L'esclave Mystère Ch. 11

Cette histoire se passe dans un monde imaginaire où l'esclavage certains pays ont légalisé l'Esclavage. Je me suis très largement inspiré de l'univers inventé par John_Doe_Stories et utilisé également par Carl_Bradford sur Literotica en langue Anglaise.

Ceci une fiction, écrite en tant que divertissement. Cela n'a pas pour but de faire l'apologie de l'esclavage, Il y a des scènes de violence, de relations sexuelles forcées, de manipulation qui n'ont pas leur place dans la vraie vie.

Si ce genre de chose n'est pas votre goût, je vous déconseille de poursuivre votre lecture.

Les légères interférences avec « Un Centre pour Roux » n'impliquent pas d'avoir lu l'autre histoire. L'univers est commun et certains personnages peuvent se rencontrer, ou se croiser.

Ceci est le chapitre 11. Il y a un petit résumé en début d'histoire.

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Un nouveau produit

Cela ne faisait pas longtemps que je travaillais au Marketing. Hélène abusait de moi régulièrement, mais n'était-ce pas mon rôle d'esclave?

-Madame Hélène, est-ce le fait que je sois la seule esclave du service, où le fait que je sois un homme féminisé qui vous plait? » demandais-je. Hélène attrapa sa cravache dont elle ne se servait pas souvent. L'objet lui donnait une contenance, et l'aidait à se sentir aux commandes.

-Humm, je n'y avais pas pensé mais tu as raison, Prue. J'aime bien me venger sur toi de ce que les hommes m'ont fait subir, et m'y amuse plus que sur un esclave bêtement homme. » me dit-elle.

-Ce serait bien de faire un sondage en ce sens. Evaluer le marché des esclaves féminisés » lui dis-je.

-Mais comment? »

-Si tu me promenais en laisse dans le marché et que tu interrogeais les clients? » Proposais-je. Je vis les yeux d'Hélène s'ouvrir, et elle s'exclama : « Oh oui! » en se levant, pour me jeter une paire de menottes.

Quelques instants plus tard, Hélène me promenait sur la plateforme uniquement vêtue de mes sandales à talons, d'un collier au quel était attaché une laisse, et de mon clitorimorphe, un dispositif empêchant l'érection, mais pas un engorgement du gland. Je portais aussi des menottes. Hélène semblait excitée de me promener comme ça. Très rapidement plusieurs personnes nous entouraient.

-Elle est bientôt en vente? »

-On peu miser sur le couple? »

Les questions fusaient, et Hélène fut rapidement dépassée, sans doute émue de penser que certains étaient prêt à nous acheter toutes le deux.

-Messieurs, mesdames. Ma maitresse n'est pas à vendre! » dis-je avec un peu de force. Hélène me regarda. Je lui fis signe de continuer

-Prue, n'est pas en vendre non plus! » assena Hélène, provoquant un peu de déception autour de nous. « Par contre nous voulions avoir l'avis de client du Cock&Cunt sur les esclaves masculins féminisés » dit-elle.

-Rien de vaut une vraie fille! » dit un homme.

-Humm, je ne sais pas, ça doit être humiliant de se trouver féminisé comme ça. »

-Prue? c'est ton prénom salope? » me demanda un des hommes. « Oui, Monsieur. »

-C'est toi qui a voulu être féminisée » me demanda un autre. « Non, Monsieur »

-Tu peux jouir avec ta queue de petite pute? » « Non, uniquement mon cul » dis-je

L'interrogatoire continuait, et je voyais bien l'excitation monter chez les clients.

-Alors, pensez-vous que le Cock&Cunt devrait vous proposer des esclaves comme Prue, ou comme aujourd'hui des esclaves males à féminiser vous-même. » demanda Hélène.

-C'est plus cool de voir déjà le résultat! »

-Et puis tous les males ne sont pas féminisables! » ajouta un autre.

Cela continua un petit moment avant qu'Hélène ne me tire par ma laisse pour regagner nos bureaux.

-Je suis désolée, Prue, quand l'un a proposé de nous acheter toutes les deux, j'ai perdu mes moyens » m'avoua Hélène.

-J'ai, cru comprendre, Madame » dis-je.

-Ah?, je ne suis plus ta 'Maîtresse', petite pute » plaisanta Hélène en me détachant.

-Vis-à-vis de ces clients, j'ai pensé qu'il fallait que ce soit simple, Madame » dis-je.

-Mais une 'petite pute' doit-elle prendre des initiatives? » me dit Hélène sur un ton plus sérieux.

-Non, je suis désolé Madame » répondis-je vexée.

-Mais ma supérieure hiérarchique peut sans doute » me répondit Hélène avec un grand sourire.

-Et je suis te suis reconnaissante de l'avoir fait. Pendant un moment j'ai cru finir nue dans la salle des ventes. » me dit Hélène.

-Tu y as cru... où tu en as envie? » demandais-je. Hélène rougit.

-On fait quoi maintenant, Boss? » me demanda-t-elle.

-Je prendrais bien rendez-vous avec l'ESCAR... mais je ne peux pas y aller sans maîtresse pour m'accompagner »

-J'adore avoir une esclave comme supérieur hiérarchique! » me dit Hélène en quittant mon bureau.

Je n'avais plus qu'a aller expliquer le concept à notre directeur.

Seule, je repensais aux étapes qui m'avaient conduit là. Je travaillais au Slave's Cock'n'Cunt Market (SCCM) en tant que manipulateur d'esclaves. Mais je me m'interrogeais trop sur ce que ressentait ces hommes et ces femmes que nous devions, étape par étape, déshumaniser. Le directeur, Ryan Crawford, avait décidé de me muter au marketing, mais avant il voulait que je teste le marché. C'est comme cela que, quelques jours plus tard, j'ai été obligé de me dénuder devant tous mes collègues. ET pendant toue la journée j'ai été traité comme un esclave. C'est tard à la fermeture que le directeur m'a libéré en me disant que les détails serait traité le lendemain. Je n'y ai pas apporté toute l'attention que j'aurais dû, car quelques minutes plus tard, j'ai été arrêtée en tant qu'esclave en fuite. Durant le procès, Ryan, s'est déchargé sur moi. Et j'ai été condamné à devenir un esclave. Je suis alors repassé au marché, j'ai reçu les marques au fer rouge des esclaves judiciaires, puis, après avoir été vendu, celle des esclaves vendus par le SCCM. Ma maitresse, Debbie, une ancienne esclave, voulait profiter de mon statut d'esclave judicaire pour m'imposer des modifications corporelles définitives. C'est comme cela que je suis devenue UNE esclave : Prue. Debbie, voulait vivre en me prostituant, mais elle était déçue du résultat. Petit à petit, j'ai réussi à lui faire admettre qu'en tant qu'ancien manipulateur d'esclave je pouvais l'aider. Mon intérêt n'était pas qu'elle fasse faillite car alors elle serait revendue comme esclave avec tous ses biens. Et parmi ses biens, il y a moi. Ryan me devait bien ce poste au marketing. Non seulement je l'ai eu, mais en plus Ryan m'a promis d'intervenir auprès de Debbie pour qu'elle me fasse confiance. Par contre Ryan, et Hélène l'assistante du service profitent bien de mon statut d'esclave pour profiter sexuellement de moi. Esclave féminisé, je peux plus jouir que par sodomie, et finalement je profite aussi de cette situation.

Pour m'accompagner à l'ESCAR (Enslaved Servant Care Center -- centre de soin pour les esclaves), Hélène m'avait laissé mes vêtements, mais elle avait pris soin de m'attacher les mains dans le dos, et elle me conduisait dans les couloirs de la clinique par ma laisse.

-Tu sais Prue, j'aimerais bien avoir un esclave. Mais je n'ai pas les moyens. C'est un plaisir de m'occuper de toi »

-Merci, Maitresse » dis-je, Hélène se redressa, fière que je l'appelle ainsi.

-Bonjour, je suis un peu étonné. Vous travaillez au marketing au Cock&Cunt? » me demanda le directeur de l'ECAR.

-C'est cela. Monsieur » confirmais-je. Un peu mal à l'aise, à genoux à côté d'Hélène, les mains toujours attachées dans le dos.

-C'est amusant, on pourrait négocier pendant que je te ramone ton cul de salope. » dit-il.

-Ce serait avec plaisir. Toutefois Mon assistante Hélène est ma maîtresse pendant mes heures de travail, c'est donc elle qui décide. Monsieur » dis-je. C'est un fait qu'en tant qu'esclave, je n'ai pas mon mot à dire en ce qui concerne les visites de mon orifice. J'espérais qu'Hélène ferait barrage, car il n'avait pas l'air de vouloir prendre le temps de me dilater.

-C'est une idée intéressante, mais j'ai peur qu'elle nuise à la concentration générale. » dit simplement Hélène.

-Ce n'est pas faux. Quelle est votre demande? » dit-il un peu embarrassé.

-J'ai été féminisé dans votre établissement... » commençais-je

-Pour les réclamations c'est plus à voir avec votre propriétaire. » me coupa-t-il. »

-J'en aurais sur le fait d'avoir été féminisé, mais comme esclave je n'ai pas de recours. Le travail m'apparait avoir été bien fait. Je me demandais si vous accepteriez de féminiser de jeunes esclaves pour le Cock&Cunt, Monsieur? »

-Euh... Normalement c'est au propriétaire de faire ça dans certains cas » me demanda-t-il.

-Oui, mais là nous le ferions avant la vente. Monsieur »

-Euh... Pour moi, vous n'avez pas le droit de faire ça. » me dit-il un peu sèchement.

-Je pense avoir trouvé un cas où ce serait possible. Le moment venu je vous assurerais du respect de la législation sur les modifications corporelles, Monsieur. » dis-je. L'homme me regardait et pris le temps d'y réfléchir.

-Vous attendez quoi de moi? » me dit-il enfin.

-Nous allons essayer de faire deux premiers cas tests. Je voudrais savoir si vous pourrez les transformer, Monsieur? »

-Hé bien, si vous me garantissez qu'il n'y a pas de problème légal, oui, mais nous avons des listes d'attente... »

-Justement, après ces deux cas tests, nous aurons d'autres esclaves, nous voudrions un traitement privilégié pour eux, Monsieur. »

-Et qui payera? » me demanda-t-il.

-Le SCCM pour les deux premiers. Si c'est concluant, nous ferons peut-être une filiale pour cette activité. Monsieur » expliquais-je.

-L'ESCAR pourrait être associé? » me demanda-t-il.

-Nous devons faire ces deux cas, pour évaluer si la solution est viable économiquement et légalement. Monsieur » expliquais-je.

-Vous avez des doutes légalement alors? »

-Non, pas pour les deux premier. Nous avons peur d'un changement de législation ultérieurement. Monsieur »

-Je veux en savoir plus. » me dit-il. Je fis signe à Hélène qui se leva. Et lui montra un document.

-Un accord de confidentialité? »

-Oui, Monsieur »

-Arrête avec tes 'Monsieur'. Et crache ton truc! » me dit-il en signant.

-OK, je vais faire en sorte que les délais soient réduits, mais il y aura la période de convalescence. » me dit-il quand j'eu fini mon explication.

-J'y ai pensé aussi, je dois aller voir un autre futur partenaire à ce sujet » répondis-je.

-Prue doit perfectionner ses qualités de fellatrice, accepteriez-vous de lui donner l'occasion de s'exercer? » ajouta Hélène en tendant ma laisse au directeur de l'ESCAR.

-C'est avec plaisir. Je me réjouis déjà de votre prochaine visite » dit-il en ouvrant sa braguette, puis en me tendant son sexe.

Dans le restaurent, Hélène qui avait decidé de me laisser les mains attachées m'aida à manger.

-Après on va au STrASS (Sex TRaining Academy for Slaves and Servants -- Centre de formation sexuelle pour les esclaves et assimilés)? » me demanda Hélène.

-C'est ça, Maitresse. » dis-je un peu inquiète de l'invention que Hélène pourrait me trouver!

-Bonjour Madame, vous nous conduisez votre esclave pour une formation? » demanda l'hôtesse d'accueil.

-Elle en aurait bien besoin. Mais non, nous avons rendez-vous avec votre responsable. » répondit Hélène. L'esclave du comptoir me regarda, puis alla dans le bureau derrière. Et nous l'entendîmes accentuer le mot 'Maître'.

-Bonjour, Hélène, et esclave Prue, c'est ça? » nous dit le responsable en nous faisant entrer.

-Hélène, Prue s'installe-t-elle à genoux, où sur une chaise? » demanda-t-il.

-A genoux, c'est plus confortable quand on a les mains attachées dans le dos. » répondit Hélène. Notre interlocuteur sourit.

-Nous sommes venues... » commençais-je.

-Votre esclave prend la parole sans y être invitée, peut-être devrait-elle faire un stage chez nous. » me coupa le responsable.

-Je suis bien de votre avis. J'en parlerais avec sa propriétaire. Maintenant, Prue est effectivement venue vous parler d'un projet entre le SCCM et le STrASS, » répondit Hélène.

-C'est surement prometteur. Prue, je vous invite à vous exprimer » me dit-il.

-Merci Monsieur. Nous sommes venues vous parler d'un projet où vous seraient confiés des esclaves récemment féminisés, pour une formation de base. »

-C'est intéressant. Voulez vous dire que le Cock&Cunt va proposer nos services à ces clients? » me demanda-t-il.

-Non, pas exactement, Monsieur. » dis-je.

-Pouvez-vous m'en dire plus? »

-C'est un nouveau projet, monsieur. Pour vous en dire plus, il nous faudrait un engagement de votre part. » dit Hélène en remettant le même document qu'au directeur de l'ESCAR.

Il signa, et m'écouta.

-Ca m'intéresse. Vous avez des chiffres? Vous commencez comment? » demanda-t-il.

-Nous allons commencer par deux individus. Après nous chifferons, et en fonction du résultat nous pourrions proposer la création d'une filiale. Monsieur. »

-Commençons par ces deux unités. Je pourrais vous accueillir avec eux, si votre propriétaire le souhaite » dit-il.

-Je lui en parlerais, soyez en sûr. Voulez-vous tester les capacités de fellation de notre esclave? » répondit Hélène.

-C'est un devoir pour moi d'évaluer une probable future élève. » répondit-il en prenant la laisse qu'Hélène lui tendait.

-Hélène, nous allons passer des annonces pour nos deux premiers esclaves. » dis-je

-Ce serait bien que vous les surveilliez pendant leur formation, Boss! » me dit Hélène ravie de ses initiatives. Je n'en étais pas ravie, mais entant qu'esclave, je ne pouvais rien dire.

-Prue? Le directeur du SCCM m'a appelée aujourd'hui » me dit Debbie à mon retour à la maison, alors que je regardais sur mon planning mon activité du soir.

-Oui, Maitresse. » répondis-je en serrant les fesses. Je participais à nouveau au concours de fessées.

-Il m'a conseillé de constituer une société et d'acheter d'autres esclaves. » dit Debbie.

-Je partage son avis, Maîtresse. »

-Mais je n'ai pas les moyens d'acheter un autre esclave. » me dit Debbie.

-Maitresse, tu constitue une société avec moi comme apport. La société emprunte, avec moi comme garantie, et l'argent de l'emprunt finance un second esclave. Elle pourra emprunter a nouveau avec une garantie sur le second pour acheter le troisième. » expliquais-je.

-Et en cas de soucis? » me dit-elle visiblement inquiète.

-Tu perd un esclave, mais pas tous. Toi, tu ne risques rien. »

-J'y réfléchi? »

-Comme vous voulez, Maîtresse, mais le Cock&Cunt pourrait avoir deux esclaves intéressants. »

-Ah? » me dit Debbie. Avant de s'allonger mollement en écartant les cuisses en m'invitant vers elle.

-Bonjour, vous avez répondu à notre annonce? »

-Euh, oui, Madame » répondit Arthur Langevin un jeune homme assez efféminé.

-Je suis une esclave, inutile de me dire 'Madame'. Pourquoi avez-vous répondu? » demandais-je. Le jeune homme rougit, et baissa la tête.

-Je n'ai pas les moyens de me payer une procédure de changement de sexe... » dit-il.

-Autrement dit, tu n'es pas Arthur, mais? »

-Armelle... » dit-il en bégayant.

-Tu est venue en jean, mais tu t'habille en femme? »

-Oui, chez-moi. » me dit-il, encore plus mal à l'aise.

-Tu as compris ce que l'on propose? » demandais-je

-Oui, je deviens esclave pendant 5 ans, et après j'aurais mon changement de sexe? » dit-il

-Si tu signes, on commence par le changement de sexe. tu iras en salle des ventes en tant que femme. » dis-je. Il avala sa salive.

-Je... ça me fait peur, mais j'en ai envie » me dit-il.

-Je vais vous proposer de passer dans cette clinique afin qu'il évaluent vos transformations »

-Je... peux demander? »

-C'est le moment, un fois esclave se sera fini. » lui dis-je.

-C'est une transformation complète... avec... enfin le sexe aussi? »

-vous voyez avec eux, mais si dites ce que vous voulez, et vous disent si c'est possible ou pas ».

-Merci, je vais y aller. » me dit-il en prenant la carte de l'ESCAR.

-Bonjour, vous avez répondu à notre annonce? »

-Oui, je pense que vous avez besoin de moi, et moi j'ai besoin de votre proposition. » me dit une grande blonde très soignée, et s'installant dans mon bureau. Ses poignets toutefois me laissaient supposer qu'elle ne s'était égarée.

-J'ai Michaël Katalyst, comme nom. » dis-je. Son visage s'assombri.

-C'est correct, mais je préfère Marilyn. Vous trouvez ça trop ambitieux? » me dit-elle alors que son visage s'éclairait au fur et à mesure qu'elle parlait.

-Ca vous va bien je trouve. Vous avez compris que la féminisation est en contre parti de 5 ans d'esclavage? »

-Ouiii! C'est un deal qui me va. J'a essayé de... de faire la pute, mais je risque de me retrouver esclave pour pas un sou! » me dit-elle. J'étais amusée de voir comme Marylin parlait librement, y compris de ses actes illégaux.

-Ca vous fait peur d'être esclave? » demandais-je.

-Bien sûr, je ne suis pas une idiote. Mais je sais aussi que les transitions coûtent cher. Et que pour financer la mienne, je risque de finir esclave malgré tout. Alors autant être esclave volontaire qu'esclave judiciaire, non? » me répondit-elle.

-Tout à fait. Il est clair pour vous, que vous passerez en salle des ventes en tant que Marylin? »

-Oui, mais on ne sera esclave qu'a ce moment-là, ou plus tôt. » demanda-t-elle.

-Plus tôt. Vous serez esclave au moment de votre opération, et pendant votre convalescence. » expliquais-je. Cela semblait contrarier la jeune trans qui était en face de moi.

-Euh, ça veux dire qu'on a plus le droit à la parole. Enfin, je veux dire... je voudrais pouvoir choisir la tille de ma poitrine, jusqu'où on va. Si on est esclave... on n'a rien à dire. »

-Alors ça ne se passera pas comme ça. On n'a pas le droit de faire des modifications corporelles à un esclave volontaire. Vous allez donc signer un contrat qui listera toutes les modifications que vous acceptez. Vous devenez esclave ensuite. Si vous changez d'avis... » commençais-je

-Ce sera couic quand même... » dit-elle en gloussant.

-Par exemple. »

-Justement, je voudrais des seins énormes, et garder ma bite. » me dit-elle.

-Alors pour les seins, c'est un peu difficile, car ils font une augmentation mammaire plus un traitement hormonal. Donc il y a une taille initiale et ça continue à gonfler par la suite » dis-je en touchant ma propre poitrine.

-Pour votre sexe. nous pension imposer la castration. En tant qu'esclave vous porterez certainement un dispositif de chasteté. Après 5 ans, vous ne pourrez peut-être plus bander. » dis-je. Je le vis serrer les cuisses.

-vous avez subi ce genre de féminisation? »

-Oui, dis-je. Mais dans mon cas c'était forcé. »

-Je... crois que je veux y aller quand même... mais...

-Oui? »

-Vous pourriez... me montrer? »

-Vous montrer?

-Ce qu'ils ont fait pour vous? » me demanda-t-elle. J'aurais dû m'y attendre. Après un strip-tease, Marilyn pris la carte de l'ESCAR. Je devinais son érection quand elle se leva.

Elle quitta mon bureau, mais fit demi-tour.

-Ce serait amusant que je puisse vous prendre avant de signer, puis que vous me preniez après ma transformation. » me dit-elle avec un clin d'œil. Je ris.

-On pourra savoir quand sera la vente? »

-Pourquoi? »

-J'ai une amie qui dirige un ranch de ponies. Tant qu'à être esclave je préfèrerais que ce soit avec elle comme maîtresse. »

-Vous nous donnerez ses coordonnées, et on la préviendra. Mais ce sera une vente aux enchères. »

-Oui, j'ai compris. » me dit Marilyn, en m'envoyant un bisou.

Je m'en voulais un peu de ne pas leur avoir parlé du STRASS.