Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 08

Chapitre 8 - Exhib or not exhib? -

Le petit crachin permanent de cette journée assez morne était l'occasion rêvée d'aller traîner nos guêtres au milieu de quelques tableaux ou créations artistiques. Une exposition très avant-gardiste avait tout d'abord retenu mon attention, mais j'avais finalement arrêté mon dévolu sur celle consacrée à Kandinsky proposée par le musée. Il a attribué la plus grande partie de ses salles aux œuvres de l'artiste, une vraie réussite, c'est une très belle sélection de la collection de Beaubourg.

C'était la seconde fois que j'y retournai, mais j'adore cet artiste et ne m'en lasse pas, j'avais en plus réussi à motiver Lyse, une bonne amie, à m'accompagner. Elle n'est pas très branchée barbouillage, plus éprise de littérature. Je lui ai fait miroiter une petite virée ensuite dans un nouveau bistrot que nous avons repéré la semaine dernière avec dégustation de spécialités végétariennes à partir de produits fermiers locaux bios .... elle n'a pas résisté longtemps à l'argument!!!

Et là elle me surprend, cela fait presque 3 heures que nous flânons au gré des peintures, esquisses et autres explicatifs, détaillant certaine, jouant aux critiques ou encore tentant désespérément d'y découvrir un sens caché! Je dois presque la mettre dehors en fin d'après-midi pour aller retrouver Lydie après son taf.

Comme convenu elle nous attend devant le kiosque à musique d'un parc à proximité du centre-ville, la tête engoncée sous son parapluie rose bonbon, au milieu du nuage de fumée de sa vapo. Quelques jeunes musiciens ont courageusement pris possession du kiosque pour une interprétation très libre et délirante d'un jazz manouche endiablé ... provoquant un petit bouchon de parapluie dans les minces allées adjacentes!

La grande place n'est qu'à une dizaine de minutes de marche du parc. Nous trouvons facilement une table libre dans la terrasse couverte du bistrot, près d'un parasol chauffant allumé malgré la douceur de la fin de journée. Après avoir commandé un petit apéro, le temps de consulter la carte, Lydie relance la discussion sur le plaisir au féminin. Orgasme or not orgasme, c'était là sa question.

Lyse et Lydie sont des amies de longue date et nous sommes suffisamment, ou presque (!), libérées pour discuter cul assez ouvertement entre nous. Non pas des jérémiades et autres étalages des peines de cœur, ce qui a tendance à m'agacer, je n'ai pas la patience de Macha Béranger pour écouter les malheurs des autres! Nous abordons plutôt les derniers jouets testés, une position expérimentée ou quelques lingeries adaptées. Le sexe n'est pas l'objet principal de nos discussions, mais de temps en temps nous nous lâchons!

Lyse par exemple aime la sodomie, et en dépit de toutes ses explications et tout le déballage des avantages de cette pratique, elle ne m'a pas convaincu. Je n'arrive toujours pas à comprendre comment on peut apprécier ça! Je ne suis pas prude, j'aime le sexe, mais là ....

Je l'ai découverte bien malgré moi il y a quelques semaines. Une première expérience mémorable ... mais pas positivement! Enfin quand je dis première expérience je devrais employer le pluriel à en juger du nombre de fois où cela s'est répété pendant tout le week-end. Et vu comment j'ai dégusté je n'afficherai jamais le coït anal sur le podium de mes pratiques préférées!

En parcourant d'un œil discret la carte des mets proposés, j'aperçois un pub non loin de là, lui aussi mémorable. Mon « bloody friday » me revient à l'esprit, certes bien moins sanglant que l'autre, mais tout aussi dévastateur et révolutionnaire pour ma vie sexuelle. Depuis j'ai banni tous les pubs irlandais, l'irish coffee, les concerts des Cranberries et la Guinness ... non je déconne pour la Guinness! Enfin j'aurais tout aussi bien pu appeler cette soirée le black friday, car là c'est moi qui étais en solde, offerte aux délires pervers de deux obsédés sexuels. Abusée serait le terme plus juste cependant, même si j'étais pleinement participante avec cette foutue drogue, il n'y avait pas que de l'aphrodisiaque dans ma dernière chope de bière! Et depuis ce salaud me fait chanter!!

- Lucie, tu prends quoi?

À oui tien, je prends quoi au fait, un grand boutonneux m'observe attendant patiemment ma commande, le crayon grattant sa narine gauche ... la grande classe!

- Tu as pris quoi toi déjà Lyse, éludé-je, pas envie de me replonger dans la carte ..., à oui c'est bien, la même chose pour moi alors.

À peine servi qu'un texto de Paul vient gâcher ce début de collation. Il est bien tardif, il me l'envoie vers midi d'habitude pour me confirmer le rendez-vous du lendemain. J'ai même eu la naïveté de croire que j'aurai mon samedi tranquille! Cela fait presque 3 mois que cela dure, mais j'ai toujours à chaque ouverture de ses messages une boule bien présente au ventre. « Demain changement d'horaire femelle, 13h au pied! » ... toujours aussi galant! Cet en-cas va être plus difficile à passer maintenant!

13 heures, il faut que j'imprime sinon je risque de rater le coche et ça c'est direct un rencard avec miss badine. Mes fesses en ont gardé à chaque fois un souvenir cuisant pendant plusieurs jours après sa rencontre!

- Alors on ne te voit plus le samedi, tu es amoureuse? Tu as trouvé un étalon à ta mesure? me ramène à la table Lydie. Il faudra que tu nous le présentes, ou tu as peur qu'on te le pique peut être, Lyse est en manque elle fonderait dessus!! chambre-t-elle en rigolant.

Lydie s'offusque pour la forme en nous affirmant qu'elle ne l'est pas, du moins pas vraiment, surtout tant que ces vibros fonctionnent, nous avoue-t-elle en nous faisant l'article de sa dernière acquisition. De mon côté je reste dans le vague, je ne réfute pas l'idée de Lyse et laisse ainsi la porte ouverte à moult suppositions. Je tente de ne pas trop donner de détails sur ce qu'elles nomment de saines occupations, je ne veux pas m'inventer une histoire dans laquelle je risquerais d'avoir du mal à me dépatouiller par la suite. Mais Lyse est tenace!

- Alors il s'appelle comment, il est grand, beau, avec de petites fesses bien musclées comme tu les aimes, il te baise bien, souvent, il aime quelles positions, il a de l'imagination ...?

Ça y est, elle est partie je ne la tiens plus, une vraie commère, et patati et patata, miss KGB vient de se mettre en marche et veut tout savoir sur mon nouveau don Juan, sa vie, son œuvre ... sa queue! Elle va me mettre la pression toute la soirée pour découvrir l'élu. C'est un peu un jeu entre nous, respect total du choix, mais il faut le montrer, nous sommes des curieuses! Il faut assumer ses goûts à la critique qui fuse souvent, une vraie épreuve pour le mec en général!

Mais je les connais bien, et devrais me sortir de cet embarras en détournant la conversation sur ses dernières frasques, elle n'avait pas été très loquace à l'époque! Il faudra cependant que je trouve un ersatz pour justifier ces samedis occupés, je me vois mal leur présenter Paul! Lui qui vient déjà de me gâcher le repas avec son texto, je vais essayer que cela n'impacte en rien la bonne humeur qui est de mise pour cette soirée.

Acte 1 - Remember

On a un peu traîné hier soir, j'avais besoin de me libérer l'esprit et les filles étaient en grandes forment. Sans vraiment avoir abusé de ce petit vin blanc gouleyant à souhait, le réveil en est quand même un peu chaotique. Je me force à un peu d'exercice, une vingtaine de minutes de corde à sauter pour une petite suée et évacuer les restes de ces toxines « raisinées ». Rasage de mon minou sous la douche, ce n'est pas qu'il en a besoin je le fais maintenant toutes les semaines, mais il veut que je sois nickel lors de nos rencontres, un maniaque en plus!

12 heures 50 je suis en avance, comme à chaque fois maintenant, il ne dit rien mais me détaille, je vois qu'il vérifie que je tiens compte de sa dernière règle ... tenue correcte exigée! Je n'ai pas fait très sophistiqué, mais j'ai respecté sa consigne avec une touche de féminité et une tenue harmonieuse! Un effort futile je trouve vu le peu temps où je la garde une fois arrivée chez lui!

Ma position de méditation aujourd'hui est inhabituellement simple juste devant lui nue les mains dans le dos, il est beaucoup plus imaginatif d'habitude. En dégustant son café, son regard ne quitte pas ma poitrine un seul instant, elle semble l'obnubiler, ce n'est pourtant pas la première fois qu'il la voit! Il joue avec ce qui ressemble à des petits ressorts de forme conique d'environ 5 centimètres de long. Je le sens énervé, agité, impatient de les utiliser, les tripotant, les faisant passer entre ses doigts, testant leur souplesse ... Je n'ai aucune idée de leur utilité.

Et puis au bout d'un quart d'heure, il se décide, enlève mes piercings à chaînettes pour les remplacer par de simple barre. Il encastre ensuite la partie la plus large de son ressort dans la barre, la base vient ainsi se coller à mon sein, puis il le tourne un peu et la barre progresse le long de cette spirale m'étirant le téton. Il n'a fait qu'un seul tour pour l'instant leur imprimant une légère traction, juste ce qu'il faut pour que je le sente et qu'il reste bien en place!

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Paul n'a pas pour habitude d'interrompre ce qu'il appelle la « méditation » de Lucie, une petite phase de transition entre sa vie normale et celle de soumise.

Mais là il ne tient plus, ce nouveau jouet dont Mike lui avait parlé en début de semaine l'avait intrigué. Il avait réussi à trouver un exemplaire de ces extenseurs de tétons un peu particulier dans l'un des sexe-shop de la ville. Celui qu'il fréquente en général, il est bien achalandé et le patron est toujours de bon conseil. D'une grande simplicité, ce modèle d'extenseur de téton offre tous les avantages d'un appareillage discret et des plus vicieux!

Il se demande combien de temps elle arrivera à les supporter ... Il lui a concocté un petit challenge pour terminer la séance!

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Après quelques minutes à apprécier le nouveau tableau qui s'offre devant lui, il constate que je ne réagis pas beaucoup et donne un nouveau tour à ses « étires tétons » me faisant grimacer. La traction reste très raisonnable et en elle-même supportable, mais ses joujoux ne fléchissent pas et ne permettent pas à mes mamelles de petites pauses de récupération. Cette présence devient vite contraignante et un peu douloureuse, une douce torture lancinante à souhait!

J'ai beau secouer ma poitrine dans tous les sens et essayer de trouver une position qui me soulage, mais rien à faire ils sont la bien présents. Ils ont pris possession de mes tétons et n'envisagent pas de me les rendre, de lâcher ce bastion si fièrement conquis, de relâcher leur tension ni leur attention. Je demande à Paul de me soulager, mais pour toute réponse il leur donne un quart de tour supplémentaire, me faisant enrager!

- Cela fait un moment que nous n'avons pas pris le temps de papoter tous les deux.

- De quoi voulez-vous parler Mr?

- De toi, de nous, de cette relation qui nous fait vibrer depuis déjà plus de deux mois.

- Je ne l'aurai pas exprimé vraiment comme ça, je ne vibre pas de la même façon ni avec autant de plaisir que vous.

- Et pourtant ... je n'ai pas souvenir que tu sois rentrée une seule fois chez toi sans avoir joui, me trompé-je?

- On ne peut pas en parler sans ces engins de torture??

- Un quart de tour supplémentaire te fera sûrement réfléchir, ils ne sont qu'a la moitié de leur capacité, j'ai encore de la marge!

Ferme ta bouche ma fille et fais preuve d'intelligence! La tension devient difficile à supporter, j'ai une folle envie de les enlever, ils sont là, à porter de main, si prêt, mais tellement inaccessible cela m'horripile!!! Il profite de mes cuisses écartées pour venir frotter le dessus de sa chaussure contre mon sexe.

- Es-tu installée assez confortablement pour discuter?

Cela me replonge dans mon premier rendez-vous chez lui, cette heure interminable passée dans cette position à me questionner sur les détails de ma vie, cette détresse que je n'arrivais pas à juguler, cette pression constante qu'il me mettait en me rappelant sont chantage, celle de sa chaussure contre mon sexe quand mes réponses ne le satisfaisaient pas!

J'acquiesce, par défaut, je ne suis pas impatiente de découvrir les effets de la seconde moitié de ses spirales infernales!

- Vous voulez que l'on parle de votre dernière sortie culturelle, ironisé-je.

Deux petits coups de chaussure contre mon sexe me rappellent à l'ordre. Puis il part dans ses questions à la mord moi le nœud, moi qui suis toujours d'une délicate attention le chibre en bouche!

- Alors, dis-moi, en toute sincérité forcément, qu'elle est ton meilleur souvenir jusqu'ici?

- Dis comme cela je vais avoir du mal à en trouver un, je parlerai plus du moins mauvais! Je dirai dans le confessionnal de l'église, lorsque je suçais.

- Et ton orgasme le plus intense, c'était dans quelle situation, tu t'en souviens?

- Au même endroit, celui que j'ai eu en finissant de m'occuper du 3eme chibre, il faut dire qu'avec l'œuf aussi c'était difficilement tenable!

- Quelle suceuse tu fais, je savais que tu aimais ça! Penses-tu avoir atteint tes limites?

- Comment ça Mr, je ne saisis pas le sens de votre question.

- Côté découvertes et dépassement de soi, penses-tu pouvoir faire encore mieux, aller au-delà de ce que nous avons déjà fait?

- Je vais sortir mon joker sur celle-là Mr, j'ai peur que ma réponse soit loin de vos attentes.

Deux nouveaux petits coups contre mon sexe m'empêchent d'utiliser mon 50/50 ou de faire appel à un ami et m'obligent à préciser mon sentiment, qui le déçoit comme prévu d'ailleurs!

Malgré sa chaussure qui sollicite mon sexe très régulièrement, je n'arrive pas à détourner mon attention de mes tétons étirés, cela devient insupportable et je commence à gigoter dans tous les sens. Cela fait presque une heure que nous discutons et cela fait déjà un moment que je réponds à ses questions d'un ton agacé. Je fais bref, concis, je couine, grimace, décroche parfois et l'oblige à répéter sa question obnubilée que je suis par ma poitrine.

- Je ne vais pas tarder à te libérer, mais avant, comme je constate que tu n'as pas été insensible à ma chaussure, tu n'aurais pas une petite envie de te finir?

- Non Mr pas spécialement.

- Ce n'était pas une question cette fois ... je ne te libère que lorsque tu auras réussi à te faire jouir avec ma chaussure.

Je tente de négocier, mais un nouveau demi-tour sur le ressort me fait couiner derechef et m'incite rapidement à devenir raisonnable. Je me colle contre sa jambe, l'enserre avec mes bras et pose ma joue contre sa cuisse, je ferme les yeux, je ne veux pas le voir ni croiser son regard lors de cette attitude dégradante.

Comment fait-il pour arriver à chaque fois à me mettre dans des situations aussi embarrassante et humiliante? Je commence à donner de petits coups de bassin contre cette chaussure de rando, je me frotte doucement, son contact est rugueux, désagréable, presque douloureux. Pourquoi porte-t-il ça dans la maison, je suis sûre qu'il les a mises exprès pour m'infliger une nouvelle difficulté.

C'est clair que cela ne m'aide pas à m'exciter, je pense à mon dernier amant il y a quelques mois, mais difficile de me concentrer et de m'extraire de cette douleur obsédante aux tétons, je me lâche sur une fellation et essaye de la vivre au plus prêt, oui j'adore sucer, pas vous? Par contre je déteste le foutre comme quoi je suis loin d'être parfaite!!

Accrochée à sa jambe comme une chienne en chaleur, je me frotte de manière la plus obscène qui soit à cette chaussure que me maltraite le minou. Je cherche désespérément à mettre fin rapidement à cette torture, mes tétons réclament un armistice de toute urgence, j'accélère dans la mesure du possible par petit soubresaut. Paul ne pipe mot, savourant certainement la scène. Et puis, cette bouffarde imaginaire fait son effet et mes cuisses se serrent comme un étau autour de son pied, le temps de prendre le mien! Panard land vient de prendre tout son sens!

Lorsque la jouissance m'emmène, pas besoin de lui faire un dessin, Paul s'en aperçoit aussitôt. Je ne suis pas une grande crieuse, plus une gémisseuse parfois, par contre l'expression de mon visage ne laisse aucun doute sur ce qui vient de se passer. Mon plaisir s'affiche en grand sur mon minois!

- Tu viens de changer de couleur, je ne connaissais pas encore cet effet pour les extenseurs.

- Enlevez les moi Mr je ne tiens plus, je ne les supporte plus, je vais craquer la!

- Bel effort ma salope, je savais que tu pouvais exprimer ton côté chienne. Je te libère, mais on verra peut-être pour tester les effets de leur seconde partie une prochaine fois!

Non jamais ça, je suis au maximum de la souffrance « tétonique » acceptable! Quel soulagement, je revis et retrouve une poitrine libérée que je masse doucement pour récupérer.

Acte 2 - Je ne suis pas un animal!

Après cette entame d'après-midi inconfortable Paul m'annonce que nous allons avoir une journée très chargée et il m'espère en grande forme! Cela n'augure rien de bon, je n'ai pas en plus eu l'impression qu'elle ait démarré tranquillement! Il a le chic pour me mettre la pression en un rien de temps, les derniers samedis ont été rarement de tout repos!

Il reste assez évasif et mystérieux, sur le programme mais me laisse comprendre que nous allons faire quelques emplettes dans une grande surface.

- Ce n'est pas très malin d'y aller un samedi ça va être blindé de monde Mr.

- Un petit bain de foule peut avoir certains avantages! Tu trouveras ta tenue sur ton lit.

Un ensemble de lingerie d'un rouge plutôt écarlate m'attend. Je me couvre d'un tanga dentelle, d'un bustier à lacets et à fines bretelles, d'une paire de bas avec porte-jarretelle, d'une robe rouge au décolleté clairement dessiné, au bas évasé et aux longues manches transparentes et d'une paire d'escarpins carmin pour la touche discrète de la tenue.

Deux boules sont aussi posées sur le lit, reliées entre elles, je finis par percuter et reconnaître des boules de geisha! Une fois habillée, je reviens avec elles interrogative.

- Que font-elles dans tes mains? Ce ne sont pas des boules anti stress. Je pensai que tu savais où cela se mettait et que tu n'aurais pas besoin d'un mode d'emploi. Je vois que tu as encore du mal à prendre des initiatives. Ton sexe doit être en plus encore bien lubrifié cela ne doit pas te poser de problème.

- Ce n'est pas les mettre qui me pose problème, mais vous venez de parler de course, je ne sors pas avec ça.

- Pourquoi? Qu'est-ce-qui te pose problème, tu n'aimes plus avoir la chatte occupée? Tu avais apprécié l'œuf il me semble malgré toutes tes réticences préalables. Dépêches-toi de l'installer confortablement, ton sexe le réclame et je risque de m'impatienter!

Pourquoi m'entêté-je à négocier il ne lâche jamais rien ce salaud, les boules prennent place confortablement dans mon vagin.

Nous nous retrouvons une bonne demi-heure plus tard dans la plus grande zone commerciale de la ville. Comme prévu l'activité y est dense, la populace en masse, prête à en découdre, avide de remplir leur caddie de produits et gadgets indispensables à la survie de l'espèce humaine. La voiture garée à l'autre bout du parking, le temps d'attraper un chariot et nous cheminons en direction de l'œil du cyclone.

Les sensations ne se font pas attendre, à chaque pas les petites billes contenues dans les boules prennent un malin plaisir d'entrechoquer les parois de leur cage provoquant de petites vibrations qui se propagent dans tout mon vagin. Pas désagréable du tout, mais elles sont un peu perturbantes au début, surprenantes, m'incitant à ralentir le rythme de mes pas pour limiter leurs actions! Mais c'est peine perdue, elles jouent en permanence, ne tenant aucunement compte de leurs effets sur mon sexe! Lui réagit favorablement à cette présence inédite et se contracte de temps en temps, de peur de les perdre (chose impossible s'il en est) j'espère, plus que de plaisir!