Les plaisirs d'Anna -- 08 (callgirl)

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Alors qu'Anna branlait son mari rapidement, elle interrompt son récit un instant, pour lui dire :

« Ça t'excite de penser que je me suis faite baiser par un noir? »

« Oui, continue », lui a répondu Jules.

Anna a bien sûr compris qu'il n'y avait pas d'ambiguïté dans sa réponse. Il voulait qu'elle continue à la fois son récit et le mouvement de sa main sur sa pine. Elle a alors repris :

« M'accroupissant, je suis venue poser mon sexe sur son énorme gland et j'ai laissé faire tout mon poids. J'ai senti les lèvres de ma chatte se retourner douloureusement sous la pression, mais rien de son sexe n'était entré en moi. Je me suis soulevée légèrement et c'est le noir qui a commencé à frotter le bout de sa pine contre les lèvres de ma chatte, les mouillant un peu plus à chaque fois. Je voyais bien que son gland était encore plus gros que la hampe. On aurait dit un gros champignon noir, de la taille de mon poing. Alors, bien que consciente de l'obscénité de ce que j'allais faire, avec mes deux mains, j'ai écarté les lèvres de ma chatte, puis je me suis laissée tomber d'un coup. Dans un 'plop' à demi couvert par mon cri, le gros gland est rentré d'un coup dans mon vagin.

Tous s'étaient rapprochés pour ne rien perdre du spectacle que je leur offrais. Tony avait avancé son fauteuil au plus près et ses genoux touchaient même le lit. Sa main remuait frénétiquement sous son pantalon.

J'ai continué de presser de tout mon poids sur le sexe du noir. Je sentais mon vagin se dilater au-delà de ce que j'aurais cru possible. Il restait encore bien 5 centimètres de ce membre au dehors et j'ai pensé ne pas pouvoir aller plus loin. Je sentais le gland presser le fond de mon sexe. Alors le noir a placé ses deux mains sur mes épaules et m'a tirée fortement vers le bas, tout en soulevant brutalement son ventre. J'ai poussé un cri. Tout était en moi. Je sentais le gros gland écrasé sur le col de mon utérus. J'en tremblais et mon front se couvrait de sueur. Alors le noir, de toute sa force, m'a soulevée, me tenant pas les hanches, avant de me laisser retomber. Il a fait ça sans interruption pendant de longues minutes. A chaque fois, j'avais l'impression de m'empaler sur un pieu de plus en plus grand et de plus en plus dur. Seule la crainte d'être abîmée m'a empêché d'atteindre l'orgasme.

Puis, les mouvements se sont arrêtés et l'énorme sexe est resté planté en moi. Je me suis concentrée sur les sensations qu'il m'apportait tout au fond de mon vagin. C'était bon, c'était divin. C'est alors que mon partenaire a dit cette phrase qui m'a ramenée instantanément dans un fantasme :

'J'ai bien envie de l'engrosser !'

Entendant ça, un des joueurs a réagi :

'Là, Moussa, tu ne m'étonnes pas ! Vous, les blacks, vous êtes des gros pervers. Dès que vous voyez une blanche, vous avez envie de lui mettre un petit noir dans le tiroir !'

Moussa m'a alors penchée vers lui, son sexe toujours planté en moi jusqu'au fond. Il a posé un petit baiser sur ma bouche, puis m'a serrée dans ses bras. J'ai eu, avec lui, l'impression d'un geste d'amour et cela m'a fait un bien fou. Juste après cela, il a répondu à son copain :

'C'est parce qu'elles sont si bonnes avec leur chatte si serrée...'

Son interlocuteur l'interrompit pour ajouter :

'Mais peut-être aussi pour vous montrer dominateurs?'

Moussa ne jugea pas nécessaire de lui répondre. Il ne bougeait toujours pas, me laissant seule avec mes sensations. Quelques instants plus tard, ses mains attrapèrent mes genoux, qui étaient à côté de ses hanches, pour les tirer encore plus vers lui. Pour maintenir ma stabilité, j'ai alors dû me cambrer un peu plus, bien relever mes fesses. C'est à ce moment que j'ai senti un doigt mouillé se poser sur mon anus, y tourner un peu, puis y pénétrer et fouiller. Ce massage était si bon qu'il faisait palpiter ma rosette. Tournant un peu la tête, je vis qu'il s'agissait du plus jeune des joueurs. Lorsque son doigt me libéra, je sentis son gland presser mon anus qui s'ouvrit, accueillant le sexe long et fin dans mon fondement. J'ai eu une sensation de plénitude inconnue, mais d'un érotisme incroyable. J'ai senti l'imminence de la jouissance et j'ai su que j'allais y succomber. Tout mon bas ventre se mit à vibrer. Cette vibration ainsi que le frottement de leurs sexes seulement séparés par une fine peau eurent raison de mes deux partenaires. Leurs éjaculations simultanées déclenchèrent en moi un orgasme dévastateur. »

Sentant le sperme de son mari gicler sur sa main, Anna arrête son récit à cet instant, ajoutant :

« C'était l'apothéose de cette soirée. Il ne s'est rien passé de plus avant mon retour, si ce n'est des embrassades assez intimes lors de notre séparation. »

Ils restent, l'un contre l'autre, assez longtemps, puis Jules veut la questionner encore :

« Dis-moi ce que tu as le plus apprécié pendant cette nuit. »

Anna réfléchit pendant un bon moment avant de répondre :

« J'ai apprécié d'être avec autant d'hommes, de me sentir au centre de cette soirée. J'ai bien aimé l'amour avec Moussa, du fait des sensations que m'a apporté son énorme sexe, qui m'a dilatée comme jamais. Il y a eu aussi cette incroyable expérience avec mes deux partenaires. Tu sais que j'aime assez la sodomie, mais, là, cette double pénétration, c'était vraiment le summum. »

Sentant qu'Anna n'a pas tout dit, Jules ajoute :

« C'est bien tout, il n'y a rien d'autre? »

Anna est hésitante, comme si elle se demandait si elle pouvait vraiment tout lui dire, puis elle se décide :

« Il y a eu également ce fantasme, à la pensée que j'aurais pu me retrouver enceinte d'un de ces hommes, et surtout de Moussa, un noir, qui ne s'était pas caché de son envie de m'engrosser. Évidemment, avec la pilule, le risque était très faible, mais cela a suffi à m'exciter incroyablement. »

Jules veut alors tirer la conclusion de cette expérience, croyant qu'Anna est maintenant accrochée à ce rôle de call-girl :

« Ma chérie, es-tu prête à continuer? »

Jules voit alors sur le visage d'Anna que la suite ne va pas être à son goût.

« J'ai aimé cette soirée exceptionnelle. C'était une expérience, mais je ne me sens pas à l'aise dans ce rôle. Bien que j'ai été au centre de toutes les envies de ces hommes, je me suis sentie dévalorisée. Dans les relations antérieures, j'avais l'impression de choisir, de décider. Là, personne n'avait à tenir compte de mes envies. J'étais payée, bien payée, mais pour subir. Je ne me sens pas à l'aise dans ce rôle de call-girl. Je ne veux pas continuer. »

Jules reste pensif pendant un long moment. Il cherche une solution pour donner à sa femme les plaisirs sexuels dont elle a besoin. Revenir aux relations de départ, sur la base du flirt, de la drague, l'inquiète. Il ne veut pas prendre le risque de perdre son épouse. Il lui vient alors une idée intermédiaire, moins traumatisante qu'une relation tarifiée. Jules propose alors à sa femme :

« Anna, tu pourrais t'inscrire dans un club de rencontres. Tu n'aurais pas à rechercher un homme puisque ce serait le club qui te les proposerait. Contrairement à une call-girl, tu pourrais refuser un homme présenté qui ne te plairait pas. Quand tu aurais choisi un partenaire, il ne pourrait rien t'imposer. Tu garderais le contrôle. »

Pendant qu'Anna réfléchit à sa proposition, Jules se dit que le risque que sa femme tombe amoureuse d'un partenaire ne serait pas nul, mais certainement plus faible. Au début, Anna, en flirtant, cherchait un homme qui lui plaisait. Dans le cadre d'un tel club, elle aurait plutôt à choisir un homme qui ne lui déplairait pas parmi les partenaires proposés. Cela ferait toute la différence, se dit Jules.

Anna finit par lui donner sa réponse :

« Je préférais ce que nous faisions au début, lorsque je draguais des hommes dont j'avais très envie, mais je sais bien que cela avait vraiment mis notre couple en danger. Je me sens maintenant plus forte pour contrôler de telles situations, mais revenir à cela t'angoisserait trop. Je vais essayer de faire ce que tu proposes. »

Jules serre alors Anna dans ses bras pour un baiser passionné, pour lui montre combien il apprécie. Lorsqu'il la libère, Anna lui précise :

« Toutefois, je crois que, dans ces circonstances, avec des inconnus, je ne reprendrai pas le petit jeu du risque que nous aimons tant. Je continuerai de prendre la pilule, le diaphragme n'étant pas assez sûr. »

« Tu feras comme tu l'entend, ma chérie », lui répond Jules, trop heureux qu'elle lui permette d'être encore son cocu volontaire.

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... à suivre ...

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 2 ans

Les aventures d’Anna et son époux sont de plus en plus excitantes.

J’attend la suite avec impatience, va-t-elle piéger son mari pour l’accompagner dans ce genre de club et le mettre à contribution pour en faire son esclave en plus de son cocu?

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