de tergiverser.

On a une grosse présentation toute la journée, et j'assure comme à mon habitude.

Marielle fait partie de la nombreuse assemblée qui y assiste, mais elle ne dit rien, ne montre rien. Pas un regard, ou un geste qui pourrait trahir ce qu'il s'est passé la veille s'il était intercepté.

En début de soirée, alors que je m'apprête à quitter le bureau, elle passe me voir et me glisse discrètement : « J'te rejoins plus tard, Ok? ».

Même pas besoin que je lui réponde, le large sourire qui se dessine soudain sur mon visage suffit à lui faire comprendre ce que j'en pense.

Je suis aux anges, on va remettre ça ce soir.

Je pars en saluant Chelsea, qui me sourit à pleines dents comme toujours tout en me faisant un petit signe de la main, puis saute dans mon taxi.

Je rentre à l'hôtel, m'allonge sur mon lit, et j'attends.

Je n'ai qu'une idée en tête, que Marielle arrive.

J'ai encore du boulot, mais ça attendra.

Un quart d'heure passe.

Puis une demi-heure.

Et si finalement, elle ne venait pas?

Je prends mon mal en patience, j'essaie de me vider la tête, même si là je préfèrerais surtout que Marielle me vide les couilles.

Finalement, elle m'envoie un message sur Teams : « Je suis là mais je me rappelle plus du numéro de la chambre ».

De nouveau, mon rythme cardiaque s'accélère.

Je sors, je vais la chercher dans le hall.

Tout se passe exactement comme la veille : les regards, les sourires, le désir naissant.

On claque la porte, et on commence directement à s'embrasser.

De vrais roulages de patin, dignes de jeunes amants de dix-huit ans.

Cette fois, pas question qu'on s'arrête à une simple branlette.

Je commence de suite à lui enlever son pull, elle se laisse guider sans rien dire.

Je soulève son débardeur, et j'ai enfin accès à sa poitrine.

Sur le point de dégrafer son soutif, je la fixe du regard comme pour chercher son approbation, mais nul doute qu'elle a envie qu'on aille plus loin.

Je le lis aisément dans ses yeux.

Son soutien-gorge tombe, me laissant apercevoir sa belle poitrine nue.

Un beau 90C, des seins fermes mais trop, des auréoles aux contours bien définis, comme je les aime.

Je commence à lui sucer les tétons l'un après l'autre.

Ils sont bien raides, bien durs.

Je peux aisément percevoir qu'elle est super excitée, tout autant que je le suis.

Comme la veille, je sens sa main glisser le long de mon torse, elle me baisse la braguette et glisse directement sa main dans mon boxer.

J'ai déjà la queue bien dure, le gland tous vents dehors recouvert de liquide, et en vérité je suis presque déjà en train de me retenir.

Elle frotte sa main le long de mon pénis, bien vigoureusement.

J'abandonne ses seins, et commence à déboutonner ma chemise.

Elle m'emboîte le pas, sort sa main de mon boxer et enlève intégralement son haut. Puis pendant que je suis en train d'enlever mon pantalon, elle se met à nue devant moi.

Et bah putain, elle est vraiment, vraiment pas mal.

Non, plus que ça en fait.

Elle est canon.

C'est typiquement le genre de femme qui me plait physiquement.

Une silhouette bien dessinée, de beaux seins en forme de poire, la taille bien marquée qui ne trompe pas sur le fait qu'un enfant est déjà passé par là, des fesses bien en chair et rebondies, et clou du spectacle, un imposant tatouage partant de sa hanche gauche jusqu'à sa cuisse, qui la rend affreusement sexy.

Et bien entendu, même si je ne la vois pas encore vraiment distinctement, une jolie chatte dont les lèvres dépassant à peine sont surplombées par un petit ticket de métro, et qui a l'air aussi trempée que je suis excité.

Je la contemple, littéralement.

De son côté, elle semble très émoustillée.

« J'te plais? »

« Wow, mais oui, carrément, t'es une bombe ! »

« Pfff arrête, t'es con... »

« Mais non, je suis sérieux ! »

« J'ai pas énormément de temps comme hier, viens on va prendre une douche? »

Elle n'attend pas ma réponse, alors que je suis nu comme un ver moi aussi désormais, le sexe bien dressé. Elle me prend par la main, et nous filons tous deux dans la salle de bain.

La douche n'est assurément pas immense, mais l'on y sera que plus serrés, ça me va. Pour tout dire en vérité, là maintenant, elle me dirait « Viens, on s'allonge sur la moquette sale et pas confortable », je m'exécuterais volontiers.

Elle allume la douche, et une eau bien chaude se met à se déverser sur nos deux corps.

Marielle se verse une lichette de savon moussant dans la main, et commence à se savonner, pendant que je caresse sa peau ruisselante.

Elle se met ensuite à me savonner la queue, tandis qu'à mon tour j'attrape du savon, et commence à lui en appliquer sur les seins.

Elle attrape le chouchou qu'elle a autour du poignet, puis se dresse rapidement une queue de cheval tant bien que mal avec ses cheveux mouillés.

Je ne suis pas né de la dernière pluie, et là, maintenant, je sais ce que cela signifie.

Les prochaines minutes s'annoncent particulièrement... divines pour moi.

D'autant plus que je ne me suis pas fait sucer depuis quoi, deux ou trois ans facilement.

Et dans ce moment pourtant très sensuel, Marielle reste aussi cash que la veille.

Tandis qu'elle s'agenouille, elle me balance alors : « Crache-moi dans la bouche ».

Ca, c'est le genre de phrase qui peut définitivement faire perdre la raison à un homme.

Néanmoins, je lui réponds presque immédiatement : « Mais, et toi? J'veux te donner du plaisir aussi ! ».

« Déstresse, laisse toi faire », me glisse-t-elle, accompagné d'un clin d'œil.

Elle se met à genoux, tandis que je diminue légèrement le filet d'eau brûlant qui s'écoule pour ne pas que ça la gêne.

Elle se met à me sucer.

Dieu.

Que.

C'est.

Bon.

Quelle sensation...

Bordel, mais comment ai-je pu me priver de ça si longtemps?

La situation est cocasse en y pensant.

Je suis en train de me faire pomper par l'une de mes collaboratrices.

Le fameux fantasme de la secrétaire qui suce son patron.

On pourrait croire à un scénario de film porno, et pourtant c'est bien réel.

Surtout que Marielle sait y faire.

Ce n'est pas la première fois qu'elle suce un homme, ça se sent.

Elle a déjà dû s'entraîner sur de nombreuses queues.

Les coups de langues délicats sur mon gland, les vas-et-viens langoureux avec sa bouche, sa main qui me caresse les boules.

Tout ça en me regardant dans les yeux.

Je suis au bord de l'explosion à chaque seconde qui passe.

C'est tellement bon, et ce qu'elle m'a dit de faire juste avant de commencer, ça m'excite encore plus.

J'ai envie de faire durer un peu le moment tant il est intense, et en même temps cette même intensité si forte m'ôte l'envie de me retenir plus longtemps.

Je sens que l'orgasme est tout proche.

Je mets alors mes deux mains derrière sa tête, en appuyant légèrement, et j'envoie la purée.

Je sens tout mon sperme, épais et tout chaud, quitter mes boules en importante quantité, et traverser ma queue pour lui atterrir au fond de la gorge.

Une meilleure sensation existe-t-elle au monde?

Je me pose réellement cette question à cet instant précis.

Marielle se remet debout, me fixe du regard et penche légèrement la tête vers l'arrière.

Elle ouvre alors grand sa bouche pleine de sperme, pour me montrer tout ce que je lui ai lâché.

Brrr, un frisson me parcourt.

Je viens à peine de gicler, mais je trouve la vue terriblement grisante.

Puis elle l'avale le tout, tandis qu'un léger filet de sperme s'échappe de ses lèvres, puis m'embrasse.

Après quelques secondes de répit, elle éteint la douche.

« Il faut qu'j'y aille. »

« Quoi déjà? Hors de question, on continue sur le lit. »

« T'es vraiment mignon, mais là il faut - vraiment - que j'y aille. Je dois récupérer ma fille chez la nounou. »

« D'accord, mais ce n'est que partie remise, on est d'accord? »

Elle me dépose un baiser sur les lèvres en guise d'acquiescement, puis sort se sécher pendant que je rallume l'eau, me savonne de nouveau puis me rince.

Quand je sors de la douche, une serviette autour de la taille, elle est déjà prête à partir.

On s'embrasse une dernière fois, puis elle file.

Je prends quelques minutes pour me remettre de mes émotions.

Je suis encore plus secoué que la veille.

Quel ascenseur émotionnel, cette Marielle.

Et dire qu'en quelques jours, je suis passé de chef ridiculisé à deux doigts de se faire virer, à amant qui lui finit dans la bouche.

Décidément, je n'ai pas à me plaindre, la vie est bien faite.

Cependant la prochaine fois, c'est sûr, ce sera au tour de Marielle de passer à la casserole.

Le lendemain, grosse journée de nouveau.

Comme mon train est à 18h, m'obligeant à partir sur les coups de 17h30, j'en profite pour échanger deux mots avec Marielle devant la cafétéria de l'entreprise.

Si elle est partante, je suis presque prêt à repousser mon billet de train à une heure plus tardive.

« On fait comment pour ce soir? »

« Je sais pas, t'as ta chambre d'hôtel encore? »

« Non, merde, je l'ai rendue ce matin... »

« C'est pas grave. »

Sa réponse est un peu sèche. Elle réalise, tout comme moi, qu'on ne va pas pouvoir s'envoyer en l'air aujourd'hui, et ça nous frustre tous les deux.