L'esclave Mystère Ch. 10

Informations sur Récit
Prue monte en gamme pour ses activités.
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Partie 10 de la série de 12 pièces

Actualisé 03/06/2024
Créé 07/26/2023
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Cette histoire se passe dans un monde imaginaire où l'esclavage a été légalisé dans certains pays. Je me suis très largement inspiré de l'univers inventé par John_Doe_Stories et utilisé également par Carl_Bradford sur Literotica en langue Anglaise.

Ceci une fiction, écrite en tant que divertissement. Cela n'a pas pour but de faire l'apologie de l'esclavage, Il y a des scènes de violence, de relations sexuelles forcées, de manipulation qui n'ont pas leur place dans la vraie vie.

Si ce genre de chose n'est pas votre goût, je vous déconseille de poursuivre votre lecture.

Les légères interférences avec « Un Centre pour Roux » n'impliquent pas d'avoir lu l'autre histoire. L'univers est commun et certains personnages peuvent se rencontrer, ou se croiser.

Ceci est le chapitre 10. Il y a un petit résumé en début d'histoire.

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Montée en gamme

Le matin après le concours de fessées je m'éveillais endolorie dans le lit de ma Maitresse. Je repensais moments de la veille avec l'esclave Emily, ou avec ma Maitresse, et il me semblait que je m'habituais à ma condition d'esclave féminisé. Debbie dormait nue à côté de moi, et je décidais d'aller faire un petit déjeuné. Je repensais à la marque sur sa fesse. Elle avait été vendue au Slave's Cock'n'Cunt Market (SCCM), et avait eu une évaluation flatteuse. Or toutes esclaves rousses, ou presque, étaient vendue au Ginger Conservation Center (centre de conservation des rouquins).

-A quoi penses-tu, Prue? » me surprit ma maitresse, nue face à moi

-Je m'assurait de bien tout avoir pour le petit déjeuné... » dis-je.

-Et qu'est-ce que cela a à voir avec le centre de conservation des roux? » me demanda-t-elle avant de recoiffer sa coiffure dont les tons rouge orangé flambait dans le soleil du matin.

-Euh, je... » commençais sans savoir comment elle savait à quoi je pensais.

-Tu viens de marmonner Ginger Conservation Center? » insistât-elle.

-Je... vous avez la marque du Cock'n'Cunt... et vous êtes rousse, je me demandais... »

-La réponse est oui. Je n'ai pas réussi à rembourser mon prêt étudiant. J'été vendue et c'est le GCC qui m'a achetée. » me dit-elle, sur un ton agacé. Cela n'expliquait pas tout, car un esclave sort d'esclavage avec $50,00 et un jeu de vêtements. Debbie ne travaillait pas et avait pu m'acheter, et me transformer.

-Il y autre chose qui te préoccupes. » me dit-elle.

-Oui, Maitresse, mais je ne voudrais pas vous froisser »

-Effectivement, vu l'état de tes fesses, je serais obligé de sévir sur ta pointine, or elle m'a couté assez chère. » me dit-elle, avec une pointe d'humour. Un humour qui va bien au maître, et moins à l'esclave.

Quelques temps plus tôt, je faisais aussi ce genre d'humour, alors que je travaillais au cock'n'Cunt. J'y était un manipulateur d'esclave qui se posait trop de questions. Pour me protéger, le directeur du marché, Ryan Crawford, avait voulu me muter au marketing, mais avant il souhaitais que j'évalue le marché. Pour certains commerces, des personnes sont envoyés tester les prestations des employés, ils sont des clients mystères. J'allais être un esclave mystère pour une journée. Une journée de peur et d'excitation. Une journée d'humiliation et de frustration. Ryan l'avait voulu longue : J'avais été le premier esclave de la journée et je suis sorti le dernier. Je suis sorti tellement tard que mon dossier n'a pas été traité. Aussi quand j'ai pris le métro j'ai été identifié comme un esclave en fuite. Après un passage au commissariat j'ai été condamné pour avoir tenté de m'enfuir. Ma nouvelle propriétaire m'a fait féminiser dans une célèbre clinique pour esclaves, l'ESCAR. Maintenant Debbie loue mes services pour vivre. Son manque de pratique me fait peur, car en cas de faillite je serais revendue. Mais mes quelques remarques m'ont permis de monter en gamme par rapport aux premières taches qu'elle m'avait trouvées. Ces remarques m'ayant values quelques zébrures sur les fesses.

-Alors, Prue? Je t'écoute? »

-Maitresse, je me demande si ce que je rapport est suffisant. » dis-je. Debbie me regarda étonnée.

-Effectivement, je m'attendais à plus. Mais cela te regarde-t-il? »

-C'est à vous maîtresse de décider si cela me regarde. Je peux vous donner des idées. » dis-je, consciente de mon manque de légitimité en tant qu'esclave.

-Tu en as déjà poussé quelques-unes, je crois? » me dit-elle après une réflexion plus longue que ce que je pensais.

-Oui, maitresse. » dis-je sans oser en ajouter.

-J'ai du mal à te trouver des missions aussi intéressantes en journée. Tu as des idées? »

-Je crois que le directeur du SCCM vous a proposer de ma laisser travailler pour lui? »

-Euh, je ne me souviens pas, mais oui, il voulait quelque chose... » dit Debbie.

-Dans la journée je pourrais travailler au Cock'n'Cunt. Et en soirée faire des prestations.

-C'est une idée, mais j'ai l'impression que tu as d'autres idées. »

-Oui Maitresse : acheter d'autres esclaves. » proposais-je. Je vis le visage de Debbie se fermer.

-Avec quel Argent. J'ai dépensé ce que j'avais pour t'acheter. » me dit-elle.

-Vous pourriez emprunter pour... » commençais-je.

-Il n'en est pas question. Si je ne rembourse pas, je redeviens esclave! » me dit-elle. L'idée qu'elle pourrait travailler ne semblait pas l'effleurer.

-Je comprend Maitresse, mais vous me déposeriez en garantie. De même vous pourriez déposer le second esclave en garantie d'un troisième... » dis-je encore.

-Mais tu es folle, ma parole! » s'exclama Debbie.

-En travaillant au SCCM, je pourrais voir les esclaves mis en vente » continuais-je.

-Mais en tant qu'esclave, tu ne peux pas enchérir! » me dit-elle.

-Je vous appelle si ça en vaut le coup, Maitresse » dis-je pour ne pas développer plus mon idée, j'avais déjà bien secoué ma Maitresse pour aujourd'hui.

Je la vis tourner, et retourner. Puis elle mit sur internet. Je restais à genoux à ses côtés, trop heureuse que mon insolence ne m'a pas rapporté de correction. Puis après un moment elle se tourna vers moi : tu crois que Ryan nous recevrait, si nous allions au SCCM?

-Ce serais plus prudent de prendre rendez-vous, Maitresse »

-Tu es sure qu'il nous proposera quelque chose? »

-Il est possible qu'il ait trouvé une autre personne. Mais le mieux est de lui demander. »

-Allo, Le Slave Cock'n'Cunt Market? Je voudrais un rendez-vous avec le directeur. » dit Debbie au téléphone.

L'après-midi même, nous montions les marches en simili marbre noir qui donnait à l'étage du marché aux esclave : dans la partie où se trouvent les acheteurs. Debbie me tenait en laisse, et franchement je n'étais pas à l'aise de me retrouver là féminisée avec mon collier autour du cou. J'essayais de me raisonner. Mes anciens collègues se trouvaient en bas, avec ces hommes et ces femmes que l'on déshumanise pour en faire des esclaves, comme moi. J'avalais ma salive. Toute d'un coup j'avais peur que Debbie n'ait l'idée de me vendre.

Debbie n'est sans doute pas la maitresse idéale, mais je sais d'expérience qu'il a beaucoup de positions moins enviables que la mienne. Alors je préférais garder ma Maitresse.

Rapidement, une secrétaire est venue nous chercher, pour nous conduire dans le Bureau de Ryan.

-Bonjour Madame... » commença-t-il avant de s'interrompre en me regardant.

-C'est Peter? » demanda-t-il.

-Prue, Maintenant » dit simplement Debbie. Alors que je faisais un oui de la tête.

-Prenez une chaise » dit-il à ma maitresse, je savais bien que ma place était à genoux.

-Je ne me souviens plus bien, mais il me semble que vous m'aviez fait une proposition juste après que j'ai acheté cet esclave. »

-Oui, bien sûr. Peter, enfin Prue maintenant, avait des compétences. Il devait travailler au marketing. Je... Je... Je dois pouvoir adapter ce poste à une esclave. » dit Ryan tout en me dévisageant.

-Et vous la payeriez comme un homme libre? » demanda Debbie.

-Vous... vous l'avez envoyée à l'ESCAR (Enslaved Servant Care Center -- Centre de soin pour esclaves)? » demanda Ryan

-Oui, vous aimez le résultat? »

-Je... Je suis étonné, c'est troublant. » dit Ryan.

-Prue, lève-toi, et déshabille-toi, pour que monsieur le directeur puisse voir.

Comme ma Maitresse me l'ordonnait je me levais et en tournant lentement sur moi-même, je retirais mon débardeur, puis ma courte jupe. Ryan avait les yeux rivés sur moi. Là j'étais l'esclave, mais c'est moi qui avais un pouvoir sur lui! je l'hypnotisais. Je continuais à tourner lentement, profitant de lui tourner le dos pour retirer mon soutien-gorge. Quand je lui fis face, je vis ses yeux écarquillés. Je fis un tour de plus, pour retirer mon string, et une dernière fois je lui fis face. Je m'arrêtais.

-Voulez-vous que je continue à tourner Monsieur? Maitresse? » demandais-je.

-Décroche ton clitoris. » me demanda ma Maitresse. Je décrochais ce qui restait de mon pénis de l'anneau auquel il était accroché.

-Evidement, un clitorimorphe » dit simplement Ryan.

-J'ai hésité, mais je trouvais que cette solution permettait à Prue de lui rappeler qui elle avait été. » expliqua Debbie avec enthousiasme.

-Je comprend. Je crois que j'aurais opté pour une inversion pénienne. » répondit Ryan froidement. Le silence se fit. Ils se jaugeaient, les yeux dans les yeux.

-C'est mon esclave. C'est mon choix. » finit par dire Debbie.

-Absolument. » répondit Ryan.

-Et donc, vous payeriez Prue comme une personne libre? » insistât Debbie.

-Non. » dit Ryan. Puis après une pause il ajouta : « 60% du salaire d'un homme libre » ajouta-t-il.

-85% » dit Debbie.

-Non, ce n'est pas possible. Je vous laisse partir. » dit Ryan en montrant la porte.

-75%? » Demanda Debbie.

-Non, je n'ai pas de besoin. Je vous proposais 60% pour vous arranger et pour Peter, enfin Prue. Mais vous ne connaissez pas les tarifs. Au revoir madame. » dit Ryan l'air fermé.

-OK pour 60% » dit finalement Debbie.

-Je vous ai dit que je n'avais pas de besoin. » insista Ryan. J'hésitais à me rhabiller. Je regardais ma maitresse. Elle le regardait sans comprendre.

-Mais normalement... » commença Debbie.

-Si vous ne voulez pas que j'appelle le service d'ordre, je vous conseille de demander à votre esclave de se rhabiller et de partir » dit Ryan froidement.

-Puis parler Monsieur? » dis-je.

-Peter... Prue, même la voix. Je... Je t'écoute. » me dit-il.

-Ma maitresse n'a pas l'habitude. Elle ne sait pas que la norme est 50%, Monsieur. Vous sembliez avoir quand même envie de me prendre. » essayais-je.

-Te prendre dans quel sens? » demanda le directeur.

-Je suis une esclave. C'est à vous de décider des sens » dis-je en souriant.

-Viens donc me présenter tes fesses » me dit-il. Je m'approchais, et tournais sur moi-même pour lui présenter mon postérieur. »

-Tu n'as pas été sage toi! » me dit Ryan.

-Le plaisir d'un Maître n'est-il pas d'avoir une esclave juste assez désobéissante pour avoir une raison de la punir? » répondis-je. Il caressa mes fesses encore endolories.

-On fait 1 mois d'essai à 50% » dit Ryan.

-Très Bien » dit Debbie, manifestement vexée. Elle me regarda, mais n'osa pas se lever ni m'ordonner ne me rhabiller.

-Prue peut-elle commencer demain, 8h 17h? » finit par demander Ryan.

-Ou... Oui » répondit Debbie.

-Tu demanderas à venir me voir demain matin. Rhabille-toi » me dit-il.

Sur le chemin du retour, Debbie était vexée. Elle ne dit rien. Je n'osais ouvrir la bouche. C'est quand nous sommes arrivées à la maison que j'ai décidé de prendre l'initiative.

-Maitresse, je vous sens nerveuse. Voulez-vous un massage? » demandais-je.

-J'ai été nulle, hein? » me dit-elle. Mais avant que je réponde, elle s'emporta : « Mais tu aurais dû me dire avant, me préparer. Tu m'as l'laissée faire n'importe quoi! » se fâcha-t-elle. Evidement j'aurais voulu lui expliquer que je ne pouvais pas, qu'elle n'aurait pas laissé une esclave lui dire comment se comporter.

-Je suis désolée, Maitresse. Voulez-vous me punir? » Dis-je, un peu inquiète de la punition que j'allais avoir.

-Occupe toi de moi plutôt, » dit-elle en s'affalant sur le canapé en remontant sa jupe. Je me mis à genoux entre ses cuisses. Elle dirigea ma tête vers son sexe humide.

-A mon avis, Ryan profitera de toi demain! » me dit-elle. Moi aussi j'avais ce sentiment.

Le lendemain, j'étais assez anxieuse en montant les marches du Cock'n'Cunt. Machinalement, je touchais mon collier qui m'identifiait comme esclave. Avais-je le droit de me trouver là? Pour moi les esclaves devaient être en bas.

-Prue? » me demanda l'hôtesse d'accueil.

-Oui, Madame, » dis-je.

-Je te conduit à Ryan, ma salope » me dit-elle, sans doute vexé de devoir conduire une esclave à la direction du marché aux esclaves. « Et quand tu auras fini, tu viendras agiter ta langue entre mes cuisses » dit-elle en me laissant devant la porte du bureau de Ryan.

-Bien sûr Madame, comme vous voudrez Madame » dis-je.

-J'aime bien ta tenue. Tu la retires, et tu reviens te mettre les mains sur mon bureau. » me dit Ryan, qui avait déjà un tube de lubrifiant dans la main. Je repensais à Debbie et à ce qu'elle m'avait dit.

-Peter, je vais avoir du mal à t'appeler Prue. Elle veut quoi ta Maitresse? »

Je me plaçais comme demandé. J'étais un peu troublé par le mélange des genres.

-Elle veux vivre de l'exploitation de ses esclaves, Monsieur »

-Elle n'a pas que toi? » me dit-il un peu surpris, alors qu'il me lubrifiait.

-Si, Monsieur » dis-je.

-Mais ça ne marchera jamais » dit-il en s'interrompant.

-Je sais, Monsieur, mais en tant qu'esclave, je ne suis pas bien placé pour qu'elle m'écoute, Monsieur » dis-je, en remuant les fesses.

-Tu as envie que je t'encule, toi. Toi, tu as une idée sur ce qu'il faut qu'elle fasse? » me dit-il en se remettant à me beurrer le cul. J'aimais bien qu'un moi libre s'occupe de moi.

-A sa place je constituerais une société qui possèderait les esclaves. Et j'emprunterais pour acheter un nouveau et mettant le dernier en gage » dis-je alors que Ryan commençait à me dilater.

-Je vais en parler avec elle. » dit-il en me donnant une claque sur les fesses. Puis il posa son sexe sur mon petit orifice.

-Bosse et vient t'empaler sur moi! » me dit-il. C'était inusuel, mais amusant de venir m'empaler sur lui.

-Humm, bien ma salope... continue, et dis-moi, tu te sens homme ou femme » me demanda-t-il.

-C'est compliqué Maître, mais de plus en plus femme. Avant tout esclave au service des personnes libres. » répondis-je honnêtement.

-Et tu aimes bien ça, d'être une salope à la disposition des autres » dit-il en me pinçant un téton. La douleur me fit me cabrer et m'empaler plus profond sur son sexe, ce qui au stade de pénétration du moment était plutôt douloureux. Je grognais un peu.

-Que veux, tu, le but n'est pas ton plaisir » me dit-il avant de me mordre l'épaule puis l'oreille.

-Oui, Maître, bien sûr Maître. » répondis-je.

Une fois qu'il eu éjaculé, Ryan, se laissa tomber dans son fauteuil.

-Viens me nettoyer » dit-il, je m'agenouillais pour venir laver son sexe de ma bouche, un peu frustrée de ne pas avoir pu jouir, mais manifestement ce n'était son intention. C'était sans doute une forme d'entretien que je venais de passer.

-Rhabille toi et va voir Helen. Elle te montrera ton bureau. Je parlerais à ta maitresse » me dit-il finalement en rhabillant.

-Madame Helen? » demandais-je.

-Humm, oui, ma salope. » me dit elle en me regardant comme si elle regardait mon front, pour que j'ai la sensation qu'elle me regardait de haut. Une des premières techniques vis-à-vis d'un esclave.

-Je crois que vous devez me montrer mon bureau, mais moins que vous n'ayant une autre priorité. » dis-je. Helen était mal à l'aise, je le voyais, et elle hésitait.

-Oui, je te me montre ton bureau » me dit-elle en se levant, avec un petit sourire en coin.

-Je suis l'assistante ici, et donc je peux t'aider sur certains aspects. Mais je suis une femme libre » me dit-elle. Je compris alors le problème.

-Je comprend Madame, en tant qu'esclave, je dois vous obéir. Professionnellement, je peux faire appel à vous. » dis-je pour résumer. Elle ouvrit une porte, fit un écart en me disant : « c'est là ».

Je regardais dans la petite pièce sombre, et, Helen en profitant pour le pousser dedans, nous enfermant toutes des deux dans mon bureau.

-Je veux te voir à poil, ma salope. » ordonna-t-elle. Je fis comme demandé. Me demandant si j'allais beaucoup travailler dans cette ambiance. Pour autant, je commençais mon strip tease, comme je l'avais fait pour Ryan, mais dans un bureau plus modeste. Alors qu'Helen allumait la lumière. Sur mon bureau se trouvait une cravache. En tant qu'esclave je me doutais du côté de la cravache ou je me trouverais. La douce Helen allait-elle savoir utiliser cet objet, j'en frissonnais. Mais le but était probablement là.

-Hiérarchiquement tu es au-dessus de moi... mais je peux utiliser ça sur toit quand je veux. » me dit-elle. Elle me faisait un peu peur, et je choisis de la provoquer habilement.

-Tout à fait, Madame. » reconnus-je. « Dois-je vous la donner? » ma question la désarçonna.

-Euh, oui, bien sûr, avec les dents » dit-elle, retrouvant sa contenance, et son sourire au coin des lèvres. Je finissais en baissant mon string. Je vu ses yeux fixés sur entrejambes. Et je la vue serrer les cuisses. Je me penchais sur le bureau pour prendre entre mes dents l'objet de torture.

-A quatre pattes » dit-elle alors. J'obéi. Et marchant à quatre pattes je m'approchais d'elle. J'aurais dû avoir peur, ou honte. En fait j'étais plutôt amusée et excitée. Je me rendais compte qu'Helen ne savait pas bien quoi faire. Je m'approchais tête basse, puis je levais la tête comme un chien qui rapporte un bâton. Elle sourit, et me caressa les cheveux.

-C'est bien ma chienne. »

-Merci, Madame » dis-je. Elle était aux anges.

-Il... marche... ton... sexe? » me demanda-t-elle, après s'être passée la langue sur les lèvres.

-Non, madame, je ne peux plus bander. » dis-je. Je la vis déçue.

-Je peux vous montrer, ou faire un cunnilingus. » proposais-je.

-Ho, oui, broute-moi le minou » dit-elle en attrapant la cravache.

Je m'approchais en remontant sa robe. Elle fut surprise, et se laissa faire comme si elle réalisait après-coup, qu'elle aussi allait devoir se déshabiller au moins un peu.

-Attend, je me mets sur ton bureau » me dit-elle, avant de s'assoir effectivement sur mon bureau, de baisser sa culotte et de remonter sa robe en écartant largement les cuisses.

-Viens là... et travaille »dit-elle alors en faisant lisser le bout de la cravache sur son pubis.

Une fois que ma tête fut entre ses cuisses, elle me caressa gentiment de la cravache en gémissant de plaisir.

-Merci Prue... » dit-elle en s'enfuyant quand j'eu finit. Elle avait laissé la cravache sur le bureau.

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Anonymous
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2 Commentaires
HistoiresdOHistoiresdOil y a 4 mois

Toujours aussi incroyables vos histoires!

AnonymousAnonymeil y a 4 mois

Enfin la suite... largement à la hauteur de mes attentes!!! Merci et hâte de la suite!

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