Les Vacances en Afrique, La Suite

Informations sur Récit
Un couple passe des vacances dans une tribu nomade.
2.8k mots
3.98
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1

Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 06/24/2019
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La nuit suivant, je dormis peu. Ma femme et moi sommes restés loin l'un de l'autre sous la couverture. Elle avait gardé sa gandoura. Elle me tournait le dos.

Le matin, très tôt, je la sentis se retourner. A travers mes paupières mi-closes, je l'observais. Elle-même était attentive. Elle essayait de savoir si je dormais. Comme je ne faisait aucun mouvement pour me trahir, et que ma respiration était régulière, elle se décida à se lever, sans faire de bruit. Elle le fit tout doucement, en ne me quittant pas des yeux.

Elle prit un linge, l'humidifia, souleva son vêtement d'une main et se lava la chatte de l'autre tout en continuant à m'observer. Je vis qu'elle était excitée, sans doute par ce qu'elle imaginait des retrouvailles avec son amant. Ainsi, bien qu'il l'avait forcée à se donner à ses amis, elle le désirait toujours autant.

Elle sortit un rouleau de papier toilette et sur la pointe des pieds, elle quitta la tente. Elle n'avait même pas cherché à s'équiper de son appareil photo pour justifier sa promenade de l'aube. Bien qu'elle ait pris toutes ces précautions pour rester silencieuse, elle ne cherchait plus à sauver les apparences. Elle me ménageait, sans plus.

J'aurais peut-être dû rester et attendre mais je me levais à mon tour. En regardant par l'ouverture de l'entrée, je la vis s'éloigner à pas rapides. Il faisait encore nuit mais les premières lueurs de l'aube éclaircissaient déjà l'orient. Je ne voulais pas me découvrir et je la laissais continuer jusqu'à ce qu'elle disparaisse derrière un rocher. Alors, je sortis à mon tour et je suivis ses traces. J'arrivais à l'endroit où elle avait tourné. Je ne la vis pas. Elle avait apparemment poursuivi son chemin jusqu'à un autre rocher, ses empreintes de pas en témoignait. Je m'approchais et tout en restant masqué par le rocher, je l'aperçue. Elle était accroupie, la gandoura relevée jusqu'à la taille et elle faisait ses besoins. J'ai eu assez peu l'occasion de la voir dans une telle circonstance. Nous sommes assez pudiques en de tels moments. Mais je dois dire qu'une femme qui a les fesses sur les talons et les cuisses écartées, c'est très pornographique et très stimulant comme image. Pour ma part, j'aime aussi beaucoup voir le jet gicler entre les pieds. J'entendais parfaitement le bruit du flot sur le sable.

Ma femme s'est essuyée puis relevée. Elle a continué son chemin d'un pas déterminé, dans une direction précise, celle de la clarté. Elle savait où elle allait. A nouveau, je me contentais de la suivre des yeux jusqu'à ce qu'elle ne soit plus visible. Je repris ma filature. En arrivant près d'un nouveau rocher, je vis qu'elle avait rejoint Abdou qui finissait sa première prière de la journée. Elle savait qu'il serait là, en ce lieu précis, sans qu'ils se soient donnés rendez-vous. Peut-être était-ce à cet endroit qu'il l'avait violée la veille.

Elle était devant lui. Il la dominait d'une bonne tête. Elle voulut l'embrasser, se mit sur la pointe des pieds et tendit sa bouche. Il ne lui donna pas satisfaction. Il préféra la coller à lui et remonter la gandoura en pétrissant ses fesses. Je le vis glisser sa main dans la raie et frotter vigoureusement de bas en haut. Je l'entendis lui dire "Mets toi à quatre pattes sur le tapis." Elle se prosterna, découvrant et relevant ses fesses. Elle offrait son cul, elle attendait la saillie. Abdou s'agenouilla derrière elle, recouvrit le derrière de ma femme avec sa gandoura, sembla guider son sexe au bon emplacement et s'enfonça en elle. L'un et l'autre eurent le même râle intense au moment de la pénétration. Cela exprimait une sorte de soulagement partagé une fois la jointure faite.

Abdou se mit alors à baiser ma femme en force. Elle releva son buste et s'appuya sur ses bras presque tendus. Abdou en profita pour glisser ses mains le long de la gandoura jusqu'à atteindre les seins. On devinait qu'il les pelotait vigoureusement. Ma femme plaça sa main droite entre ses cuisses. Je ne pouvais pas savoir si elle caressait les couilles d'Abdou ou sa chatte, peut-être les deux.

Il voulut changer de position et lui ordonna de s'allonger sur le dos en retroussant sa tunique au dessus de la poitrine. Il s'agenouilla entre ses cuisses qu'elle ouvrait largement et releva aussi son habit jusqu'à la taille. Il s'allongea sur elle, entrant sans peine au plus profond parce qu'elle creusait ses reins pour lui permettre d'aller plus loin dans son intimité.

Elle levait ses jambes et les refermait sur le dos d'Abdou. Lui allait et venait en elle, la tenant aux hanches. Son cul noir et musclé bougeait en saccades et on entendait un bruit composite, mélangeant le claquement des chairs qui se heurtaient à chaque coup de rein au son d'un pieu qu'on entre et qu'on sort d'un trou plein de sève qui se dilate au flux et se rétracte au reflux.

Elle força sur ses abdominaux pour décoller son buste du tapis et attraper les fesses de son amant à pleines mains, les poussant pour qu'il s'enfonce encore en elle. Elle tendait son visage vers le sien, cherchant le baiser. Elle le regardait avec une expression de souffrance, sourcils froncés, front plissé, bouche ouverte. Lui continuait imperturbablement sa besogne, sans accélérer ni ralentir. Il la ramonait méthodiquement, jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus retarder son plaisir.

Si lui ne variait pas la cadence de ses va-et-vient, ma femme respirait de plus en plus vite, non pas parce qu'elle faisait des efforts mais parce que l'orgasme se rapprochait. Abdou en était certainement conscient et il poursuivait son travail de sape inlassablement. J'étais envieux de sa capacité à tenir aussi longtemps sans faiblir. "Je vais et je viens, entre tes reins." Cette chanson de Gainsbourg me vint à l'esprit, sauf que ce n'était pas moi qui allais et venais, c'était Abdou, infatigable, qui durait encore et encore, qui la prenait en force, qui poussait, tirait, plantait son dard, le ressortait, ma femme s'essoufflait, il s'engouffrait à nouveau, se relevait, replongeait et ma femme était à bout, il remontait, redescendait et ma femme jouissait, il ne s'arrêtait pas, la baisait, l'enfilait, la possédait et enfin, il se libéra à son tour dans un grand cri rauque, ses doigts pressant la chair, le bassin bloqué en avant, ses fesses imprimant le rythme de ses giclées qui devaient ensemencer le ventre de mon épouse. Il resta un moment allongé sur elle. Elle le serrait dans ses bras pendant qu'il reprenait son souffle.

Pour ma part, je bandais et j'avais envie de me branler mais je n'avais pas osé le faire de peur d'être surpris par un autre observateur. Je quittais les lieux avant qu'ils se désunissent, pour être sûr qu'Abdou et ma femme ne puissent pas me voir et être de retour avant eux.

Ils revinrent à la tente tous les deux ensemble, sans se cacher. J'étais assis sur le matelas. Abdou me dit : "Bonjour B., va prendre le petit déjeuner avec Aïcha et ensuite on passera au programme touristique puisque vous êtes en vacances." Il sourit en nous regardant. Ma femme et moi, nous comprîmes que le programme touristique en question serait avant tout sexuel. Mais sous quelle forme? Je pense que ma femme était excitée à l'idée de revivre un équivalent de la séance de la veille. Quant à moi, j'étais plutôt inquiet.

Nous sortîmes tous les trois pour nous diriger vers l'endroit où le café était servi. Ma femme s'assit en tailleur. Cela lui ouvrait largement la chatte mais sous la gandoura. Moi, je savais qu'elle n'avait pas de culotte et que de surcroît son sexe était encore plein du foutre d'Abdou puisqu'elle n'avait pas pu se nettoyer dans le désert et n'avait apparemment pas voulu le faire non plus sous la tente, soit à cause de moi, soit à cause de lui. Peut-être avait-elle aussi du plaisir à garder ce sperme en elle.

Nous sommes revenu sous la tente. Ma femme me dit ce que je savais déjà, mais sans entrer dans les détails. Elle précisa qu'elle n'avait pas beaucoup dormi, qu'elle avait pensé au sexe du soir au matin et qu'elle n'avait pas eu la force de résister. Elle me révéla qu'elle savait qu'Abdou allait prier avant l'aube et qu'elle savait où le trouver. Je ne fis pas de commentaire, gardant mon amertume pour moi.

Peu de temps après, Abdou est venu nous voir. Il nous a expliqué que les autres nomades du campement l'avait questionné sur ce qui s'était passé sous la tente avec Mustapha et Sami. Les hommes avaient entendu des bruits qui ne laissait pas trop de doute sur ce qui arrivait. Il a raconté en détail comment nous avions été baisés ma femme et moi. Abdou conclut en nous faisant savoir que tous avaient décidé de profiter de l'aubaine. Il nous proposa soit de nous laisser faire, soit de nous attacher. Ma femme n'hésita pas une seconde et opta pour se laisser faire. Pour ma part, je proposai de sortir de la tente et de faire un tour pendant que ça se passerait. Abdou refusa tout net. Je devais être présent, soumis ou contraint.

Je tentai de sortir malgré tout mais j'échouai parce que Mustapha et Sami gardaient l'entrée.

Abdou ordonna à Aïcha de se déshabiller et de s'appuyer contre le mât central. Il la força à se pencher en avant et à écarter les jambes. Ainsi positionnée, elle tendait son cul aux arrivants.

Il me commanda de me déshabiller à mon tour, de me mettre à quatre pattes à côté de ma femme et d'attendre. Moi aussi, j'offrais en quelque sorte mon cul à ceux qui préféreraient m'enculer plutôt que de baiser ma femme. La différence, c'était que j'étais loin d'être consentant.

Un groupe d'hommes fit son entrée. Ils étaient tous vêtus de la même sorte de tunique. Abdou parlementa. Deux se détachèrent et s'approchèrent de nous. Je comprenais que les hommes n'auraient pas le choix entre ma femme et moi, mais que nous offrions deux trous où deux mâles pouvaient se soulager simultanément. Ma femme serait baisée par la moitié des nomades et moi, je serais sodomisé par l'autre moitié. A moins que certains ne soient gourmands et n'exigent deux passages.

Les deux premiers relevèrent leur gandoura jusqu'à la taille. Comme Abdou, ils étaient nus en dessous. Le mien se plaça à genoux derrière moi et celui de ma femme la prit directement par les hanches. Le sien entra sans effort, la chatte étant trempée. Le mien dut forcer, sans aucun égard pour ma douleur. Mais mon cul avait déjà connu une bite de bon calibre hier et le sphincter s'ouvrit assez vite. L'un et l'autre nous ramonaient sans retenue, pressés d'en finir. Ils éjaculèrent plus ou moins en même temps. Je sentis le mien se vider en quelques giclées.

Tous deux sortirent et deux autres prenaient aussitôt leur place. Cette fois, personne ne faisait la fine bouche et ils enfilaient deux trous plein de foutre sans se poser de question. Comme j'avais le cul graissé par le sperme de ma première passe, la seconde fut moins irritante. D'autant plus que cette deuxième queue me semblait plus petite que la première. Pendant qu'on me bourrait le derrière, je regardais ma femme se faire mettre. Son partenaire lui trayait les seins qui pendaient. Elle ne se tenait que d'une main et de l'autre, elle se branlait et caressait les couilles collées à son cul.

Cette fois, le mien fut plus rapide et son remplaçant était en moi alors que celui de ma femme n'avait pas encore fini. Je commençais à retrouver les sensations de la veille, à ressentir du plaisir quand le gland entrait et à l'attendre quand la bite précédente était partie. J'avais déjà le rectum pas mal rempli de semence et quand le troisième laissa la place au quatrième, mon cul en évacua un peu. Ma femme aussi avait la chatte qui gouttait.

Cela continua ainsi, chaque arrivant ajoutant son émission à celle des autres. Je ne sais pas qui en a pris le plus entre ma femme et moi. Au bout d'un certain temps, je me suis arrêté de compter. Vers midi, on fit une pause casse-croûte. Nous ne sommes pas sortis. Simplement, on nous a apporté des sandwichs et de l'eau et nous nous sommes restaurés tout nus, assis sur le matelas. Ceux qui n'étaient pas encore passé nous regardaient. "Il faut prendre des forces. Il y en a encore pas mal qui font la queue." dit Abdou. Faire la queue, c'était vraiment l'expression adaptée.

Après à peine un petit quart d'heure, nous avons repris nos places sans qu'on nous le demande. Nous avons reçu les deux suivants, ma femme dans sa fente et moi dans mon anneau. J'avais envie de me branler et je le fis sans rien demander à personne. J'essayais de calquer les mouvements de ma main sur ceux de mon amant. Mais il fut plus rapide que moi et m'inonda les fesses avant que mon orgasme soit venu. Heureusement, un autre pris sa place et je repris ma masturbation. Là encore, je me coordonnais avec mon enculeur. Il s'en aperçut et se fit un malin plaisir de ralentir le rythme. Il entrait et sortait de plus en plus lentement, puis stoppa carrément hors de mon cul. Je m'arrêtais aussi et j'attendais qu'il me reprenne. Je lui murmurai "Encore." Il me dit "Parle plus fort." Il avait bien entendu mais il voulait que tout le monde sache. Alors je répétai plus fort "Encore." Il m'ouvrit le cul a nouveau et j'eus un soupir de satisfaction. Il reprit un rythme soutenu, que j'imitais de la main. Mais il ralentit à nouveau progressivement puis sortit son sexe tout à fait et resta ainsi en suspens. Je dus à nouveau le supplier de me reprendre "Encore." Tous les hommes me regardaient, excités par ma soumission. Ma femme aussi était fascinée. Mon homme me combla encore, comme je l'en implorais. Cette fois, il me laissa continuer jusqu'à la jouissance. Il déchargea au moment où j'éjaculais par terre.

Ma femme à son tour se branla. Elle le fit entre deux clients et les hommes respectèrent son temps de pause. Elle gardait sa posture, penchée en avant, appuyée d'une main au poteau. Elle mit ses doigts dans son vagin puis les porta à sa bouche. Elle récupérait les spermes mélangés dans sa chatte et les dégustait. Elle se frotta le clitoris et ferma les yeux. Elle devait sans doute se repasser le film de tout ce que nous avions subi depuis notre arrivée. Elle eut un orgasme rapide.

Il y avait encore pas mal d'hommes à satisfaire et nous continuâmes à les recevoir jusqu'au dîner. Pour ma part, j'avais le cul bien ouvert désormais et je n'avais aucune difficulté à engouffrer tous les diamètres, même les plus imposants. J'avais du foutre partout. Dans le cul, sur les fesses, qui me dégoulinait sur les cuisses, tombait sur mes mollets. Il y en avait plein le matelas où nous allions devoir nous allonger pour la nuit. Ma femme aussi en avait partout.

On nous apporta à manger et à boire, comme au déjeuner. Puis, tout le monde ayant été assouvi, y compris Mustapha et Sami, on nous laissa seuls. Ma femme s'allongea sur le matelas, sans se soucier du sperme qui le maculait. Elle me dit, sur un ton sans réplique "Viens me bouffer la chatte." Je n'étais plus en mesure de me battre pour refuser. Je m'allongeais à mon tour, sur le ventre, entre ses cuisses et je me mis à table. Ma femme plongeait ses doigts au fond de son vagin et me forçait à les lui lécher. Elle ramassait même quelques chandelles sur le lit et me les offrait en les déposant sur ma langue. Puis, elle me demanda de me mettre à genoux, le buste bien droit. Elle vint se placer en face de moi, dans la même posture. Elle me rentra ses doigts dans le cul, se pencha pour rentrer plus profond, ressortit et me demanda de nettoyer sa main. Elle vidait le jus accumulé dans mes entrailles et me le faisait avaler.

Nous nous sommes couchés à même le matelas souillé. Cette fois, je dormis, tant le sexe m'avait fatigué.

Le lendemain, nous levions le camp à l'aube. Abdou nous expliqua que nous rejoindrions une autre tribu. Il précisa que nous servirions à nouveau de vide couilles à tous ceux qui le voudraient.

Ce fut ce qui arriva. Nous avons ainsi passé nos quinze jours de vacances à nous faire enfiler par cinq tribus. Au retour à la maison, j'avais pris goût à la sodomie et à la soumission et ma femme est devenue dominatrice avec moi et soumise à tous les hommes qui lui passent dessus devant moi.

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 5 ans
Une autre suite ?

Une autre suite .... du retour chez vous ?

Rudy

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