Les plaisirs d'Anna -- 09 (rencontre)

Informations sur Récit
De durs plaisirs avec un inconnu d'un site de rencontres.
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Partie 9 de la série de 15 pièces

Actualisé 06/15/2023
Créé 04/26/2022
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Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

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Dans son appartement, Anna se prépare pour recevoir son visiteur. Sa tenue est très sexy. Elle porte un pull tressé en fines lanières de cuir et une mini-jupe qui découvre très haut ses jambes fuselées. Sa poitrine est mise en valeur par un soutien-gorge balconnet qui ne couvre qu'à demi les seins, dont il laisse les pointes apparentes. Les mailles de cuir sont très lâches et mettent en valeur les tétons érigés plus qu'elles ne les cachent. Cette tenue serait inconvenante pour recevoir un banal visiteur, mais l'homme qu'elle attend n'a d'autre but que de faire l'amour avec elle. De plus, c'est Jules, son mari qui a fait le choix de cette tenue, aussi se sent-elle moins responsable de son apparence trop sexy, qui la gêne.

Après une période de liberté sexuelle qui avait mis leur couple en danger, Jules l'avait inscrite à un club de rencontres, comme ils en étaient convenus, après une peu convaincante expérience de call-girl.

Avec ce dernier essai, Anna ne sait si elle est réellement une femme libérée ou plutôt prisonnière des désirs de Jules, mais elle n'a pas envie de se poser trop de questions aujourd'hui. Elle se sent attirante, dans la beauté de la trentaine. Ses cheveux bruns aux courtes mèches lui donnent un style aguichant que sa tenue sexy ne fait que renforcer.

Il y quelques semaines, le site du club de rencontres avait affiché, suite à sa demande, des fiches de contact décrivant des hommes intéressés par des relations sexuelles. Elle n'avait prudemment sélectionné que deux hommes, qui paraissaient attirants sur leurs photos. La règle était que le premier contact devait avoir lieu dans un endroit public, comme un café, pour garder les distances.

Le premier homme, trop vulgaire, n'avait pas plu du tout à Anna. Elle avait tout de suite trouvé le second très séduisant. Gabriel, cadre dans une banque d'affaires, paraissait cultivé. Il était allé sans ambages au but qu'il s'était fixé, expliquant à Anna le type de relations qu'il recherchait. Il lui a alors dit qu'il était déjà allé avec des amis dans un théâtre érotique où le spectacle était également dans la salle, et, qu'à la suite de cela, il avait eu des relations en groupe. L'homme lui avait raconté quelques unes de ses expériences sexuelles et Anna s'était sentie particulièrement excitée, lorsqu'il lui avait dit comment un strip-poker auquel il avait participé s'était terminé en partouze. Anna s'était sentie émoustillée par son récit et lui avait alors proposé un rendez-vous.

Anna vient de jeter un dernier coup d'œil à sa tenue, qui lui parait tout de même un peu trop aguichante, lorsque la sonnette retentit. Il n'est plus temps de changer quoi que se soit, aussi ouvre-t-elle à son visiteur. Elle se sent un peu mal à l'aise, car elle ne sait comment se comporter dans cette situation. Gabriel a apporté une bouteille de champagne, ce qui permet à Anna de trouver une contenance dans des gestes de maîtresse de maison. Elle fait prendre place à son invité sur le canapé du salon et prépare des flûtes avant de le rejoindre.

Ils commencent à échanger des banalités, mais, très vite, l'homme se fait entreprenant. Tout en parlant, il lui passe la main dans le cou et ses doigts glissent doucement sur la nuque. Anna y est très sensible et a l'impression d'être une chatte qui ronronne sous la caresse. Sur le canapé, Gabriel s'est tourné vers elle et son autre main flatte la cuisse, juste à la limite de la jupe courte. Puis, inévitablement, leurs visages se rapprochent et leurs bouches se rejoignent en un long baiser où leurs langues se mêlent.

L'homme, attiré par les seins dévoilés par les larges mailles de cuir tressé, passe sa main sur le vêtement et caresse les pointes, qui débordent du soutien-gorge et saillent entre les lanières. Il les palpe et les pince du bout des doigts, comme s'il cherchait à les faire ressortir encore plus. Puis, Gabriel dénude complètement le buste d'Anna, qui l'aide dans son déshabillage. Alors, lorsque la poitrine est découverte, l'homme trempe ses doigts dans sa coupe de champagne et vient les poser sur les seins, dont il mouille les pointes. Anna ressent la fraîcheur du liquide et un frisson laisse sur sa peau une trace astringente, vite remplacée par la chaleur de l'alcool. Ses tétons se tendent sous cette caresse inhabituelle et montrent maintenant une certaine rougeur. Au même moment, Gabriel découvre les pressions qui ferment la courte jupe d'Anna sur le côté. Il les fait sauter une à une et retire le vêtement, la laissant presque nue, avec seulement un petit slip. Il se déshabille alors très vite, pour rester dans la même tenue qu'elle, dont le regard est alors attiré par la bosse impressionnante qui gonfle le slip.

Anna ose poser sa main à cet endroit et commence à caresser ce gros sexe à travers le tissu. Elle le sent dur et tendu. Alors, du bout du doigt, elle le griffe avec un ongle, remontant lentement le long de la hampe jusqu'au gland, puis redescendant jusqu'aux testicules qu'elle serre fortement. Mais, elle n'a pas la possibilité de poursuivre, car toutes ses sensations se concentrent sur sa poitrine que l'homme vient d'investir.

Il serre fortement les seins dans ses mains, et les malaxe sans ménagement, comme s'il cherchait à lui faire mal. Ses doigts se crispent sur les globes et s'y enfoncent, puis se referment sur les tétons qu'ils pincent fortement, en les faisant rouler. Anna supporte difficilement la douleur, mais, en même temps son excitation augmente et les pointes de ses seins deviennent encore plus dures et tendues.

Ces sensations fortes sont tout de suite remplacées par la douceur d'une bouche qui se pose sur l'aréole et en suce le téton irrité. La salive apporte sa douceur et calme la douleur qui irradie la poitrine d'Anna. Pourtant, celle-ci, après l'apaisement de ces caresses, recherche encore le plaisir d'un contact plus fort, et vient alors se pencher vers son partenaire pour frotter les pointes de ses seins contre le torse masculin. L'homme réagit à l'invite et lui serre de nouveau la poitrine dans ses mains. Il pince les tétons entre ses doigts et les tire vers lui, comme s'il voulait les allonger.

Anna pousse de petits cris à chaque tension, mais Gabriel continue. Il étire les pointes, déformant les seins, jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus supporter la douleur et lui demande d'arrêter. Il ne lui laisse alors qu'un bref répit, car c'est maintenant sa bouche qui vient se poser sur un téton, qu'il suce d'abord calmement. Anna aime le contact humide de la langue de Gabriel sur sa pointe érigée. Mais bientôt les mains de l'homme lui resserrent fortement les seins jusqu'à en rapprocher les mamelons, qu'il aspire alors tous les deux en même temps dans sa bouche, ravivant instantanément la douleur latente. Alors qu'Anna, la poitrine en feu, s'apprête à demander grâce, son amant s'interrompt pour retirer son dernier vêtement.

Le sexe de l'homme, découvert, est encore plus impressionnant que ce qu'imaginait Anna. Si le membre n'est pas très long, son diamètre est imposant. Mais surtout, la hampe, déjà très large, est surplombée d'un énorme gland débordant largement, un peu comme le ferait la tête d'un champignon.

Alors, Anna pose de nouveau la main sur ce sexe étonnant, le branlant lentement, presque timidement. Lorsque ses doigts glissent le long du membre, descendent jusqu'aux testicules qu'ils malaxent, puis remontent, elle ne peut quitter des yeux le gland démesuré. Jamais elle n'a vu pareil sexe et elle se demande déjà comment elle pourra l'accueillir en elle. Cette pensée l'inquiète et l'excite à la fois. Son vagin se mouille abondamment, comme s'il se préparait déjà à cette pénétration anormale. Anna tire sur la peau à la base de l'énorme gland dont la grosse fente est toute ouverte. Cette vision l'excite à la pensée du sperme abondant qui doit pouvoir en jaillir. L'homme apprécie la caresse qui devient très sensible, tant son membre est tendu.

Suivant une impulsion, Anna guide alors le sexe de Gabriel vers ses seins encore chauds des caresses précédentes. Elle frotte le gland sur ses pointes excitées, y essuyant la goutte qui perle sur le méat. Puis, elle le fait passer doucement dans le sillon de sa poitrine, avant de resserrer ses seins avec ses mains, pour y emprisonner la hampe tendue. Alors, l'homme commence un long mouvement de va et vient, tout en force. Anna se sent encore plus excitée lorsqu'elle voit le gland gonflé ressortir cramoisi de l'étau de chair qui l'emprisonne.

Anna sait que son partenaire a envie qu'elle lui suce le sexe. Alors, lorsque le gland, ressortant une fois de plus entre ses seins, vient ainsi tout près de sa bouche, elle en profite, vicieuse, pour en lécher l'extrémité du bout de sa langue. Pour l'homme, l'invite est claire. Se libérant du carcan des seins de sa partenaire, il pose son gland sur les lèvres entrouvertes et accentue sa pression. Anna a envie d'accueillir ce gros sexe dans sa bouche, mais elle est cependant inquiète, se demandant si elle va arriver à y introduire l'énorme gland, qui s'y presse maintenant fortement. Alors, se reculant un instant, elle passe sa langue sur ses lèvres pour les mouiller le plus possible et ouvre toute grande sa bouche. Gabriel pousse son ventre en avant, alors qu'elle force sa bouche autour du mandrin. Après une légère douleur à la commissure des lèvres, l'énorme gland passe d'un seul coup. Anna serre un peu ses dents à sa base et se délecte de la sensation que lui procure cette masse qui lui remplit complètement la bouche. Le gland immobile, posé sur sa langue, y répand un peu d'humidité, preuve de l'intense excitation de l'homme à cet instant.

En bon amant, Gabriel cherche d'abord à se contrôler pour pouvoir faire durer le plaisir, puis entame un véritable coït buccal. Les mouvements, d'abord légers et courts, deviennent plus amples et appuyés, plus rapides aussi. Le gros gland vient buter au fond de la gorge d'Anna, la faisant hoqueter, avant de la libérer pour revenir encore. L'homme a placé ses mains sur la nuque de sa partenaire et accompagne ainsi ses mouvements, comme pour les amplifier encore. Quand Anna sent les doigts se serrer derrière sa tête, sa vulve se mouille d'excitation, car elle comprend à cet instant que son amant va la forcer encore plus. Alors, le sexe s'enfonce, le gland touche le fond de la gorge, et, au lieu d'amorcer son retrait, s'y introduit plus loin, l'obstruant complètement, avant de reculer très vite, laissant Anna à bout de souffle, mais excitée au plus haut point.

Puis, Gabriel se retire pour venir se mettre à genoux face à Anna. Il lui retire son slip trempé d'excitation, puis se place entre les cuisses d'Anna, qui, d'elle-même, les écarte largement pour offrir sa vulve trempée aux caresses de l'homme. Elle sent alors la bouche de son amant se poser sur son intimité et sa langue en parcourir doucement les replis. Ses sensations sont plus fortes encore lorsque les doigts écartent largement les lèvres humides, pour laisser la langue s'introduire dans son vagin ouvert, où elle vient boire le jus annonciateur du plaisir. Gabriel la suce longtemps ainsi, l'amenant au bord de la jouissance. Mais, tout à coup, il lui enfonce très violemment deux doigts dans le vagin. Surprise de ce brusque changement, Anna en est aussi fortement excitée. L'homme fait aller et venir sa main, très rapidement et très brutalement. Elle sent les doigts buter durement sur sa matrice et en retire un plaisir intense, bien que les cris stridents qu'elle pousse à chaque fois laissent supposer le contraire.

Enfin, l'homme l'abandonne un instant pour se coucher sur le dos, sur le canapé, son sexe tendu pointant en l'air. Alors Anna se décide à prendre l'initiative pour arriver à cette pénétration qu'elle attend et redoute à la fois. Elle se place à califourchon au-dessus de lui et se laisse descendre lentement, s'arrêtant au premier contact de sa vulve avec le gland. Elle interrompt ainsi son mouvement pour s'exciter encore en prenant le sexe en main, qu'elle guide vers son clitoris. Elle se caresse longuement ainsi, avant de s'accroupir encore plus. Anna presse maintenant sa vulve sur le membre qui l'écarte. Le gland passe tout à coup et la sensation est intense. Elle a l'impression que son vagin est distendu, tant le membre le remplit totalement. Puis, l'homme la prend par les hanches et la soulève lentement, pour la laisser ensuite retomber d'un seul coup. Anna aime cette pénétration profonde et aussi la vue qu'elle a de cet énorme mandrin lorsqu'il rentre dans son sexe.

Gabriel lâche les hanches d'Anna pour venir lui caresser le clitoris. C'est elle qui reprend alors le mouvement du coït, se relevant et s'abaissant sur le membre qui coulisse en elle. Puis l'homme lui prend la main et la guide vers sa vulve pour qu'elle se caresse elle-même. Anna le fait, après une courte hésitation, et en retire un plaisir non dissimulé.

« Vous avez l'air d'aimer ça, madame », lui dit alors son amant sur un ton un peu ironique.

Elle ne peut alors qu'acquiescer d'un signe de tête timide, tout en continuant à se donner du plaisir. Mais l'homme glisse alors un doigt dans la raie des fesses d'Anna et vient en presser le bout sur la rosette. Celle-ci, qui adore cette caresse, sent le doigt s'enfoncer dans son anus. Follement excitée, elle accélère alors la cadence, s'empalant de plus en plus brutalement sur le membre de l'homme. Le sexe gonfle encore en elle. Gabriel n'est pas loin du plaisir, et son regard devient bizarre, comme le remarque Anna. Elle attribue cela aux mouvements du bassin qu'elle imprime. Pourtant, ce sont les seins, qui ballottent convulsivement devant ses yeux, qui excitent son amant. Alors, tout en continuant de la baiser, l'homme lui serre fortement les pointes des seins entre ses doigts et les tire vers le haut, de toutes ses forces, comme s'il voulait les arracher. Anna est si excitée qu'elle en supporte la douleur. Elle crie, mais ne lui demande pas d'arrêter, attendant à chaque fois comme une délivrance le moment où le sein distendu échappe à la pression des doigts dans un petit claquement sec.

Lorsqu'il la lâche enfin, c'est pour l'attraper de nouveau par les hanches, les griffant, et la faire coulisser brutalement sur son sexe. Couvert de sueur, le regard voilé, l'homme continue son coït effréné, faisant crier Anna à chaque mouvement. Elle est excitée à la fois par la vue de son amant déchaîné, par les bruits de clapotis et les claquements secs qui rythment leur plaisir. Et, tout à coup, elle sent un flot de sperme jaillir au fond de son vagin, la remplissant, l'inondant complètement.

Puis, Anna et son amant récupèrent lentement, savourant le bien-être des instants qui suivent la jouissance. Elle sent son corps meurtri, mais ne regrette pas cette séance. Malgré sa violence, elle a aimé la façon dont cet homme de rencontre lui a fait l'amour, faisant durer le plaisir en retardant à chaque fois l'échéance. Heureuse, savourant ce moment de calme, Anna a laissé sa main posée sur le sexe qui s'est rétracté sous sa paume. Pourtant, elle le sent déjà frémir, se tendre de nouveau, alors qu'une main d'homme recommence à suivre ses courbes en une douce caresse.

Gabriel se redresse et guide Anna pour lui faire prendre une position au combien excitante, cambrée, à genoux sur le canapé. Ses mains écartent les fesses de sa partenaire pour découvrir l'anus, que sa langue vient sucer, mouiller, faisant frémir Anna. Puis, il vient appuyer son sexe sur la rosette ainsi préparée. L'énorme gland force lentement son passage, douloureusement. Lorsque le sphincter dilaté le laisse enfin passer, Anna ne peut retenir un cri de douleur vite oublié tant le plaisir de se sentir ainsi remplie jusqu'au plus profond de son anus est grand. L'homme ne bouge pas, savourant aussi l'intense sensation que lui communique son sexe planté dans cette gaine chaude.

Alors, Anna, ne pouvant résister à son envie, porte sa main à sa vulve, glisse profondément ses doigts dans son vagin et touche à travers sa peau ce sexe qui lui remplit le fondement. Elle commence alors une lente caresse du membre, pendant que l'homme se remet à la limer doucement. Mais, pour tous deux, c'est plus qu'ils n'en peuvent supporter, et leur orgasme conjugué éclate, marqué dans un parfait ensemble par leurs deux cris simultanés, qui n'en finissent pas, comme deux hurlements.

Plus tard, après le départ de son amant de rencontre, Anna refait un peu de toilette. Elle se lave superficiellement, passant doucement le gant sur son corps endolori, évitant bien les pointes de ses seins, qui ne supportent pas le moindre frottement. Après avoir longuement hésité, elle renonce à une toilette intime, préférant garder dans ses orifices les traces de l'homme qui lui a fait l'amour aujourd'hui. Elle sait que son mari verra ainsi qu'elle lui a obéi, qu'elle s'est donnée à un homme de rencontre, sans autre raison que la recherche du plaisir physique. L'instant suivant, en se regardant dans la glace, elle se rend compte que d'autres traces la dénoncent. Ses seins, comme ses hanches, portent des marques de griffures.

Anna appelle alors son mari au téléphone, comme ils en étaient convenus. Elle sait qu'il va venir immédiatement. Elle reste nue pour l'attendre.

Dès son arrivée, Jules l'embrasse fougueusement, mêlant sa langue à celle de sa femme. Puis, il s'écarte pour la regarder. Il voit tout suite les marques sur le corps d'Anna et il ne peut que dire :

« Alors... là... ! »

« Oui... c'était très... fort... », lui répond son épouse adultère, en plaçant sa main sur la bosse qui gonfle le pantalon de son cocu.

Alors, Jules sort son sexe tendu, bascule Anna sur le canapé, et se jette sur elle, qui le repousse immédiatement.

« Non, tu ne baiseras pas », lui dit-elle d'une voix forte et impérative.

Puis elle ajoute, dans un murmure :

« Je veux trop garder en moi le souvenir de cet énorme sexe. »

Jules se redresse et approche ses mains des seins d'Anna, qui lui bloque les poignets en disant :

« Ne touche surtout pas mes seins, ils sont bien trop sensibles. »

Son mari paraît si décontenancé qu'Anna le rassure en disant :

« Je veux bien ta bouche entre mes jambes, comme tu sais si bien le faire. »

Anna, le bassin au bord du canapé, écarte largement ses cuisses dans une position indécente. Alors Jules se met à genoux devant elle, sa reine qu'il aime tant, et s'exécute. Sa langue frôle à peine les lèvres vulvaires si sensibles qu'Anna sursaute. Avec ses mains, il les écarte délicatement, pour faire passer sa langue sur leur face interne, effaçant ainsi des filets blancs. Puis sa langue pousse plus loin, écartant un peu plus les lèvres. Sa bouche se plaque sur la vulve excitante, comme s'il s'agissait d'une ventouse, et il aspire. Un liquide onctueux coule dans sa bouche. Boire ainsi le sperme d'un inconnu, qui a fait jouir sa femme, ne le rebute pas, au contraire. Alors il continue sa succion jusqu'au moment où le corps d'Anna se met à trembler, à vibrer. Sa femme, qui avait voulu rester silencieuse, profitant des caresses sans rien montrer de son plaisir croissant, ne peut retenir un long râle, alors qu'elle atteint l'orgasme.

Lorsque Jules déplace sa bouche pour s'approcher de la raie des fesses d'Anna, celle-ci l'arrête en criant presque :

« Non, pas là ! »

Anna se lève alors vivement pour aller prendre une douche.

Lorsqu'elle revient, seulement vêtue d'un peignoir, elle voit que son mari a sorti son sexe et se masturbe doucement. Elle se rend compte alors qu'elle ne l'a même pas caressé pour le libérer de son excitation, mais après tout, tant pis, elle n'en a plus du tout envie maintenant. Anna se dit qu'elle se comporte comme une salope, mais, au lieu d'en être gênée, c'est plutôt une impression de puissance qu'elle ressent et qui lui fait du bien.

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