Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 07

Informations sur Récit
Lucie, une jeune femme de 25ans, découvre la soumission.
7.6k mots
4.33
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Partie 9 de la série de 20 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 01/22/2020
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cinolas
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Chapitre 7 - Un retour aux sources -

Acte 1 - La naissance d'une star

Deux jours après ce 1er week-end très chargé chez Paul, mes fesses me rappellent encore à ce triste souvenir. J'ai annulé « l'entraînement » vélo d'hier soir avec Sophie, mon popotin préférant la douceur des coussins moelleux du canapé à la rigueur de la selle!

Aujourd'hui c'est un chemisier au bleu roi bien intense qui cache ma poitrine nue des regards envieux et s'accorde à une jupe longue et légère plus pastel.

Je presse le pas, ainsi vêtue, vers la boutique de piercing, à la bourre comme d'habitude! Paul a joué sur ma fibre écolo, prétextant les économies d'énergie pour m'imposer le bus une fois de plus. Une nouvelle immersion dans la sueur et la crasse des transports du pauvre!

Je dois me faire poser les anneaux définitifs et je ne me souviens plus trop des modèles proposés, j'avais la tête bien ailleurs quand il me les a présentés. Et c'est une nouvelle fois la poitrine à l'air, installée sur son fauteuil de gynéco, que mon « Hell boy » me propose les divers choix possibles.

Cette fois il n'est pas seul, deux apprentis pierceurs, dans mes âges, aux tatouages fournis, font également partie du décor. Il m'a vaguement justifié leur présence, je n'y ai pas prêté attention stressée par ces nouveaux spectateurs qui ont du mal à détacher leur regard de ma poitrine, me mettant vraiment mal à l'aise!

Je jette mon dévolu sur un jeu d'anneaux dorés décorés d'un petit diamant aux teintes violettes et sur une paire de barres ornées de 3 petites chaînettes ouvragées. C'est ces derniers que les deux apprentis installent, chacun accaparé par l'un de mes seins.

Après versification du big boss, je suis tendue, les mains crispées sur les accoudoirs du fauteuil, imaginant sans peine la suite, la redoutant. J'ai naïvement tourné la tète en signe de protestation lorsque j'ai senti le fauteuil basculer. Une échappatoire illusoire vite brisée quand sa main retourne ma tête sans ménagement et l'amène vers son sexe. Je reste quelques secondes la bouche fermée, alors qu'il maintient ma tête collée contre son gland.

-- Tu te souviens du mode de paiement? ricane-t-il en me donnant une petite tape sur la joue pour que je le suce.

Je finis par ouvrir la bouche en grand, résignée, pour accueillir sa queue encore au repos et la gobe en entier.

-- N'allez pas vous imaginer les garçons que toutes les clientes règlent de cette manière, précise-t-il aux apprentis, celle-ci est un peu particulière, c'est un ami qui me l'envoie, il lui fait découvrir son côté salope depuis quelques semaines ... et comme vous pouvez le constater la demoiselle a du potentiel!

Il arrache en parlant ma main rivée à l'accoudoir pour l'amener à mon shorty me rappelant ainsi à mes obligations!

J'imagine les yeux des apprentis voyager sans répit de mon entrejambe à ma bouche, un peu subjugués par la scène proposée, la bosse de leur jean trahissant leurs émois, envieux pour une fois de prendre la place de leur maître entre mes lèvres!

J'essaie de ne pas penser à la suite, à cette note bien plus salée que l'autre fois que j'allais sûrement devoir régler. Je gobe au mieux son sexe, m'active pour le faire jouir au plus vite et m'extraire de ce bourbier. Il éjacule plus rapidement cette fois, je dois être sa première suceuse de la journée!!

-- Je vais cracher petite salope, mais surtout tu n'avales pas avant que je t'en donne l'ordre, c'est bien compris?

Un grognement lui répond! Après m'avoir rempli la bouche d'une copieuse dose de foutre, il m'explique en relevant le fauteuil qu'il va prendre une photo de mes seins et que cette fois je n'y couperais pas, c'est le souhait de Paul!

J'essaie de protester, sans rien avaler, pour lui signifier mon mécontentement, je sens le goût du foutre se diffuser dans ma bouche, envahir ma gorge, mes narines, imprégner mon palais, s'immiscer dans les moindres recoins, m'indiquant sans ciller que ce goût ne me quittera pas de la journée!

De retour, équipé d'un petit appareil photo, il prend quelques clichés de mes seins en gros plan, je grogne à nouveau pour lui signifier que je ne vais pas résister longtemps et qu'il me faut avaler! Il me sourit.

-- Ne sois pas pressée de recevoir ta récompense, retiens-toi encore un peu.

Il ne tarde pas et un claquement de doigts accompagné d'un petit « allez hop » m'autorise enfin à avaler et à reprendre ma respiration, sous le regard amusé des apprentis devant mon faciès répugné par le goût. Purée c'est dégueulasse, c'est encore pire que de l'avaler directement, là il s'incruste en profondeur!

Il me tend alors la carte sd de son appareil photo, je ne saisis pas, il n'a quand même pas pris ces photos pour moi cet abruti (?).

-- Tu vas aller faire un tirage papier chez Ahmed, un ami photographe, ne lésinons pas et partons sur un format A4 qui les mettra bien en valeur!

-- Mais pourquoi voulez-vous que j'aille là-bas, vous pouvez très bien la tirer sur une imprimante comme la majorité des photos de votre boutique, non?

-- Une si belle paire de miches nécessite le regard d'un expert et un tirage de qualité, qui plus est, le photographe n'est qu'à un petit quart d'heure de marche! précise-t-il en me tendant la carte pour couper court à la discussion.

Je la récupère violemment puis sors un paquet de chewing-gum de mon sac, j'avais prévu le coup cette fois!

-- Hop hop hop, réagit-il en me piquant le paquet des mains, assumes ton envie de foutre!! Et laisse-moi ton sac à main aussi tiens, tu n'en auras pas besoin. Au fait, n'oublie pas de bien te conduire avec Ahmed!

Je ne relève pas l'allusion, ne saisis pas son sous-entendu et me téléporte chez le tireur de portraits.

C'est dans un magasin discret à la devanture garnie de photos de mariage et de portraits qu'Ahmed m'accueille, la soixantaine, court sur patte, une petite bedaine mal cachée sous un pull moulant, au crâne aussi chauve qu'un Barthez, et au visage ingrat que seule une moustache à la Dali éclaire.

-- Je vous attendais, Christian (le pierceur) m'a prévenu de votre passage, donnez-moi votre carte on va regarder tout ça, elle a l'air pulpeuse, j'espère qu'il les a réussis, me débite-t-il à toute vitesse à peine arrivée, surexcité, tel un enfant impatient devant ses cadeaux de noël!

Je suis presque soulagée de ne pas avoir à expliquer la raison de ce tirage, je n'aurai pas trop su comment aborder la chose, en plus s'il peut me faire ça de suite c'est plutôt cool je n'aurai pas à revenir.

-- Magnifique, somptueuse, splendide ..., s'exclame-t-il en regardant la photo, je parle de ta poitrine bien sûr, car pour les photos il sera toujours aussi mauvais! Il va falloir en refaire une. Passes à côté et enlèves ton chemisier, on va arranger ça.

Je le suis dans la pièce adjacente, elle est agencée en labo photo, chaise, spots, écran blanc ..., tout est prêt pour figer sur papier des portraits de toutes sortes. J'attends, suivant ses instructions, les mains dans le dos, cambré pour faire ressortir ma poitrine, j'évite de le regarder dans cette position, je n'aurai jamais montré mes nichons à autant de personnes en une journée!

Après avoir été une nouvelle fois flashé (sans pour autant prendre la grosse tête devant autant d'admirateurs!), il s'absente pour le tirage m'intimant de garder mon chemisier ouvert après l'avoir remis.

Il étale ensuite rapidement le résultat sur son comptoir, je réprime une petite bouffée de chaleur devant mes seins exposés à son regard. Il prend en plus le temps de m'expliquer les détails de son œuvre, mais je m'en fous moi de son p... d'éclairage, donnez-moi cette photo que je me casse au plus vite!!!

Il la range enfin dans une grande enveloppe et d'une main ferme interrompt mon geste alors que je m'apprête à boutonner mon chemisier.

-- Comment comptez-vous me payer?

-- Je ... j'ai oublié mon sac chez le pierceur, bredouillé-je, je vais le récupérer en déposant la photo et passe vous régler dans la foulée, est-ce que cela vous convient?

-- Mais pourquoi s'embêter avec tous ces trajets, on peut trouver un arrangement j'imagine ..., suggère-t-il en me prenant la tête pour m'indiquer la bosse de son pantalon.

Je l'observe, vous préciser que son visage me rebute est peu dire, et même si ce n'est pas l'objet de ses envies, je ne suis pas motivée. Mais je ne sais pas s'il connaît Paul, ce qui est arrangé ou non, j'hésite un court instant, ne veux pas risquer un retour négatif à ses oreilles, celui d'une « mauvaise conduite » de ma part comme l'a sous-entendu le pierceur.

Je suis un peu lâche je l'avoue, mais la badine me traverse l'esprit et à sa pensée je m'agenouille docilement sous son comptoir et commence à déboutonner fébrilement son pantalon. J'y découvre une queue sans grand intérêt qui prend forme rapidement sous mes coups de langue appuyés.

Il donne des petits coups de reins régulièrement, sa queue vient cogner à chaque fois au fond de ma gorge m'extirpant grognements et larmes. Sa bedaine frotte à chaque coup contre ma tête qui finit sa course invariablement contre le bois du comptoir!

Alors que j'espère qu'il vienne au plus vite, un « Bonjour Mme Louis » succède à l'ouverture de la porte de son magasin. Je stoppe aussitôt mon ouvrage et m'incruste au plus profond de son comptoir!

-- Vous venez chercher les photos de vos 70 ans, je suppose, elles sont prêtes, je vous montre le résultat.

Il ouvre une pochette déjà prête sur son comptoir et commence à commenter les tirages.

-- Allez on y va ...

Il a accompagné sa petite phrase de deux petites tapes sur ma tête, me faisant bien comprendre qu'elle m'était destinée!

Je reprends ma pipe laissée en plan, son chibre, aucunement perturbé par l'intrusion de la cliente, me fait toujours fièrement face, quel self-control! Je le suce lentement pour éviter les bruits malencontreux. De son côté il parle fort pour, j'imagine, la même raison. J'espère que Mme Louis est sourde! Il prend le temps de bien lui montrer tous les tirages, les commente en long et en large comme s'il voulait que cette pipe et cette situation incongrue n'en finissent pas.

Après le départ de sa cliente, il reprend ses petits coups de reins et s'écarte rapidement de ma bouche pour venir décharger toute sa semence sur mes seins. Je me relève en tenant mon chemisier pour bien éviter tout contact avec mes seins maculés de foutre.

-- Avez-vous un lavabo ou quelques mouchoirs en papier pour que je puisse me nettoyer?

-- Pourquoi veux-tu te débarrasser aussi rapidement de ce petit pressent, ils sont magnifiques ainsi décorés, allez reboutonnes ton chemisier.

Je m'exécute pour une fois sans râler (!), plus vite ça sera fini mieux ça sera, mais au contact du tissu sur le foutre je ne peux m'empêcher une mimique de dégoût vers le photographe. Je sens mon chemisier venir, sans attendre, se coller à mes seins.

-- A tu sais, j'aimerais vraiment avoir une assistante de ton talent! Il y aurait tant de choses à faire ici, un classement tout d'abord, je suis très bordélique ...

Je ne me souviens même plus si je l'ai salué en partant, le laissant à ses rêveries et à son monologue!

Mon retour en fanfare chez Christian le piecrceur pour récupérer au plus vite mon sac à main et quitter ce jeu de débauche est stoppé net par son ton moqueur :

-- Un fumet de foutre se dégage de tout ton corps ma belle!!

Ses yeux parcourent les petites taches sombres apparues sur mon chemisier.

-- Nous compléterons ce tableau dans un instant, mais avant cela installons la nouvelle star du mois!

Il m'arrache l'enveloppe des mains, fixe la photo sur un support rigide et la pose, en lieu et place de celle d'un magnifique piercing à la langue, sur un petit chevalet bien en vue au milieu de sa vitrine.

Ma poitrine s'affiche en grand, on ne voit quelle, elle attire les regards, les convoitises, les envies! Elle clignote à la manière d'un « Eat's at Jones » chez Tex Avery, regardez-moi ..., regardez-moi ..., regardez-moi ..., impossible de la rater, de l'éviter, de l'ignorer!

Je tente de négocier pour au moins la déplacer sur son comptoir ou dans son autre pièce, mais en pure perte, il ne l'enlèvera que dans un mois ... peut-être! Nous croisons, en nous rendant dans son atelier, un client au visage satisfait du tatouage réussit sur son avant-bras. Après son départ Christian remarque à l'intention de ses apprentis :

-- Vous ne trouvez pas qu'elle sent plus le foutre que tout à l'heure les garçons? Ça ressemble à un appel vous ne pensez pas? Puis en me regardant, tu ne les as pas encore récompensés?

-- Je vous ai déjà « réglé » avant d'aller voir le photographe, je ne vais quand même pas sucer la moitié du quartier parce que vous avez réussi à me poser deux anneaux sur les tétons, sérieux la!

Il m'agace, m'exaspère, m'insupporte, m'emmerde, je veux m'arracher de ce magasin, chaque mouvement me rappelle mon chemisier collé à la poitrine, chaque respiration cette odeur infecte, j'étouffe!

-- Donnez-moi mon sac! ordonné-je vivement.

-- Crois-tu vraiment que Paul apprécierait cette impolitesse? Crois-tu vraiment que tu puisses éviter une future punition si je lui rapporte ce comportement déplaisant?

Ma mine déconfite lui répond, le nom de Paul allait devenir le sésame de ma déchéance!

Je me mets accroupi comme demandé et les deux bites des apprentis ne tardent pas à rejoindre mon minois, caressant doucement mes joues comme pour prendre leurs repères, apprivoiser l'animal, lui faire sentir toute l'envie, la fougue, l'impatience de ces deux nouvelles queues de posséder ma douce bouche.

Alors que j'entreprends à sucer la plus imposante, gobant un gland déjà en grande forme, que l'autre reste à portée de langue, pas effarouchée, attendant patiemment son tour!

J'alterne au mieux, même si parfois quelques coups de queue contre la joue me rappellent à plus d'équité. Je n'ai alors qu'à tourner la tête pour happer la « râleuse », l'esseulée, quant à elle, se balade souvent sur ma figure complétant mon fond de teint d'une abondante mouille. Alors que la plus belle s'apprête à rendre les armes que le pierceur intervient m'intimant une nouvelle fois de tout garder en bouche.

-- Tu n'avaleras que quand l'autre se sera libérée contre tes fesses, et en me voyant prête à grogner, ne parles pas la bouche pleine!

Lorsque je me relève il maintient ma jupe roulée sur mes hanches et baisse mon shorty, le second apprenti d'une queue bien plus raisonnable, se masturbe, le gland contre mes fesses. Heureusement, il ne tarde pas trop à gicler et les arrose joyeusement, j'avale dans la foulée sans attendre son aval!

À peine mon shorty remis en place sur mes fesses gluantes que je réclame mon sac, aucune envie de traîner et de subir un nouveau caprice de ces abrutis.

-- Au fait, j'ai remplacé ton ticket de bus par une pièce de deux euros, me précise-t-il en me le tendant, tu n'oublieras pas de bien fixer le chauffeur dans les yeux en lui demandant un ticket!

Je laisse passer les deux premiers bus, trop pleins à mon goût, j'ai besoin d'un espace vital important, mon odorat ne sachant plus très bien ce que je dégage comme effluves!

Une douche en urgence et un grand whisky coca bien chargé ne résolvent pas cette odeur incrustée dans mes narines. Je craque, éreintée par la pression de cette journée, et m'enfile coup sur coup deux autres grands verres du breuvage, puis tombe avachis dans mon canapé devant un feuilleton à l'eau de rose!

Je ne me réveille qu'en début de soirée et envoie une photo de ma nouvelle poitrine à Paul. Sa réponse ne tarde pas « magnifique ces mamelles! Avec ça tu penseras à moi et à ta nouvelle condition de soumise tous les matins en te regardant dans la glace! »

Pauvre con! Mais ça je le garde pour moi!

Acte 2 - Da Vinci God

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Paul adore les débuts de séance, c'est sûrement un de ses moments favoris lors de sa journée avec Lucie, la voir découvrir la nouvelle pause, observer ses expressions, cette gêne encore un peu présente malgré les deux mois déjà passés. Une pure jouissance!

Il en avait imaginé une bonne vingtaine pour l'instant, des positions sympas et humiliantes, sans aucune autre contrainte que celle de l'acceptation de Lucie de se soumettre à les tenir pendant cette demi-heure de bonheur!

Il en garde certaines, bien plus obscènes, pour plus tard, afin de toujours la surprendre et pouvoir l'humilier un peu plus à chacune de leurs rencontres.

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J'ai encore beaucoup de mal avec ces fichus anneaux, même si j'ai fini par me faire à l'idée d'en porter, mes tétons s'y étaient habitués, mais avec ce changement de piercing ils ont vite repris du service! C'est vraiment très perturbant et je dois sans cesse adapter mes tenues lors de mes activités, sportives tout particulièrement, pour éviter qu'ils ressortent.

J'arrive, par contre, depuis peu, à laisser divaguer mon esprit lors de ces poses exigées par Paul. Je repense au dernier film vu dans la semaine, à une exposition partagée avec quelques amis ou au passionnant roman que je suis en train de lire. Cela me permet de me détacher un peu de l'image que je propose à son regard.

Aujourd'hui je suis à genou, le buste légèrement vers l'avant, avec juste les seins sortis de mon chemisier ouvert et soutenus par mes mains en guise d'offrande à son attention.

-- Tu ne t'es pas confessé depuis quand?

En voilà une question incongrue pour me sortir de ma léthargie!

-- Cela fait déjà quelques années Mr, je devais avoir 19 ans lors de la dernière.

-- Effectivement ce n'est pas récent! Que dirais-tu d'une petite visite au curé de notre paroisse, tu pourrais rattraper le temps perdu et t'épancher de tes derniers pêchers, il a l'oreille attentive.

-- Mais que voulez-vous que j'aille lui dire!! Je ne suis plus catho depuis un moment et je n'ai plus rien à voir avec ça.

-- Je ne sais pas moi, je ne suis pas en contact avec ta conscience, mais tu trouveras bien quelques menus écarts de conduite à évoquer pour la soulager. Une certaine visite dans un bar par exemple?

Quelle lubie lui prend? Qu'est-ce que je vais aller y faire dans son confessionnal à bouseux. Il n'imagine quand même pas que je vais aller raconter mes débordements forcés avec les ploucs du village!

-- Reste encore en position pour l'instant, j'aime te voir m'offrir cette délicieuse poitrine!

-- Êtes vous croyant Mr pour me proposer cela?

-- Non du tout, mais tu verras, malgré la petite taille de notre village, et ses 2000 âmes, nous avons une grande église dotée d'une architecture très particulière pour notre région. C'est bien sur cet aspect qui m'intéresse. Et même si les voies du seigneur sont impénétrables, c'est un lieu où certains secrets d'alcôves méritent que l'on s'y attarde!

-- Seules celles du seigneur le sont Mr, impénétrables, pas celles de leurs jeunes ouailles!

-- Je te l'accorde, certains mériteraient d'être pendus par les couilles, mais contrairement à ses confrères, notre curé est un personnage qui vaut le détour, je suis sûr que tu l'apprécieras à tous points de vue! Va te préparer, tu trouveras une robe pourpre dans ta chambre pour l'occasion.

-- Comme les rivières Mr?

Il sourit à ma référence, appréciant ce bon mot, le rendant un court instant agréable. C'est la première fois que je me lâche avec lui, non pas pour l'amadouer, je le sais, maintenant par expérience, des plus inflexibles!

-- N'oublie pas les bas noirs et les Stilettos, tu peux garder ce magnifique shorty rouge dentelle que tu portes et ton soutif! me précise-t-il alors que je me rends dans la chambre.

Au retour il s'amuse avec un objet en plastique ressemblant à un œuf, m'observe, complimente ma tenue et me tend son joujou.

-- Ta tenue se complète aujourd'hui avec ce petit copain qui ne te veut que du bien, mets-le dans ton sexe.

cinolas
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