Les Préservatifs 03 (Marié et Cocu)

BÊTA PUBLIQUE

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Le ton de Fleur était tout sauf contrarié, mais plutôt espiègle. Son père, paralysé, ne sait que répondre, mais, à son grand désespoir, la fameuse bosse est devenue encore plus évidente. Lorsqu'ils continuent leur marche lente dans l'allée centrale de l'église, Fleur dit encore à son père, sans vraiment murmurer :

« Papa, je suis heureuse d'être accompagnée par toi, à l'église, pour aller vers l'hôtel. »

« Moi aussi, ma petite chérie », répond-il.

Alors Fleur lui murmure très bas, à l'oreille :

« Mais peut-être aurais-tu aimé que je reparte à ton bras... dans l'autre sens... »

Fleur s'illumine d'un sourire enjôleur lorsqu'elle voit stupeur et rougeur sur le visage de son père.

La cérémonie religieuse se passe au mieux. Après l'échange des vœux, le marié, comme il se doit, embrasse son épouse. Pour les deux époux, il n'est pas question de se limiter à un chaste baiser furtif. C'est devant toute l'assistance qu'ils s'embrassent passionnément, mêlant leurs langues. Arthur reconnaît tout de suite ce goût particulier dans la bouche de son épouse.

'La cochonne', se dit-il intérieurement, 'elle a fait une fellation juste avant la cérémonie !'

Un regard vers son mari, montre à Fleur qu'Arthur a compris, aussi lui murmure-t-elle :

« Oui ! Et tu n'as pas tout vu ! »

Le mariage en mairie se passe normalement. Cette formalité effectuée, les jeunes mariés montent à l'arrière de la limousine qui doit les emmener à l'auberge, qui les accueille pour un buffet et la fête qui doit suivre. Le chauffeur, père de la mariée, a laissé le rétroviseur orienté comme à l'aller. Ce n'est pas la route qu'il va regarder le plus. Fleur et Arthur alternent baisers sensuels et quelques caresses superficielles. Le père de Fleur, qui les regarde discrètement, ne peut que penser qu'il pourrait être à la place de son gendre... comme le lui avait laissé entrevoir sa fille... mais peut-être était-ce seulement une plaisanterie un peu coquine? Entre deux baisers, Fleur dit à Arthur :

« Nounours, relève ma robe et caresse-moi. Je suis toute trempée. »

Son mari s'exécute, découvrant une chatte plus qu'humide. Il enfonce deux doigts dans la chatte de Fleur, sans se soucier du regard dans le rétroviseur. Peut-être ne s'en est-il pas rendu compte, mais, ce dont il se rend bien compte, c'est que le vagin de sa femme est complètement rempli de sperme, aussi fait-il un « Oh », qui faire dire à Fleur :

« Et oui, mon petit mari, tu as été cocu juste avant le mariage ! »

Fleur a parlé si ouvertement que son père a tout entendu, en même temps qu'il constatait de visu, ce qui lui fait dire en lui-même :

'Je n'aurais jamais pensé que ma petite fille puisse être aussi salope'.

Il en est surpris, mais pas contrarié. C'est plutôt l'excitation qui l'emporte. Sa main ne va pas quitter son entre-jambes pendant le reste du trajet.

De son côté, le marié a vite compris que c'était le photographe qui avait mis son épouse dans cet état, un homme à qui il avait lui-même confié la réalisation d'un album de photos érotiques.

'C'est bien moi le responsable de ce qui m'arrive', se dit-il.

Curieusement, plutôt que de se le reprocher, il s'en félicite. Voir sa femme se comporter ainsi l'excite énormément. Il se justifie en pensant qu'il lui a promis tous les plaisirs qu'il est bien en peine de lui donner, mais son érection quasi douloureuse montre que ce n'est pas la seule raison.

Fleur, s'étonne que son mari ne réagisse toujours pas, aussi lui dit-elle :

« J'espère que tu n'es pas fâché? »

« Devine, ma chérie », lui répond Arthur en lui prenant la main pour la placer sur son pantalon, au bon endroit.

Une fois arrivés, les mariés sont accueillis par une acclamation des invités. Ce n'est évidemment pas Arthur qui enthousiasme les foules, mais Fleur dans sa robe très sexy.

Le fête commence par un cocktail, puis se poursuit par une collation au buffet. Les mariés, comme les invités, se sont laissés allés à boire un peu plus que de raison. La plupart ne sont pas vraiment éméchés, mais l'alcool a, disons, permis une certaine décontraction. C'est alors une des collègues de la mariée qui prend la parole :

« Nous allons proposer un jeu aux messieurs. Les dames ne peuvent pas participer, mais je suis certaine qu'elle vont l'apprécier en spectatrices. Les mariés ont choisi de partir en voyage de noce en Guadeloupe, pendant les vacances d'hiver. L'objectif du jeu est une petite aide financière pour ce voyage des mariés. Nous avons adapté un jeu qui, dans le passé, a bien animé les mariages : le jeu de la jarretière. »

Un « Oh ! » s'entend dans la salle, certains connaissant. La présentatrice poursuit :

« Quand un premier homme donnera sa contribution, la mariée relèvera un peu sa robe. Si la jarretière reste cachée, le suivant devra donner le double et la mariée découvrira un peu plus ses jambes. Et ainsi de suite. Lorsque la jarretière sera visible, le dernier homme qui aura misé, aura le droit de venir lui-même la retirer. Messieurs, je ne peux vous dire à quelle hauteur la jarretière est placée. Si elle est très haute, vous devrez beaucoup dépenser, mais, dans ce cas, la retirer sera sûrement très... disons... intéressant. Bon, nous pouvons commencer. La mise initiale est fixée à 25€ et c'est moi qui vais collecter vos dons. Pour vous motiver, la mariée a accepté de débuter en plaçant le bas de sa robe au niveau des genoux. »

Nombreux sont les hommes intéressés, car, ayant dansé avec la mariée, laissant par moments glisser leurs mains un peu trop bas, il ont vite été convaincus qu'elle ne portait rien sous sa robe, ce qui ajoute au plaisir du jeu.

Déjà trois hommes ont misé et la robe est remontée à mi-cuisses sans laisser voir de jarretière. Maline, Fleur l'a relevée discrètement en allant aux toilettes avant le début du jeu, la plaçant tout en haut de la cuisse. Elle sait bien que, quand la jarretière sera visible, il en sera de même pour sa chatte, mais elle a choisi de prendre ce risque pour maximiser les gains.

Un homme agite dans sa main deux billets de 100. La mariée relève encore une fois sa robe. Un « Oh ! » s'entend à plusieurs endroits dans l'assistance, car la posture est maintenant assez indécente. Cependant, la jarretière n'est toujours pas visible.

Au fond de la salle, un vieil homme présente 400€ dans sa main. Cet homme n'est autre que le père de la mariée. Surprise, la mère de Fleur apostrophe son mari :

« Ah, non, pas toi ! Tu ne peux pas faire ça à ta propre fille ! »

Tout le monde a entendu et cela jette un froid. Fleur a bien vu que le donateur est son père. Elle en est toute excitée. Elle avait l'intention de relever encore sa robe, juste un peu, pour gagner un tour de plus, mais, là, elle ne veut pas refuser ce plaisir à son papa chéri.

Après cet incident, la présentatrice hésite sur le conduite à tenir : doit-elle accepter ce don? Elle échange alors un regard avec Fleur, qui acquiesce de la tête. Lorsqu'elle prend les billets, le silence est total dans la salle.

Alors la mariée relève sa robe avec une extrême lenteur, car, à ce niveau, la robe est très moulante. Lorsque la jarretière apparaît enfin, la chatte de la mariée est aussi découverte. Tous peuvent voir des lèvres trempées. Tous se disent que la mariée doit être extrêmement excitée, pour qu'elles soient dans cet état. En dehors du père de la mariée, d'Arthur et du photographe toujours présent, personne ne sait que c'est du sperme qui couvre les lèvres vulvaires. Fleur laisse bien vite retomber sa robe.

Son père rejoint Fleur pour venir prendre possession de ce qu'il a gagné. Les hommes de l'assistance se réjouissent d'avance de la vision qu'ils vont avoir de nouveau, pendant un temps plus long, espèrent-ils. Cependant, le père de la mariée se contente de soulever la robe jusqu'aux genoux seulement, pour se glisser sous le vêtement qui retombe alors sur lui, le cachant aux yeux de tous. Avant de faire descendre la jarretière, il fait coulisser deux doigts dans le vagin de sa fille, cherchant le point G. Fleur a bien du mal à ne pas montrer son excitation. Heureusement, son père ne peut s'attarder ainsi que quelques secondes et c'est alors une main que l'on voit faire glisser la jarretière autour de la cheville de la mariée. Le père de Fleur ressort bien vite de sa cachette, tendant en l'air son trophée, qu'il met vite dans sa poche, car cette jarretière est trempée du sperme qui a dégouliné.

La mère de Fleur n'adressera plus la parole à son mari pendant toute la soirée.

Enfin, les jeunes mariés se retrouvent dans l'appartement d'Arthur, pour leur nuit de noce. Fleur fait lentement glisser sa robe, dans un mouvement d'une grande sensualité. Elle apparaît nue, splendide, tournant lentement sur elle-même comme le ferait un mannequin, avant de dire :

« Comment mon mari trouve-t-il sa femme? »

« Tu es si belle, merveilleuse. Je me demande comment j'ai pu avoir la chance de t'épouser », répond Arthur.

« Viens, mon Nounours, je vais m'occuper de toi », lui dit Fleur, qui le déshabille complètement.

Elle caresse doucement ce gros ventre qu'elle appelle 'mon oreiller'. Elle le caresse partout, en évitant de toucher ses grosses bourses et son petit zizi caché dans des replis de peau. Après un moment, alors qu'Arthur tente de lui rendre ses caresses, elle le repousse en disant :

« Attend, mon petit mari, j'ai un travail de cocu pour toi. »

La voyant se coucher sur le dos sur le lit et écarter les jambes, Arthur comprend ce qu'il doit faire. Il pose sa bouche sur la chatte de sa femme adultère et suce, lèche, aspire. Le goût du sperme ne lui déplaît pas, bien au contraire, mais c'est aussi de voir ainsi la preuve de son état de mari trompé qui l'excite. Il lui avait donné son accord, mais elle l'a fait si vite cocu, qu'il a l'impression d'un adultère. Il la fouille de ses doigts qu'il recourbe en elle pour faire sortir toute la semence dont elle est remplie. Arthur sent bien que sa femme apprécie ce qu'il lui fait. Elle soupire souvent et fait courir ses doigts dans les cheveux de son mari. L'orgasme n'est pas là, mais Arthur sait qu'il lui a fait du bien.

C'est au tour de Fleur d'essayer de donner du plaisir à son mari. Elle caresse ses testicules et cherche à décalotter le gland de son sexe minuscule qui ne bande même pas. Elle lui dit alors :

« C'est bien, mon chéri. Tu as respecté l'abstinence avant le mariage que je t'avais demandé. Tes grosses couilles doivent être bien pleines, mais ton petit zizi ne se réveille pas. »

« La journée a été longue et difficile. Je me sens épuisé, ce soir », se justifie Arthur.

Fleur tente quelque chose pour faire bander son mari : elle vient poser son index sur l'anus et l'y enfonce profondément. Arthur apprécie. Elle ne lui avait jamais fait ça. Cependant l'érection n'est toujours pas là. Fleur fait bouger son doigt, le replie pour masser la prostate. Elle ne réussit qu'à faire couler un peu de sperme d'un petit sexe qui n'a toujours pas durci. Aussi finit-elle par dire :

« Ça ne marche toujours pas. Alors, on va dormir et ça ira sûrement mieux demain matin. »

Le lendemain, au réveil, Arthur a une belle érection matinale... enfin... petite, mais bien dure.

Conscient d'avoir raté sa nuit de noce, Arthur se dit que, s'il essaye de pénétrer sa femme avec son sexe minuscule, il risque un échec de plus. Comment sa jeune épouse pourrait-elle accepter un tel fiasco? Alors, il repense à la confidence que lui a faite Fleur. Ne pourrait-il pas lui faire revivre ce qu'il l'avait excitée, lorsqu'elle s'était caressée avec le sperme d'un homme qui avait posé son préservatif usagé sur elle? Évidemment, il ne dispose pas de préservatif. En existe-t-il à sa taille? Probablement pas ! Mais cet accessoire n'est peut-être pas essentiel dans le fantasme de Fleur.

Lorsque sa femme s'éveille, Arthur la couvre de caresses, l'embrasse passionnément, lui mordille le lobe d'une oreille, glisse jusqu'à ses pieds, dont il suce amoureusement les orteils. Puis, il remonte, léchant une jambe, puis une cuisse qu'il repousse un peu pour découvrir une chatte bien odorante, car Fleur n'a fait aucune toilette hier soir. Il lèche et suce les lèvres intimes, pousse sa langue dans l'ouverture du vagin. Fleur est maintenant toute chaude et très excitée. Elle écarte ses cuisses, tend ses bras vers son mari et s'offre en lui disant :

« Viens, mon mari, prend-moi ! »

A ce moment, Arthur se redresse, à genoux entre les cuisses de sa femme et commence à se masturber.

« Mais, qu'est-ce que tu fais? », s'exclame Fleur, frustrée.

« Regarde bien !», lui répond Arthur, « Je vais te rappeler des souvenirs. »

Fleur comprend ce qu'il veut faire et ne quitte alors plus des yeux cette petite bitte toute dure qu'astique son mari. Elle n'a pas longtemps à attendre, car Arthur, hyper excité, éjacule au bout de moins d'une minute. Son sperme jaillit en longues giclées dans les poils du pubis de sa femme. Elle en a partout, vraiment partout. Comme elle lui avait interdit toute masturbation pendant les deux semaines avant le mariage, Fleur se doutait bien qu'il serait bien 'chargé', mais elle ne s'attendait pas à une telle quantité.

Sans changer de position, Arthur regarde sa femme, passant des yeux à la chatte, puis à sa main, qu'il espère active. Après quelques secondes d'hésitation, Fleur passe un doigt dans la flaque qui couvre son pubis, pour l'engluer avant de caresser son clitoris. Elle fait ça plusieurs fois et Arthur entend bien la respiration de sa femme qui s'accélère. Puis ce sont plusieurs doigts qu'elle fait passer sur son pubis, récoltant ainsi un maximum de sperme avant de les enfoncer dans son vagin. Fleur vibre d'excitation. Son mari prend alors l'initiative de l'aider. Il pousse, du plat de sa main, tout le sperme restant sur le pubis pour en recouvrir complètement les lèvres vulvaires. Gémissant sans arrêt, Fleur enfonce quatre doigts dans son vagin, profondément, ne les ressortant que pour reprendre du sperme et l'enfoncer en elle. Perdue entre souvenir et réel du moment, elle sent monter un plaisir qui la remue toute. L'orgasme est là, tout près, et pourtant elle ne l'atteint pas vraiment. Lorsque qu'elle est calmée, Fleur dit à son mari :

« C'est bon, très bon, mon Nounours. Merci. »

« J'espère que tu as pu enfin retrouve ce même orgasme, ma chérie », lui répond Arthur, plutôt confiant.

Fleure hésite avant de répondre, craignant la déception d'un mari qui fait tout... enfin, tout ce qu'il peut... pour son bonheur, mais elle se doit d'être honnête avec lui, aussi dit-elle :

« C'était tout près, mais pas au même niveau de plaisir. Je suis heureuse que tu aies essayé. Il me manque quelque chose, le préservatif... ou le risque de tomber enceinte. Je ne sais pas... »

« Voudrais-tu arrêter ta contraception? », ose questionner Arthur.

« Ce serait vraiment en dernier ressort ! Je n'ai pas encore tout essayé avec toi... ou avec..., n'est-ce pas, mon gros mari cocu? Alors, donnons-nous encore un peu de temps », répond Fleur.

« Oui, je crois que tu as raison, ma jolie femme adultère », conclut Arthur.

Dans la semaine qui suit, alors que les époux ont repris leur travail au collège, Arthur, rentre à son appartement un peu plus tôt que Fleur, qui doit passer voir une de ses copines. Il trouve devant sa porte un gros paquet. L'ouvrant, il découvre les deux albums des photos du mariage. Il s'installe sur le canapé et passe en revue le premier, très traditionnel. Les photos sont excellentes et mettent bien Fleur en valeur. Lorsqu'il ouvre le second album, son excitation ne fait que monter à chaque page tournée. Avant la fin, il ne peut plus tenir. Il ouvre sa braguette et en sort son petit sexe qui bande durement. C'est en se branlant comme un fou qu'il s'attarde sur les dernières photos, qui sont d'un érotisme torride. Voir ce gros membre qui plonge dans le sexe de sa femme lui fait vraiment ressentir son état de cocu. Lorsque la dernière photo montre en gros plan le vagin débordant de sperme et il se met à imaginer ce qui se serrait passé si sa femme n'avait pas été protégée. Il est au bord de la jouissance, mais la sonnette le fait sursauter.

Il referme l'album, fait rentrer brusquement son pénis dans son pantalon, et va ouvrir. C'est son beau-père qui se présente :

« J'espère que je ne te dérange pas, mon gendre? »

Arthur répond par la négative, le fait asseoir sur le canapé et lui offre un verre, puis le questionne sur la raison de sa venue. Son beau-père explique :

« Voilà, j'ai été content de contribuer un peu à votre voyage de noce... avec ce jeu de la jarretière... mais j'aimerais faire plus pour vous. Je veux le faire en toute discrétion... en fait, sans que ma femme le sache, car elle a été assez contrariée par ce que j'ai fait le jour du mariage. J'ai préparé un chèque de 2000€. C'est pour vous deux, évidemment, mais ça serait plus normal que je le donne à ma fille, n'est-ce pas? »

« D'abord un grand merci », répond Arthur, « et c'est bien que vous lui donniez vous-même cette très belle somme. »

Puis Arthur ajoute sur le ton de la plaisanterie :

« Y aura-t-il, cette fois encore, ... une compensation? »

Comment a-t-il osé dire ça? Il s'attend à se faire rembarrer à raison, mais son beau-père le prend bien, en riant :

« Ah, là... ça dépendra d'elle. »

« Mais, elle n'est pas là, semble-t-il? », ajoute-il.

« Fleur est passée chez une copine. Si elle ne bavarde pas trop, elle devrait arriver très bientôt. Attendons-la ensemble, voulez-vous? », répond Arthur.

Alors qu'ils discutent de choses et d'autres, le beau-père remarque les deux albums posés sur le canapé :

« Ce sont les albums des photos du mariage, je suppose? Montrez-les moi ! », dit-il.

« Oui, c'est ça... », répond Arthur, qui se sent bien coincé.

Lorsqu'ils parcourent ensemble le premier album, le beau-père fait de nombreux compliments... concernant sa fille, évidemment. Alors qu'ils en sont aux dernières pages, Arthur remarque la bosse sur le pantalon.

'Ce sont les photos de sa fille qui lui font cet effet !', se dit Arthur, 'comment vais-je éviter de lui montrer le deuxième album?'

Il n'a pas le temps de penser à une explication possible que son beau-père s'est déjà emparé du second album, dont les photos lui font dire :

« C'est une très bonne idée d'avoir fait réaliser un second album avec ma fille seule. Elle est assez belle pour mériter cela. »

Puis il ajoute :

« Ah ! Là, c'est encore mieux ! », lorsqu'il arrive aux premières photos érotiques, « Vous n'allez pas vous ennuyer, mon gendre. »

C'est à cet instant que la porte s'ouvre sur Fleur, qui s'exclame :

« Oh, papa, mais que fais-tu là? », avant d'embrasser, sur les deux joues, son père qui a eu juste le temps de refermer l'album.

Son père redonne les explications et Fleur l'embrasse de nouveau, cette fois juste sur la bouche, se confondant en remerciements. Celui-ci, riant presque, lui dit :

« Sais-tu que ton mari m'a demandé s'il devrait y avoir des compensations? »

Alors, Fleur, les yeux rivés sur ceux de son mari, répond, tout sourire :

« Pourquoi pas?

Repérant alors les albums, Fleur ajoute :

« Oh, ils sont arrivés. Je suppose que vous les regardiez. »

« Nous venions juste de commencer », ment un peu Arthur.

« Alors regardons-les ensemble », réplique Fleur, qui vient s'asseoir sur le canapé entre eux deux.

Sa mini-jupe très serrée est remontée dans son mouvement quasiment au raz de sa petite culotte, ce qui n'a échappé à aucun des deux hommes. Alors qu'ils parcourent le premier album, son père pose sa main sur la peau nue, tout en haut de la cuisse, sans que Fleur ne réagisse. Arthur, se sent obligé de faire de même, sur l'autre cuisse, comme pour affirmer son droit.

Pendant qu'ils regardent le premier album, Fleur apprécie les compliments que lui fait son père. Elle attend avec impatience qu'ils arrivent au second album. Elle n'a encore pas vu les photos, mais elle sait bien ce qu'elle va voir. Rien que de penser que son père va regarder les photos cochonnes, qu'elle avaient réservées à son mari, fait mouiller sa petite culotte. Lorsqu'ils regardent les photos érotiques du début, Fleur sent les doigts de son père caresser sa chatte à travers le tissu. Alors, à la grande surprise de son mari, elle retire à la fois sa mini-jupe et sa petite culotte, et reprend sa position entre les deux hommes. Son père, excité par les photos de plus en plus érotiques qu'il regarde, fouille maintenant le vagin de sa fille avec deux doigts. Quand arrivent les photos vraiment pornographiques qui montrent une pénétration, le père de Fleur, qui lui fouille le vagin avec maintenant une certaine brutalité, commente :