L'orage

BÊTA PUBLIQUE

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Jipai
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D'un pas décidé je me dirige vers la salle bains où l'eau coule abondamment. J'ouvre la porte et entre dans la pièce, maman me regarde étonnée et gênée, elle est à califourchon sur le bidet, cuisses ouvertes et sa poire fichée dans la chatte qui bave tout le sperme que j'y ai mis. Elle me regarde et je la regarde, je n'ai même pas pris la peine de remiser ma queue dans mon pyjamas et ma bite bandouille devant moi. Elle bredouille « qu'est ce que tu fais là ? » d'une voix éteinte. « Je voulais voir ce que tu faisais dans la salle de bains après l'amour ». Elle détourne la tête, rouge de confusion et s'empresse de finir ses ablutions. Elle saisit la serviette et s'essuie vigoureusement l'entre jambe puis elle se tourne vers moi, « Hé bien tu as vu ! sais tu pourquoi je fais cela ? » je secoue la tête de gauche à droite, ne voulant pas paraître trop au fait des choses du sexe. « Pour ne pas avoir d'enfant ! tu sais bien comment on les fait puisque tu es capable de me faire l'amour ! » il y a comme de l'amertume dans sa réponse. Je la regarde pendant qu'elle se rhabille de son peignoir de bain. « Oui je sais, mais on ne les fait pas à chaque fois ». « Non bien sur mais il y a tout le temps un risque, et certaines périodes du mois sont plus risquées que d'autres ». « Qu'est ce qui arriverait si tu avais un bébé ? », maman me regarde avec un étonnement teinté de peur, « crois tu que ce serait très normal ? ». Non bien sur, la réponse va de soi, on n'a jamais vu un fils faire un enfant à sa mère. « Cela arrive me dit-t-elle, cela est arrivé parfois et les risques sont grands que l'enfant soit anormal ». Ah bon, cela est donc arrivé ? « oui cela est arrivé me répond maman, j'ai connu des cas et je ne veux pas me mettre dans ce mauvais pas ». Bien sur je la comprend, ce serait une honte pour nous, et comment mon père prendrait il la chose. « Oh très mal, très très mal, il est tellement jaloux, jamais je ne pourrais lui avouer un tel crime ». Un crime ? quel crime ? est ce donc un crime que nous commettons ? « Rassure toi mon chéri, nous ferons attention ». Certes, mais je n'ai pas aimé le mot crime.

*

Voilà donc sa peur de tomber enceinte de son fils, ce serait évidemment un énorme scandale dans la famille. On ne cache rien à sa famille, impossible, personne ne pourrait croire que maman a un amant qui aurait pu la mettre enceinte par exemple, alors qui ? il ne resterait plus que moi. Pour qui passerai-je donc ? et mon père dans tout ça, il me tuerait sûrement avant de tuer ma mère.

Toutes ces pensées pour aussi sombres qu'elles soient ne parviennent pas à briser mon optimisme, j'ai confiance en maman et finalement je suis bien content qu'elle prenne toutes ces précautions pour ne pas avoir d'ennui.

Nous nous aimons et je tiens à continuer à lui prouver mon amour tous les jours et à toute heure du jour si je le peux.

Pour le moment elle est dans la cuisine à préparer notre repas, j'arrive derrière elle, elle n'a rien entendu, la radio marche et je n'ai fais le moindre bruit. Je m'approche par derrière elle et passe mes bras sous les siens pour la serrer contre moi. Elle sursaute mais se laisse enlacer, je lui couvre le cou de petits baisers de la limite de ses cheveux à ses épaules. Elle se trémousse sous la chatouille de mes lèvres, pendant que mes mains explorent sa poitrine. « Arrête ! » me lance-t-elle pendant que je l'agace des lèvres et des mains, mais sa supplique ne me paraît pas très ferme et je continue mon manège. « Non, attend ! » me souffle-t-elle encore pendant que mes mains lui massent consciencieusement les seins et que mon bassin colle à ses fesses. « Je t'en prie, tu m'excites ! » c'est bien mon but et ce ne sont pas ses maigres protestations qui me font reculer.

Elle ne proteste plus et son souffle est saccadé, ses fesses collent à mon ventre et sa poitrine se tend à mes mains, je sens ses tétons dressés et durs sous le tissus du corsage. Je l'embrasse furieusement, mordant son cou jusqu'à la faire tressaillir à mes morsures. Elle pantèle maintenant sous mes caresses et ses gémissements m'encouragent dans mon entreprise. Je la retourne et tout en l'embrassant à pleine bouche de la pousse contre la table de la cuisine, elle se laisse faire sans protester et se couche sur la table. Je pelote encore ses seins offerts et dressés et mes mains glissent le long de ses hanches et de ses cuisses. Je saisis le bord de la jupe et remonte le vêtement pour découvrir ses cuisses. Mes mains caressent et écartent les cuisses en même temps, elles s'ouvrent sans résistance, déjà mes doigts défont ma ceinture et mon pantalon choit sur mes talons. Mes doigts encore caressent la chatte humide sous le nylon léger de la culotte que j'écarte sur le coté, le sexe poilu m'apparaît nu et ma queue se tend vers lui.

J'ai saisi les hanches de maman et présente ma bite à sa fente, mon gland connaît le chemin à travers la brousse dense de son pubis. Pour la première fois je vois ma queue tendue vers le sexe qui se fraie un passage au contact des lèvres velues . Le spectacle de la bite qui ouvre et s'engloutit dans cette fente est fascinant, je reste un moment à mis chemin de mon but, contemplant ma queue qui disparaît à moitié dans la fourrure noire maternelle. Elle gémit sur la table et je sens son sexe qui se contracte impulsivement autour de mon gland planté en elle. Moment délicieux de contemplation, maman allongée sur la table de notre cuisine, les cuisses ouvertes avec ma bite plantée en leur milieu. Ce mélange d'indécence et de décence me fascine, juste la jupe relevée, la culotte écartée et ma queue en elle alors qu'elle est toute habillée, il suffirait de presque rien pour que tout cela s'arrête et redevienne une scène normale.

Je surmonte ma fascination et plonge mon sexe au fond du sien. Elle pousse un « Oh ! » de surprise satisfaite et je me mets à lui besogner la chatte. Elle geint doucement la tête renversée sur la table alors que ma chair pleine de sève va et vient au plus intime et au plus profond de sa chair, je vois nos mouilles qui se mêlent et forme un filet de bave blanche qui s'écoule de part et d'autre de ses lèvres fendues et ouvertes par le piston qui se fraie un chemin vers le nirvana.

Ce spectacle fait monter en moi rapidement l'envie de déverser ma liqueur en son réceptacle, voir si mon sperme jaillissant, tiendra tout entier en son vagin ou s'en écoulera comme ce lubrifiant que je vois sourdre de la touffe de poils pubiens.

Je me lâche, en poussant un « Han ! » forcené je libère le flot de ma semence en saccades longues et profondes, aussitôt je vois le reflux du trop plein qui bave entre nos sexes. Maman pousse un cri de surprise à ma première saccade, ensuite son corps se raidi, elle est secouée par un long frisson et elle geint longuement jusqu'à l'arrêt de mon éjaculation.

Nous avons joui ensemble, hébétés par le plaisir et l'aventure que nous venons de vivre sur cette table de cuisine. Je la contemple, elle est plus prompte que moi à réagir, elle se redresse, me repousse et part en courant vers son salut, sa poire de caoutchouc qui la lavera de tout mes spermatozoïdes.

Je reste seul dans la cuisine, ma tête me tourne, je remonte mon pantalon, range ma bite encore chaude et bandée du vagin de maman. Décidément, ce final me rend infiniment triste et frustré, je me retrouve seul face à moi même alors que l'amour est un partage. Seul avec ma queue encore pleine de sa mouille, de son odeur de femme que je vais transporter dans mon slip toute la journée.

Lorsque maman revient de la salle de bains, je ne suis plus là. Besoin de prendre l'air et de me calmer après cette rage de cul qui m'a pris. Quelle histoire ! elle risque de prendre mal le fait que je sois parti, tant pis, ce n'est pas pire que de fuir vers la salle de bains comme si elle avait le feu au cul. Je veux de la tendres *

se, merde, c'est quand même pas le bout du monde, ça peut bien attendre un peu la grande lessive des spermatos. Faut il qu'elle soit paniquée à l'idée d'être enceinte, c'est vrai que j'imagine mal la situation si elle venait à se réaliser, adieu bien des choses à commencer par notre petit secret bien intime, bien salace, bien cochon et qui nous fait du bien à tous les deux. Après tout si elle n'avait pas voulu cette aventure, elle m'aurait repoussé la première fois. La vérité, c'est que ma mère veut sa part de cul et que l'éloignement de mon père la frustre énormément. La voir jouir m'a renseigné sur sa libido, elle en veut et en définitive elle est bien contente d'avoir ma queue sous la main et sous la chatte, hé bien si elle en veut, elle en aura. Je suis prêt à lui donner tout le sexe dont elle voudra, je connais encore relativement peu de choses, mais je suis de bonne volonté et j'apprendrai vite. Les copains sont là pour ça, je décide alors de fréquenter plus assidûment les plus âgés et les plus délurés d'entre eux , j'en connais qui ont certainement de l'expérience à revendre et qui voudrons bien me faire partager leur savoir.

Tiens justement en voilà un qui doit bien si connaître en matière féminine, « Salut », «Dis moi, ça fait un bail qu'on t'a vu ? », « J'étais occupé » et comment ! ne puis-je m'empêcher de penser. « Ah oui je vois ! une nana ? », « On peut rien te cacher ! », « Tu te l'aies faite au moins ? », « Bien sur ! ». « Raconte un peu, tu l'as sauté ? », « Ben oui, je l'ai sauté », « Comment c'était ? », « Très bon ! nous avons baisé ensemble pas mal de fois ». « Dis donc mon salaud, tu as changé toi ! raconte moi un peu comment tu t'y aies pris ? ».

Et je lui raconte en gros mes exploits, sans mentionner de qui il s'agit, il serait fort surpris ! Néanmoins par le jeu des questions et des réponses je parviens à me faire mon opinion sur le sexe et la façon de procéder. J'apprends vite qu'une femme peu prendre un sexe en bouche pour le sucer, que c'est une caresse exquise très recherchée. Mais je dois avouer que « ma nana » ne m'a pas prodigué cette gâterie. J'apprends qu'il y a d'autre positions pendant l'amour que la bête position dite du missionnaire. En passant j'apprends que les missionnaires eux aussi peuvent être saisi par la débauche. J'ai l'impression que lui aussi bénéficie de mon savoir tout neuf en la matière, on a beau être déluré, on en a toujours à apprendre en ce bas monde. La discussion est intéressante, je sens que je vais rentrer à la maison plein de nouvelles idées à appliquer sans délai. Lui aussi semble-t-il si j'en juge par la bosse sur le devant de son pantalon, il va devoir rapidement faire une rencontre ou se soulager chez la veuve poignet.

Quand nous nous quittons, nous sommes l'un et l'autre forts excités. C'est presque en courant que je rentre à la maison, la nuit est tombée et il est temps de regagner ses pénates.

*

C'est ainsi que je me heurte presque dans l'escalier à la voisine du dessus, toujours la même ! je ne l'ai pas vu tant j'étais absorbé dans mes pensées lubriques. « Oh pardon Madame Lefait », et je redresse la tête pour la regarder de mon air le plus niais. La grande blonde me regarde, un sourire ironique au coin des lèvres. « Merde ! » elle a encore vu la bosse de mon pantalon, elle doit se dire que c'est mon état normal !

Je m'enfuis encore une fois vers l'appartement douillet et salvateur où ma mère m'attend.

Oui mais c'est la soupe à la grimace qu'elle me sert ! Je ne l'ai pas habituée à rentrer tard et c'est une engueulade en règle qui m'attend. « D'où viens tu ? » me lance-t-elle, « J'étais avec les copains », « tu sais que tu dois rentrer avant la nuit » me dit elle sèchement. « Oh maman, pour une fois » j'essaie de plaider ma cause et veux l'enlacer de mes bras. Elle se dérobe rapidement sans même me regarder et s'en retourne à ses fourneaux.

Le repas est lourd de silences entre nous, chacun mange avec le nez dans son assiette. Je ne peux m'empêcher de penser à la discussion avec Jean-Louis, il m'a appris des trucs mais je suis sur que moi aussi j'ai du lui en apprendre, particulièrement sur la façon dont les filles pratiquent la contraception. Il m'a posé toutes sortes de questions sur le sujet et je lui ai décrit ce que j'avais vu dans la salle de bains de ma mère, sans toute fois préciser qu'il s'agissait de maman.

J'ai avalé mon dessert sans plus d'échange avec maman. Elle débarrasse la table maintenant et s 'apprête à faire sa vaisselle, de mon coté je vais fouiner du coté de la télé pour voir ce qu'il y a. C'est les infos et leurs cascades de catastrophes qui ont vite fait de m'ennuyer. Dans la cuisine l'eau coule et ma mère lave nos assiettes, je reviens sans faire de bruit et m'approche d'elle sans qu'elle n'ait perçu mon arrivée. Tout près d'elle, je passe mes bras sous les siens et lui empoigne les seins. Elle sursaute et lâche le plat qu'elle était en train de laver. Elle me lance « lâche moi ! » mais sans succès, je tiens fermement ses seins dans mes mains et je me colle à son dos de façon à l'empêcher elle même de bouger. Cependant elle se débat, essayant de me faire lâcher prise, ses doigts se mêlent aux miens pour desserrer l'étau qui lui tient la poitrine. Elle gémit sous l'effort et essaie de me pincer la peau des mains, rien n'y fait, je tiens le coup malgré la douleur et je sens palpiter ses nichons pendant qu'elle se tortille. Ses fesses aussi remuent et viennent agacer ma queue qui frotte contre son cul. Je tente de sentir ses tétons à travers le corsage et le soutien-gorge, j'ai réussi à pincer le gauche entre mon pouce et mon index, je le roule entre mes doigts. Elle essaie encore de se débattre, elle gémit encore et ce n'est plus tout à fait le même gémissement, il est plus désespéré, plus soumis. Elle se tortille pour m'échapper mais je la tiens bien désormais, j'ai saisi l'autre téton qui roule sous mes doigts, c'est une caresse érotique que je lui pratique maintenant.

Maman réagit rapidement à mes attouchements, ses cris sont ceux d'une femme excitée par un male. Je viens de redécouvrir combien ses seins sont sensibles à la caresse, je sens ses tétons aussi durs que ma queue sous mes doigts. « Salaud ! » souffle-t-elle. Je la laisse dire et la pelote de plus belle, « Salaud de gosse, tu me veux ? hé bien tu m'auras ! viens dans la chambre ».

Nous courons plus que nous marchons, dans la chambre je lui arrache presque le corsage, fais jaillir ses seins hors des bonnets du soutien-gorge, je tète ses mamelons dressés et rouges de mes agacements tandis qu'elle gémit, le souffle court et enfiévré. Pendant que je me penche sur sa poitrine, mes mains courent sur sa jupe, je caresse ses cuisses, entraînant la jupe vers le haut, la limite des bas, sa chair nue, ses jarretelles, ses fesses serrées dans la gaine qui lui prend la taille. J'écarte ses cuisses, ma main force le passage vers sa fente, j'ai la surprise de la sentir déjà humide, sa culotte est mouillée de sa cyprine. J'ai son souffle tremblotant au creux de mon oreille « Saligot ! tu n'es qu'un saligot, n'as tu pas honte de toucher ta mère comme tu le fais ? », je redresse un instant la tête pour la regarder dans les yeux, « c'est toi qui m'a montré le chemin ». Mes paroles tombent de ma bouche, je fixe son regard, elle me regarde un instant avant de fermer les yeux « Je sais, je n'aurais pas du, c'est trop tard maintenant, je suis perdue, oh ! ta main, ta main, oh ! tu me fais du bien ! ». « Tu vois que tu aimes ça, laisse toi faire, écarte un peu plus tes cuisses je veux te branler mieux, te faire mouiller ta culotte encore plus ».

Elle ouvre ses cuisses, docile sous mes caresses de plus en plus curieuses de son intimité. J'ai repoussé la culotte sur son aine pour accéder librement à sa chatte, je sens sa touffe grasse de mouille tout au long de sa fente. Mes doigts s'enfoncent entre ses jambes, j'atteins son anus, je palpe le bourrelet de chair qui défend son cul. Elle sursaute et se dérobe à mon attouchement, « Ne me touche pas là, je ne suis pas une putain ! » me lance-t-elle. Sans insister et sans trop comprendre, je reviens à la fente qui bave tant et plus.

Mes mains partent à la recherche de la fermeture de sa jupe, je m'énerve à faire descendre le zip et quand j'y parviens, la jupe choit à ses pieds. J'en profite pour la défaire du corsage qui rejoint la jupe sur le plancher, je la pousse doucement vers le lit où nous nous effondrons ensemble, l'un sur l'autre. Je tète encore ses seins, elle gémit de plus belle pendant que mes mains flattent ses cuisses entre ses bas et son sexe. Ses gémissements sont de plus en plus présents et plus forts, maman semble partir dans un délire sexuel que je n'avais pas connu jusqu'alors, elle se saisit de mes vêtements et me les arraches littéralement. Les coutures craquent douloureusement et pantalon et chemise rejoignent ses fringues par terre à coté du lit. Quand je suis nu, elle me bascule sur elle avec cette force qu'elle trouve pour m'éjecter quand tout est fini. Ses cuisses s'ouvrent délicieusement , mon bassin se glisse entre ses jambes, mon ventre est contre le sien et frotte contre le tissu élastique de sa gaine. Ma bite palpite contre la fourrure gluante de son sexe à la recherche du passage vers son vagin, elle remue son bas ventre et vient à la rencontre du gland qui ne tarde pas à trouver l'ouverture et se précipiter en elle. Elle pousse un petit cri de surprise satisfaite pendant que ma queue progresse entre les parois humides et glissantes. Je lui trouve le vagin brûlant de fièvre, sa respiration est saccadée et son corps se tord de désir sous moi.

Je ne tarde pas à lui prodiguer les coups de bite qu'elle attend, elle a les yeux clos, la tête renversée en arrière, elle râle de plaisir quand mon sexe s'enfonce dans son vagin avide de jouissance. Je maîtrise mes coups de bite, d'abord je lime lentement, enfonçant loin en elle mon dard de chair, jusqu'à toucher le col de l'utérus, juste l'effleurer sans lui faire de mal, mais voir jusqu'où je peux m'enfoncer dans son ventre. Elle est profonde et ma queue est gonflée plus que jamais, je la remplis bien et je sens ses muscles vaginaux qui enserrent ma verge. Ses gémissements montent dans la chambre au fur et à mesure que j'accélère mes coups de reins, j'atteins un rythme de croisière assez soutenu et pilonne son bas ventre avec vigueur. « Oui, oui,, oui, oui, oui, oui ! » halète-t-elle sous mes assauts et sous mon regard fasciné par le spectacle de ma mère en train de jouir.

« Tu ne penses plus à te plaindre de ton fils » lui dis je au creux de l'oreille, « Il te fait trop de bien ! ». « Oui, oui, oui, oui ! » est sa seule réponse sous les coups de queue qui la font monter au paradis. « Tu en veux de ma bite ? », « Oh ! encore, encore, encore ! » me lance-t-elle au comble du délire tant elle est hors de toute réalité.

« Tu veux du sperme ? », « Oh oui ! donne moi tout ! », je me penche à son oreille « Je vais tout te donner, mais je veux que tu le gardes cette fois ». « Oh non !, oh non !, oh non ! » répond-elle au rythme de mes reins qui vont et viennent entre ses cuisses. « Je veux que tu gardes tout cette fois ! », elle gémit de plus belle comme pour protester, « Ce n'est pas possible ! » souffle-telle enfin . « Je le veux, tu vas tout garder en toi, je veux que tu gardes mon sperme en toi, juste ce soir, pour une fois, je veux que ton vagin soit plein de moi ». « Non !, non !, je vais être enceinte, je ne veux pas, non !, je t 'en prie, je n veux pas ». « Juste une fois, rien que pour moi, tu ne seras pas enceinte je te le promets !, juste une fois pour moi ». elle ne répond plus rien pendant que je continue à la besogner de plus belle. Elle se mord les lèvres pour ne pas crier trop fort, c'est vrai que je m'applique à la faire jouir, je veux que ce soir soit grandiose, qu'elle prenne un pied fabuleux.

Jipai
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