par cinolas
Je l'aurais faite arpenter l'hypermarché pieds nus ;-)
Toujours plus de références culturelles, de clins d’oeil et autres jeux de mots. Tout cela tombe régulièrement nonobstant toute prise en compte de l’opportunité du procédé dans le récit. Au final, on ne sait plus si Lucie vit un calvaire, aime ce qui lui arrive ou prépare un stand up et le récit paraît long et uniforme.
Vous l’aurez compris, je descend à cette station.
L’orthographe et la conjugaison ne sont presque pas massacrés ce qui est à porter au crédit de l’auteur.
J'aime bien ce mélange d'anecdotes avec une soumission acceptée. Oui c'est vrai que l'on ne sait pas si l'héroïne prend du plaisir dans ces situations ou si au contraire elle déteste ça.
Mais justement c'est une autre façon d'imaginer la dépendance à un homme : rester froide et indocile tout en se soumettant aux pires vicissitudes.
Merci.