Les plaisirs d'Anna -- 08 (callgirl)

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

'Venez dans ma suite pour vous préparer. Les joueurs n'arriveront que dans plus d'une heure.'

Lorsque nous sommes entrés dans la grande suite réservée, il m'a montré la robe de soirée qui m'attendait. Elle était visiblement l'œuvre d'un grand couturier. Le dos était nu jusqu'à la taille, les deux pans n'étant maintenus que par de fines lamelles de tissu. Le devant était aussi dénudé, avec un décolleté en V descendant tout aussi bas. Là, rien ne retenait les pans de la robe, hormis le fait qu'elle devait être taillée au plus juste. J'ai tout de suite pensé que me seins seraient visibles pour tout regard oblique. Le bas de la robe était un fourreau très serré, descendant jusqu'au sol. Cependant, une longue fente courait d'un côté, un peu sur l'avant, tout du long, s'arrêtant à dix centimètres au-dessous de l'entre-jambes. Il y avait là aussi un paire de chaussures de luxe à talons hauts et... rien d'autre. Croisant mon regard, Tiny a précisé :

'Il n'y a évidemment pas de sous-vêtements. Ils auraient gâché cette tenue'.

Il est vrai que, sous le fin tissu noir, collé comme une seconde peau, tout se serait vu. Sans me laisser le temps de réagir, Tiny a poursuivi :

'Il y a là deux salles de bain. Après ce voyage, une douche fera du bien à chacun de nous. Retrouvez-moi ici, ensuite, en peignoir de bain. Je vous aiderai à vous glisser dans cette robe fort étroite.'

Lorsque que je suis sortie, dans cette tenue, le gros homme m'attendait, lui aussi en peignoir, assis au bord du grand lit. J'ai tout de suite senti qu'il avait quelque chose à me dire et que cela paraissait difficile pour lui. Il y a eu un moment de silence puis il s'est enfin décidé :

'Anna, ce soir, vous allez rencontrer de jeunes athlètes, d'une vingtaine d'années. Leurs corps sont magnifiques et je suis certain qu'il y aura un parfait 'fit' entre vous, comme disent les anglais. Au cours de la soirée les tenues devraient évoluer, si vous voyez ce que je veux dire. Comme vous pouvez le constater, je n'ai pas moi-même un corps d'athlète à offrir, loin s'en faut. Comme organisateur de cette fête, je resterai présent, mais en costume, pendant toute la soirée, me contentant de regarder.'

J'avais bien compris qu'il se contenterait d'être voyeur, mais je sentais bien qu'il y avait autre chose. Je le laissai poursuivre :

'Voilà, c'est moi qui finance entièrement cette fête. Tous y prendront, je le sais, beaucoup de plaisir, alors que moi...'

Tiny s'interrompit un instant, déglutissant, avant de me dire :

'Anna, avant que mes invités n'arrivent, j'aimerais que vous me donniez, à moi aussi, un peu de plaisir.'

Mon sang n'a fait qu'un tour. Je ne me voyais pas faire l'amour avec cet homme. Je ne savais quoi répondre, lorsqu'il a sauvé la situation ne me disant :

'Ne vous inquiétez pas, quelques caresses me suffiront'.

Ce disant, il s'est couché sur le dos, écartant à la fois son peignoir et ses jambes. Là, ma surprise a été totale. Au bas de son ventre, posé sur deux gros testicules, se tenait un sexe minuscule, tout flasque et de la taille de mon pouce, aussi bien en longueur qu'en diamètre. J'ai tout de suite compris la raison de son surnom. Sans rien laisser paraître de ma surprise, je me suis placée entre ses jambes et j'ai posé ma main sur son sexe, mais il disparaissait totalement dans ma paume. J'ai alors soupesé un peu ses bourses qui étaient beaucoup plus conséquentes. Puis ma main est retournée vers sa petite bite et je l'ai prise cette fois entre le pouce et l'index. Je l'ai sentie durcir sous mes doigts et s'allonger un peu pour atteindre quatre à cinq centimètres, tout au plus. Mes deux doigts serrés descendaient et décalottaient un petit gland déjà bien rouge et humide. Comme je le fais souvent lorsque je te branle, je faisais passer mon pouce juste sur le méat. Par moments, je venais pousser l'ongle de mon index dans le petit trou. Je l'entendais alors soupirer et je sentais que cela l'excitait. J'avais l'impression d'utiliser avec lui tout le savoir faire que j'avais acquis avec toi. J'ai aussi pensé alors à toi. Je me dis souvent que tu as une petite bite, mais là, tu étais vraiment battu ! Je sais que souvent, avec toi, la pénétration ne m'apporte pas un plaisir inoubliable, mais, avec le sexe aussi minuscule de cet homme, cela aurait été mission totalement impossible. J'ai continué à le branler rapidement avec deux doigts. Je sentais bien qu'il aurait aimé que je le suce, mais je n'en avais pas du tout envie. Je me suis contentée de me pencher tout près et de faire couler un peu de salive sur son petit sexe pour le rendre plus sensible.

En le branlant rapidement, je l'ai fait jouir et j'ai été étonnée de voir la quantité de sperme qui giclait. C'était impressionnant. Il en avait partout, sur son pubis, sur son ventre. Puis j'ai pensé que ce n'était pas si étonnant que cela, puisque, malgré la petitesse de son sexe, il avait de grosses bourses. Je l'avais fait éjaculer et j'aurais dû m'arrêter là, mon travail de pute fait. Mais j'ai repensé à ce que tu m'avais dit un jour : la douleur ressentie lors d'une reprise de la masturbation juste après l'éjaculation. Je n'avais pas apprécié ce qu'il m'avait imposé, même s'il ne s'agissait que d'une simple branlette. Je m'étais réjouie de cette soirée de grande classe et cela commençait bien mal. Alors, j'ai voulu le punir pour cela. J'ai repris du sperme sur son ventre dans ma main et, cette fois, j'ai branlé de nouveau sa petite bite, serrée dans ma paume, très rapidement. Les premiers mouvements ont ajouté à son plaisir, puis c'est devenu vite insupportable. Il a crié et a voulu bloquer mon poignet avec sa main, mais j'ai continué encore quelques secondes, jusqu'à ce qu'une deuxième éjaculation, bien plus réduite, le fasse hurler.

Le gros homme a dû penser que j'essayais de lui donner beaucoup de plaisir, sans me rendre compte de sa douleur, car il ne m'en a pas tenu rigueur. Dès qu'il a eu récupéré, il a remis son peignoir et m'a aidée en enfiler ma nouvelle robe, avant d'aller s'habiller lui-même.

Puis Tiny m'a guidée vers un jardin à la française, où avait été dressée une table pour un buffet somptueux. Le décor était magnifique et je retrouvai le rêve que j'avais imaginé, d'autant plus que je fus accueillie par des applaudissements nourris. Des garçons, tous plus beaux les uns que les autres, un verre de champagne à la main, n'avaient d'yeux que pour moi. Alors qu'un serveur m'apportait une flûte sur un plateau, Tiny annonça :

'Mes amis, voici Anna qui vient fêter cette victoire historique avec vous. Je sais que vous allez l'accueillir comme il convient. Anna saura vous apporter à tous ce que vous attendez d'une nuit qui doit rester inoubliable.'

Lorsqu'il m'a guidée vers le groupe pour faire les présentations, je me suis rendue compte que j'étais la seule femme, contrairement à ce que j'avais compris en l'entendant pendant le trajet initial en voiture. J'ai senti une vague de chaleur m'envahir. Je ne savais si c'était la crainte de ne pas être à la hauteur de l'enjeu ou au contraire l'excitation de prendre du plaisir avec ces beaux athlètes.

Je fus présentée à l'entraîneur, un bel homme d'une bonne quarantaine d'années, qui paraissait en pleine forme physique. J'ai vu, en ses yeux verts posés sur moi, le regard d'un chef. Puis ce fut le tour des cinq membres de l'équipe, tous jeunes et beaux. Ils étaient très chics dans leurs costumes sombres. Certains portaient un nœud papillon. Ils étaient surtout tous très grands, 1m90 environ. L'un d'eux a particulièrement attiré mon attention, non seulement parce qu'il faisait bien ses 2 mètres, mais aussi du fait de sa couleur de peau, qui faisait penser à de l'acajou un peu plus foncé. Les joueurs m'ont accueillie en m'embrassant, certains juste au coin de la bouche. Le dernier fut ce beau noir qui, me prenant sous les bras, me souleva comme si je ne pesais rien, pour que nos visages soient un instant au même niveau. Il posa sa bouche sur la mienne pour un baiser dont la durée me parût presque indécente. Malgré cela, je ne pus que séparer un peu mes lèvres pour laisser une langue caresser la mienne. Pour ajouter à ma gêne, j'entendis quelques applaudissements lorsqu'il me reposa au sol.

Autour d'un buffet de grande qualité, je me sentis vraiment le centre de la soirée. Ces jeunes athlètes me serraient de près, tout en me faisant la conversation. Je sentais les regards sur moi et particulièrement dans mon profond décolleté. Il est vrai que je trouvais souvent une raison pour me pencher un peu ou me tourner sur le côté pour que le tissu s'écarte un peu ou glisse sur un sein. Je suis certaine que mes pointes étaient par moments bien visibles pour qui m'approchait de côté. Nous échangions des banalités et je me sentais finalement assez à l'aise face aux attentions de ces hommes. Il est vrai que chacun d'eux s'assurait qu'à aucun moment mon verre ne soit vide.

Au coucher du soleil, j'ai commencé à sentir un peu le froid. Je n'avais que le seul fin tissu de ma robe pour me protéger. Tiny, qui se tenait un peu plus loin, m'a vu frissonner. Il a alors donné le signe d'un repli vers l'intérieur du château. Dans le salon où nous sommes allés se trouvait le buffet des desserts. Sur la table, les bouteilles de champagne, tenues au frais, étaient aussi nombreuses qu'à l'extérieur. Lorsque ma flûte a été de nouveau remplie, j'ai pensé qu'il fallait que je fasse attention. Jusque là, j'avais bu allégrement tout ce que l'on m'avait proposé. J'ai pensé que je tenais en main ma sixième flûte de champagne, en comptant les deux que j'avais bues dans la voiture. Je remarquai aussi que, contrairement au premier buffet, aucun serveur n'était présent. J'ai pensé que cela allait changer un peu l'ambiance. J'en ai eu confirmation lorsque Tiny, l'organisateur, s'approchant d'un appareil de sonorisation, fit démarrer une musique douce, de genre piano-bar, puis annonça :

'Mes amis, nous ne sommes plus maintenant qu'entre nous pour le reste de la soirée. Que la fête commence !'

Tiny s'éloigna immédiatement du buffet, un verre à la main et alla s'asseoir dans un confortable fauteuil. J'eus l'impression qu'il s'y installait comme s'il était dans une loge, attendant le début d'un spectacle, et cela me mit mal à l'aise.

Pourtant, les conversations reprirent avec tous les joueurs qui m'entouraient. J'avais bien du mal à répondre à toutes les questions. Ces hommes avaient beaucoup d'humour et je riais fréquemment, d'autant plus facilement que je sentais sur moi l'effet de l'alcool. Tout en discutant, les joueurs cherchaient le contact. Je sentais des mains se poser sur mes épaules nues, d'autres dans mon dos, d'autres encore suivaient la fente de ma robe pour caresser ma cuisse. Je sentais bien que cela allait dégénérer, mais j'en étais plutôt heureuse. Ces garçons étaient si beaux !

L'un d'eux m'a posé une question à la cantonade. Il voulait connaître ma situation de famille. Lorsque j'ai répondu que j'étais mariée et avait deux jeunes enfants, ils parurent tous très surpris, mais, en même temps, encore plus excités. J'en ai eu la preuve en laissant mon regard courir sur le devant de leurs pantalons.

Un autre a posé la question qu'ils avaient certainement tous en tête :

'Et votre mari, ça ne lui pose pas de problème que vous participiez à des soirées comme celle-ci? Peut-être n'est-il pas au courant?'

Je l'ai de suite détrompé :

'Non, il connaît parfaitement mes activités et... il aime ça...'

Je m'interrompis, me demandant si je pouvais en dire plus, puis, après une courte hésitation, j'ajoutai :

'Il aime m'offrir le plaisir qu'il peut difficilement me donner lui-même. Le sien sera mon récit à mon retour.'

C'était comme si j'avais donné le signal du départ à ces sportifs. L'un d'eux m'embrassa avec la fougue de sa jeunesse. Deux autres écartèrent les pans de ma robe, découvrant complètement mes deux seins qu'ils pelotèrent avec vigueur. Une main remonta sous ma robe et des doigts vinrent fouiller ma chatte, qui était déjà bien trempée. Une autre main palpait mes fesses. Je rêvais d'être prise par ces hommes, mais j'aurais voulu plus de douceur, moins de rapidité, moins de brutalité. C'est Tiny qui me sauva de cette situation délicate en disant :

'Messieurs, un peu de tenue, un peu de respect. Je suis certain qu'Anna saura rendre cette soirée inoubliable pour chacun de vous. J'aimerais qu'elle commence à prendre un peu de plaisir avec l'un d'entre vous. En fait, vous devriez tous savoir qui devrait être le premier, celui qui vous a permis de gagner ce championnat d'Europe.'

Deux d'entre eux dirent en même temps :

'Vous?'

Tiny les détrompa de suite :

'Mais non, je ne suis que le financier du club. J'adore ce sport mais je suis loin d'avoir les compétences pour vous mener à la victoire. Je pensais évidemment à votre entraîneur !'

'Oui, bien sûr !' répondirent-ils, tous en chœur, gênés de n'y avoir pas pensé.

D'un grand geste de bras, l'un des joueurs balaya tout ce qui restait sur une moitié du buffet, puis un autre me coucha sur le dos, sur la nappe ainsi dégagée. Dans cette position, la longue fente de ma robe donnait une vue parfaite sur ma chatte. Ce fut encore plus vrai lorsque deux autres se saisirent de mes chevilles pour relever très haut mes jambes, en les écartant bien. Je m'attendais à être conquise, même rapidement, mais, là, j'étais vraiment offerte et seulement offerte.

Alors leur entraîneur s'est approché. Il s'est placé entre mes jambes relevées. Il a ouvert la braguette de son pantalon et sorti son sexe. Ses yeux verts étaient rivés sur les miens et j'étais comme hypnotisée. Lorsque son gland a touché les lèvres de ma chatte, je les ai senties s'écarter. Je n'avais même pas eu le temps de voir son sexe, mais, au moment de sa pénétration, mon vagin me le décrivait. Il était assez gros, pas énorme, mais bien plus gros que le tien. Il devait être assez long, car, dans ses mouvements rapides en moi, je sentais parfois le contact de son gland sur le col de mon utérus, et cela me faisait vibrer à chaque fois.

Pendant qu'il me prenait ainsi, vigoureusement, rapidement, les joueurs s'étaient invités près de moi. Ceux qui me tenaient les jambes avaient laissé maintenant ce soin à leur entraîneur. Chacun avait sorti son sexe. J'en avais pris un dans chaque main et je les branlais doucement, assez distraitement, car j'avais du mal à me concentrer, trop sensible à ce qui se passait dans ma chatte. Deux sexes venaient en même temps se frotter sur ma bouche. Dans ma position, je ne voyais que deux glands bien mouillés, l'un blanc, assez conséquent, et l'autre noir, énorme. A chaque fois qu'ils touchaient mes lèvres, je les accueillais d'un petit coup de ma langue gourmande. Un seul des joueurs n'avait pas sorti son sexe. C'était visiblement le plus jeune, d'à peine vingt ans probablement. Peut-être était-il un peu intimidé? Toujours est-il que, debout à côté de moi, il se contentait de me caresser un pied. J'ai apprécié cette douceur qui contrastait avec la violence de l'homme qui me baisait de plus en plus vite.

J'essayais de ne pas quitter des yeux l'entraîneur qui ahanait en me pénétrant sans retenue. J'étais impressionnée par son visage au regard dur, par son front couvert de sueur. A un moment, j'ai vu ses traits se crisper, alors qu'un grognement guttural lui échappait. J'ai senti son sperme couler tout au fond de mon vagin, en plusieurs fortes giclées. J'étais au bord de la jouissance, mais tout avait été trop vite, m'empêchant d'atteindre l'orgasme. Pourtant cet instant a entraîné l'éjaculation des quatre joueurs, moins d'une seconde après. J'ai senti mes deux mains engluées de sperme. Mon visage en reçut aussi, quelques gouttes s'écoulant même dans ma bouche légèrement ouverte. Me sentir ainsi arrosée a déclenché un orgasme, plutôt cérébral, mais qui m'a fait vibrer longuement.

Maintenant, tout le monde reprenait son souffle. Moi, je me sentais vraiment sale, mais mon excitation n'était pas retombée. C'est alors que Tiny, coupant le fond musical, reprit l'initiative en disant :

« Je crois qu'Anna va apprécier une bonne douche. Mais la nuit est encore longue, aussi je vous propose de venir tous dans la suite que j'ai réservée. »

Chacun se rajusta sommairement et ce fut dans les bras d'un des joueurs que je fus transportée jusqu'à la suite. Dans la salle de bains, la douche me fit beaucoup de bien. Il n'était pas question de remettre ma belle robe complètement souillée et fripée. J'allais sortir nue, offerte, mais je ne pus résister à l'envie d'ajouter une touche d'érotisme à ma tenue. Je remis mes chaussures à talons hauts dont le port me cambrait si bien.

En sortant, je me trouvai face à des athlètes intégralement nus, dont les corps m'enchantèrent. Avant de m'approcher du lit, auprès duquel ils m'attendaient, je laissai mon regard parcourir leurs corps musclés. Je fus aussi attirée par les sexes qui avaient déjà retrouvé leur vigueur. Certains entretenaient l'érection d'un lent mouvement de main. Voyant que le plus jeune, celui que j'avais surnommé le timide, s'était mis nu comme les autres, je remarquai son sexe très fin, mais d'une longueur inhabituelle, avec bien 25 centimètres. Mais je restai bouche bée en voyant la verge du grand noir, me disant qu'elle devait bien atteindre les 30 centimètres, un record, mais son épaisseur était aussi impressionnante, avec quasiment le diamètre de mon avant-bras. Je me demandai instantanément comment je pourrais accueillir un tel membre en moi et un long frisson d'excitation me parcourut alors. M'arrachant de ma rêverie, l'entraîneur me dit:

'Allez, Anna, vas te mettre à genoux sur le lit.'

Son ton montrait que ce n'était pas une demande mais un ordre. Je m'exécutai et je pris un certain plaisir à m'exhiber ainsi, jambes assez écartées, dos cambré et fesses bien relevées, offrant ainsi ma chatte à leurs regards avides. Tournant la tête, je vis Tiny, à un mètre de moi, assis dans un fauteuil qu'il avait rapproché du lit. Lui seul était resté habillé, mais j'ai vite remarqué que la ceinture de son pantalon était détachée. Sa main droite était glissée à l'intérieur et ses mouvements ne laissaient aucun doute, il allait bien profiter de son plaisir de voyeur. C'est à cet instant qu'il prit la parole :

'Vous allez tous bien profiter d'Anna, mais j'aimerais que le plus jeune ait cette fois l'honneur de commencer'.

Je sentis alors un sexe s'introduire facilement en moi. A la salle de bain, je m'étais bien lavée à cet endroit, pourtant, sans le moindre préliminaire, la pénétration fut facile. Mon exhibition excitante avait dû me faire déjà bien mouiller. D'un mouvement très ample, le jeune homme poussa son sexe jusqu'au fond de mon vagin. Je sentis le gland buter fortement sur le col de mon utérus, pressant comme s'il voulait y pénétrer. La sensation était peu commune, mais je n'eus pas le temps d'en profiter car un jet de sperme vint s'y ajouter. Le jeune homme, qui n'avait fait que regarder jusque là, devait être trop excité pour pouvoir se retenir.

J'en fus un peu frustrée, mais il fut vite remplacé par des sexes qui me besognèrent plus longtemps, avant de me remplir de leur sperme à chaque fois. Ne pas savoir qui me pénétrait ajoutait à mon excitation. Je râlais à chaque coup de queue en moi, mais je n'arrivais pas à atteindre la jouissance. J'étais comme à un plateau du plaisir impossible à dépasser. A un moment, alors que je sentais une énième éjaculation dans mon vagin, je pris conscience que le col de mon utérus baignait dans les semences mêlées de ces inconnus. Je me rappelai que j'étais au milieu de mon cycle et je repensai à ces 0,5 % de risque qui restaient avec la pilule contraceptive. Je fus alors au bord de l'orgasme, sans pourtant l'atteindre.

J'étais dans cet état d'esprit lorsque le grand noir me fit changer de position. C'est lui qui s'allongea sur le dos et, tenant son énorme sexe bien vertical, me dit de venir m'empaler sur lui. Je lui fis part de mes doutes, mais il m'assura que cela irait, que je guiderai moi-même, seule, la pénétration. »