De Mari à Esclave Ch. 01

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De mari à esclave
1.6k mots
3.81
6.4k
1
Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 29 pièces

Actualisé 11/10/2023
Créé 10/05/2023
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A peine venaient-ils de pénétrer dans le luxueux appartement que Mélanie s'écria : " alors c'était qui cette blonde à qui tu as fait du charme a cette fille toute la soirée? " Robert, qui avait acquis pour elle deux ans plus tôt cette petite maison dans un très chic arrondissement de, sentit que l'orage n'allait pas tarder à éclater. " Je t'assure, ce n'est qu'une collègue du temps de que je n'avais pas revu depuis l'université, rien de plus, tu te fais des idées... " " Tu crois que je n'ai pas vu tes yeux briller pour cette petite salope, hein? " " Tu est d'une jalousie maladive! " ergota Robert qui savait que la situation n'allait plus s'arranger.

Une gifle retentissante sur sa joue gauche vint accréditer cette hypothèse : « Tu me parle poliment, tu me dois le respect. A genoux, plus vite que ça! " Cette fois-ci Robert comprit qu'il allait passer un de ces moments difficiles et délicieux à la fois. Mais pourquoi donc était-il allé lui raconter ses fantasmes de ligotage, un jour de griserie et de confiance excessive... Après quelques jours de réflexion, Mélanie avait décidé d'en tirer tous les avantages possibles. Petite fille gâtée et unique, fille d'une mère autoritaire et d'un père arrangeant et effacé, elle n'avait de l'homme qu'une vague crainte résultat d'une bonne éducation catholique. Et cette éducation ne faisait plus le poids face au déferlement de ses hormones féminines à l'approche de la quarantaine.

Robert était à présent à genoux, à sa merci les yeux mi-clos en prévision d'une autre claque qui ne vint pas.

" Avoue qu'elle te plait bien, cette fille! Comment s'appelle-telle? " " ...heu... Martine ...oui, je crois que c'est Martine " souffla-t-il. Il était coincé, quoiqu'il dise, l'irritation de cette grande brune au corps élancé ne ferait que croître jusqu'à ce qu'elle ait son content de colère et d'humiliation. Elle était capable de douloureux châtiments. " Je t'en supplie Mélanie, je ne voulais pas lui parler, c'est elle qui est venue vers moi. J'ai fait la conversation par politesse. "

Mélanie savourait cet instant, elle le tenait et n'allait pas le lâcher, on aurait dit un enfant pris en faute. Il rougissait. " Alors elle te plait cette Martine? Est-ce que tu l'as déjà draguée au boulot? Tu ne veux pas me répondre?... alors tant pis pour toi. " Il se mit à quatre pattes, implorant puisque c'est ce qu'elle semblait vouloir, et s'approcha de ses genoux qu'il baisa de petits et chauds baisers. " Pitié Mélanie, je t'assure. " D'un geste brusque, elle écarta ses genoux et la tête de Robert, déséquilibré, partit en avant...et elle resserra ses genoux sur sa nuque avec force. " Pauvre idiot! fit-elle, tu me dégoûtes, tu vas regretter cet affront que tu m'as fait ce soir. "

De ses deux mains, il tentait de desserrer l'étreinte mais sachant que c'était inutile, elle allait aller jusqu'au bout. Ne lui avait-il pas dit qu'il fantasmait sur la soumission...qu'il aurait aimé qu'elle l'attache et le Domine...qu'elle prenne son plaisir sans qu'il ait droit à quoi que ce soit? Que n'avait-il su tenir sa langue et garder son secret, sur son Hotmail par exemple, ou dans son journal intime comme lorsqu'il était adolescent! Il en payait les conséquences avec une peur et un plaisir croissant : jusqu'où irait-elle? Son imagination perfide s'avérait sans limites...

De sa poche, elle avait extrait une cordelette en nylon de trois pieds de long qui se finissait par un petit lasso à nœud coulant. Une de ces petites cordes d'escalade quasi incassables et multicolores. Elle attrapa l'un de ses poignets qu'elle lui tordit dans le dos. " Mets l'autre bras dans le dos! Menaça-t-elle, en accentuant la clef de bras. " C'était un de ces souvenirs du judo qui lui servait encore. Robert s'exécuta docilement, d'ailleurs dans sa position il n'avait plus le choix. Mélanie replia le lasso trois fois sur lui même créant une triple boucle dans laquelle elle passa les deux mains du supplicié, enfin elle serra d'une simple traction sur la cordelette.

C'était le moment qu'elle avait appris à aimer, il n'était pas encore totalement à sa merci mais elle savait qu'il ne pouvait plus s'échapper. Elle prenait plaisir à lui faire sentir sa dépendance. " Essaie donc de t'en aller! " grogna-telle en desserrant l'étreinte de des genoux gracieux sur sa nuque. Une bouffée de chaleur due à la honte et à la peur mêlés lui monta au visage. Tirant vainement sur ses liens il la suivit des yeux : elle alla chercher une autre corde plus épaisse et plus longue dans la chambre voisine. Mélanie entreprit avec des gestes vifs et précis de lui lier les chevilles ensemble. Puis se plaçant derrière Robert qui se tenait toujours à genoux, elle le déséquilibra en avant d'une poussée du pied dans les reins. Relevant instinctivement le menton, sa chute fut amortie par ses vêtements : il était toujours en costume et cravate.

Triomphante, Mélanie s'exclama " moi je ferais bien un petit tour en traîneau! ". Et de s'asseoir sur les fesses de Robert. Elle attrapa la cravate de son homme en se penchant en avant : elle simulerait les rênes, puis elle cala ses talons aiguilles cruellement sur ses deux omoplates. " En route, Robert nous allons jusqu'à la chambre! " fit-elle avec un brin de sadisme dans la voix.

Alors commença pour Robert un tortillement saccadé et lent. Son corps habillé n'avait que peu de prise sur le marbre lisse et froid du hall, cela allait prendre un sacré temps pour exécuter la manœuvre! Il gémissait et respirait de plus en plus fort. Il avait extrêmement chaud, et le frottement du sol sur son intimité avait un effet stimulant. Mélanie savait que cette humiliation combinée à l'effort entrepris avait une action agréable sur son partenaire.

En temps normal il aurait parcouru les trente trois pieds les séparant de leur chambre en deux à quatre minutes. Elle l'avait déjà obligé à le faire une ou deux fois, nu, une bougie à la main pour bien s'assurer qu'il mettrait le moins de temps possible. A chaque tentative de pause, elle avait gratifié son cou et ses fesses de larmes de cire brûlante...

Cette fois-ci, c'était différent, lourdement lesté par le poids de cette superbe femme, il progressait à l'allure d'une limace sur une chaussée sèche. " Je n'y arriverai pas! Lâcha-t-il alors qu'il stagnait à la hauteur du palier depuis de longues minutes.! " Mélanie qui s'était traîtreusement accrochée au chambranle de la porte rétorqua " mais si, je suis sûre que ça vient! " Effectivement Robert finit par exploser dans un râle de plaisir. " Pardon, pardon " implorait-il, sachant que, même si elle avait tout fait pour arriver à ce résultat, elle le prendrait pour prétexte à de nouveaux châtiments. " Pauvre minable lâcha-telle, et moi qui allais te détacher pour une longue nuit d'amour...puisque c'est ainsi tu resteras attaché au pied du lit jusqu'à demain matin! "

Mélanie prit tout son temps pour sa toilette et resta à la salle de bains au moins une heure. Elle prenait un plaisir malicieux à imaginer ses pensées troublées. En revenant dans la chambre, elle passa à côté de Robert toujours allongé sur le ventre les pieds et les poings liés. Puis elle s'assit sur le lit et se mit à la lecture d'un bon livre pendant encore quarante cinq minutes. Enfin, elle éteint la lumière. La voix enrouée de son mari se fit entendre dans l'obscurité, suppliante " Détache-moi, je t'en prie, j'ai une réunion très importante demain, je ne pourrai vraiment rien faire de bien, si te me laisses comme ça...s'il te plait... Mélanie, je t'en conjure! "

" Oooohh!...mais je t'avais oublié mon petit cœur " fit-elle avec un sourire narquois en rallumant sa lampe de chevet. Elle se releva pour s'assurer de la solidité de ses liens, puis ajouta : «Tu sais, je me souviens d'une nuit où tu t'étais traîné jusqu'à la cuisine, et où tu avais réussi à trancher tes liens avec le couteau du pain ; aussi pour t'éviter toute tentation vais-je améliorer mon dispositif...tu vas adorer! " Et elle attrapa les deux pieds de cordelette qui pendaient encore du lasso de ses mains. Elle passa l'extrémité entre ses chevilles et tira pour amener ses bras tendus en arrière vers ses jambes repliées. La jeune femme consolida son œuvre par plusieurs aller-retour et nœuds serrés. Satisfaite, elle s'assit sur le lit pour profiter de la mine défaite de son homme.

Une énorme émotion étreignait la gorge de Robert, qui se sentit perdu : jamais il ne pourrait supporter une telle position toute une nuit ; Il avait déjà enduré certaines choses mais pas encore ça! Les crampes et les courbatures allaient le torturer et l'empêcher de fermer l'œil. Il geignit " oh, Mélanie mon bel amour je t'assure, je ne vais pas pouvoir supporter ça...je t'en supplie...si tu m'aimes. " " Moi, je suis persuadée du contraire, fit-elle avec entrain, mais je ne veux pas que tu me fasses la conversation pendant que je dors! Alors... " Elle lui pinça le nez et profita de l'instant où il desserrait les lèvres pour respirer et lui glissa dans la bouche ses collants encore odorants de la journée.

Avec un foulard bien ajusté, elle fixa le bâillon en place ; " ainsi, tu penseras mieux à moi. Oh! Mais j'ai mieux! " S'écria-telle, en retirant sa culotte ; d'un geste précis, elle la lui plaça à l'envers sur la tête, côté intimité sur les narines. " Bonne nuit mon bel amour fagoté, et ne pense surtout pas à cette petite idiote de Martine! Pense plutôt à moi qui sais si bien m'occuper de toi! "

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Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 6 mois

Texte pas relu. Il manque des mots !

J'ai quand même lu jusqu'au chapitre 7.

Franchement pas fan.

Manque clairement de soin sur la forme.

Et sur le fond, les choses ne sont pas bien amenées. Ça arrive régulièrement comme un cheveu sur la soupe. Violences trop gratuites, situations impossibles. Manque de continuité dans le récit (on a l'impression de reboot l'histoire au milieu de la série).

C'est franchement bâclé.

La mayonnaise ne prend pas pour toutes ces raisons.

Inutile de sortir deux pages par jour. La qualité doit toujours primer sur la quantité lorsqu'on écrit.

Point positif : il y a une grosse marge de progression ! :-)

Courage

AnonymousAnonymeil y a 7 mois

Cette histoire semble traduite depuis un traducteur automatique sans relecture.

La source n'est pas indiquée.

La lecture en est pénible et donc le récit n'a aucun intérêt à mon sens

ChrisstefChrisstefil y a 7 mois

J adore super demarrage

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