L'orage

BÊTA PUBLIQUE

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Jipai
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Voilà, il part ce matin, je suis nerveux et impatient. Je m'en veux, je ne devrais pas montrer ces sentiments, aussi je m'applique à m'occuper sans cesse, allant de ci de là, me rendant utile en déployant toute mon énergie à sembler occupé.

Nous le conduisons à la gare où nous arrivons en avance. Mon père s'installe dans un wagon et vient nous rejoindre sur le quai. Ce satané train n'en fini plus de fumer et de rester là sans bouger. Nous disons des choses banales, des recommandations, des conseils, des petits mots d'amours. Je m'éloigne et mes parents s'embrassent. Le sifflet vient de retentir, mon père m'embrasse à mon tour et monte le marche pieds. Tout doucement le train s'ébranle, je suis fasciné par ce ralenti comme dans les films. Bouche bée je regarde glisser les wagons sur les rails, mon père sourit à la fenêtre et nous lui rendons ses saluts. Le dernier wagon vient de me passer, il se fait un vide soudain tandis que le train diminue et se fait tout petit avant de disparaître dans un virage.

Ma mère soupire et efface une larme au coin de son visage, puis elle me prend par la main et nous sortons de la gare. Nous ne disons rien, elle s'installe derrière le volant de la voiture et démarre. Je ne peux m'empêcher de regarder ses jambes découvertes par la robe qu'elle a négligé de remettre en place. Sa peau nue m'attire plus qu'un aimant et j'y poser ma main. Elle ne me rejette pas, juste un mot « Tu ne pers pas de temps ! ». Je ne réponds pas et garde ma main sur sa cuisse le temps du trajet vers la maison. Je caresse doucement la peau tendre sans oser prolonger mon geste, juste mes doigts qui rampent à mis cuisse sur la peau chaude. La voiture s 'arrête au bord du trottoir, maman a repoussé doucement mon poignet au cas ou un voisin nous regarderait. Nous descendons de voiture et montons les escaliers de l'immeuble. Maman me précède et tout à coup il me prend une irrésistible envie d'elle. De voir sa croupe onduler devant moi me provoque une érection brutale et douloureuse qui tend mon pantalon. Par malheur nous rencontrons notre voisine du dessous qui retient ma mère pour un brin de causette. Je passe la tète basse, un peu tourné sur le coté, j'ai l'impression que tout le monde voit ma bite qui tend mon pantalon de toile. Je monte seul l'escalier, furieux et frustré de ce contre temps.

Comme je n'ai pas ma clé, je dois attendre maman sur le palier. Je l'entends qui discute dessous, le babillage des femmes n'en finit plus, elles passent en revue toutes les nouvelles des environs et d'ailleurs. Je vais exploser, je serre les dents, ma queue me fait mal et semble vouloir exploser la toile fine de mon pantalon. Pour comble de malheur, la voisine du dessus descend à son tour, une belle femme celle là, elle me regarde en souriant, elle a vu la bosse de mon pantalon, elle me sourit et me dit aimablement bonjour. Je réponds, conscient que je suis aussi rouge que les pivoines car elle fixe ma braguette tout en descendant les marches.

Cette fois elles sont trois pour la causette, j'en ai pour des heures et je crois mourir de dépit. Mais à ma joie profonde j'entends maman mettre un terme à sa discussion et ses pas résonnent à nouveau dans l'escalier. Elle vient à moi, elle lève la tète, elle aussi a vu la bosse qui gonfle mon pantalon. « Tu as mouillé ton pantalon » me souffle-t-elle au passage. Je baisse les yeux effaré pour découvrir une tache qui auréole mon pantalon beige clair, ma confusion est à son comble : madame Lefait la voisine du dessus n'a pas pu ignorer ce détail au passage. Je suis liquéfié de confusion alors que maman ouvre la porte. Je me jète littéralement dans l 'appartement pour cacher ma honte tandis que ma mère referme la porte. Elle se tourne vers moi « Cela presse tant ? » me demande-t-elle un sourire au coin des lèvres. Je la regarde éperdu et lamentable, sans rien dire. Elle me sourit en s'approchant de moi, « Moi aussi j'en ai envie » me murmure-t-elle à l'oreille. Nous nous enlaçons pour un baiser de feu qui n'en fini plus. Nous sommes serrés l'un contre l'autre pour ne former qu'un corps. Son ventre cherche le mien et son pubis écrase ma queue douloureuse de tension contenue. Ses seins sont contre ma poitrine, je les sens durs dans son soutien gorge qui agacent ma poitrine. Mon cœur cogne dans sa cage, mon sang pulse dans mes veines et mes mains courent sur le dos et les fesses de maman.

Toujours enlacés, je la dirige vers sa chambre, elle me laisse la guider et nous tombons ensemble sur son lit, moi sur elle et nous continuons à nous embrasser avec la fougue de deux amants qui ne se sont vu depuis des années.

Nos bouches se mordent jusqu'au sang pendant que mes mains s'agacent sur son corps de ses seins à ses cuisses que je caresse à n'en plus finir. Je voudrais la dé habiller mais je n'y parviens pas, trop énervé que je suis à vouloir aller vite au but. Je la pelote à travers la robe rouge à pois blancs qu'elle porte, la robe remonte entraînée par mes doigts. Ses cuisses sont nues maintenant, mes mains tremblantes courent sur la peau nue. Un instant, je me dégage d'elle et remonte fiévreusement la robe sur son ventre. Je défais dans le même mouvement mon pantalon et le baisse aux genoux. A nouveau me voilà sur elle mon sexe tendu contre son pubis. Elle a ouvert ses cuisses pour m'accueillir et nos sexes se blottissent l'un contre l'autre. Je la trouve brûlante à travers le tissus fin de nos sous vêtements. Rageusement j'écarte mon slip et ma queue bondit contre sa fente, je caresse sa culotte, elle me paraît trempée. Je l'écarte à son tour et mes doigts nagent délicieusement dans le mélange de poils pubiens mêlés à une mouille chaude et visqueuse. Effectivement, maman est trempée de la chatte à l'anus, je mesure l'étendue de sa hâte et de son désir tout en caressant sa fente de mes doigts englués de son désir.

Je n'y tiens plus, ma main guide ma bite à l'entrée de son vagin et je pousse brusquement. Mon gland est entré sans effort et le reste suit, je suis profondément entré en elle quand je donne un violent coup de rein qui me propulse au fond de sa fente. Elle pousse un « ha » de surprise autant que de satisfaction de sentir sa chatte ainsi envahie. La tête renversée en arrière et les yeux clos, je la sens attentive au moindre de mes gestes. Je ne bouge plus, je veux reprendre un peu mes esprits, le moindre mouvement me ferait jouir, or je veux prolonger l'instant. J'observe maman ainsi offerte, elle a le souffle court et rapide qui soulève ses seins contre ma poitrine. Sa bouche est ouverte et prête au râle du plaisir que je sens là très près, au fond de sa gorge. Je n'ai encore jamais observé un tel abandon : sa tête renversée, ses bras en croix, et cette robe remontée sur son ventre et qui dénude ses cuisses ouvertes tandis que le reste des son corps est caché, juste sa fente qui soit offerte. Tout à l'heure il lui suffira de rabattre sa robe et rien, si ce n'est son vêtement un peu froissé, ne laissera soupçonner se qui déroule en ce moment même dans cette chambre. Elle pourrait aller ainsi, seul son sexe se souviendrait de l'étreinte, englué de mon sperme et de sa mouille et sa culotte seule serait imbibée de nos humidités.

Mais je sais déjà qu'il n'en sera pas ainsi, à peine aurai-je versé en elle ma liqueur qu'elle me repoussera pour courir vers sa douche Marel comme on court vers son sauveur. Tout à coup une haine incontrôlée m'envahit, j'aimerais tant que nous restions enlacés l'un à l'autre pendant de longs instants, mais il y a cette crainte terrorisante qui la fait bondir hors du lit et fuir, cassant toute tendresse entre nous. Ma rage froide me rend toute ma lucidité, je regarde ma mère panteler sous moi, elle est ma chose et je vais la faire jouir comme jamais elle n'a joui jusqu'à ce jour. Mon désir est sous contrôle, mes yeux bien ouverts la regardent tandis que je commence à me mouvoir imperceptiblement. Je l'ai saisi aux épaules pour bien assurer ma prise et empêcher la moindre dérobade. Mes reins se mettent en marchent, un peu comme le train tout à l'heure, lentement mais puissamment et de plus en plus vite. Maman commence à gémir doucement tout en se mordant les lèvres, sa tête est rejetée en arrière et tout son corps s'est raidi. Ma cadence accélère et je ne peux m'empêcher de penser à ce train qui file à travers le paysage en emportant mon père.

Ma queue pilonne furieusement son vagin en un bruit de succion obscène et ses gémissements sont de plus en plus fréquents. Elle tortille son bassin pour échapper au plaisir qui l'envahit mais je la maintiens fermement et pèse sur elle de toute mes forces. La cadence de mes reins se stabilise tout comme le rythme syncopé des roues ses les rails, j'ai le bruit dans ma tête et mon corps suit la musique ferroviaire tandis que j'observe maman qui ahane sous moi. Son visage est crispé sous le plaisir qui s'insinue en elle petit à petit. Elle mord ses lèvres pour ne pas crier mais le plaisir l'emporte et le râle sourd qu'elle émet rejoint le rythme de mes reins qui la martèlent. J'ai plus que jamais l'image du train devant les yeux et la silhouette de mon père se superpose à mon fantasme, je le vois dans un coin du wagon, il a ouvert son journal et semble plongé dans la lecture des nouvelles. Oui, c'est cela, il lit les nouvelles du monde pendant que je baise sa femme. Il ne sait rien de la turpitude qui se trame dès qu'il a le dos tourné, rien des étreintes qui nous unissent maman et moi, rien de ces séances d'amour sauvages où ma mère se donne sans retenue au plaisir que je lui procure. « Je baise Maman, oui Papa, je la saute et lui met tout ce que je peux de toute mes forces et de toute la puissance dont mon sexe soit capable. Je crois qu'elle aime bien ces séances là où je la prends, aussi sauvagement que maintenant ».

Elle râle de façon continue, elle a renoncé à bouger, entièrement soumise sous moi, les cuisses grandes ouvertes, ma bite la pilonnant. Je l'observe toujours aussi froidement, elle est ma chose que je vais remplir de ma liqueur dans quelques instants, ma femme infiniment soumise et avide de me recevoir au plus intime de sa chair. Mes reins s'affolent à leur tour et je martèle de plus en plus vite la fente maternelle, je sens monter la semence au long de la verge et je la retiens à grand peine. J'ai encore toute ma lucidité pour voir la tète de maman partir violemment de droite à gauche pendant qu'elle crie son plaisir. Son corps s'est raidi et vient à la rencontre du mien, elle me tend ses reins et sa chatte pour une ultime offrande. Elle n'est plus qu'une femelle que je m'apprête à remplir du sperme qui bouillonne dans mon sexe tendu. Ses yeux sont restés continuellement clos pendant toute notre séance, tandis que les miens n'ont cessé de la fixer dans son désir exacerbé.

Je suis comme une locomotive folle et incontrôlable, dans un dernier sursaut de lucidité j'imagine mon père bien tranquille dans son compartiment, il ignore le drame qui se joue dans son train fou, cela finira mal c'est certain, ce train court vert le drame, vers le précipice où il va disparaître !

Cette fois je lâche les freins, je ne contrôle plus rien, mon train se précipite vers le vide qui l'attire et l'engloutit. L'image de Papa disparaît à ma vue et mon sperme en saccades généreuses inonde le vagin de maman. Je me demande soudain si cela va finir un jour tant le sperme coule en longues vagues. Je pisse littéralement ma liqueur dans le corps qui sous moi tressaille à chaque pulsion de ma queue.

Maman reprend peu à peu ses esprits alors que les dernières gouttes liquides la mouillent encore, elle me regarde comme si je venais de la réveiller d'un rêve profond. Elle écarquille les yeux vers moi et mon regard plonge en elle alors que je la cloue d'un ultime coup de rein.

Je me suis affalé sur elle et pèse de tout mon poids sur son corps, songeant ainsi la retenir. Mais c'est sans compter sur la force que lui procure sa crainte : je me trouve soudain soulevé et basculé sur le coté pendant qu'elle s'enfuit déjà vers la salle de bains.

Je suis à nouveau seul sur son grand lit, mes yeux au plafond suivent les méandres d'une lézarde qui court dans un coin. Je suis complètement ailleurs et les bruits en provenance de la salle de bains ne sont plus que des murmures lointains. Quand pourrai-je la retenir dans mes bras après l'amour sans qu'elle ne songe à cette folle fuite vers sa toilette, sa douche salvatrice qui la tient au dessus du bidet, les cuisses ouvertes et la poire de caoutchouc pulsant et pompant en elle et hors d'elle cette eau qui emporte mon sperme ?

Elle revient dans la chambre alors que je suis encore affalé sur le lit, je voudrais la reprendre mais elle n'esquisse aucun geste vers moi. Grande est ma frustration et la colère m'envahit pendant que je la vois changer sa culotte devant moi. « C'est bien le moins » me dis-je et puisqu'il en est ainsi j'omets de lui signaler la tâche humide qui orne le fond de sa robe, « ainsi, pensais-je, tu resteras avec cette preuve pendant un moment ! »

Maman me fuit le reste de la journée, sous les prétextes les plus anodins elle m'envoie hors de la maison, visiblement elle veut rester seule, sans doute regrette-t-elle de m'avoir cédé si vite alors que son lit était encore chaud du corps de mon père ?

Je n'ai nul remord pour ma part, après tout elle m'a cédé bien vite ayant envie de baise tout autant que moi. Je me demande si je dois conclure que l'amour avec mon père ne lui suffit pas ? Je me rengorge, pensant que ma queue est plus grosse que la queue paternelle, qu'elle remplit mieux la chatte de maman, la pénètre plus profondément en ouvrant davantage son vagin.

Quand on a quinze ans on s'imagine aisément tout un tas de choses, et quand les arguments vous semblent favorables, pourquoi ne pas s'en féliciter ? Paraître plus fort que son père est toujours valorisant pour un adolescent, et quand il s'agit de rivalité féminine, cela est encore plus criant.

*

Malgré ses réticences, le soir j'étais dans son lit et nous refîmes l'amour avec la fougue qui le matin même avait balayé en nous toute sorte de scrupule. Le scénario était désormais une habitude, juste après que j'eus éjaculé, maman se précipitait sur sa douche Marel qu'elle cachait dans la salle de bains pour vider son vagin de toute trace de sperme. Cet acte restait mystérieux pour moi, comme si elle m 'avait caché une partie de sa sexualité. Maintenant que j'étais son homme en quelque sorte, je m'estimais en droit de connaître aussi cette face cachée de son intimité et je me promettais de forcer son secret sans tarder.

*

Ce matin c'est décidé, je trouverai le moyen de la suivre dans la salle de bains, je veux assister à la toilette de sa chatte.

J'attends qu'elle se réveille en la regardant, le souffle régulier soulève sa poitrine sous le la dentelle de la chemise de nuit d'une troublante transparence. Je bande dur comme tous les matins depuis que nous dormons ensemble. Je n'ai pas de hâte particulière, j'attends mon heure qui ne saurait tarder. J'ai appris à contrôler mes pulsions et à faire durer le plaisir, je reste en elle plus longtemps, modulant son plaisir, usant de ma queue pour faire monter lentement sa jouissance. Je sens qu'elle apprécie mes progrès amoureux à leur juste valeur et m'encourage en me donnant des conseils lorsqu'il m'arrive encore d'aller trop vite dans les préliminaires ou lorsque je m'attarde quand elle sent monter son plaisir.

Le rythme de sa respiration a changé, elle ouvre les yeux et de tourne vers moi, elle me sourit. Sans un mot nous nous embrassons. Ma main part sur sa cuisse et remonte la chemise de nuit sur son ventre. Je replonge entre ses cuisses pour les ouvrir et lui caresse la fente. Elle s'écarte sans résistance et je masse doucement le mont de Vénus aux poils longs et serrés au milieu desquels je trouve la fente déjà humide. Les lèvres sont grasses et enflées, chaudes déjà. Mon doigt trouve un clitoris en érection qui appelle la caresse. Je l'agace un moment et n'y tenant plus, j'enjambe les cuisses maternelle et la chevauche sans plus tarder. Je cherche bien ma position, mon sexe contre le sien et je frotte la fente de plus en plus offerte. Ma queue raidie à l'extrême fouille la raie et se fraie son passage au milieu de la fourrure dense et mouillée de la chatte. Mon gland trouve son passage, il entrouvre les lèvres du sexe qui s'écartent devant lui. Je donne un coup de rein et ma queue se trouve environnée d'une chaleur douce mais intense. Un autre coup et ma bite est bien plantée dans le vagin de maman. Je la regarde, ses yeux sont fermés, sa tête est renversée en arrière et son visage reflète une sérénité et un bonheur infini. Ses seins agacent ma poitrine, j'ai passé mes bras sous les siens et je la tiens aux épaules fermement pour lui donner le coup de rein qui me propulsera au fond de sa fente. C'est fait, je suis installé au fond de son intimité et elle laisse sourdre une plainte qui ressemble à un soupir. Je la regarde, fasciné par la félicité que je lui procure et doucement, tout doucement je me mets en mouvement. Ma queue bouge lentement dans le conduit lubrifié de nos mouilles chaudes, j'imagine sa chair rose qui s'ouvre devant mon gland qui force le passage jusqu'à l'utérus sans le heurter et lui faire mal. J'y vais doucement, dosant mes mouvements d'abord, bien faire monter son plaisir, l'entendre gémir à mon oreille puis monter petit à petit, crécendo jusqu'à la plainte modulée. C'est le signal, lorsque sa plainte est continue je me mets à battre la fente avec vigueur et régularité, en longue pulsion de ma queue que je fais presque sortir pour plonger dans les profondeurs mystérieuses du vagin. Sa mouille coule tout autour sur ses cuisses et entre ses fesses, tout à l'heure, j'en suis sur, il y en aura sur les draps quand elle ira dans la salle de bains, mes coups de bites provoquent un bruit d'une indécence qui encourage mes ardeurs, le bruit d'une queue pilonnant une chatte trempée et qui refoule son trop plein de bave quand elle s' emplit de la chair male et dilatée.

Je sens mon gland s'enfoncer en cadence, parfois je le sens heurter l'utérus, maman pousse alors un petit cri en se raidissant un peu. Je sais que je lui fais un peu mal et je me fais plus attentif à ses réactions. Je me demande si mon père lui aussi lui touche le fond de la chatte quand ils baisent ensemble, je le lui demande, ma bouche collée à son oreille. Elle garde les yeux clos et secoue la tête négativement avant d'ajouter « ta queue est plus grosse ». C'est la première fois que ma mère use d'un mot vulgaire pendant que nous baisions. Cela me stimule et je lui demande quelle bite elle préfère, « la tienne me souffle-t-elle, tu me remplis mieux , j'ai plus de sensations avec toi ».

Sa confidence me rend plus hardant et fier, je force la cadence tandis que monte en moi le sperme qui jaillira dans un instant. Je me penche à nouveau vers son oreille pour l'en avertir « Je vais jouir, tu veux mon sperme maintenant ? », « Oh ! oui vas-y !! mon chéri donne moi ton sperme, donne moi tout ! » gémit elle soudain.

Sans plus attendre je me déverse en longs traits dans les profondeurs du vagin maternel, ma queue pulse de grands jets blanchâtres qui vont se répandre dans son intimité la plus secrète. Je la sens pleine de moi et de ma liqueur, ma bite semble dilatée par cette envie de jouir, elle touche le fond pour de bon en libérant le flot de ma semence qui déborde tout autour.

J'ai donné un dernier coup de rein et maman se lève déjà en me repoussant, je proteste mais rien n'y fait, elle est déjà debout, s 'essuyant sommairement l'entre jambe avec sa chemise de nuit et elle est déjà partie pour la salle de bains. J'enrage, frustré encore une fois, mais cette fois je veux voir et savoir, moi aussi je me lève.

Jipai
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