L'esclave Mystère Ch. 04

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Peter visite un commisariat de police...
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Partie 4 de la série de 12 pièces

Actualisé 03/06/2024
Créé 07/26/2023
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Cette histoire se passe dans un monde imaginaire où l'esclavage a été légalisé dans certains pays. Je me suis très largement inspiré de l'univers inventé par John_Doe_Stories et utilisé également par Carl_Bradford sur Literotica en langue Anglaise.

Ceci une fiction, écrite en tant que divertissement. Cela n'a pas pour but de faire l'apologie de l'esclavage, Il y a des scènes de violence, de relations sexuelles forcées, de manipulation qui n'ont pas leur place dans la vraie vie.

Si ce genre de chose n'est pas votre goût, je vous déconseille de poursuivre votre lecture.

Les légères interférences avec « Un Centre pour Roux » n'impliquent pas d'avoir lu l'autre histoire. L'univer est commun et certains personnages peuvent se rencontrer, ou se croiser.

Ceci est le chapitre 4. Il y a un petit résumé en début d'histoire.

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Esclave en fuite

-A genoux, mains sur la tête » criaient les policiers en me visant de leurs pistolets. Je me doutais bien de ce qui se passait, et j'espérais pouvoir leur expliquer la situation, mais dans un premier temps j'évitais de faire un refus d'obtempérer. Je me mettais à genoux, et les mains sur la tête.

-Tu ne bouges pas d'un poil, ou je t'en mets une dans la tête! » dit l'un d'eux. L'autre s'approcha, acquitta l'alarme, et ouvrit la porte de sortie : Ils me traitaient comme un esclave fuyard.

J'avais été bloqué dans cette sortie du métro après une journée terrible. Quelques jours avant, le directeur du marché aux esclaves où je travaille m'avait convoqué. J'avais tendance à avoir trop d'empathie pour les esclaves, à trop chercher à les comprendre. D'autres manipulateurs, avant moi, avait cherché à se faire enfermer pour une nuit comme esclave. Certaines fois cela avait mal tourné et ça avait même entaché la réputation de notre entreprise. Ryan Crawford, m'avait alors proposé une promotion qui m'éloignerait du traitement des esclaves. Mais, en échange, je devais être le premier 'Esclave mystère'. Accusé sous un faux prétexte, je subirais l'erreur punissable. En général les employés qui subissent cette punition sont traités comme un esclave dans l'enceinte du marché. Mais là il était convenu que je serais vendu. Mais une vente impossible. Vendu pour 20 ans et avec un prix de réserve élevé. J'avais accepté.

Et ce matin-là j'étais accusé, juste avant l'ouverture. Mes collègues se relayant pour me faire passer d'un stand à l'autre. Certains faisaient leur travail, d'autres en ajoutaient, comme le vétérinaire qui m'avait appliqué la plus petite cage qu'il avait. Et après ces étapes, qui constituaient les marches d'une descente aux enfers destinées à déshumaniser les esclaves, j'étais arrivé en salle des ventes. Heureusement mon prix de réserve m'avait protégé. Le marché était déjà fermé quand le directeur était venu me libérer. Aussi nous avions décidé que ma cage ne me serait retirée que le lendemain. Nous avions oublié un détail : La puce RFID que porte tout esclave, et qui avait déclenché le portique des transports en commun lors de mon retour à la maison.

-Tu avances à genoux, lentement, en gardant les mains sur la tête, mon collègue est chatouilleux de la gâchette » me dit le second policier, pour me faire sortir du portique.

-S'il vous plait » tentais-je. Je pensais pouvoir leur expliquer leur erreur.

-On vérifie d'abord » me dit-il. Il prit son téléphone, et retourna ma lèvre inférieure, et la scanna. J'étais soulagé. Il verrait que mon cas était clos, et que seule la puce n'avait pas été désactivée.

-Peter Mc Breath, 0071. Tu n'as rien à faire hors du SCCM. Tu es un esclave en fuite. » me dit-il en me glissant un ball-gag dans la bouche. Je tentais de lui faire signe en levant un doigt. Mais comme la puce, nous avions oublié de mentionner ma libération dans mon dossier.

-Si tu décolles tes mains de ta tête, elle explose » me dit le flic qui me visait encore. Mon cœur battait la chamade. Il me fallait attendre l'intervention de Ryan, le directeur du SCCM avant de pouvoir rentrer chez moi. A ce moment-là, je repensais à un conseil que j'avais donné bon nombre d'esclaves : S'exciter sexuellement, par la pensée. Cela aidait à mieux vivre les humiliations et les punitions infligées aux esclaves. J'en aurais besoin avant qu'il ne puisse intervenir.

-Je me pousse, et tu te déshabilles lentement » dit le second flic.

Quand il fut éloigné, je décollais lentement mes mains de ma tête pour défaire quelques boutons de ma chemise avant de la passer par-dessus ma tête. Les boutons sont difficiles à défaire quand on tremble de peur. Ensuite je posais cette chemise au sol. J'allais me lever pour retirer mon pantalon.

-T'es une putain de saloperie d'esclave. Tu restes à genoux » dit le flic avec le pistolet.

Je m'arrangeais alors pour faire glisser mon pantalon alors que j'étais à genoux. Comme Macha me l'avait suggéré le matin même, je retirais pantalon et sous-vêtement d'un seul geste. Je tremblais tellement. Si le flic ne se contrôlait pas j'étais mort. J'étais à peine conscient que je me mettais nu dans l'entrée du métro d'Atlanta.

-Mais c'est qu'en plus t'es un pervers sexuel, pour qu'on t'ais mis une cage. » dit le second flic. Il passa derrière moi, et attrapa mes bras pour les attacher dans mon dos. Il me mit aussi des fers aux pieds.

-Maintenant tu te lèves, ma salope. » me dit-il alors que son confrère se relâchait. Il me fallut deux essais infructueux avant d'arriver à me lever, tellement la chaine entre mes pieds était courte.

Chacun me pris par un bras, et là, je vis la foule qui s'était attroupée autour de nous. Certains devaient être mes voisins.

Les policiers me conduisirent dehors, à une vitesse que j'avais du mal à suivre avec mes fers. Ils s'approchèrent d'une voiture qu'ils ouvrirent d'un coup de plip. Je m'attendais à ce qu'ils m'installent à l'arrière, mais non, ils ouvrirent le coffre, m'assirent sur le bord, et me basculèrent en arrière, avant de fermer. La sirène se mit à hurler, et je fus balloté, avant de ne sortir que pour entrer dans le commissariat de la même manière que j'étais sorti de la station de métro. Finalement, ils m'enfermèrent dans une des cages où se tenaient les personnes en cours d'interrogatoire, ou en attente de jugement.

Nous étions 5 dans la cage, deux hommes habillés, deux filles, sans doute des prostituées à leurs vêtements. La prostitution avait été abolie, et l'avenir de ces filles ne faisaient pas de doute, elles allaient être condamné pour prostitution à 5 ou 10 ans de servitude. Leur esclavage se passerait dans un bordel à faire le même métier, mais pour le compte d'une autre personne : L'usage sexuel d'un esclave n'étant pas de la prostitution ou du proxénétisme. Grace à cette progression morale ces filles qui pouvaient refuser certains actes seraient maintenant des esclaves a qui cette possibilité serait refusée.

J'allais m'assoir sur le banc, quand un des hommes, le noir, réagit violement.

-Non, mais tu crois quoi, toi! » hurla-t-il avant de me donner un coup de pied.

-Les salopes comme toi, restent à genoux. » continua-t-il. Était-il conscient que peut-être il allait être condamné à devenir un esclave? Sa présence dans cette cage laissait supposer que cet avenir était possible pour lui. Peut-être voulait-il profiter de ses dernières heures de supériorité vis-à-vis d'un esclave?

Comme j'étais tombé et qu'avec mes mains dans le dos et mes fers aux pieds je n'arrivais pas à me relever, l'autre homme se pencha vers moi.

-Un esclave doit connaitre sa place. Je vais te la rappeler » me dit-il en me retournant, puis en me tenant par les cheveux, la tête contre le sol. Puis j'entendis un bruit de braguette qu'on baisse.

-Allez lève tes fesses! » me dit-il en me les frappant.

-Oui encule cette salope pour lui rappeler sa place » dit le noir.

Un esclave n'a pas à vouloir, ou ne pas vouloir, je le sais. Mais me faire 'enculer à sec' dans une prison... je ne voulais pas. J'essayais donc de me sortir de ce mauvais pas en me débattant autant que possible avec mes mains attachées et mes pieds entravés.

-Oui, apprend lui la vie à cet enculé. Il a une cage c'est qu'il a commis un crime sexuel. » dit une des filles. Je notais que pour elle j'étais déjà enculé, alors qu'il me semblait que c'était plutôt sur le point de se produire.

-Putain, mais à peine on le met dans une cage qu'il fout le bordel! » cria un policier. Il me fit sortir, pour attacher le lien de mes mains à crochet. Je savais très bien quelle était la destination de ces dispositifs : punir un esclave. Car bien sûr, dans cette situation c'est l'esclave qui est forcément en tort. Il y a peu nous avions noté que les châtiments corporels manquaient à mon expérience : c'était sur point d'être réparé.

Il appuya sur un bouton, et le crochet commença son ascension. Avec le ball-gag, je ne pouvais pas protester. Bien sûr, en tant que manipulateur d'esclave j'avais une bonne idée de ce qui allait suivre. J'angoissais. J'avais voulu connaitre le sort des esclaves, et j'étais soigné. En même temps, je me demandais comment j'allais 'tenir'.

En montant, le crochet forçait mes bras vers le haut dans mon dos. Je devais donc me pencher vers l'avant pour compenser. C'est une position humiliante et douloureuse à tenir. La hauteur du crochet permet de moduler la difficulté voulue : talons au sol, pour une punition modérée. Sur la pointe des pieds c'est terrible. Quand l'esclave n'a plus contact avec le sol, il y a un risque de déboiter les épaules. C'est très douloureux, mais ça abime la marchandise. Une autre modulation était la durée de la punition.

Aussi quand il s'arrêta dès que mes talons quittèrent le sol, je respirais. La position était dure, mais pas insupportable, même si je savais que le temps ne jouerait pas en ma faveur.

Je piétinais un peu, puis en tirant sur mes bras, j'arrivais à reposer le talon au sol.

-Inspecteur, il faut le pendre par les bras » dit l'homme qui avait voulu me sodomiser.

-Non, il faut être patient » dit le flic qui semblait savoir exactement ce qu'il voulait. Le ton qu'il employais me fit penser qu'il savait très bien ce qu'il faisait. Je n'en étais pas rassuré.

Mes talons étaient restés au contact du sol 5 secondes environ, qu'il redonna un coup de moteur, et je me retrouvais à nouveau les talons à quelques millimètres du sol.

Je soufflais sous l'effet de la douleur dans mes épaules. Mais j'arrivais encore à trouver de la souplesse, et à poser le talon. Mais le flic, lui se contentait d'appuyer sur un bouton, pour me remettre en tension.

Il me fallut un peu plus de temps pour trouver la souplesse, et encore une fois, soulager l'avant de mon pied de mon poids. Lui appuya mollement sur le bouton. Cette fois, je ne pus rien faire. J'étais suspendu. Plié en deux, en agonie, et pourtant pas dans la position la pire.

-Un mot de travers, et je laisse pendre ici jusqu'à demain matin. » me dit-il. Pendu comme ça aussi longtemps, le déboitement des épaules n'était pas impossible. Je préférais éviter. Il retira ensuite le ball gag et me montra alors une canne.

-Tu sais compter? » je frémissais de peur.

-Oui, Monsieur » dis-je en serrant les fesses. Certain adoraient donner des coups de canne aux esclaves. J'allais goûter de cette cuisine.

-On pars sur 21 coups » dit-il bien lentement. Alors que moi j'étais suspendu, dansant d'un pied sur l'autre pour atténuer la tension dans mes épaules.

Il fit siffler la canne. Puis il frappa. J'avais toujours trouvé amusant, en tant que manipulateur, que les esclaves aient un temps de retard quand on les frappe à la canne. Je venais de comprendre la raison : le coup, et son bruit me firent peur, mais la sensation de brûlure associée arriva avec ce fameux retard. Ce qui fut plus amusant, pour les spectateurs de la cage d'à côté, ce fut le reflexe au moment de la frappe. J'attendais le coup sur les fesses. Il était tombé sur le dessous des cuisses. Mon reflexe fut de relever les jambes et de me pendre par les bras. Dans la cellule tout le monde riait. Moi je hurlais tout en ayant le souffle coupé.

-Un, Monsieur » finis-je par dire quand j'eu retrouvé mon souffle, et ma position en pédalant contre le sol.

Il posa sa canne un ou deux centimètres au-dessus du premier coup. Puis il prit son élan, et frappa mes fesses.

-Deux, Monsieur » dis-je quand la douleur fut un peu dissipée. Je n'imaginais pas comment j'allais arriver à 21! Mais les coups se succédaient. Lentement, méthodiquement. Il attendait que je reprenne mon souffle et ma position. Il alternait ces coups entre mes cuisses et mes fesses, et quand il en fut à 21, le coup tomba à la limite entre les deux. Un superbe travail, je me dois de le reconnaitre.

-21, Monsieur » parvenais-je à dire.

-Tu es trempé de sueur, on va te laisser sécher. » me dit-il en remontant le crocher, si bien que seuls mes orteils touchaient le sol. J'avais déjà tellement mal partout que cette dernière action ne changea en fait pas grand-chose. Intérieurement, j'étais assez fier d'avoir tenu jusque-là.

Puis il vient devant moi, et défi son pantalon. L'idée de me révolter ne me vint pas, je fis tout ce que je pouvais pour le sucer, tirant même sur mes liens pour le prendre complétement en bouche, et le satisfaire. Je repensais aux quelques fois que j'avais fait ça à des esclaves. Je me surpris à trouver ça hautement érotique. Il me semblait que sans cage j'aurais été en érection. Peut-être que sans cage il m'aurait mis quelques coups sur le sexe. Cette cage comportait aussi quelques avantages.

-Tu vois manipulateur de mes deux, comment on dresse un esclave » me glissa-t-il, en tirant mes cheveux pour redresser ma tête, tout en continuant les allers retours de son sexe dans ma bouche.

Il éjacula rapidement, puis me laissa pendre quelques minutes, avant de me redescendre. Je m'attendais à un relâchement, mais en fait la fin des tensions déclencha beaucoup de douleurs. Je me souviens avoir appris que les informations du plaisir et de la douleur passaient par les mêmes canaux. Etait-ce l'explication de mon excitation?

-La pute là, oui toi, viens là » dit-il à une des filles, puis il nous conduit dans ce qui devait être une infirmerie. « Tu passes la pommade sur ses traces rouges. »

-Ils t'ont pas loupé » me dit-elle quand il est parti.

-C'est un homme libre. Il fait ce qu'il veut » Je la senti se tendre. Elle savait sans doute très bien que le lendemain elle serait une esclave. Ses caresses étaient délicieuses. Encore une fois je regrettais d'être en cage. Ses caresses sur mes fesses me firent me demander si elle ne regrettait pas de ne pas avoir de pénis. J'aurais souhaité qu'elle me pénètre. Un sentiment où la frustration se mêlait à l'humiliation.

Elle rit en me voyant m'accroupir quand je profitais du sceau pour me soulager. Et finalement nous nous sommes endormis ensemble.

Dans la salle du tribunal les esclaves sont à genoux. C'est sans doute mieux comme ça, car avec ces zébrures rouges, j'aurais sans doute été incapable de tenir assis. J'étais soulagé de voir Ryan Crawford, le directeur du SCCM dans le public. Mon inquiétude fut de voir le fameux Juge William Phelps s'assoir pour diriger les débats. Il avait fait sa campagne sur sa capacité à multiplier par 3 le nombre des esclaves judiciaires, pour alléger le coût des prisons et réduire la criminalité et la corruption. Il faut reconnaitre qu'il faisait tout pour tenir ses promesses : Les prostituées avait pris 5 et 7 ans de servitude. L'homme noir 7 ans pour pickpocket. L'autre homme 3 ans pour tentative de corruption après un excès de vitesse à $150,00 et trois points de permis. J'avais une bonne raison de m'inquiéter de ma capacité à plaider mon cas.

-Esclave 0071, pour évasion » annonça-t-il. « Lève-toi » j'étais de nouveau avec mes mains dans le dos, et les fers aux pieds. Malgré la douleur de mes cuisses, je me levais. L'instant était important.

-Tu as été arrêté dans les transports en commun habillé. As-tu une explication? »

-Votre honneur, Je venais d'être libéré du SCCM, mais la procédure de libération n'a pas été suivie jusqu'au bout. » dis-je. Au tribunal les esclaves n'ont pas d'avocat.

-Avant d'être esclave, tu étais manipulateur d'esclaves, tu connaissais cette procédure. »

-Oui, votre honneur, mais il était tard, le directeur m'a dit qu'on la ferait le lendemain. »

-Monsieur Crawford, venez à la barre » dit le juge. Le directeur faisait oui de la tête en approchant.

-Jurez-vous de dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité? »

-Je le jure, » dit il.

-Je confirme, les propos de... » commença-t-il avant d'être interrompu par le juge.

-Confirmez-vous ne pas faire appliquer les procédures règlementaires dans votre établissement? C'est un délit passible de 3 ans de servitude » demanda le juge. La tête de Ryan changea du tout au tout.

-Je confirme que les procédures sont appliquées à la lettre dans mon établissement, Monsieur le juge » se rattrapa-t-il à ma grande déception.

-L'esclave 0071, devait être vendu pour une durée de 20 ans. Vous auriez proposé de le libérer après seulement une journée de servitude. Vous aviez votre raison de demander 20 ans. Cette raison était-elle futile pour l'annuler quelques heures après. Monsieur Ryan, la servitude est-elle une chose sérieuse? »

-Euh... Votre honneur, il s'agissait de... »

-Je ne vous demande pas de quoi il s'agissait, c'est à votre discrétion, et votre employé avait accepté votre jugement. Cette raison était-elle futile? »

-Euh, non votre honneur »

-Il n'y avait pas de raison de l'annuler ensuite, alors? »

-Euh, eh bien, en fait... »

-Monsieur le directeur répondez par oui ou par non, si cette raison n'était pas futile, il n'y avait pas de raison de l'annuler ensuite. »

-c'est un peu plus compliqué, votre Honneur. »

-Monsieur Ryan, j'attend une réponse par oui ou par non. Refusez de répondre, et ce sera 2 ans de servitude. »

-Non, il n'y en avait pas votre Honneur. » dit Ryan en se tournant vers moi. Je voyais dans son visage qu'il était désolé. Il venait de se protéger de 2 ans d'esclavage, moi j'allais sans doute prendre 10 ans.

Mon cœur battait. Je ne croyais pas possible ce qui était en train de se produire, et pourtant je ne rêvais pas.

Je juge pris son temps avant de reprendre la parole, avec un ton solennel il annonça :

-Merci Monsieur Ryan. Cet esclave est donc bien un esclave en fuite. Je confirme votre peine de 20 ans de servitude, et j'en fait une peine judiciaire. Je veux qu'il soit vendu avant midi » dit-il en frappant le bureau de son marteau.

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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 8 mois

Peter pourrait se faire racheter par une ex à lui? Qui se vengerait et jouirait particulièrement d'avoir son ex entre ses mains? J'adore ces histoires! Continuez dans cet univers, c'est formidable!

AnonymousAnonymeil y a 8 mois

Superbe histoire! Hate de la suite! Peter va t-il rencontrer Meg un jour? Ou même Debbie? Peter va t-il accepter sa condition d'eslave maintenant qu'il n'a plus le choix? Trouver une maîtresse sadique (un maître), qui l'achète pour 20 ans? Monsieur Ryan va t-il profiter de Peter maintenant que Peter est cuit? Peter va t-il subir le sadisme de ses anciens collègues? Hate! Moi qui aimait tant l'histoire de Meg, je me mets à préférer encore celle de Peter! Merci pour votre temps

AnonymousAnonymeil y a 8 mois

tres bon recit

j'ai hate de lire la suite

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