L'orage

BÊTA PUBLIQUE

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Jipai
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Un coup de rein et me voilà fiché dans son intimité, prêt à la pistonner jusqu'à la jouissance, car je suis plus que jamais décidé à l'entendre crier son plaisir.

Aussi je m'applique à la besogner longuement et langoureusement au début, je surveille ses réactions au fur et à mesure que ma bite va et vient en elle. Elle a clos ses yeux et elle se pince la lèvre inférieure entre ses dents. Quand ma queue lui entre la chatte plus loin, je sens le raidissement de son corps pendant que son vagin se serre convulsivement autour de la tige qui s'enfonce en lui. J'atteins le fond du conduit vaginal, je le sens au net raidissement du corps que je chevauche, une petite douleur vite réprimée. Je vais avec prudence pour ne pas heurter le fond de la grotte en même temps que j'accélère mes coups de reins. Ma queue pilonne à grands coups le vagin de maman qui halète sous moi. Ses gémissements sont un encouragement à accélérer mes coups de bites et nous montons crescendo en rythme, moi en coups de reins elle en halètements qui se transforment peu à peu en vagissements de plaisir. Je la baise en longues et rapides pulsions de queue dans un vagin trempé de mouille et qui produit se bruit flasque de chair baveuse. Ce bruit me rend complètement dingue et j'imagine mon pieu de chair fouillant dans la jungle drue de la fourrure pubienne. Je n'y tiens plus, maman produit un long gémissement continu de femelle en rut, elle s'abandonne complètement au plaisir qui la saisit, je jète un rapide regard en arrière vers ses cuisses ouvertes qui battent l'air et entre lesquelles mes fesses montent et descendent, je ne me retiens plus et ma lave brûlante coule en elle. Je lâche en son sexe tout le sperme dont je suis capable dans l'instant, son cri est plus aigu, elle a perçu l'impact chaud de ma semence ardente et exhale le plaisir de recevoir au plus profond de son ventre la liqueur féconde.

Ma queue est à peine moins tendue et cette fois c'est moi qui réagis promptement, je me retire d'elle et lui dit de se mettre à genoux. Maman m'obéit et se place en levrette. A genoux, je me glisse derrière elle et ma queue s'enfourne à nouveau dans sa chatte. Je me colle à son dos et lui passant les bras sous le corps je me saisis de ses seins que je masse fortement. Sous le massage maman gémit et ma queue a à nouveau la raideur du début. Nous restons ainsi quelques instant, moi lui massant les nichons pour faire renaître son plaisir, elle à quatre pattes et ma queue bien plantée en son ventre, deux animaux que l'instinct fait s'accoupler.

Quand je suis à nouveau prêt d'exploser et elle plus gémissante que jamais, j'active mon piston à plaisir et je vais et je viens entre ses reins. Elle porte toujours sa culotte que j'ai écarté sur le coté gauche, elle est souillée de nos mouilles mêlées et jusque sur les cuisses de ma chaude maman. J'ai le loisir de bien regarder son cul gainé de noir, ses jarretelles qui filent sur ses cuisses et ses bas tendus par sa position scabreuse. Le spectacle est plaisant et érotique, je m'en repais tout en baisant en souplesse, ma bite plongeant et sortant de ce cul offert à mes coups répétés. Mes doigts défont l'agrafe du soutien gorge qui tombe sur le lit et les seins de maman vont librement au rythme de mon bassin heurtant ses fesses. Je matte les masses adipeuses qui vivent au gré de mes reins qui impriment la cadence. Le spectacle est hautement érotique et mes yeux se partagent entre ces seins qui battent l'air et ma bite qui plonge et replonge dans l'entre d'où je sortis un jour. Cette pensée me remplit d'une bouffée de chaleur et ma tige s 'en trouve gonflée de sève. Je matte plus que jamais cette coulisse rose qui pénètre sans relâche le vagin d'où il sort et j'essaie de l'imaginer ce jour là, dilaté et béant pour me laisser le passage. Pour l'instant maman comprime ma queue en des contractions spasmodiques autour de ma verge. Je sens la semence prête à jaillir encore plus bouillonnante que naguère pour s'engouffrer dans le conduit obscur où se créer la mystérieuse alchimie de la vie. Ce cul largement offert est un appel à la jouissance que je ne peux différer davantage, je saisis les hanches maternelles gainées de noir et je tire à moi propulsant ma queue au plus profond de son bas ventre où je décharge mes rasades de sperme en vagues longues et drues. J'ai poussé un cri rauque au même instant et maman, surprise de mon assaut à crié de surprise et tressaillit sous le choc du sperme qui envahit son corps.

Nous nous effondrons sur le petit lit, haletant de nos efforts, mêlant nos sueurs et nos effluves, bouillant comme des chevaux après une longue course. Maman, sous moi se débat. Elle voudrait s'enfuir vers la salle d'eau et laver sa chatte de tout ce sperme qui bave de lui. Je me fais lourd sur elle, entrave ses mouvements, l'empêche de se redresser. Elle ahane et se bat contre mon inertie mais je résiste. Ses forces fléchissent et j'ai moins de mal à la retenir, la lutte est inégale, elle le sent et ça la panique, moi je rebande déjà, cette lutte a réveillé mon instinct et je revis, plus bandant que jamais, dur et tendu. Maman gémit « Lâche moi souffle-t-elle, tu sais que je dois y aller, ce serait trop bête, allons lâche moi ! » . Mais je ne lâche rien, cette fois ma queue est contre ses fesses, ma mains remonte un peu la gaine par derrière et ma bite plonge entre les fesses. J'écarte un peu les lobes charnus et y glisse mon membre en le guidant vers le trou sombre de maman.

Elle se débat encore « Non ! pas ça, non chéri laisse moi je ne veux pas ! pas par là, pas par là… ho !!! » et ma bite force le conduit étroit de l'anus. Mon gland a déjà investi la place, le reste n'est que formalité et d'un coup de rein je force le passage. Maman a crié de douleur, je sais que je lui ai fais mal au passage, aussi je demeure immobile un instant, le temps qu'elle s'habitue à ce membre qui palpite en elle. Son sphincter se resserre autour de ma tige, d'abord fortement puis peu à peu il accepte ce corps étranger qui le force. Il cède et le vainqueur peut triomphalement pousser son avantage dans les ténèbres profondes où il fraie son chemin.

Maman râle et je ne sais si c'est le plaisir ou la douleur. Cette fois je ne me pose pas de question et je repars à l'asseau fringant comme une première fois. Elle couine des « Haï » de douleur mais n'a plus la force de s'opposer à ce que je lui fais subir. Je reste longtemps à la pistonner, mon plaisir dure, le principal de mon sperme est sorti, je dois refaire mes réserves, j'ai tout mon temps. A la longue le plaisir lui revient quand elle cesse tout à fait de s'opposer, le sphincter relâché ma bite est en elle et je la manœuvre à loisir. Son cul s'ouvre à mon membre et nous baisons profondément. J'ai le contrôle total de ma jouissance et ce n'est que près d'une heure plus tard que je me déverse dans ses intestins, quelques saccades rapides, ma tige crache son sperme pour la quatrième fois dans l'après midi.

Je me laisse aller sur le dos et ma queue échappe au trou où il était enfoui. Cela produit un pèt étrange, le cul de maman laisse échapper les gaz que ma bite retenait au fond. Elle est trop épuisée pour s'en formaliser et s'effondre de tout son long dans le lit, sans force désormais. Elle ne bouge pas et je constate sans tarder qu'elle est tombée dans un sommeil profond.

Sans bruit je me glisse hors du lit et cette fois c'est moi qui file dans la salle de bains pour me laver la queue. Je dois dire qu'elle n'est pas si sale qu'on pourrait le croire et ma toilette est vite faite. Quand je reviens vers ma chambre, de grands ronflements remplissent l'air. Je jette rapidement un œil dans la chambre où maman gît en travers du lit, à plat dos, une jambe sur le lit l'autre pendante. La culotte sur le coté laisse son con apparent ; Je m'approche sur la pointe des pieds et m'accroupis entre ses jambes pour voir sa chatte de plus près. Les lèvres sont à peine refermées et laissent voir leur plaie béante d'où coule encore la cyprine mêlée au sperme blanc qui macule jusque ses cuisses. La corolle de son anus sombre palpite devant mes yeux, il est encore ouvert et porte les traces du passage de ma queue. Là aussi, le sperme coule en une rigole qui se perd entre les globes fessiers.

Sa poitrine nue se soulève doucement, je regarde ses aréoles sombres de brune, les tétons sont encore érigés et il me suffit de les effleurer pour attirer une plainte aux lèvres de maman.

« Ainsi me dis-je tu t'attendais à te faire enculer ? ton cul était bien propret et ma queue ne s'est même pas salie en s'enfonçant en toi ? Salope ! ne puis-je me retenir de penser, elle avait préparé son cul pour la bite de son fils ! brave salope de femme ! »

*

Ce n'est qu'une heure plus tard que maman émerge de ses songes, ses yeux s'ouvrent et se promènent sur le plafond, elle se demande où elle se trouve. D'un seul instant elle réalise sa situation et se dresse sur son séant, affolée, le regard perdu. Elle file d'un trait vers sa salle de bains sans me jeter un regard.

Sa toilette dure longtemps, j'entends l'eau couler pendant un bon moment avant qu'elle ne réapparaisse. Elle a enfilé un peignoir de bains et elle vient à moi le visage fermé. « Pourquoi ne m'as tu pas empêché de m'endormir ? », je la regarde de mon air le plus innocent, « Tu dormais si bien » . Elle soupire, « Tu sais bien que je dois faire ma toilette aussitôt après… après… hé bien après quoi ! ». Visiblement embarrassée elle ne sait comment m'adresser le reproche « J'ai pensé qu'il serait bien que tu te reposes, tu en avais tellement envie ». « Non, tu ne dois pas me laisser dormir après, je dois à tout pris faire ma toilette, tu le sais, et je ne veux pas courir de risque, désormais, tu m'empêches de m'endormir après » . « Oui maman »

Elle tourne les talons et s'en va à ses affaires pendant que je reprends les miennes.

La soirée fut longue avant le coucher, mais au moment de se mettre au lit, je la suis dans sa chambre et notre duo d'amour reprend dans son lit spacieux et douillet où nous baisons jusqu'à fort tard. Cette fois, maman garde toute sa lucidité et la salle de bains aura sa visite trois fois ce soir là. Je m'endors comme une masse, exténué par les efforts fournis tout au long de la journée.

*

Octobre nous surprend par sa fraîcheur, il nous faut un peu de chauffage dans l'appartement, maman me demande de faire la corvée de charbon qui en principe est dévolue à mon père quand il est là. Mais pour l'heure, je suis l'homme de la maison, je l'ai prouvé et le prouve à tout instant. C'est donc sans rechigner que je m'empare du seau pour descendre à la cave de l'immeuble chercher de quoi nous chauffer. C'est le soir et la nuit est déjà là, j'ai allumé la minuterie pour éclairer chichement le couloir qui descend dans les profondeurs de la maison. La cave est cet endroit obscur et mystérieux où l'on stocke tout ce qui ne sert plus mais « on ne sait jamais », il m'attire comme un aimant, il y a là, je le sens, des choses mystérieuses au coin de ces couloirs étroits et oppressants.

J'en suis là de mes réflexions lorsque tout à coup je butte contre quelqu'un, relevant le nez j'aperçois madame Lefait qui paraît aussi surprise que moi. « Pardon madame, excusez moi » je lui bredouille mes excuses en reprenant mes esprits. « Décidément, ça devient une habitude de se rencontrer ! » me lance-t-elle pendant que je regarde cette femme belle et encore désirable qui alimente mes fantasmes nocturnes. Elle me sourit tout en barrant mon chemin vers notre cave, « Tu as beaucoup grandi ces jours-ci, te voilà un homme maintenant. Comme le temps passe mon petit Jean-Alain ! ». Je ne sais que répondre et la regarde sans dire un mot. « Tu t'occupes du charbon, c'est bien, tu es fort, un vrai homme maintenant ! » et se penchant vers moi comme pour une confidence elle me lance « Et tu t 'occupes bien de ta maman aussi ! ». Je sens le rouge de la panique me monter au visage, une violente poussée d'adrénaline me tétanise sur place. Madame Lefait se rend compte de mon trouble et vient vite à mon secours, « N'aies pas peur, je ne dirais jamais à personne de ce que j'entends souvent depuis chez moi, je crois que tu lui fais beaucoup de bien à ta maman. ». Je la regarde, terrorisé par sa découverte, mais madame Lefait sourit avec beaucoup de bienveillance.

C'est le moment que choisit la minuterie pour s'éteindre et nous laisser dans le noir presque total. J'ai un mouvement pour aller à la recherche de l'interrupteur mais madame Lefait m'arrête en me retenant le bras. Je la regarde surpris, et distingue un sourire sur son visage clair. Sa main lâche mon bras et je la sens presque aussitôt sur ma braguette. Instantanément me voilà raide à nouveau en sentant ces doigts qui cherchent l'ouverture de mon pantalon, le trouvent et s'y glissent sans plus attendre. Elle a défait mes boutons prestement et c'est engouffré dans la brèche, ses doigts palpent mon membre et le tire hors de mon slip avec une rapidité et une dextérité qui me laisse sans réaction. « Tu as une belle queue me susurre-t-elle, ta maman a bien de la chance de l'avoir à disposition. J'avais envie depuis longtemps de la connaître, à entendre ta mère crier, je pensais bien qu'elle en valait la peine ! ». Je suis tellement soufflé que je me laisse faire sans réagir, madame Lefait prenant les choses en main me masturbe maintenant d'un mouvement souple et régulier. « Mmmmm ! la belle bite que voilà, quel régal pour une femme ! » murmure-t-elle tout en me branlant la verge.

Soudain elle tombe à genoux et sans prévenir je sens qu'elle a pris mon sexe dans sa bouche, je le suppose à la chaleur soudaine qui entoure mon membre et la douceur subite de la caresse sur lui. Je suis suffoqué de surprise, jamais personne ne m'a prodigué cela, je ne l'ai même jamais vu , et cela est si bon. Mes yeux écarquillés dans le noir, j'essaie de voir comment elle s'y prend pour me faire tant de bien. Je vois juste sa chevelure abondante qui ondule au rythme qu'elle imprime à sa tête. Ses lèvres ont pris possession de mon sexe et le sucent en absorbant tout entier la longueur qui leur est offerte. Le souffle léger de madame Lefait sur mon pubis me renseigne quand elle avance la tête pour prendre ma queue au plus profond de sa bouche.

Cette nouveauté est si inattendue que je ne tarde pas à décharger. Confus, ne sachant comment faire, j'ai laissé mon foutre jaillir sans plus de contrôle, honteux du résultat. Madame Lefait à ma grande surprise absorbe tout le sperme que je lui offre et l'avale en fermant les yeux comme si un met délicieux coulait dans sa gorge. Je la regarde médusé boire ma liqueur sans en perdre une goutte. Quand tout est fini elle lève les yeux sur moi et me regarde en souriant. « Alors, ma demande-t-elle, comment as tu trouvé cela ? ». Je ne réponds rien, encore sous le choc de cette rencontre. « C'était bon non ? » insiste-t-elle. Je peux juste hocher la tête en guise d'acquiescement. Alors elle se penche sur moi pour me glisser à l'oreille « On recommence quand tu veux » et elle disparaît aussi vivement qu'elle m'est apparue.

Je demeure un instant sans réaction, incertain de ce qui vient de se produire et me réveillant enfin je m'ébroue pour accomplir la mission qui m'a fait descendre ici.

Je dois être bien troublé lorsque je remonte car maman me regarde bizarrement, il est vrai que j'ai abandonné le seau à charbon au milieu de la cuisine et suis parti dans ma chambre comme un automate.

Maman, intriguée me suit et me trouve assis à mon bureau mais bien incapable d'y faire quoi que ce soit. « Que t'arrive-t-il ? » me demande-t-elle avec inquiétude. J'ai le courage de répondre « Rien », juste dans un souffle. « On dirait que tu as rencontré le diable » lance ma mère, « Qu'y avait-il donc à la cave ? ça te fait peur d'y aller la nuit ?, si c'est cela j'irai moi même la prochaine fois », « Non, non, je suis un peu fatigué, c'est tout ». Mais j'ai du mal à justifier cet air ahuri qui est le mien à cet instant. Je sens maman intriguée par mon attitude et dans un dernier effort, je parviens à lui faire un sourire un peu crédible. Les sourcils froncés elle me fixe encore avant de quitter ma chambre. Je peux respirer et reprendre mes esprits, essayer d'analyser ce qu'il vient de se produire et méditer sur la concupiscence féminine. Madame Lefait nous a donc entendu et n'est pas dupe des cris qu'elle entend dans notre appartement, au lieu de s'offusquer elle décide cette brave femme mariée et mère de famille d'en tirer profit. Car madame Lefait est mère de deux enfants dont l'aîné, à peine plus jeune que moi est un compagnon de jeu. S'il savait que sa mère… Son mari quant à lui rentre tous les soirs à la maison et c'est là que je ne comprends pas. Ce brave commerçant doit bien lui faire l'amour de temps en temps, alors que lui arrive-t-elle ? Le démon de la quarantaine probablement.

Je décide de prendre un peu de recul, ce n'est pas moi qui provoquerai une nouvelle rencontre, prudemment je me mets en réserve et décide que ce soir n'était qu'un accident.

*

C'est à partir de ce Dimanche soir que l'attitude de maman a commencé à changer. Le lendemain soir, je la sollicite pour un petit câlin car madame Lefait m'a bien excité en fin de compte. Mais je me heurte à son refus ennuyé et je repars avec ma grosse queue sous mon bras pou me finir à la main. Pour ça j'ai bien assez de fantasmes à ma disposition, madame Lefait n'étant pas le moindre, à la réflexion, je lui rendrais bien de petites visites de temps en temps. C'est en pensant à tout cela que je me branle lentement dans mon lit, intrigué quand même par le refus de maman. Jamais encore elle ne s'est ainsi dérobé lorsque je sollicitais des jeux sexuels. Bah ! me dis-je ça ira mieux demain, sans doute a-t-elle senti venir ses règles et a préféré s'abstenir de faire l'amour. Et je m'endors sur cette certitude.

Le lendemain matin lorsque je me lève, maman est déjà dans la cuisine et prépare le petit déjeuner. La pièce embaume le café frais et rien que l'odeur me ragaillardit, en embrassant maman, je passe mon bras sous le sien et je masse délicatement son sein sous la robe de chambre. Maman a un mouvement de recul et échappe ma caresse dans une rotation de son corps. Je la regarde sans comprendre, d'habitude elle se laisse faire, c'est devenu le rituel du matin cette caresse sur son sein. Mais elle semble m'ignorer et continue sa préparation sans me prêter attention. Je l'observe pendant le petit déj, mais elle garde les yeux baissés et fuit mon regard. Je la trouve soucieuse, lointaine, nerveuse même. Je ne dis rien, ce sont des histoires de femme et ne veux pas être indiscret.

Je file à l'école et ne pense plus à l'attitude de maman de toute la journée.

C'est au retour de l'école que je croise à nouveau madame Lefait dans les escaliers, nous nous croisons et je ne sais trop quelle attitude prendre. C'est elle qui se penche vers moi avec un sourire complice et qui me murmure à l'oreille « Mercredi après midi si tu veux tu peux monter me voir, viens vers 13h30 » et elle s'enfuit.

Je reste seul dans les escaliers avec cette invitation qui tourne dans ma tête. Le mercredi après midi les enfants de madame Lefait vont rejoindre les scouts et monsieur est bien sur au travail, ce qui fait que madame est seule à la maison. Je me promets de réfléchir sérieusement à sa proposition. Si maman continue ses dérobades, pourquoi n'irai-je pas voir un peu ailleurs ?

Maman, je la retrouve comme je l'ai quitté ce matin, ni plus ni moins. Elle a toujours cet air tendu et inquiet que je lui vois depuis deux ou trois jours. Elle me regarde à peine quand je viens l'embrasser et elle fuit toujours toute sorte d'attouchement.

Jipai
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