Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 08

BÊTA PUBLIQUE

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- Je ne peux pas remettre mes fringues, cette bande de pervers s'est autorisée à juter dedans!

- Dépêche-toi de te rhabiller tu vas prendre froid, se répète-t-il, les routiers risquent en plus de mal le prendre. Fais leur honneur en acceptant leurs présents.

- J'ai vu mieux comme cadeau Mr, il me semble qu'ils n'en ont pas mis que dans le soutif qu'y plus est!

Et effectivement, ils se sont attachés à décorer toutes mes fringues, même mes gants y ont eu droit, les remettre a été un véritable calvaire! Mais le plus compliqué est resté mon shorty, dégoulinant de foutre, j'en étais écœuré de l'enfiler, de sentir le venir se coller contre mon sexe, visqueux, gluant à souhait. Je suis sûre que certaines seraient fières, voire même excitées, dans ce règne animal, d'avoir leur territoire marqué par la semence de ces vils clébards. Moi en ce moment je vendrais père et mère pour quelques minutes d'une douche bien chaude et décrassante!

- Je peux te proposer celle des chauffeurs si tu veux, mais porte ouverte obligatoirement, me précise Paul qui a le don de lire dans mes pensées! Cela risque cependant de faire revenir les routiers avec des envies autres qu'une simple gâterie d'étudiante en mal d'émotion.

Il a l'air sérieux en plus ce con, je n'ai pas envie de remettre le couvert et d'affronter à nouveau cette meute de clébards criant à l'hallali, toute bite dehors, impatiente d'une prochaine curée, le corps de chasse entre les lèvres, émoustillée derechef pour une nouvelle chasse à corps.

J'aime sucer, mais pas comme ça, pas dans l'urgence, j'aime prendre mon temps, je suis consciencieuse, j'aime le travail bien fait! Et puis, je n'ai aucune assurance en effet qu'un autre de mes atouts ne soit abordé ... et une douzaine de chibres dans la boite à ouvrage serait déplacée en cette fin de journée chargée et épuisante!

- On peut y aller alors, je suis vidée là. En plus j'ai eu cinq ou six pinçons sur les seins je suis sûre que cela va marquer.

- Cela te donnera une excuse pour faire ta pudibonde et éviter les décolletés trop ravageurs!

- C'est malin de faire de l'esprit, ça va me faire des bleus.

- Ne te plains pas, ça aurait pu être pire, imagines-en partout sur les seins et là le port du soutif est un calvaire! Très sensible et douloureuse cette zone!

- Et ça, l'énorme suçon que l'un d'eux m'a fait, râlé-je en lui montrant mon cou.

- Là je te l'accord, ce n'est pas très digne il n'aurait pas dû exister, une petite écharpe et il n'y paraîtra plus.

- Oui, mais au taf?

- Tu la conserveras et prétexteras un petit rhume, rien d'étonnant après avoir passé un week-end les fesses à l'air!

- Je garderai l'explication pour moi si ça ne vous dérange pas, certains collègues ne comprendraient pas. Au fait je change de sujet, mais vous avez remarqué que je ne pouvais pas me caresser en les suçant.

- Oui bien sûr pourquoi?

- Je voulais juste vous dire que j'y avais pensé, pour ne pas être punie.

- Tu as très bien géré, tu es allé au plus important qui était de les satisfaire, je suis fière de toi.

Ça je m'en fous un peu, mais j'évite de le lui préciser (!), je voulais juste être sûre d'éviter un éventuel courroux déplacé, si fait!

- Allons saluer le patron du resto, il t'offrira de quoi te désaltérer, après cette belle performance buccale tu dois être assoiffée.

Le contact de la chaise qu'il vient galamment de me tendre est visqueux à souhait! Je colle de partout, chaque mouvement me le rappelle, ma main droite baigne dans son gant, mon dos adhère à ma robe ... J'avoue que la bière est agréable, même si ma mâchoire grince quelque peu après cette heure d'endurance de la turlutte et les étirements exagérés.

Un autre homme un peu plus âgé fait son apparition, un ami nous présente le patron, je ne savais pas qu'il y avait des gays aussi chez les routiers!! Il entame une discussion qui m'emmerde, j'ai envie de m'esbigner, mais mes suggestions discrètes auprès de Paul restent sans succès. Le patron lui fait part des dernières évolutions de son antre, les décos qui ont changé ... il est intarissable. Je suis en train de sécher sur place, le sperme s'imprègne, prend possession de ma peau, je ne sais pas si c'est bon pour le teint, mais c'est en tout cas foutrement dégouttant.

Au bout d'une heure, Paul me demande de les sucer pour les remercier de leur accueil. Mes mains, maintenant disponibles, peuvent retrouver l'usage de la parole et chanter à ma chatte, qui ne s'est pas encore pleinement exprimée, un vibrato pour clito esseulé. Mon sexe est trempé de foutre, son contact me donnerait presque envie de gerber! Et alors que j'attaque le chibre du second, supposé, patron de l'estaminet que l'orgasme me submerge, étonnement j'ai ma réponse ils sont bi!

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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3 Commentaires
trouchardtrouchardil y a plus de 3 ans

J'aime bien ce mélange d'anecdotes avec une soumission acceptée. Oui c'est vrai que l'on ne sait pas si l'héroïne prend du plaisir dans ces situations ou si au contraire elle déteste ça.

Mais justement c'est une autre façon d'imaginer la dépendance à un homme : rester froide et indocile tout en se soumettant aux pires vicissitudes.

Merci.

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
Devil’s avocate 2

Toujours plus de références culturelles, de clins d’oeil et autres jeux de mots. Tout cela tombe régulièrement nonobstant toute prise en compte de l’opportunité du procédé dans le récit. Au final, on ne sait plus si Lucie vit un calvaire, aime ce qui lui arrive ou prépare un stand up et le récit paraît long et uniforme.

Vous l’aurez compris, je descend à cette station.

L’orthographe et la conjugaison ne sont presque pas massacrés ce qui est à porter au crédit de l’auteur.

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
toujours très bien !

Je l'aurais faite arpenter l'hypermarché pieds nus ;-)

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