Lizzy Ch. 03 - Vive Les Vacances

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Ses joues rouges contrastaient admirablement avec sa nouvelle coiffe et ses che-veux blonds.

"Replace donc mon coussin. Tu ne vois pas qu'il a glissé?"

Docilement, la servante le plaça sous les talons de sa Maîtresse.

"J'imagine qu'après une telle journée, ça ne doit pas sentir la rose. Surtout avec mes collants..."

Edwige s'empourpra de plus belle et leva les yeux à contrecœur, désemparée. À son air suppliant, Simone comprit qu'elle n'oserait pas dire que ça sentait mau-vais.

"Tes doigts doivent s'être imprégnés de l'odeur, n'est-ce-pas?

- Je ne sais pas, Madame.

- Eh bien vérifie! Petite sotte."

Sentant le vent tourner, Edwige s'empressa de porter ses doigts à son nez.

"Alors?

- Non, Madame. Ça sent normalement, répondit-elle en rougissant de plus belle.

- Ne me prends par pour une idiote, ma fille! Je sens les effluves jusqu'ici." Simone s'interrompit un instant, comme pour réfléchir. "À moins que tu n'aies le nez bouché..." Elle s'interrompit de nouveau. "Dans ce cas, le mieux serait d'aller vérifier à la source, tu ne crois pas?

- Si, Madame."

Les joues en feu, Edwige appuya ses deux mains sur la table basse et plaça ses narines contre les orteils de sa Maîtresse.

"Tes mains!"

Simone avait haussé le ton et sa remarque retentit aussi brusquement qu'un coup de tonnerre.

La soubrette sursauta et s'empressa de croiser ses mains dans son dos, ce qui la força à enfoncer profondément son nez entre les orteils de sa Maîtresse.

"Bien. Ne t'avise pas de bouger tant que je ne t'y autorise pas."

L'odeur était intense. Le nez d'Edwige était emprisonné par les mailles du col-lant et ses narines se trouvaient précisément au niveau des articulations du gros orteil et du doigt de pied voisin.

Elle sentit une goutte de cyprine ruisseler le long de sa cuisse. Chaque fois qu'elle expirait une bouffée de chaleur échauffait le nylon, se répercutant contre son visage, enflammant encore plus ses joues.

Toute la journée, Madame l'avait tourmentée, attisant son excitation, parfois jusqu'au paroxysme, avant de l'ignorer dans la seconde suivante.

Le désir sourd qui avait couvé, jamais satisfait, au cœur de son ventre, menaçait maintenant de faire exploser ses défenses.

"Je vois que tu as mis ton nouvel uniforme."

Simone appuya ses mains de chaque côté de son bassin et se pencha vers sa bonne.

"J'adore ta nouvelle coiffe... et aussi ce qu'il y a en dessous. Mais la table me gêne. Viens t'agenouiller ici," exigea-t-elle en désignant le pied du canapé du bout de son index.

Edwige fit le tour de la table basse, à quatre pattes, elle ne put que constater à quel point le frottement de ses cuisses l'une contre l'autre était lubrifié par ses sécrétions.

Simone avait appuyé ses pieds par terre et ne la lâchait pas des yeux.

"Tu es parfaite. Ton nouvel uniforme te rend encore plus séduisante."

À nouveau, le cœur d'Edwige s'emballa. Elle s'agenouilla aux pieds de sa Maî-tresse, veillant à se tenir bien droite et n'omettant pas de croiser ses mains dans son dos.

Une nouvelle goutte ruissela lentement le long de sa cuisse, s'arrêtant à mi-parcours en direction de son genou. Il n'y a aucune chance que Madame ne la remarque pas, susurra une petite voix dans sa tête.

Ses pointes de seins étaient presque douloureuses tant elle les sentait pousser contre le tissu légèrement élastique qui épousait son corps comme une deuxième peau.

"Croise tes mains derrière la tête et écarte les genoux."

Edwige s'exécuta. Les yeux de sa Maîtresse la parcoururent des pieds à la tête puis en sens inverse, s'attardant sur sa poitrine et ses cuisses. Sans un mot, cette dernière se pencha et recueillit la goutte qui luisait à l'intérieur de sa cuisse.

"Je vois que tout ça ne te laisse pas indifférente," se moqua-t-elle.

Elle contempla son index un instant, puis l'appuya contre son pouce et le plaça devant les yeux de sa soubrette. Plusieurs fois, elle s'amusa à les écarter légère-ment l'un de l'autre exhibant en gros plan les petits filaments qui se formaient entre ses doigts, refusant de se rompre.

"Lèche. Suce-les jusqu'à ce qu'il ne reste plus une seule trace"

L'un après l'autre, Edwige aspira les doigts dans sa bouche. Sa langue virevolta minutieusement autour de chacun d'entre eux, jusqu'à que Madame ne les retire brusquement, provoquant un petit bruit de succion entre ses lèvres.

Son rire narquois la fit rougir jusqu'à la racine de ses cheveux.

"Maintenant, assied-toi sur tes talons. Cuisses ouvertes."

Ses yeux étaient fixés sur l'entrecuisse de sa bonne.

"Enlève-moi ce tablier et remonte ta robe. Bien. Plus écartés les genoux."

Les ordres se succédaient sèchement et Edwige les suivit de son mieux. Son sexe était maintenant entièrement dévoilé entre ses cuisses. Elle va voir que tu mouilles abondamment, lui souffla la petite voix imaginaire.

"Je t'ai confié une tâche, ma fille. Alors arrête de bailler aux corneilles et mets-toi au travail," commanda Simone.

Edwige s'empara de ses pieds et recommença à les renifler, l'un après l'autre. Tu vas souiller le sol. Quand tu te relèveras, tu auras tellement mouillé qu'il y aura une petite flaque sur le marbre. Elle frissonna.

Après quelques minutes passées à supporter les jambes de Madame à bout de bras, ses muscles commencèrent à se rebeller et se mirent à trembler.

Simone, à qui rien n'échappait, s'en rendit compte et décida qu'il était temps de changer de position. Faisant pivoter son bassin, elle s'étendit de tout son long sur le sofa et se tortilla un peu pour faire remonter sa jupe sur ses hanches.

"À quatre pattes," ordonna-t-elle en claquant des doigts.

Edwige se mit en position, soulagée par le changement de position.

"Lèche-moi les pieds, ordonna Simone en les désignant de son index. Avec Gi-selle, tu as insinué que tu identifiais mieux les goûts que les odeurs."

Edwige rampa vers les pieds de sa Maîtresse.

"Tes fesses! Tourne-les vers moi."

Edwige pivota sur ses mains et ses genoux afin d'offrir sa croupe, tandis qu'elle passait délicatement sa langue sur le coup de pied de sa Maîtresse.

"Tes genoux! Ma fille, je ne vais pas passer mon temps à me répéter... Je veux que tu me sois accessible à tout moment."

Edwige s'exécuta et les écarta le plus largement possible. La main de Madame s'insinua aussitôt entre ses jambes et se mit à parcourir l'intérieur de ses cuisses, les caressant sur toute leur longueur, sans jamais entrer en contact avec son sexe.

"Tu me fais douter de ma décision concernant l'usage de tes petites culottes. Je ne peux pas me permettre d'avoir une bonne dont tout le monde peut se rendre compte à quel point elle est vicieuse." Elle se tût, continuant à la caresser silen-cieusement. "À l'avenir, tu ne t'en passeras que lorsque nous serons seules."

Après quelques minutes, Simone écarta ses genoux, adoptant une posture proche de celle de la grenouille, offrant le dessous de ses pieds.

Edwige suivit le mouvement et passa langoureusement sa langue tout le long imprégnant copieusement la plante du pied de sa Maîtresse avec sa salive.

"N'oublie pas l'autre," commanda Simone en lui présentant son second pied.

Ses cuisses étaient largement écartées, révélant les contours de sa culotte noire à travers les mailles couleur chair de son collant.

Edwige aspira trois de ses orteils entre ses lèvres émettant des bruits de succion très audibles. La main de Madame avait franchi le haut de ses cuisses et elle agaçait ses chairs intimes du bout de ses ongles, alternant entre sa fente imberbe et son anus.

"C'est un vrai marécage, là-dedans, petite dépravée. Ça te plaît de renifler mes pieds et de les lécher."

Madame agaçait constamment son anus, le grattant du bout de l'ongle ou poin-tant son extrémité au centre de l'orifice plissé pour l'y faire pivoter d'un mou-vement circulaire.

La friction n'était pas désagréable. C'est parce que tu mouilles comme une chienne en chaleur. Son plaisir grimpait en flèche menaçant de devenir incon-trôlable.

Décidément, mes odeurs te mettent dans tous tes états. Viens me renifler l'entre-cuisse, je suis sûre que ça va autant te plaire... sinon plus."

Simone pivota sur elle-même et prit appui sur son coude afin de caler ses reins contre le dos du canapé. Elle plia sa jambe et la redressa à la verticale, l'ap-puyant elle aussi sur le dossier. Son autre jambe se détendit et son pied se posa sur la table basse, dans une position proche du grand écart.

"Monte sur le sofa. À quatre pattes," ordonna-t-elle.

Edwige se déchaussa rapidement et s'agenouilla à proximité de la tête de sa Maîtresse. Elle se cambra autant que possible et enfouit son visage entre ses cuisses grandes ouvertes.

"Voilà. Renifle bien. Je veux sentir ton souffle à travers mes collants. Et écarte-moi tes cuisses correctement."

L'espace réduit obligea Edwige à placer un genou à terre, écartelant tellement ses jambes que les muscles des joints de ses articulations se contractèrent de chaque côté de son pubis. Le front contre les fesses de sa Maîtresse, elle sentit sa coiffe se prendre dans le cuir du canapé. Ses narines étaient pressées contre son entrejambe et l'odeur fauve qui s'en dégageait, lui rappela vaguement celle qu'elle avait dû sentir entre les cuisses de Giselle.

Là aussi, des relents de sueur et d'urine se mêlaient, mais là s'arrêtait la compa-raison. Le parfum si précieux de sa Maîtresse prédominait et, contrairement à la gérante de la boutique, le mélange d'odeurs était plus attirant que repoussant. Elle inspira profondément, se gorgeant de cette senteur aphrodisiaque qui l'exci-tait plus qu'elle ne l'avait jamais été.

"Je suis sûre que tu vas reconnaître mon 'essence intime'. J'ai omis de m'essuyer dans les toilettes de la boutique de Giselle et après avoir rempli ton flacon, dans celles du restaurant."

Un frisson exquis courut le long de la soubrette, exacerbé par le bruit de clapo-tis qui provenait de son sexe.

Simone avait appuyé sa tête sur son poignet et parcourait nonchalamment la fente de sa servante avec son index, se délectant de la quantité de cyprine qui s'y trouvait. Guidée par les gémissements étouffés de cette dernière, elle s'attardait sur les zones qui produisaient le plus de réactions, s'amusant des bruits obscènes qui en émanaient chaque fois que son doigt s'enfonçait entre ses lèvres.

Le souffle de sa bonne attisait la chaleur qui régnait au cœur de son sexe et elle ne doutait pas que sa culotte était trempée.

Elle retira son doigt du fourreau humide dans lequel il s'agitait et le positionna à l'entrée de l'anus de sa bonne.

"Écarte tes fesses à deux mains," ordonna-t-elle.

Edwige agrippa chacune de ses fesses entre ses doigts et les ouvrit largement, ce qui eut pour effet de presser encore plus son visage contre le nylon odorant. Elle poussa un long gémissement tandis que Madame enfonçait progressivement son doigt dans son rectum.

"J'espère que tu es bien propre, aujourd'hui."

Le miaulement étouffé qui lui répondit la fit éclater de rire.

"Mais c'est un miaulement de chatte en chaleur ça. Les chiennes, ça aboie," la réprimanda-t-elle en claquant brusquement sa fesse.

La marque rouge de sa main se dessina parfaitement sur la chair meurtrie.

"Aboie, petite chienne," ordonna-t-elle en inspectant la propreté de son majeur.

Simone le renifla prudemment, tandis que des parodies d'aboiements étouffés lui parvenaient depuis son entrecuisse.

"C'est bien, petite chienne. Maintenant lèche," commanda-t-elle, regrettant de ne pas porter ses bas et son porte-jarretelles.

Elle sentait son plaisir approcher son point culminant lorsque la porte d'entrée se referma en claquant et que des éclats de voix parvinrent jusqu'à elles. Elle claqua à nouveau la fesse de sa soubrette.

"Lizzy vient d'arriver et apparemment, elle n'est pas seule. Va les occuper pen-dant que je me rajuste, ordonna-t-elle en se redressant. Et n'oublie pas de re-mettre ton tablier," conclut-elle en se levant.

Frustrée comme jamais, Edwige se rajusta précipitamment, sauta dans ses chaussures et trottina pour aller accueillir les arrivantes.

Ces dernières s'étaient immobilisées, perplexes devant l'amoncellement de pa-quets qui se trouvait dans l'entrée. Elle leur souhaita joyeusement la bienvenue, exhibant fièrement son nouvel uniforme, exécutant même une petite révérence.

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