L'esclave Mystère Ch. 03

Informations sur Récit
Peter attend avec impatience la fin de sa journée d'esclave.
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Partie 3 de la série de 12 pièces

Actualisé 03/06/2024
Créé 07/26/2023
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Cette histoire se passe dans un monde imaginaire où l'esclavage a été légalisé dans certains pays. Je me suis très largement inspiré de l'univers inventé par John_Doe_Stories et utilisé également par Carl_Bradford sur Literotica en langue Anglaise.

Ceci une fiction, écrite en tant que divertissement. Cela n'a pas pour but de faire l'apologie de l'esclavage, Il y a des scènes de violence, de relations sexuelles forcées, de manipulation qui n'ont pas leur place dans la vraie vie.

Si ce genre de chose n'est pas votre goût, je vous déconseille de poursuivre votre lecture.

Les légères interférences avec « Un Centre pour Roux » n'impliquent pas d'avoir lu l'autre histoire. Les deux héros se croisent au SCCM.

Ceci est le chapitre 3. Il y a un petit résumé en début d'histoire.

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Bientôt libéré, délivré!

Paul travaillait seul ce matin. Je le voyais placer les esclaves sur la plateforme d'évaluation, puis la faire monter. Plus tard il la faisait descendre, et il faisait avancer les esclaves d'une étape, avant de replacer des esclaves sur la plateforme avec ce rythme lent d'un cycle par heure. Il n'était pas venu me voir dans ma cage d'attente. Pourtant il en aurait le temps pendant la première évaluation. Après les ventes devaient l'occuper. Dans cette cage j'avais été rejoint par des esclaves judiciaires. Une femme, et deux hommes. L'un d'eux était en cage, mais pas une cage aussi courte que la mienne. Aux mouvements de la plateforme d'évaluation j'évaluais qu'il serait bientôt midi.

Cela je le savais, puisque ce matin encore j'étais un manipulateur d'esclave dans ce marché. Un peu trop concerné par le sort des esclaves, le Directeur, Ryan Crawford, m'avait proposé d'être un 'esclave mystère'. J'avais été faussement accusé de négligence vis-à-vis d'une esclave, et Ryan avait exigé ma vente au titre de la punition de mon erreur. Cela avait commencé dès mon arrivée au travail, j'avais dû me déshabiller devant tout le monde, et mes collègues se relayent pour me faire passer d'une étape à l'autre. Il me restait l'évaluation et la vente. Le directeur avait certainement choisi de retarder mon évaluation pour que je passe au moment où il y avait le plus de monde dans le marché : l'évaluation de midi, et la vente de 14h.

J'étais excité de vivre tout cela, même si avec la cage de chasteté qui m'avait été imposée je me sentais castré. J'avais aussi l'angoisse que les choses ne se passent pas comme prévu. Je devais être vendu pour 20 ans avec un prix de réserve élevé. Personne ne devait pouvoir m'acheter. Je ressentais la peur que la vente se fasse quand même. Et là je serais esclave pour 20 ans, alors que je pensais ne l'être que pour la journée.

Dans la cage, je regardais avec envie ceux qui le pouvaient se masturber. C'était la consigne de rester excité pour l'évaluation. Mais Thach m'avait imposé une cage ultra courte, tout ce que pouvais faire était cérébral. Je regardais les autres aussi. La femme n'était pas toute jeune. Elle allait sans doute être vendue à un bordel. Manifestement ses mouvements étaient limités par la douleur du marquage qu'elle avait subi en tant qu'esclave judiciaire : une pêche sur la fesse gauche. Le symbole de l'état de Géorgie. Après cicatrisation, le dessin était plutôt agréable. Là, la brulure, sans doute rouge et boursouflée était cachée sous un pansement.

-C'est à vous! » Lança Paul en ouvrant notre cage. Nous avançâmes vers la plateforme et ses ronds de présentation en velours rouge. Ici en bas du marché ils faisaient ridicule au milieu des cages et du béton brut. Mais en position haute, avec un ou une esclave agenouillé(e) dessus, dans l'ambiance de marbre noir dans lequel évoluaient les clients, c'était plutôt élégant. Sauf qu'aujourd'hui, l'un de ces esclaves se serait moi.

-Peter, en position. » me dit Paul. Je m'agenouillais sur le premier rond en faisant attention de placer mes chevilles et mes genoux proches des accroches, jambes bien écartées donc. Paul n'eut pas de mal à m'immobiliser, puis à m'attacher les mains sur le mat.

-Ta cage est prête à craquer... mais tu vas t'y faire ; tu n'en auras pas le choix. » me dit-il, en souriant.

-Oui, mons... » commençais-je à répondre. Mais il en profita pour placer le gag. Un dispositif à ressort que nous placions dans la bouche des esclaves. Il cale la langue dans le bas de la bouche et empêche de fermer celle-ci. L'erreur à ne pas faire quand on en a un dans la bouche est de l'ouvrir. Je me moquais toujours des esclaves qui justement faisaient ça. On entendait les clic, clic des crans qui passaient les uns après les autres. Mais dès que l'appareil fut dans ma bouche mon reflexe fut de le recracher, et donc d'ouvrir la bouche, provoquant le bruit caractéristique : clic, clic, clic... Paul me regardait en souriant, avant de passer au suivant. Il ne prit même pas la peine de dire quoi que ce soit.

Paul nous avait disposé pour que les 'encagés' soient sur les extrémités. Disposés en arc de cercle, je pouvais voir les 3 autres disposés comme moi. Les cuisses brillantes de la femme ne laissaient aucuns doutes sur son excitation. A côté d'elle l'érection de l'homme était parlante. Plus loin, l'autre homme avait sa cage de chasteté qui s'éloignait de son corps, et était retenue par ses testicules : un début d'érection mal contenu. La plateforme se mit en mouvement, pour monter et se mettre juste en contre bas de l'étage. Les clients n'avaient que deux marches à descendre pour s'approcher de nous, et nous évaluer. Une foule de jeunes gens attendaient avec impatience. Comme d'habitude il y avait beaucoup de garçons qui jetèrent leur préférence sur la femme. Une jeune fille s'approcha de moi.

-Tu as violé qui pour mériter ça? » me demanda-t-elle.

-Hemm clic » essayais de répondre, provoquant l'ouverture un peu plus grande du dispositif dans ma bouche. Elle me regarda narquoise, et frappa mes testicules.

-Hummm! » criais-je.

-On ne frappe pas les esclaves en présentation » dit un des gardes, faisant fuir la jeune fille. J'avais la chance qu'un garde ait été capable de voir ce qui m'arrivait.

-Courte bite! » dit un garçon en me voyant.

-Peut-être pas, si c'est une queue de sang? » répondit son copain.

-Peu importe, à force de porter cette cage il n'aura plus qu'un clitoris » répondit l'autre. Ils rirent.

Finalement les jeunes furent chassés. Il me semble qu'ils n'avaient pas eu les 30minutes qui leur étaient alloués, sans doute il y avait eu trop de débordements.

-Le mieux se serait qu'on te les coupes, comme ça plus de souci » me dit la jeune fille en quittant la plateforme.

Les acheteurs inscris pour une vente dans la journée passaient après. Eux indiquaient un prix sur leur tablette sur la fiche qui décrivait chacun d'entre nous.

-C'est sympa, un ancien manipulateur d'esclave! » dit la jeune femme d'un couple.

-Oui, mais il est à vendre pour 20 ans, ça va faire cher » dit son mari.

-A mon avis, on l'achète, on le féminise, et on le revend au bout de 5 ans au prix où on l'a acheté.

-Humm, c'est une idée, mais il n'a pas l'air d'aimer! » rit l'homme.

Effectivement je réagissais. La position très contrainte était éprouvante, je me sentais complétement à la merci de ces gens. Comme l'avais prouvé la jeune fille un peu plus tôt ce n'était pas complètement faux.

Ces acheteurs furent chassés à leurs tour. Puis la plateforme redescendit. Paul était là, et nous détacha dans l'ordre inverse dans lequel il nous avait installé : il voulait finir par moi.

Il commença par retirer le dispositif dans ma bouche, puis il se plaça face à moi, et baissa sa braguette. Ma langue ankylosée d'avoir été maintenue immobile allait avoir de l'exercice.

-Mon collègue me manque. Mais c'est excitant de te voir dans cette mini-cage. Comme si ta queue avait été coupée. A mon avis on devrait tout couper, tu souffrirais moins. » me dit Paul, en poussant son sexe turgescent dans ma bouche. Il attrapa mes cheveux, et baisa ma bouche. A chaque coup il s'enfonçait dans ma gorge, me coupant ma respiration et jouant avec mon reflexe de toux.

-Tu ferais mieux de t'habituer, ça va être ton quotidien dès demain » ricana-t-il avant d'éjaculer sur mon visage.

Il me détacha du support, attacha mes mains dans mon dos et me conduit dans la même cage que les esclaves qui avaient été évalués avec moi.

Quand Shirley entra dans la cage, elle dit, comme à son habitude : « Qui a soif, mettez-vous à genoux autour de moi » Elle me regarda, un peu dégoutée.

-Allez, vous autres, léchez-lui le visage pour le nettoyer pour la vente, après vous aurez de l'eau. » Ordonna-t-elle. J'avoue que je n'étais pas ravi, mais les autres esclaves encore moins que moi.

-Allez, dépêchez-vous si vous voulez boire » dit-elle.

Finalement tout le monde pu boire. Shirley m'essuya le visage.

-Je vous transfert de cage, maintenant » dit-elle. Et je passais d'une cage à l'autre. J'avais un nœud dans le ventre, en pensant que j'allais être vendu dans les 10 minutes qui arrivaient!

La cage des esclaves qui devait passer en vente était étroite pour ne pas qu'ils puissent se doubler. J'étais le troisième, et cela ne changerait plus. Elle coupa nous liens.

-Masturbez-vous sans jouir, ceux qui peuvent, c'est comme ça que ça se passera le mieux. Il faut que votre excitation vous porte! »

Elle scanna le collier de l'autre homme en cage en le faisant sortir. Paul le pris par le bras, et l'accompagna à l'espace de vente derrière le rideau.

Shirley commença à faire sortir la fille et à scanner son collier.

-Non, non, je ne veux pas » s'écria-t-elle. Shirley attrapa son tazer, la fille s'immobilisa.

-En tant qu'esclave on n'a pas à vouloir. Vas-y et mets en leur plein la vue » dis-je. Elle me regarda surprise.

-Tu n'as pas d'autre jeu, alors participe au lieu de résister » dis-je.

-C'est à toi, » lui dit Paul en lui prenant le bras. Elle fit un geste pour se dégager, et monta seul vers le rideau et son destin.

-Merci Peter, mais tu n'as pas le droit de faire ça » dit Shirley en me faisant sortir de la cage et en scannant mon collier. La peur était intense. Et si la vente se faisait.

Il y eut le bip du scan, puis Shirley me donna un coup de martinet. Paul allait me prendre le bras quand j'entendis le « C'est fait » au talkie-walkie de Shirley. Je décidais alors de m'élancer dans la coursive en pente derrière le rideau et d'entrer dans la partie vente!

Je connaissais la salle des ventes, mais là au milieu de la scène les choses étaient différentes. Les éclairages m'éblouissaient, et les personnes qui étaient assises et habillées autour de moi, je les devinais plus que je ne les voyais.

-0071, Peter, Manipulateur d'esclave, Chatain, excitable, obéissant pour un mâle, mais sans doute connait-il bien les règles qu'il faisait appliquer encore hier, avant celle erreur pour laquelle il est puni.» dit Jack Andrews, notre commissaire-priseur, en riant.

-C'est un contrat de 20 ans. Sa cage est offerte. » compléta-t-il. J'étais encore sonné de me trouver là. J'étais entré en courant, et là je me trouvais bête, ne sachant que faire.

-A genoux » l'ordre passa-t-il dans ma tête, je ne crois pas, aussitôt ordonné, aussitôt obéi.

-A quatre pattes » j'obéissais, presque sans entendre les claquements de fouets.

-Fesses en l'air. »

-Debout »

-En Haut, oui » dit-il. J'étais surpris avant de comprendre que c'était la première enchère.

-Soyez pas timides, 20 ans c'est long, mais il est forme, vous rentabiliserez.

Il y eut quelques enchères de plus.

-Vos enchères ne dépassent pas le prix de réserve, Peter sera remis en vente plus tard. » dit Jack.

Je le regardais avec étonnement. Je n'avais pas vu les choses comme ça. Paul m'attendait, et me guida vers une cage pour les invendus. Puis peu de temps après, Macha est passée me voir.

-Tiens, voilà ta première ration de Grit! » me dit-elle, avec un peu d'ironie.

-Merci, Madame » dis-je, en attrapant la gamelle qui contenait la version 'esclave' du plat typique de la Géorgie. De loin cela ressemblait plutôt à du sperme, même si la quantité excédait de beaucoup ce que produit une éjaculation. Comme j'avais déjà vu faire par les esclaves, je posais la gamelle sur le banc, et, à genoux je lapais la substance blanchâtre, épaisse et collante. La principale saveur était le côté salé. Ayant goûté la vraie substance dans la matinée, je pouvais affirmer qu'il y avait une grande similitude. Pourtant je n'avais rien mangé depuis le matin et je savais que ne pas manger résulterait en une punition. Je préférais éviter, même si certains d'entre vous pourraient me dire que les punitions corporelles font partie de l'esclavage, et que pour que mon expérience soit complete, j'aurais du m'arranger pour en recevoir une.

C'est Sarah qui vint chercher la gamelle vide.

-Tu as aimé on dirait » me dit-elle en constant que j'avais bien finit ma portion.

-Merci Madame, » dis-je.

-Humm, Peter, dis-moi que tu as aimé. » me dit-elle. J'avalais ma salive.

-J'ai aimé, Madame » dis-je.

-Le Directeur te remettra en vente ce soir. » me dit-elle, avant de repartir, en poussant le chariot de gamelles vides.

L'après-midi fût lent. Je gardais une notion du temps en m'accrochant aux mouvements de montée et de descente de la plateforme d'évaluation chaque heure. Mon angoisse montait avec l'approche de la seconde vente. Cette angoisse, j'aurais pu la contrôler en me masturbant, mais la cage de chasteté m'en empêchait. J'allais aussi vider ma vessie en m'accroupissant au-dessus du sceau prévu à cet effet sous les regards amusés de ceux qui, ce matin encore, étaient mes collègues.

Je pense qu'il était 17h passé. L'étage du haut se remplissait après que les bureaux se soient vidés. Shirley me fit signe d'avancer et me transféra dans la cage couloir où les esclaves sont regroupés avant une vente. Là j'étais le premier à partir vers la salle des ventes, le cœur battant. Le directeur avait-il maintenu la réserve de prix?

Cette seconde vente fût un peu plus animée. Mais encore une fois le commissaire-priseur conclu :

-Vos enchères ne dépassent pas le prix de réserve, Peter sera remis en vente plus tard. »

Et Paul me reconduit dans la cage des invendus.

Je commençais à m'impatienter. J'espérais ne pas passer la nuit ici, mais je n'étais pas en position de réclamer.

A l'étage les clients commençaient à refluer. Plusieurs des manipulateurs étaient partis. La lumière fut baissée. Je savais que la distribution de Grit du soir allait bientôt commencer pour les esclaves qui allaient passer la nuit ici. Le personnel de nuit avait plus de temps pour abuser du cheptel. Je devenais nerveux.

-Peter, vous avez été parfait! » me dit Ryan, en me surprenant. Il ouvrit la porte : « suivez-moi » ordonna-t-il.

-Oui, Monsieur » répondit-je en suivant.

-Je vais vous rendre votre liberté » me dit-il en me conduisant au vestiaire des manipulateurs.

-Merci. »

-Ca a été éprouvant? »

-Oui, et pourtant, je savais que ce n'était que pour une journée! »

-Il est un peu tard. Vos vêtements de travail sont dans cette boite. Il y a aussi votre téléphone. Je vous laisse tout récupérer, et renter chez vous. Il n'y plus personne aux ateliers. On vous enlèvera votre cage demain matin. Puis vous irez au marketing. Vous me ferez un rapport sur votre journée. » me dit-il en souriant. Je récupérais mes affaires, puis je me rhabillais : cela me manquait d'être vêtu.

En enfilant mon caleçon je notais que je ne le remplissais plus. La cage faisait son effet. Je gémissais de frustration : après une telle journée je me serais bien soulagé.

Les esclaves eux ne peuvent pas, pensais-je. Je partage cela avec eux pour encore quelques heures.

En sortant du SCCM je humais l'air. Après une journée enfermé à être humilié, j'étais libre.

Je courais presque pour me défouler avant de descendre dans le métro. J'avais entendu que la première nuit en cage de chasteté était difficile. Pour moi se serait la seule. Quoique, peut-être pourrais-je en porter une en souvenir. Mais pas tout de suite. J'étais excité. Je mordais ma lèvre en pensant que pour jouir... il me faudrait être enculé pour la première fois. Mais je n'avais pas envie de passer le pas. Je pensais plus à une douche froide.

J'angoissais un peu à ce qui allait se passer le lendemain au moment du retrait de ma cage. Mes relations avec mes collègues, et Paul ou Thach en particulier n'allaient pas être facile.

Dans le métro, les personnes autour de moi ne pouvaient pas savoir que j'avais été un esclave toute la journée. Ni que je portais une cage de chasteté. En sortant je courais, pressé de rentrer chez moi et de manger quelque chose d'autre que du Grit! J'avais aussi besoin de passer aux toilettes, mais ça aussi, je préférais le faire calmement chez moi. Devoir s'assoir était encore humiliant, et j'en avait eu assez tout au long de la journée. En même temps cette humiliation générait une excitation curieuse puisqu'avec la cage elle ne se traduisait pas par une érection. Une partie de moi en était intriguée, l'autre voulait l'oublier complètement.

Ces pensées ne me firent pas oublier mon arrêt. Dans les couloirs je regardais les publicités où le World of Coca-Cola voisinait le Ginger Conservation Center (centre de conservation des roux, voir l'histoire correspondante). Contrairement aux bordels, les filles n'y étaient pas obligées de satisfaire les clients. En tout cas c'était leur publicité. Ils vivaient plus de la vente des enfants roux que portaient leurs esclaves. Je devais me sentir concerné car la plupart des esclaves y étaient gardés en ceinture ou cage de chasteté suivant que c'étaient des femelles ou des males.

Le lieu ventait ouvertement la possibilité de pratiquer la sodomie. En effet avec le 35ème amendement qui avait légalisé l'esclavage, la Géorgie avait rétablit les lois qui interdisaient la sodomie, même en privé. Un esclave n'étant pas un humain il était possible de le sodomiser.

Je passais dans les cabines de sortie. Mais là un 'Beep' raisonna grave et profond. La porte derrière moi s'était refermée, mais celle devant moi était restée fermée. Au-dessus de moi une lumière rouge tournait. 'Oh merde' pensais-je alors que, déjà, deux policiers se dirigeaient vers moi, arme au point.

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6 Commentaires
LePandaSeLaRaconteLePandaSeLaRaconteil y a 8 moisAuteur

Dès que literotica validera la suite envoyée il y a une semaine.

HistoiresdOHistoiresdOil y a 8 mois

Pour quand pouvons nous espérer la suite de cette merveilleuse histoire? merci ❤️

LePandaSeLaRaconteLePandaSeLaRaconteil y a 8 moisAuteur

Il me fait une dizaine d'heures pour faire un premier jet d'un chapitre.

Je fais 3 relectures à une semaine d'intervalle.

Et je trouve toujours des coquilles...

AnonymousAnonymeil y a 8 mois

Merci pour ce programme! Combien de temps mettez vous pour écrire ces petits chefs d'oeuvres? :)

LePandaSeLaRaconteLePandaSeLaRaconteil y a 8 moisAuteur

Merci de ce commentaire !

J'envoie pour publication le lundi soir en général.

Ce qui fait une publication le Jeudi ou le Vendredi matin.

Cette semaine je vais publier la suite du Centre pour Roux.

Donc la suite des Aventures de Peter sera le 31 Aout ou le 1 Septembre normalement

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