Les Préservatifs 03 (Marié et Cocu)

« Je ne t'aurais jamais crue si cochonne, ma fille ! C'est ton mari qui te baise comme ça, sur les photos? »

« Non, c'est le photographe. Arthur, lui, a un tout petit zizi. Allez, montre-lui, Nounours, s'il te plaît... »

Son mari, malgré son humiliation, s'exécute, car il ne peut rien lui refuser.

« Ah oui », dit son père, « je comprend que tu ailles chercher ailleurs, mais, tout de même, faire ça le jour de ton mariage, tu es vraiment une salope, ma fille. »

A ce moment, Arthur est surpris de voir sa femme détacher la ceinture du pantalon de son père, alors que celui-ci lui dit :

« Tu vois, le cocu, ma fille paraît avoir l'intention de me donner quelques... compensations. Alors, va t'asseoir en face, dans le fauteuil. Tu auras une meilleure vue en face de nous. Et met ton petit zizi à l'air, ta main en aura besoin. »

Arthur se sent encore plus excité qu'humilié. Il s'installe dans le fauteuil et commence une branlette qui sera certainement une des meilleures. Devant lui, sa femme libère son père de son pantalon et de son slip. Le membre qu'il exhibe est gros, mais surtout très long. Fleur, s'asseyant sur son père, s'y empale d'un seul coup. Cela fait si longtemps qu'elle en a envie qu'aucun préliminaire n'est nécessaire. Elle monte et descend le long de cette pine qui l'envahit. Son père, tenant sa fille par les hanches, force à chaque fois vers le bas, comme s'il cherchait à la défoncer.

Arthur est aux premières loges. Il voit bien le long sexe coulisser dans un vagin qui devrait lui être réservé. Curieusement, s'en sentir privé l'excite énormément. Lorsque le père de Fleur la bloque en pressant sur les hanches, il sait que le sperme paternel gicle dans le vagin de sa femme, qui, instantanément, hurle de jouissance. Arthur se rend compte alors qu'il les a accompagnés dans leur plaisir, comme en témoignent les taches blanches sur sa jambe de pantalon.

Fleur reste couchée sur le canapé, alanguie après son orgasme foudroyant.

Son père, qui craint que sa femme s'inquiète de son retard, se rhabille rapidement et les quitte après avoir posé un petit baiser rapide sur la bouche de sa fille.

Arthur, s'approche de son épouse incestueuse et lui caresse doucement un sein, en lui disant :

« Je crois que tu as atteint le parfait orgasme que tu espérais. J'en suis si heureux pour toi. »

« C'est vrai. Cela a été merveilleux, mais je ne vais tout de même pas faire tout le temps l'amour avec mon père ! C'était un désir caché d'adolescent, que j'ai pu assouvir aujourd'hui, alors je ne suis pas certaine que ça serait aussi bon une prochaine fois. Tu vois, il va falloir trouver autre chose, encore », lui fait-elle remarquer.

« Je ne sais... », commence Arthur, interrompu par Fleur.

« Ce n'est pas le moment. Nous aurons tout le temps d'y penser pendant notre voyage de noce. Pour l'instant, tu as un travail de cocu à faire », dit-elle en montrant d'un doigt sa chatte dégoulinante.

Alors qu'Arthur, passe sa langue sur le sexe trempé, Fleur ajoute :

« Nettoie bien, Nounours, complètement. Avec ma mini-pilule, le risque est très limité, mais c'est tout de même 2 %. Imagine que je tombe dans ce cas ! Tu ne voudrais pas que je porte mon petit frère dans mon ventre, n'est-ce pas? »

Un « non, non, non », difficilement audible sort alors d'une bouche bien occupée à sucer, laper, aspirer...

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... à suivre ...