L'un dans L'autre

BÊTA PUBLIQUE

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Mais bon, il va falloir faire avec.

D'autres employés débarquent alors, nous obligeant à arrêter notre conversation à la hâte.

De toute façon, pas plus de regret que ça.

Alors que j'essaie de me creuser la tête pour savoir comment on pourrait faire avec Marielle pour aujourd'hui, mon chef, Matthieu, m'appelle.

Il est sur Bordeaux également, et me dit qu'il veut que je prenne le même train que lui sur les coups de 15h, pour rentrer sur Paris.

Hé oui, même dans ces moments-là, le business prime.

Je me sauve alors comme un voleur, sans dire au revoir à l'équipe, et surtout à Marielle.

Matthieu veut me parler un peu sérieusement de l'avenir de ma mission.

La première heure dans le TGV, je suis donc très concentré.

Matthieu me dit que la direction est contente du projet, le client est satisfait du résultat jusqu'à maintenant même s'il aimerait que ça aille un peu plus vite, que du classique.

Il me parle également d'une potentielle reconduction du projet, initialement prévu pour un an, et qu'il va en parler à l'équipe.

Ce serait vraiment top.

Pas sûr que ma femme soit ravie d'apprendre ça, mais d'un autre côté je pourrais continuer de voir Marielle un peu plus longtemps.

Un peu plus tard, alors que nous sommes à mi-chemin, Matthieu part chercher à manger au wagon-restaurant, me laissant quelques minutes seul.

J'ouvre mon PC, et décide d'écrire à Marielle.

« Marielle, j'ai dû partir plus tôt que prévu. Matthieu voulait que je reparte avec lui. »

« Oui oui, on a bien tous remarqué que tu étais parti... »

« Promis, lundi je suis de retour et on remet ça 😉 »

Pas de réponse.

Même si j'évite toujours d'essayer d'interpréter les messages par écran interposé, j'ai l'impression que Marielle est, disons, un peu saoulée.

Peu de temps avant notre arrivée en gare de Montparnasse, Matthieu a fini par s'endormir en face de moi.

Je le prends discrètement en photo, et l'envoie à Marielle accompagné d'un message : « Tu crois vraiment que j'avais hâte de reprendre le train 😃? ».

Message auquel elle répond simplement par : « 😝 ».

Finalement ça va, elle n'a pas l'air trop fâchée.

J'en profite pour lui faire part en avance de ce que Matthieu vient de m'annoncer, que le projet va sûrement être reconduit pour un an, et que je continuerais à venir sur Bordeaux.

Elle est aux anges.

Une fois descendu du train, et alors que le taxi me ramène chez moi, je me prends à songer plus en détails au début de cette relation naissante avec Marielle.

C'est vrai, tout est allé si vite depuis la semaine dernière.

Et j'ai envie d'en savoir plus sur la nature de notre liaison.

Pour mettre les choses au clair.

Pour être bien sûr de ses intentions.

Pour comprendre le pourquoi du comment.

Je décide de lui envoyer alors un message assez long.

Car clairement, c'est moi qui me suis laissé faire, facilement certes - je suis un homme et nous savons tous que la chair est faible - et c'est bien elle qui a fait le premier pas.

Je lui précise cependant à la fin de mon message qu'elle n'est pas obligée de me répondre.

Sur le moment d'ailleurs, pas de réponse, juste un « vu ».

Au moins, elle a pris connaissance de mon message.

Je rentre chez moi, et malgré ma semaine mouvementée, je suis très heureux de retrouver tout le monde.

Sophie arrive, m'embrasse et me demande comment s'est passée ma semaine.

Ça me fait tout drôle de la retrouver.

Dire que moins de vingt-quatre heures auparavant, j'en embrassais une autre, et lui déchargeais au fond de la gorge.

À ma grande surprise, le reste de la semaine se passe néanmoins bien mieux que les précédentes.

Ma femme a bouclé un gros dossier de son côté, je discerne qu'elle a elle aussi relâché une certaine pression, et je suis ravie pour elle.

De mon côté, je fais au mieux pour faire comme si de rien était.

Ce que j'ai vécu avec Marielle, pour l'instant j'appréhende ça comme un coup d'un soir, une passion torride qui peut s'éteindre à tout moment.

D'autant plus qu'elle n'a toujours pas répondu à mon long message de la veille.

Cependant, il faut tout de même avouer que ces derniers événements m'ont reboosté d'un point de vue libido.

Je décide même d'être plus entreprenant avec Sophie dans les jours qui suivent. Après tout pourquoi pas, elle a peut-être envie que je lui crache dans la bouche, elle aussi !

Je fais l'effort d'aller me coucher en même temps qu'elle.

Elle me tourne le dos comme à son habitude, mais j'insiste un peu, je la câline, je la travaille au corps.

Je vois bien qu'elle est surprise, dans le sens agréable du terme.

C'est vrai que ça fait des années que nous sommes ensemble, et depuis que je suis avec elle, je n'avais connu alors aucune autre femme.

Quand j'ai rencontré Sophie, c'était une vraie bombe.

Et même si les années ont suivi leur inlassable marche en avant, et que l'épreuve de la vie et du temps ont fait leurs effets sur elle, physiquement elle me plait toujours.

Elle a le ventre moins ferme certes, les seins qui tombent un peu plus qu'avant, les hanches un peu plus larges, elle a eu deux enfants.

Mais elle n'en reste pas moins très attirante.

Et Marielle est venue me rappeler que le sexe avec une personne qui nous tape dans l'œil, c'est quand même vraiment bien.

Entretenir une relation, je sais que cela se mérite.

Aussi bien sur le plan relationnel que sur le plan sexuel.

Ce sont deux faces d'une même pièce.

Je réalise que je dois vraiment faire plus d'efforts si je veux remonter la pente avec Sophie.

Le vendredi soir, un moment de tendresse se concrétise alors en partie de jambes en l'air. J'ai l'avantage de m'être bien vidé les couilles ces derniers jours, ce qui me permet de maîtriser sereinement mes envies et mon érection.

Nos ébats, les premiers depuis de longues semaines, durent ainsi plusieurs dizaines de minutes. C'est bien sûr beaucoup plus sensuel qu'avec Marielle, je connais déjà le corps de Sophie par cœur, j'ai eu de nombreuses occasions de l'explorer durant ces douze dernières années.

Je sais par exemple que Sophie apprécie tout particulièrement la levrette, position la plus dure à tenir pour moi.

C'est pourquoi je suis fier de moi quand j'arrive cette nuit-là à la faire atteindre l'orgasme dans cette position.

Elle se met à gémir alors qu'elle est à quatre pattes sur le lit et que je la culbute bien comme il faut.

Puis c'est à mon tour de relâcher la tension, et en total contrôle, et de lui éjaculer à l'intérieur.

Elle s'allonge finalement à côté de moi, en reprenant son souffle.

« Hé bien, ça faisait longtemps. Que me vaut cet honneur? »

« J'sais pas, ça te manque pas qu'on ne fasse pas plus souvent l'amour? »

Elle se tourne vers moi, et se blottit dans mes bras, complètement nue, sans rien dire.

Si j'apprécie vraiment ces moments d'intimité retrouvés avec Sophie, il n'empêche que c'est Marielle qui occupe mon esprit.

J'ai tout de même envie de vite la revoir.

Le dimanche soir, c'est de nouveau le départ.

Arrivé à la gare Montparnasse, je m'arrête rapidement dans une petite supérette, et j'achète une boîte de capotes. Clairement, mon objectif principal pour la semaine qui vient, ce n'est pas le boulot, c'est de baiser Marielle.

Ça m'a travaillé tous ces jours passés sur Paris, bien que la situation quelque peu apaisée avec ma femme m'ait aidé à m'évader un peu de mes pensées.

Alors qu'il est bientôt 23h, et que je suis sur le point d'arriver sur Bordeaux, Marielle finit par me répondre sur Teams.

Autant, j'ai beaucoup pensé à elle, autant j'avais fini par oublier que je lui avais envoyé ce long message.

« Hello, désolé de ne te répondre que maintenant. La vie de famille, tout ça, un peu comme toi je suppose. Écoute, je ne sais pas comment t'expliquer ça rapidement. Ma vie perso est trèèèèès compliquée, comme tu le sais j'ai une petite fille et ça se passe super mal avec mon mari, en gros je suis seule à m'en occuper. D'ailleurs si j'ai du partir rapidement les deux fois à l'hôtel, c'est parce que je devais passer la récupérer chez la nounou comme j'te l'ai déjà dit, car monsieur n'a pas le temps. Bref, ça fait un moment que je me sens délaissée, et toi tu es arrivé comme ça, d'un coup. Au début, j'me suis dit que t'étais plutôt cool comme chef, sans plus, je t'ai trouvé mignon voilà normal. Puis ensuite en passant du temps au boulot, je t'ai trouvé extra, très humain, à l'écoute, et pas que de moi mais de tout le monde. Au début, j'm'imaginais rien, mais la fois où je t'ai surpris en train de te branler, j'sais pas, en réalité j'me suis sentie comme honteuse de t'avoir vu faire ça, comme si c'était ma faute. J'y ai beaucoup repensé dans les jours qui ont suivi, et j'me suis rendu compte que malgré ce qu'il s'était passé, je me sentais attirée par toi. Je ne saurais pas l'expliquer, j'ai eu envie de tenter quelque chose. J'avais pas prévu que ça finisse aussi vite en truc sexuel mais bon, c'est ce qu'il en est aujourd'hui. »

Tout s'éclaircit soudain.

Je comprends mieux désormais ce soudain revirement de situation.

Le classique « mon mari me délaisse, c'est moi qui porte toute la charge mentale, et j'ai trouvé une épaule sur laquelle me reposer ».

Ou plutôt ici en l'occurrence, une queue sur laquelle chevaucher.

« Hello Marielle, merci pour ta réponse. Merci, c'est super clair, et tu viens presque me faire penser que j'ai finalement bien fait de me branler au bureau ! »

« Ouais enfin, ça aurait pu être le concierge aussi hein 😉 »

« Je plaisante, je plaisante. Et toi, ça te va la manière dont ça a commencé entre nous? »

« Ouais, ça me plait vraiment beaucoup, même si j'attends que tu me rendes la pareille 😉. Par contre, je veux être claire. Tu m'attires, mais de mon côté y'a pas d'ambiguïté, pas de sentiment, si demain je devais divorcer la dernière de mes envies serait bien de me remettre avec quelqu'un. »

C'est parfait, je n'en demandais pas mieux. Ça a le mérite d'être limpide, et totalement aligné avec ce que je recherche également.

« On reste amants alors, ça me va 🙂. D'ailleurs, j'arrive à 23h30 à l'hôtel ce soir, le même que la semaine dernière, chaud pour toi de me rejoindre? »

« Ha oui, là clairement pas possible. Je suis avec ma fille pendant que monsieur est parti au stade. »

Dommage.

J'avais vraiment envie d'étrenner ma boite de capotes dès ce soir.

Le lendemain, je m'empresse d'aller voir Marielle au bureau.

Pour l'instant, on arrive à faire comme si de rien était, et la journée se passe comme elle se doit.

Je rentre à l'hôtel en début de soirée, Marielle me rejoint quelques minutes plus tard.

On a décidé de ne plus repartir en voiture ensemble, pour être sûr de ne pas éveiller les soupçons. Après tout, on est collègues de bureau et je suis son supérieur hiérarchique, nous sommes tous les deux mariés avec des enfants, et il faut rester discret.

À son arrivée, c'est exactement comme quand je l'ai laissée le mardi de la semaine précédente.

À peine entrée, elle m'embrasse et commence à me déshabiller.

J'en conclus rapidement, fort à mon aise, qu'elle aussi a attendu ce moment toute la semaine.

De nouveau, on se retrouve nus.

Direction la douche encore une fois, mais au moment où je vois qu'elle s'apprête à s'agenouiller, je la saisis par le bras et la contrains à remonter à ma hauteur.

J'éteins la douche, et l'emmène vers le lit.

J'ai envie d'être directif, je l'assieds alors un peu de force sur le bord du lit, repousse son buste en arrière et écarte son entrejambe.

Je crois que ça lui plait que je prenne l'initiative.

Pas question pour moi de faire dans le romantisme, je commence aussitôt par lui lécher la chatte à grandes lampées. D'ailleurs, elle est plutôt parfaitement épilée, presque intégralement, elle a sûrement dû le faire en prévision de nos retrouvailles.

De mon côté, ça fait quand même un bon moment que je n'ai pas fait de cunni, et j'essaie de retrouver mes repères, même s'il s'agit d'un nouveau corps.

Elle a la vulve complètement trempée, mélange de cyprine et d'eau de douche, mais je trouve rapidement son clitoris avec ma langue.

Je mets alors en action ma technique secrète, celle qu'un pote m'avait apprise pendant mes études : « T'as qu'à reproduire les lettres de l'alphabet une par une avec la langue, tu verras ça marche à chaque fois ».

Le salaud, en effet que ça marche !

Au fur et à mesure de mes coups de langue, du passage de mes mains qui caressent ses cuisses, je la sens commencer à frémir légèrement.

Elle se met à onduler le bassin de plus en plus vite, laissant échapper quelques souffles de plaisir, puis finit par agripper la couette soudainement.

Elle redresse son buste en poussant un délicieux râle orgasmique.

Je continue quelques secondes, puis me relève et vais l'embrasser.

Elle a joui.

Elle a kiffé, j'en suis sûr.

Ce n'était pas simulé.

On se met ensuite à genoux sur le lit, l'un en face de l'autre, et elle commence à me masturber.

« Tu veux une bonne pipe baveuse, comme la dernière fois? », me susurre-t-elle à l'oreille.

J'avoue en avoir terriblement envie, mais je sens aussi que je suis déjà proche de l'explosion. Ce n'est pas comme avec Sophie, où j'avais la maîtrise de mes pulsions. C'est un corps inexploré, nu devant moi, qui ne demande qu'à se faire prendre.

C'est beaucoup, beaucoup trop excitant.

Non là, tout de suite, j'ai envie de la pénétrer.

« Je préfère te sauter. »

Elle s'allonge sur le lit, sans rien dire. Et qui ne dit mot consent.

Je crois qu'elle avait compris de toute façon.

J'attrape une capote dans ma table de chevet, que je me dépêche d'enfiler. Je préfère être safe, je ne sais pas si elle prend un moyen de contraception, c'est un sujet que nous n'avons jamais abordé.

Je n'ai jamais été le plus grand expert en déroulage de préservatif, je sais que ce moment à tendance à parfois, disons casser un peu le rythme, mais je m'en sors plutôt bien dès le premier coup.

La queue bien emballée, je me place au-dessus d'elle.

Marielle écarte les jambes, et je la pénètre.

Mon Dieu, que c'est bon.

Une chatte bien humide dans laquelle je rentre comme dans du beurre, tout en étant quand même bien serrée, et ce même si le préservatif atténue la sensation.

J'enlace mes doigts dans les siens, et commence de puissants vas-et-viens.

Elle me dévore du regard, empli de passion.

J'ai remarqué que c'est quelque chose qu'elle aimait faire, me fixer dans les yeux dans les moment torrides, et ce n'est pas pour me déplaire.

À peine quelques coups de reins plus tard que je sens déjà que la rupture est proche. Comme pour la fellation l'autre jour, j'ai envie de faire durer ce moment de plaisir, mais je pressens d'avance que ça va être trèèèès compliqué.

Puis comme elle a déjà joui, je me sens moins coupable.

Je lui attrape les fesses bien fermement par dessous, et me mets à lui donner de grands coups de queue. Elle passe ses bras autour de mon dos, et me serre fort également.

Je remplis soudain la capote dans un grondement sourd.

Elle me regarde, et m'embrasse.

Je reprends mon souffle, elle aussi.

Je donne encore un ou deux coups de reins, avant de me retirer en tenant le préservatif.

Elle se remet aussitôt en position assise sur le lit, et attrape la capote.

« Hé ben dis-donc, t'avais vraiment les boules pleines ! »

Elle la tient par le bout de l'ouverture, ce qui la fait drôlement pendouiller. C'est vrai qu'elle est bien pleine de sperme.

Elle me regarde et me dit : « Qu'est ce qui te ferait plaisir? ».

« Euh, je sais pas, là tout de suite maintenant? Qu'on se fasse un câlin. »

« T'es nul ! Vous les hommes, vous avez toujours beaucoup d'imagination normalement dans ces moments-là. Tu as déjà dû voir dans un porno un truc qui t'a excité avec une capote pleine, non? »

Ha OK, c'est donc de ça qu'elle parlait en me posant cette question.

Marielle a vraiment l'air d'être « open » question sexe.

Complètement décomplexée.

« Tu sais, j'crois que je vais rien t'apprendre à te dire qu'une fois fini, nous les hommes, ben ça redescend vite... »

« Ha non arrête ! Crois moi, tu te connais pas si bien, si j'arrive à te faire fantasmer là tout de suite, crois moi que ça va très vite revenir. »

À peine fini, elle a déjà l'air motivée pour un deuxième round. De mon côté, je suis tout de même conscient que je ne suis plus aussi efficace qu'à ma vingtaine, et mon temps de récupération a bien augmenté avec le temps. Finie l'époque où je pouvais enchaîner trois rounds en trente minutes.

Voyant que j'hésite, elle s'accoude alors en arrière, et commence à se déverser le contenu de la capote sur ses seins. Et pendant que tout le sperme est bien en train de lui couler le long du ventre, elle me regarde d'un air satisfait : « Alors? »

Je ne m'attendais pas à ça.

Oui, elle a raison, ça m'excite.

Je sens ma queue, encore enduite de sperme et redevenue molle entre-temps, tressaillir de nouveau.

Elle commence à s'étaler le sperme sur le ventre et ses deux pare-chocs.

Première fois que je vois ça de mes propres yeux, que je vis ça pour de vrai.

Elle me fait un signe du doigt provocateur, pour que j'approche.

Je viens alors vers elle à quatre pattes, et elle m'attrape la queue, qui commence déjà à durcir de nouveau.

« Bah tu vois, qu'est ce que tu disais déjà? »

Dis donc, je me surprends moi-même.

Marielle semble satisfaite.

Elle commence à me branler.

Même si au début, la sensation post-éjaculation pas toujours très agréable traîne encore, je me plais à découvrir une sensation nouvelle.

D'un côté, physiquement je sens que mon corps n'a pas encore totalement récupéré, et de l'autre côté, cérébralement ça m'excite énormément.

Et tant mieux, car le physique finit par suivre bien que ça reste fragile, à peine cinq minutes après tout donné.

Marielle m'astique le manche, désormais bien dur, de plus en plus vite.

J'hésite à l'interrompre pour reprendre une capote, mais j'ai un peu peur de vraiment casser le truc en débandant quelque peu cette fois.

Visiblement, elle a simplement la ferme intention de me branler jusqu'au bout.

Je suis à quatre pattes au-dessus d'elle, son corps luisant recouvert de mon sperme.

Quelques minutes s'écoulent. La sensation quelque peu gênante a complètement disparu, et de nouveau je sens que je suis proche de la fin.

Comme à chaque fois c'est pareil, une chaleur m'envahit le corps, puis doucement me monte à la tête.

Voyant que je suis proche d'atteindre de nouveau m'orgasme, Marielle me lâche : « Allez vas-y, viens m'enduire un peu plus de sperme ».

Cette phrase, sortie de nulle part après un long moment sans bruit, me fait quasiment jouir instantanément.

Je lui balance mon sperme directement sur le ventre.

C'est trop bon.

Marielle ne s'arrête pas. Elle continue d'agiter son bras de plus en plus vite, comme pour essayer de faire en sorte que ma queue reste dure le plus longtemps possible.

Physiquement, je dois bien avouer que ce n'est plus agréable, mais encore une fois la situation n'en demeure pas moins excitante, même juste après tout cette volupté.

Marielle finit par comprendre d'elle-même que la gêne est trop grande, et commence à ralentir la cadence.

« Fiou. Et ben, toi tu sais t'y prendre... », je lui lance alors, tandis que je récupère ma respiration une seconde fois.

« Le fait que je continue même une fois que tu as fini, ça te dérange pas trop? »

« Bah écoute d'habitude je t'aurais dit si, mais là bizarrement non, y'a comme un truc de spécial, même après l'orgasme. Ça t'excite toi? »

« Ouais, grave. C'est un truc que j'adore faire ! »

Sur ces bonnes paroles, j'attrape alors Marielle par le bras, la retourne et la plaque contre moi.

Je passe un bras autour de sa taille en la maintenant un peu fermement, tandis que je glisse l'autre entre ses jambes.

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