L'esclave Mystère Ch. 02

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Peter débute sa journée en tant qu'esclave.
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Partie 2 de la série de 12 pièces

Actualisé 03/06/2024
Créé 07/26/2023
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Cette histoire se passe dans un monde imaginaire où l'esclavage a été légalisé dans certains pays. Je me suis très largement inspiré de l'univers inventé par John_Doe_Stories et utilisé également par Carl_Bradford sur Literotica en langue Anglaise.

Ceci une fiction, écrite en tant que divertissement. Cela n'a pas pour but de faire l'apologie de l'esclavage, Il y a des scènes de violence, de relations sexuelles forcées, de manipulation qui n'ont pas leur place dans la vraie vie.

Si ce genre de chose n'est pas votre goût, je vous déconseille de poursuivre votre lecture.

Les légères interférences avec « Un Centre pour Roux » n'impliquent pas d'avoir lu l'autre histoire.

Ceci est le chapitre 2. Il y a une résumé en début d'histoire.

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Bien que pétrifié, je parvenais à avancer alors que mes collègues reculaient.

-Peter, vous savez que vous devez choisir, un procès, ou une erreur punissable gérée en interne au Cock&Cunt. »

-Une erreur punissable, Monsieur » balbutiais-je. Je notais qu'à partir maintenant je devais faire attention à ma façon de parler avec ceux qui venaient de devenir des anciens collègues, pour la journée tout au moins.

-Et bien qu'attendez-vous pour vous déshabiller! » dit le directeur sur un ton agacé.

Au Slave's Cock&Cunt Market d'Atlanta, Paul et moi formons un duo. En général nous sommes chargés de préparer les esclaves pour leur évaluation, le moment où de potentiels acheteurs évaluent la qualité perçue de ces esclaves. Les meilleurs sont noté Prime, puis Choice, et Select, comme les qualités de viandes. Nous guidions les esclaves des cages vers la salle des ventes et vis-versa. Paul ne sembla avoir aucun problème à gérer les esclaves comme des animaux. Il me rappelle que notre processus n'a qu'un but : les déshumaniser. Moi, j'ai toujours une tendresse pour eux. Souvent, je me demande comment je réagirais à leur place. Je me le demande tellement que ça s'est vu. Le directeur du marché aux esclaves m'a proposé de devenir 'un Esclave Mystère' pour évaluer la qualité du processus de notre entreprise. Autrement dit, je serais un esclave de l'entrée du marché jusqu'à sa sortie, et là, je redeviendrais un homme libre. Le directeur avait peur que je tente de me faire enfermer, il était déjà arrivé que des manipulateurs d'esclaves essaient de faire un tour de l'autre côté du grillage. Il m'a un peu forcé la main et me voilà accusé d'avoir provoqué la mort d'une esclave, et de n'avoir rien signalé : une erreur punissable.

Mes mains tremblaient, mais je commençais à ouvrir la veste de mon uniforme. Jamais retirer cet uniforme n'avait été si difficile. Bien sûr, je savais que le lendemain un message dirait que c'était du faux, que c'était pour rire... mais c'était une épreuve, et aujourd'hui si quelqu'un ne riait pas, c'était moi!

-Veux-tu que je t'aide, » dit une petite voix derrière moi. Je retirais ma veste, et regardais Macha. Elle me tendit les mains, et je lui donnais ma veste. Et je retirais ma chemise, sans vraiment y arriver.

-Tu sais Peter, c'est difficile, mais faire durer ne rends les choses que plus difficiles, ne défait pas tous les boutons, passe là par-dessus ta tête. » me dit-elle sur un ton doux, mais en même temps qui restait assez ferme. Je lui en voulais, même si je savais qu'elle avait raison. Je retirais ma chemise comme elle me l'indiquait. Puis je retirais mes chaussures.

-Pareil, pour le pantalon, tu retireras tout d'un coup, pantalon et sous-vêtements » ajouta la petite rousse. Voyant ma détresse, elle me fit un sourire, mais ajouta : « ne traine pas. »

Macha avait plié ma chemise et ma veste, et j'en étais à retirer mon pantalon. Evidement passer la zone génitale était délicat. Et la demande de Macha me compliquait la vie. Pourtant, je pris mon courage à deux mains et baissais mon pantalon en attrapant mon caleçon au passage. Macha me le prit des mains, et commença à le plier.

-A genoux! » dit avec une vive voix, Sarah. Une grande brune. Par reflexe j'obéis.

-Collier! » ordonna-t-elle ensuite. Je basculais la tête sur le côté pour lui laisser accès à mon cou. Elle y passa un des colliers du SCCM.

-Tu es sous la responsabilité du Slave's Cock'n'Cunt Market. A partir de maintenant, n'importe quel employé du SCCM est habilité à te punir par le moyen qu'il juge approprié. En particulier ce collier peut délivrer des décharges électriques en cas de tentative d'évasion. As-tu compris ce que j'ai dit. » dit-elle automatiquement. Je fis oui de la tête. A vrai dire, moi aussi, je connaissais cette tirade par cœur. Mais l'entendre en changeait l'impression qu'elle me laissait, a moins que ce ne soit d'être à genoux et nu au milieu de tous mes collègues.

-Je vais t'enregistrer » me dit Sarah, et elle me mit une laisse et me conduit vers l'entrée du SCCM, sous le regard de tous mes collègues, mais aussi des clients qui attendaient dehors avant l'ouverture et des esclaves qui étaient dans leurs cages. Dire que j'avais fantasmé d'être esclave : j'étais servi! Quand la laisse se tendit je fus tenté de l'attraper avec les mains.

-Peter, mains dans le dos » me corrigea Macha. J'obéi immédiatement, alors que Sarah me conduisait à l'entrée du marché. Là Ryan Crawford nous attendait déjà.

-Monsieur le directeur, je l'enregistre pour une évaluation? » demanda Sarah visiblement toute amusée de la situation.

-Non, pour une vente. » dit Ryan, très sérieusement. Sarah n'était plus amusée du tout, mais elle tapa sur sa machine, et un bon de vente en sorti. Sarah colla l'étiquette rouge sur mon collier. Tandis que le directeur remplissait le bon, en mentionnant « Erreur Punissable » puis il signa. Sarah sorti un zip. Je me laissais faire alors qu'elle attachait mes mains dans mon dos.

-Et mettez lui une cage de chasteté » ajouta le directeur en partant.

-Je suis désolée, » me dit simplement Sarah, avant de se retourner, de poser sa main sur ma fesse, et de me guider vers l'intérieur du SCCM, alors que les premiers clients allaient pouvoir entrer.

Je l'avais fait avant, mais maintenant c'est moi qui étais guidé par une main dont les doigts se glissait dans mon sillon anal. La chose m'excitait et me mortifiait en même temps. Je profitais de mon érection avant que l'on ne m'enferme dans une cage de chasteté. En même temps j'avais honte de mon excitation, même si tous les hommes que j'avais vu à ce stade étaient dans le même état que moi.

-Profite de pouvoir bander, tant que tu peux, » me dit Sarah, avec un petit rire nerveux à la fin de sa phrase. Je la sentais excitée de la situation, mais aussi mal à l'aise.

Au stand de l'immatriculation, elle prit sa place, attrapa la douchette et scanna l'étiquette qu'elle venait de coller sur mon collier.

-Peter McBreath? » demanda-t-elle.

-Oui, Madame » dis-je me conformant aux règles imposées aux esclaves.

-Tu n'as jamais été évalué, ton numéro sera 616-955-0071, retiens 0071 » dit-elle, en attrapant la machine à tatouer.

-Cela chatouille, ce n'est pas agréable » me dit-elle avant de baisser ma lèvre inférieure et d'y poser la machine, pour tatouer mon identifiant. Elle avait raison, ces chatouilles n'étaient pas agréables, mais je savais qu'un esclave pouvait subir bien pire.

-Je m'occupe de lui » dit Macha.

-Oui, merci Macha » dit Sarah.

-Euh... Sarah, étiquette rouge? » demanda Macha surprise.

-C'est ce que m'a dit le Directeur. » se justifia Sarah, visiblement mal à l'aise.

-OK. » dit Macha, résignée. Elle parlait comme si je ne savais pas ce qu'était une étiquette rouge. Mais j'étais un manipulateur d'esclave, et je savais que les étiquettes rouges identifiaient les esclaves devant être vendus.

-Et une cage de chasteté, » ajouta Sarah.

-Ça je comprends mieux, » dit Macha en passant sa main sur mon sexe en érection. Manifestement cette partie-là de ma punition lui plaisait Sa caresse était délicieuse. Elle me conduit au vétérinaire.

-Hop sur la table, » me dit-elle avec un sourire dont j'avais du mal à dire s'il était sympathique, ou si elle prenait plaisir à me voir comme ça. Connaissant Macha, je pense qu'il y avait les deux. Mais elle m'aida à glisser mes mains attachées dans mon dos, dans le trou de la table prévu à cet effet, puis à mettre mes pieds dans les supports, et à verrouiller ceux-ci.

Je sais que ce processus est humiliant pour les esclaves. Je pense qu'il l'était encore plus pour moi, qui connaissait tous les intervenants. Thach Kim Dinh se pencha vers moi et examina mon sexe.

-Tu as déjà été sodomisé? » me demanda-t-il.

-Non, Monsieur » dis-je, mortifié. La sodomie d'une personne libre était illégale en Géorgie.

-A mon avis ça va venir. » me dit-il avant de pulvériser une crème sur mon entre jambe. Il l'étala avec ses mains gantées pour que la crème recouvre bien mes poils pubiens, mon scrotum. Il glissa même ses doigts entre mes fesses. J'étais franchement gêné de mon érection, surtout que Macha regardait toujours.

-Il faut laisser agir, ça brule un peu, mais nettement moins que les marquages. Ceci aussi est un peu désagréable. » me dit-il alors qu'il s'approchait de moi avec une forme de pistolet. Il l'apposa sur ma clavicule, et appuya sur la gâchette. La douleur fut vive et franche.

-C'est une puce RFID, mais tu connais » me dit-il.

-Oui, Monsieur » répondis-je. J'étais tenté de dire 'oui Thach' mais je me doutais qu'une telle familiarité ne m'était plus permise depuis quelques minutes. Cette puce permettrait de m'identifier à distance, dans une gare ou un aéroport. Elle serait désactivée quand je ne serais plus esclave, à la fin de la journée normalement.

Après m'avoir 'pucé', le vétérinaire se replaça entre mes jambes et utilisa une douche portative pour retirer la crème qui emportait avec elles mes poils pubiens. Ensuite il enroula une cordelette autour de l'ensemble de mon pénis et de mes boules. Il prit la mesure du périmètre ainsi obtenu, et alla chercher un objet dans un placard. Il le prit, me regarda, sourit, et le reposa. Il chercha encore, et reprit un autre objet, avant de revenir vers moi.

Il posa un anneau sur mes boules, et tira la peau au travers, puis d'un doigt poussa mes boules pour qu'elles passent dans l'anneau l'une après l'autre. Il marqua alors une pause.

-Profite de ta bandaison, c'est la dernière avant longtemps » me dit-il en souriant. Un sourire qui ne me disait rien de bon.

Il appuya fortement sur mon gland, provoquant ma débandade. Puis il plia mon pénis pour le faire passer dans l'anneau. Je respirais fortement. J'avais déjà vu des esclaves avec des cages au marché. Il y avait les esclaves judiciaires accusés d'agression sexuelle, mais quelque fois d'autres aussi. J'angoissait aussi de savoir comment j'allais réagir au port de cet accessoire, que je ressentais comme une forme de castration.

Thach posa une forme de coupelle sur mon pénis et appuya dessus, elle vient s'encastrer dans la partie supérieure de l'anneau. Il glissa alors un rivet qui liait les morceaux ensemble. Puis il l'écrasa avec une pince.

-C'est une fermeture à cachet. » m'expliqua-t-il. C'était ce qu'on appliquait aux esclaves judicaires. Je regardais, et la cage était minuscule, bien plus petite que celles que l'on voyait habituellement.

-Oui, c'est une mini cage. Je me suis dit que tu méritais une attention particulière » me dit-il en souriant.

-Je reviens le chercher dans un instant,» dit Macha, qui manifestement avait vu ce qu'elle voulait voir.

Thach baissa alors son pantalon. Et sorti son sexe. Dans une autre position j'aurais ri de sa taille modeste.

-Avec cette cage tu vas perdre dans toutes les comparaisons de taille de sexe. Et si tu la gardes quelques années ce sera définitif! » me dit-il en me montrant combien son sexe était plus long que ma cage. Je savais que beaucoup de propriétaires gardaient leurs esclaves mâles en cage. Avec une cage scellée un propriétaire pourrait même ne pas oser l'ouvrir.

Thach vint alors vers moi. Son sexe tendu vers moi. J'eu un moment de panique. Avant de rationnaliser. J'étais un esclave et Thach était en droit de 'm'utiliser'. Le fait de la savoir ne m'aidait pas accepter la réalité physique de la chose.

Il devait être très excité, car je n'eus pas à le sucer longtemps pour qu'il éjacule dans ma bouche. J'étais mortifié.

-Il faut que tu en prennes l'habitude 0071, mais ne pense pas que ta sexualité se limite à ta bouche. » me dit-il. Il attrapait un plug. Je me tendais alors qu'il lubrifiait mon anus, puis l'enfonçait sans ménagement, mais sans précipitation.

-C'est parfait tout cela. » me dit-il

-Macha, il est à toi. » appela-t-il.

Macha m'aida à me lever. Puis me guida vers le stand suivant.

-Allez, ma salope, monte sur l'estrade, on réviser ton yoga! » me dit-elle. Alors qu'elle attrapait son bâton.

-A genoux » m'ordonna-t-elle en frappant le sol comme un professeur de danse. Je m'exécutais.

-C'est trop lent Peter. Tu es un esclave maintenant. Ce n'est facile ni pour toi, ni pour nous. Mais Ce que l'on peut faire de mieux c'est être exigeant avec toi pour que ta vente se passe le mieux possible. Alors, mon petit Enuque, tu as intérêt à te dépasser! » me dit-elle.

Encore une fois, elle alternait marques de sympathie et humiliations. Comme vis-à-vis d'un esclave qu'elle aime bien. Ce n'était pas facile à recevoir pour moi.

C'était d'autant moins facile que je me posais toujours la question de savoir ce que je faisais là!

Je supposais que j'étais l'esclave mystère. J'allais passer la chaine jusqu'à la vente, et j'allais être libéré. Mais j'avais peur que les choses tournent mal. Soit que le directeur veuille vraiment me punir, soit qu'il ait oublié de mettre un prix de vente minimal, soit encore que ce prix soit dépassé. Alors j'allais être vendu! Une vente était définitive. Si c'était le cas, l'affirmation de Thach pourrait se révéler exacte!

Macha me faisait répéter mon yoga et insistait pour que prononce ces phrases ridicules : « Oui Maitre, ramonez-moi le conduit avec votre grosse bite. » Je crois que j'étais rouge de honte.

-Peter, tu n'y crois pas, mais dit toit bien qu'en cage c'est ta sexualité maintenant » dit Macha.

D'autres esclaves arrièrent. Mais Macha les fit passer devant moi. Si bien qu'étant arrivé le premier au stand du yoga, je ne fus pas le premier à en sortir.

Quand Macha me laissa descendre, c'est Steve Holguin qui m'attendait.

-C'est toujours un plaisir de prendre soin d'un esclave blanc » me dit l'afro-américain en me guidant vers l'étape d'après.

-A genoux. » Ordonna-t-il, avant de prendre une première photo. Je prenais une inspiration avant la seconde.

-Tu sais comment tu dois-être pour la seconde photo? » me demanda-t-il.

-Oui, Monsieur » répondis-je.

-Hé bien qu'est-ce que tu attends, Ces blancs, jamais aucune initiative! » se moqua-t-il. Si j'avais pris l'initiative il m'aurait sans doute puni pour cela. La photo suivante devait être prise fesses en l'air, moi écartant mes fesses. J'était mortifié, même si avec le plug et la cage tout était en partie caché. N'était-ce pas pire.

-Ces photos seront dans ton dossier national » m'expliqua-t-il en me guidant sous le pupitre où il allait compléter mon dossier. Son geste ouvrant sa braguette à la hauteur de ma bouche était clair. J'allais devoir utiliser ma bouche pour la seconde fois de ma courte expérience de l'esclavage.

Le sexe de Steve était plus imposant que celui du vétérinaire, et, après le yoga mon excitation était à son maximum. Je cherche une explication, mais autant avec Thach j'avais eu l'impression d'être violé, autant là, je faisais méticuleusement mon travail d'esclave. Évidemment, je parle d'un ressenti de viol. Un esclave n'est plus un humain. La notion de viol n'existe plus entre un homme, ou une femme, libre et un esclave.

Steve était sans doute plus habitué laisser son sexe passer de bouche d'esclave à bouche d'esclave. Il fut plus difficile à faire jouir. Mais j'étais plutôt fier quand son sperme se mit à couler dans ma bouche.

-Il va falloir s'améliorer, tu fais un piètre suceur » s'exclama mon maître du moment. Il me guida alors vers la suite du processus.

Un frisson d'appréhension couru le long de mon dos, alors que nous approchions de la plateforme. Sans qu'il me le demande, je posais mes pieds sur les supports.

-Qui t'a demandé de faire ça! Ces Blancs, incapables de respecter les consignes » me reprocha-t-il en me donnant un coup de son martinet sur mes fesses. Je reculais.

-Mets tes pieds sur les supports » me dit-il alors avec un sourire d'une oreille à l'autre.

La position jambes écartés n'était pas agréable. Steve attachait mes pieds. Ensuite il recula une barre horizontale jusqu'à ce qu'elle soit en contact avec mes hanches. Je le regardais. Il sourit avant de me dire : « tu vois ça vient. Attrape les poignets » Je me penchais donc en avant pour attraper chacune de ces poignées. Il appuya sur le bouton qui refermait une coque de grillage métallique sur mes mains, si bien que j'étais immobilisé, buste horizontal, mon postérieur offert. Mais je savais que le but n'était pas de profiter moi.

Steve brancha l'arrivée d'eau sur le plug. Et presque aussitôt le lavement commença. Une première pour moi aussi. Après un premier temps assez désagréable, je me laissais faire, et finalement ça se passait bien. Avec le volume déversé, la pression devint désagréable, puis douloureuse. A la limite de l'insupportable, Steve détacha le tuyau. Il me pulvérisa avec de la mousse.

-Tu attend que ça agisse » me dit-il, avant de partir et de me laisser sans surveillance. Je le notais dans ma tête.

Quand il revint avec une esclave, j'avais des crampes insupportables. Steve abaissa la manette du départ, et ma plateforme se mit en mouvement. Comme une voiture, je subis un premier rinçage qui fit couler la crème dépilatoire. Puis ce fut de la mousse lavante, et les rouleaux, dont celui qui passa sur ma pointine, mon ventre et mon entre-jambe. IL y eu un arrêt pour que Steve retire le plug. Ce fut un soulagement humiliant de me vider, pas que de liquide devant lui. Il relança le mouvement de la plateforme pour je sois rincé, puis séché.

Bernard m'attendait à l'arrivé des plateformes, il m'accueilli en me détachant.

-Je vais m'occuper de toi, et te faire une beauté. Tu es si séduisant » me dit. Était-ce naturel, ou forçait-il son accent français?

La coiffure fut rapide. Mais Bernard me donna quand même un conseil.

-Excite-toi malgré la cage. Imagine-toi en train de sodomiser une esclave, même si le futur est sans doute le contraire. Plus tu seras excité, meilleur sera ta note »

Il me dirigea alors vers la cage des esclaves à évaluer plus tard. J'avalais ma salive, j'allais être confronté à Paul avec qui je travaillais jusqu'à ce matin. De plus, je n'étais pas dans la cage des esclaves à évaluer immédiatement. Le but étant, certainement, de me faire évaluer vers midi, quand il y aurait plus de monde.

Je levais les yeux. Au-dessus de moi quelques clients curieux regardaient le traitement des esclaves. Parmi eux je reconnu Ryan Crawford, le directeur du marché, nos yeux se croisèrent.

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1 Commentaires
HistoiresdOHistoiresdOil y a 9 mois

Vraiment hâte de lire la suite...! Merci infiniment pour le temps que vous prenez à écrire des histoires si originales et excitantes!

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