L'orage

BÊTA PUBLIQUE

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« Je sens que ça vient », je lui ai glissé ça dans le creux de l'oreille, « Mon jus ne demande qu'à sortir , tu es prête ? », « Oh oui !, vas-y, jouis mon petit, jouis, donne moi tout ton sperme, donne à maman, donne lui tout à ta maman, oh ! j'en veux j'en veux, donne moi tout ! »

« Je vais tout te donner et tu vas le garder bien au chaud », je donne maintenant des coups de reins furieux , maman râle et crie en secouant la tête de droite à gauche.

Je libère le flot de foutre, une giclée, une deuxième, une troisième à la suite. La quatrième est plus copieuse, venue de plus loin elle met plus de temps à jaillir. Maman tressaute à chaque jet de sperme brûlant qui l'assaille, je sens son corps entier secoué de frissons chaque fois que ma queue plonge pour libérer une nouvelle dose de semence. Elle en est pleine, le jus blanchâtre déborde et coule le long de ses cuisses. Le drap est mouillé sous elle, ses fesses baignent dans mon sperme.

Elle veut se redresser, m'éjecter d'elle pour partir vers la salle de bains mais cette fois je pèse sur elle tel un corps mort, « tu as promis de rester » , je lui rappelle sa promesse à voix basse dans l'oreille. Je sens qu'elle se crispe sous moi, ma queue est enserrée dans sa chatte contracté autour d'elle, son corps est dur comme du bois et son souffle est saccadé comme quelqu'un qui aurait une peur panique. Je la maintiens sous moi bien serrée, ma bite est encore dure en elle, je tente un va et viens, son emprise ne se relâche pas, elle tient ma bite en elle. Je retente de bouger, ma queue remue un peu, frotte contre ses parois vaginales, elle a un frisson qui me paraît être du désir. Mes reins se mettent à battre contre son ventre, l'étau relâche l'étreinte et je vais librement dans son sexe.

Je reprends mes coups de bite, j'en ai encore envi, maman halète sous moi, elle aussi semble vouloir encore faire l'amour, je l'excite au maximum, lui impose ma queue dans son intimité. Je la sens à nouveau prête au délire amoureux.

Un instant je m'arrête, je sors d'elle et me mets à lui enlever le reste de ses vêtements : je dégrafe le soutien-gorge, défais ses jarretelles, retire ses bas, fais glisser la gaine et lui arrache littéralement sa culotte. Je jette le tout pèle mêle sur le plancher avec le reste de nos frusques.

« Tourne toi » j'ordonne. Maman me regarde étonnée, « hein ? quoi ? », « Tu m'as entendu, retourne toi et met toi à genoux ». Elle hésite, « Ton père ne m'a jamais parlé ainsi ! », « Allons tourne toi vite, ce que fait ou ne fait pas mon père ne m'intéresse pas ! ». Lentement elle pivote sur elle même et se met à genoux.

Quel spectacle fabuleux, ce cul qui s'offre, cette croupe qui se tend, ma bite en grossit au spectacle rare qui m'est offert. Je me mets en position derrière elle et lui saisis les hanches, je suis au delà de l'excitation, mes yeux ne savent plus où se poser sur ce cul qui se tend vers moi. Je guide ma bite vers sa fente, elle est ruisselante de sperme et de mouille mêlés, ses lèvres sont encore ouvertes de mes assauts précédents, j'y entre sans mal et me propulse au fond d'elle. Elle a crié son petit « Oh ! » de surprise au passage de mon membre, si mon père ne l'a jamais prise en levrette, il est peu probable que quelqu'un d'autre l'ait fait. Je contemple ma queue plongée entre ses globes fessiers, spectacle inénarrable, voir les fesses de maman assaillies par ma tige.

« Comment trouves tu ça ? », je ne peux m'empêcher de le lui demander. Elle halète doucement, comme essoufflée et reprend pied avant de me répondre « Je n'ai jamais fait ça, avec personne, tu es un pervers, un salaud ! », « Mais tu aimes quand même te faire prendre par derrière, ne dis pas de bêtises, tu aimes ça ! ». « Tu me traites comme une putain ! », « Pas du tout, regarde comme c'est bon ! » et je ramone son vagin faisant entrer ma queue bien à fond et la ressortant presque entièrement. C'est aussi une découverte pour moi, je vois bien que je peux mieux la posséder ainsi, ma bite s'enfonce plus profondément en elle et je sens qu'elle réagit davantage à mes coups de pistons.

Elle s'affole à me sentir ainsi lui baratter sa fente, mon sexe lui fait un effet qu'elle ne soupçonnait pas, ses gémissements reprennent plus forts et plus soutenus, au rythme de mes coups de reins. Je fourre avec délice, agrippé à ses hanches je l'attire à moi et nos corps trouvent rapidement leur diapason.

« Oh, oh, oh, ho, oh, oh, » gémit-elle en continu. « Tu vois que tu aimes la levrette ! » et je la baise de plus belle, encouragé par ses cris. « Prends moi, prends moi encore, donne moi tout ! » maman délire complètement tant ma bite lui fait de l'effet. « Je vais encore t'en donner ne craint rien j'en ai en réserve, je te le garde et je te le livre quand tu veux », « Maintenant, maintenant, » supplie-t-elle, « Donne moi tout ce que tu as, oh oui ! donne , donne moi ! »

« Tu veux vraiment ? », « Oui, donne moi tout ce que tu as, vite, donne moi ! ».

Je force l'allure et le délire de ma mère atteint son paroxysme, elle gémit et crie en même temps, elle pousse des feulements de bête pendant que ma queue entre et sort d'elle à une vitesse affolante. Je ne contrôle plus mes reins, je suis moi-même hébété, hypnotisé par cette verge qui disparaît et réapparaît à une folle cadence dans son ventre. Elle me supplie jusqu'aux pleurs de lui donner ma liqueur, me dit qu'elle la veut là, maintenant dans son vagin qui attend.

Je ne peux différer davantage une telle demande et à grands coups de reins je décharge mon trop plein de sperme pour la seconde fois de la soirée. Sa chatte se met aussitôt à ruisseler du liquide blanc qui coule le long de ses cuisses. Maman a tressailli en sentant à nouveau la semence l'envahir, elle a crié sous les jets de foutre qui l'ont inondé.

Je suis déchaîné par le spectacle, plus rien ne m'arrête et il me semble que ma bite ne débandera plus. Je continue à grands coups de reins tant le spectacle m'excite, je suis toujours aussi dur devant ce cul offert à ma queue.

Mon attention est attirée par la petite corolle noir de son anus, le trou sombre me fait de l'œil et à sa vue ma queue rendurcit. Je ralentis la cadence et regarde mieux cet œil qui semble palpiter dans le noir. Je risque un doigt pour une caresse, ma partenaire tressaille et se cabre, tortillant du cul pour m'échapper, je force alors la porte sombre et entre mon doigt dans le cul de maman.

Encore une fois elle est surprise et crie en essayant de se dégager, mais mon doigt est bien engagé et je suis ses ruades jusqu'à ce qu'ils s'apaisent. Elle gémit de nouveau, domptée, sentant que finalement ce doigt lui apporte aussi de la félicité. Et elle repart dans le délire sexuel, à grands cris et gémissements. Mes coups de reins n'ont jamais cessés et maintenant je fais aller mon doigt en son cul. Petit à petit la corolle noir se détend et je sens bien que je pourrais glisser un second doigt dans le cul ainsi offert. Je tente la manœuvre, je ne veux pas la blesser, c'est délicat, je présente le doigt et je pousse en me servant du doigt déjà en place. A ma grande surprise je suis entré, accompagné du râle de maman, consentante ou non à mes assauts. Je besogne son sexe de ma verge et son cul de mes deux doigts. Je la crois vaincue, elle a posé sa tête sur l'oreiller et tente d'étouffer ses cris dans les plumes en m'abandonnant son cul. Je vais à l'aise en elle m'occupant de ses deux trous avec une rage et un plaisir tout neuf.

Un troisième doigt rejoint les deux premiers, je vois la couronne sombre s'ouvrir quand s'enfoncent mes doigts dans ses profondeurs, son anus est aussi distendu que son vagin. Je suis fasciné du spectacle de ces deux entrées dilatées par mes besognes. L'idée me vient spontanément, c'est maintenant que je dois agir, l'occasion est trop belle.

Ma queue se raidit à l'évocation de ce qui va se produire, je ralentis mes coups de reins et retire délicatement mes doigts, tout doucement, en prenant soin d'élargir encore un peu le trou qui se tend vers moi. Voilà mes doigts sont dehors et massent encore le sphincter détendu.

Doucement, doucement, je masse le trou béant, comme pour l'apprivoiser, puis je sors lentement ma queue rouge de tant de frottements et la présente à l'entrée du tunnel. Je n'attends pas, je pousse pendant que le passage est fait et je vois mon gland disparaître dans l'anus de ma mère. Elle a tressailli sous ma poussée, « Aaaaahhh ! noooon, pas ça !!!! » elle se tortille sous moi mais je la tiens bien, m'attendant à sa réaction « Non, retire toi ! retire toi ! je ne veux pas ça » et elle se tortille de plus belle. Je sens son anus se contracter autour de mon membre, essayer de le rejeter mais je tiens bon, attendant la fin de l'orage. Elle lutte encore un moment, mais je tiens fermement ses hanches plaquées contre moi et tel un cheval enfin apprivoisé, elle s 'abandonne à moi. Je pousse alors mon avantage et pénètre plus loin en elle tandis qu'elle pousse un cri entre douleur et jouissance.

« Tu te rends compte de ce que tu me fais ! salaud, tu n'es qu'un salaud, c'est les putains qui font ça, tu fais de moi une putain ! je suis une putain maintenant » et les pleurs commencent à couler contre sa joue. Je me penche vers elle, « Non tu n'es pas un putain, maman, je t'aime et je veux te le prouver de toutes les façons, je te donnerai du plaisir par là aussi, laisse moi faire et tu verras », ses pleurs ne s 'apaisent pas pour autant et un instant j'ai le sentiment d'avoir poussé trop loin le bouchon. « Je suis perdue, je suis perdue, et c'est mon fils qui m'a perdue » sanglote-t-elle doucement, complètement passive maintenant.

C'est alors que je me remets à mes vas et viens en elle, ses pleurs ont cessés petits à petits, sa respiration est plus saccadée et elle me tend ses fesses. J'ai gagné, maman repart pour le septième ciel encore une fois, mais de façon différente et légèrement contre nature pour la première fois.

Tout en lui bourrant le cul je pense que dans le fond, elle a peut-être raison et que finalement elle est bien une putain. En tout cas, elle se comporte comme telle pour l'instant, acceptant que ma bite lui dépucelle son trou du cul. Elle est devenue ma putain à domicile, son cul s'ouvre et se lubrifie, laissant ma queue aller et venir loin en elle. Son plaisir monte, toute étonnée, elle découvre cette sensation nouvelle : elle peut jouir par le cul et elle veut goûter à la sensation neuve que je lui procure. Elle s'abandonne tout à fait à ma bite, elle attend sa jouissance qui viendra de ce bout de chair qui lui ouvre son anus. Elle est attentive à ses réactions, guettant les soubresauts de son corps et la montée vers la jouissance.

Aux gémissements plus intenses je sens venir le moment grandiose, maman repart vers le septième ciel que je m'efforce de lui faire atteindre. Mes reins se mettent à battre un rythme forcené, mon ventre vient claquer contre ses fesses et ma queue pistonne à tout va. Pour la troisième fois de la soirée, je sens monter ma sève le long de ma tige, mais cette fois de façon un peu plus douloureuse, mes couilles me font mal. Pourtant le jus est bien là qui pointe dans mon gland et jaillit dans le trou noir en saccades successives jusqu'à mon épuisement. Maman a eu un long frisson en sentant couler ma sève dans son colon, ma queue va et vient encore dans un conduit désormais bien gras, je peux même pousser plus loin le gland, toute ma bite est en elle plantée bien profondément.

Nous restons ainsi un bon moment, collés l'un à l'autre sans bouger et sans dire un mot, juste pour reprendre notre souffle et nos esprits, se rendre compte jusqu'où nous sommes allés. Le temps de méditer un peu sur ce qui nous arrive.

Cette fois je débande assez rapidement et ma queue sort lentement de son fourreau, maman se dégage et se tourne vers moi. Je suis frappé par son visage qui oscille entre extase et effarement, « Te rends tu compte de ce que tu viens de me faire ? », je la regarde et lui murmure « oui je m'en rends compte, et je me rends compte aussi du plaisir que tu as pris ». « Ne me parle pas comme ça ! tu sais bien que nous sommes allés trop loin ». « Nous sommes allés là où notre plaisir commun nous a entraîné, nous n'avons pas à regretter ». Je ne la convainc pas vraiment, elle est honteuse de s'être laissé aller à des plaisirs prohibés, du moins dans son éducation et dans sa tradition.

Mais il faut revenir à la réalité, elle saute du lit et me demande de la suivre « Viens te laver toi aussi, tu dois en avoir besoin ». Effectivement mon sexe a besoin d'une toilette complète, maman ne sachant pas ce qui allait arriver avait omis ce coté obscur d'elle même.

L'eau coule dans la salle de bains mais pour nous deux cette fois, maman est à cheval sur son bidet sa poire enfoncée dans la chatte elle chasse vigoureusement toute trace de sperme qui pourrait subsister dans son vagin. Moi je regarde du coin de l'œil tout en m'astiquant la queue. Je m'aperçois alors combien ma bite est rougie par la débauche d'efforts qu'elle a du subir.

Je suis fatigué et je m'écroule dans le lit pour une longue nuit de sommeil.

*

Toute les nuits ne pouvaient être aussi intenses, il nous fallait souffler, reprendre force et envie pour poursuivre notre aventure. Le lendemain matin nous nous évitons l'un l'autre comme pour fuir les questions que nous pourrions nous poser. Mais chacun dans son coin fait le bilan de la nuit précédente, je le sens bien, moi qui me laisse aller à ma rêverie naturelle dans le secret de ma chambre que je ne quitte pas de la journée, et maman aussi, je le sais, elle qui se plonge dans une séance de repassage sans fin.

Vers la fin du jour, elle me déclare qu'elle est fatiguée et qu'elle veut dormir seule ce soir. Je n'insiste pas, sentant d'instinct qu'il serait vain de d'insister. Moi aussi j'ai besoin de repos pour affronter la journée d'école qui m'attend.

C'est donc en solitaire et à la main que je me satisfais au fond de mon lit, mais l'objet de mon fantasme se trouve à quelques mètres de moi, dans l'autre chambre et ma queue se gonfle immédiatement à son évocation.

*

Nous sommes le Samedi suivant, je n'ai pas école cet après midi, pas envie de sortir non plus, ma queue est trop dure, il faut que je baise sans plus attendre. J'ai attendu trois jours pour cela et maintenant je n'y tiens plus. Nous avons déjeuné en tête à tête moi et maman sans échanger trop de mots, elle me demande comment cela se passe à l'école, je répond par monosyllabes. Je ne pense qu'à cette envie qui me taraude le ventre, je regarde maman par en dessous, je vois ses seins qui bougent sous son corsage. De temps en temps, elle se penche vers moi et j'entrevoie le début de sa poitrine. Je bande rien qu'à ces visions furtives, je dois être très rouge probablement car je sens le sang affluer à ma tête.

Notre repas se termine, maman se lève pour débarrasser la table et elle commence la vaisselle. Je la vois de dos penchée vers l'évier où plongent ses mains et elles s'agitent. Je me lève pour saisir le torchon et l'aider dans sa tâche. Ce faisant, je ne peux m'empêcher de détailler son dos et sa chute de reins. J'essuie mécaniquement les assiettes et les couverts puis je les range dans l'armoire de notre cuisine. la vaisselle tire à sa fin, maman passe l'éponge dans le bac pour le récurer, moi j'ai fini de ranger. Je pose le torchon et je m'avance vers ma mère, je me plaque à son dos et passant mes mains sous ses bras je lui saisis les seins que je pétris durement. Elle pousse un cri de surprise qui se transforme en gémissement de douleur, « Tu me fais mal, ne me serre pas si fort » gémit elle pendant que je masse rudement ses deux nichons que je sens raffermir sous mes doigts. Elle est réactive à mes attouchements malgré leur rudesse, et en dépit de ses protestations je poursuis mon massage. Elle tente d'extraire sa poitrine à mes mains mais je la tiens fermement tout en massant encore plus fort ses mamelles, je trouve les tétons et je les fais rouler sous mes doigts malgré le tissus qui les recouvre. « Haï ! gémit elle, tu me fais mal, je vais avoir des bleus, arrête, arrête, je t 'en prie » et dans un souffle elle se retourne à demi pour me glisser à l'oreille « Soit plus doux avec eux ! »

Ma caresse se civilise alors, les globes de chair roulent entre mes doigts fébriles qui hésitent encore entre le pelotage et la découverte de cette poitrine qui s'abandonne.

Je fais sauter les boutons du corsage un par un et plonge mes doigts dans le soutien gorge offert à ma concupiscence, je remonte les tétons à l'air libre pour mieux les agacer et les rouler entre mes doigts. Maman a gémit de plus belle quand ma peau est venu au contact de ses bouts de seins, je lui embrasse l 'épaule et lui mordille le cou en même temps en suivant des yeux le travail de mes doigts roulant ses tétons. J'ai alors la surprise de voir qu'elle porte un soutien gorge noir, tout fait de dentelle. Ce sous vêtement est inhabituel, je ne le connaissais pas dans sa garde robe, il me fait l'effet d'un fort stimulant, moi qui ai toujours un œil sur la lingerie, le noir de soutien gorge me saute aux yeux et active ma bandaison encore plus si cela est possible.

J'ai envi d'elle, je ne tiens plus et l'entraîne vers le lit le plus proche qui se trouve être le mien. Nous roulons ensemble sur le lit étroit tout en nous embrassant à pleine bouche. Mes mains ont repris possession de ses seins et les pétrissent comme du bon pain. J'ai repoussé le soutien gorge et les mamelles dardent dans la dentelle fine.

Ma main part à la recherche du zip de la jupe et l'ouvre dans un bruit de déchirure, je tire sa jupe par le bas, maman se tortille pour sortir du fourreau étroit. La jupe est envoyée sur le plancher, et mes doigts courent à nouveau sur la cuisse habillée du soyeux nylon du bas. Je regarde, étonné de découvrir qu'elle est toute de noir vêtue, les bas, la culotte et sa gaine aussi, une nouvelle gaine que je ne connaissais pas, une culotte non moins nouvelle et sexy à souhait, en dentelle transparente. Dans cet écrin sa chatte me paraît encore plus désirable, mes doigts se promènent sur le fin tissu tendu entre ses cuisses, j'y sens déjà son humidité qui imprègne sa culotte. Je regarde à nouveau le corps de maman gainé de noir, je trouve le tableau magnifique et ma bandaison s'en trouve plus gaillarde.

Nous nous pelotons de plus belle, elle m'a dé habillé en un tourne main, mon slip a valsé à travers ma chambre et elle tiens ma queue à pleine main. Je sens ses doigts qui pressent mon membre convulsivement comme si elle le découvrait pour la première fois. Délicieuse sensation que cette main douce et caressante sur mon sexe pendant que je suce et lèche les seins aux aréoles sombres qui se dressent devant mes yeux. Elle bouge peu à peu sa main et commence à masturber ma bite rouge de plaisir, d'abord lentement, timidement, puis elle s'enhardit dans son initiative et me branle vigoureusement. Je suis si excité que je décharge rapidement mon foutre qui jaillit à longs traits et s'en va maculer la gaine noire de ma mère. Je regarde fasciné les tâches blanches de sperme sur le tissu noir, maman suit mon regard et regarde à son tour sa gaine souillée de mon foutre. Elle me sourie « Tu étais bien excité ! » constate-t-elle, « J'avais envie de jouir et j'ai toujours envie de toi ! », en effet ma queue est toujours aussi raide entre sa main qui ne l'a pas quitté. Elle m'attire sur elle et je bascule entre ses cuisses. Sa main qui tenait ma queue écarte rapidement sa culotte et elle guide mon sexe jusqu'à l'entrée de sa grotte magique. Je sens au bout de mon gland combien est grasse sa fente, je me glisse en elle sans effort. Maman soupire d'aise en recevant mon éperon entre les parois de son vagin, je sens la chair qui s'écarte quand s'avance ma queue.

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