Les plaisirs d'Anna -- 02 (croisière)

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Après une méticuleuse toilette intime, Anna rassemble ses affaires personnelles, et choisit une robe d'été à la place du maillot de bain habituel, car ils vont bientôt rejoindre le port du Pirée, terme de la croisière. Un autocar ramène les participants dans leur club de vacances, sur la côte grecque, lieu de transit avant le retour en France.

Ce soir, le couple se dirige vers le restaurant en plein air pour y dîner. Anna a troqué sa robe d'été contre un pantalon blanc et un petit boléro noir servant de soutien-gorge. A l'entrée du restaurant, le groupe de la croisière se retrouve, et plusieurs femmes, probablement sous l'effet d'un apéritif prolongé, commencent à chahuter l'accompagnateur. Le chahut prend un drôle de tour lorsqu'elles décident de le déshabiller. Mais c'était sans compter avec les autres organisateurs, qui, voyant leur collègue en difficulté, cherchent à contre-attaquer.

Anna, qui, pourtant, n'avait pas participé et se tenait un peu à l'écart, est prise à partie. Les hommes lui arrachent son boléro, libérant ses seins nus. Jules hésite à lui porter secours, mais le côté érotique de la situation le retient d'intervenir. Toute la salle n'a d'yeux que pour ce spectacle insolite, ce qui ne fait que renforcer l'excitation de Jules. Les assaillants soulèvent Anna, déboutonnent son pantalon et le font glisser sur ses jambes. Elle est maintenant presque nue au milieu de la salle de restaurant, sous les regards de tous. Sacha, un jeune étudiant, blond, qu'ils ont rencontré au bar peu avant, ne peut détacher ses yeux des seins d'Anna. Cette tenue, proche de celle que bien des femmes portent à la plage, prend ici, dans un autre contexte, un caractère tout différent, d'autant plus que le slip, qu'elle porte maintenant comme seul vêtement, est complètement transparent. L'intense érotisme qui se dégage de la scène n'échappe à personne et encore moins à Jules, qui ressent alors une si forte érection qu'elle en est presque douloureuse. Le temps semble s'être arrêté un instant lorsque toute la salle ne regarde plus que cette femme presque nue, attendant l'instant où les hommes vont lui retirer son dernier vêtement. Mais, à ce moment, Anna est sauvée par l'arrivée du responsable du club, qui, courroucé, sépare les belligérants et renvoie Anna s'habiller.

Le soir, Jules et son épouse se sont installés au bar, lorsque leur connaissance du jour, Sacha, arrive. Au cours de leur bavardage, le jeune homme, en plaisantant, fait allusion au spectacle imprévu de ce soir, osant même vanter la beauté de la poitrine d'Anna. Elle n'est pas insensible à ses compliments, à sa joie de vivre, à sa décontraction. Jules se rend compte que le garçon plaît bien à sa femme. Alors naît en lui l'idée, ou plutôt l'envie, qu'elle se laisse draguer, qu'elle aille jusqu'au bout, qu'elle fasse l'amour avec lui. Aussi est-il à la fois surpris et heureux de voir que Sacha se permet, sans que personne ne s'y attende, dans une sorte de provocation, d'embrasser Anna sur la bouche, juste devant lui.

Pour terminer la soirée, le couple part danser au night-club en plein air. Tout en dansant, Jules, heureux de cette journée exceptionnelle, n'a cessé d'embrasser sa femme, de la caresser, tant son excitation est grande. Sa pensée ne peut se détacher de son projet fou. Il a envie de donner son épouse à ce jeune homme, totalement. Alors Jules dit à Anna :

« J'ai l'impression que Sacha ne te déplaît pas ».

« C'est vrai », répond-elle, « il est assez mignon ».

« Pourquoi ne te laisserais-tu pas draguer? Pourquoi ne passerais-tu pas la nuit avec lui? », poursuit Jules.

Elle n'arrive pas à se décider, rejetant cent fois ce projet. Son mari se fait insistant, cherchant à savoir ce qui la retient. Elle finit par lui expliquer qu'elle aimerait bien coucher avec Sacha mais que, ne prenant pas la pilule, elle craint les conséquences. Son mari lui fait remarquer qu'elle est, à cette date, proche de la fin de son cycle et que les risques sont faibles. Anna sait bien que son mari a un peu travesti la vérité pour arriver à ses fins. Elle pense que son ovulation a dû avoir lieu pendant la croisière, il y a quelques jours, car il arrive à Anna de ressentir parfois ce moment intime. Elle sait bien qu'elle est plutôt à la limite que dans une période vraiment sûre. Malgré cela, ou peut-être excitée à cause de cela, Anne se décide enfin à suivre la demande de son mari.

Jules s'éloigne alors, quittant les lumières de la piste de danse pour s'enfoncer dans les fourrés avoisinants, d'où il peut surveiller discrètement sa femme. Anna reste seule peu de temps, car Sacha l'invite à danser dès l'instant où il s'aperçoit qu'elle est seule. A cette heure avancée, les séries de slows sont nombreuses. Ils dansent ainsi, serrés l'un contre l'autre, et Anna sent le contact dur de la virilité de son partenaire. Sacha l'embrasse à pleine bouche et elle répond à ses baisers. Jules les observe de loin. Pourtant le fort éclairage des projecteurs de la piste de danse le gêne, et il devine les silhouettes plutôt qu'il ne les voit. Il cherche à s'approcher mais, arrivant ainsi en pleine lumière, il risque à tout instant d'être aperçu par Sacha, ce qu'il veut éviter. Alors Jules, un peu déçu de ne pouvoir jouir de son plaisir de voyeur, regagne leur chambre pour y attendre son épouse adultère.

La nuit parait longue à Jules qui ne veut évidemment pas s'endormir avant son retour. Vers quatre heures du matin, Anna franchit la porte de la chambre. Son mari se jette alors sur elle, lui enlevant ses vêtements tout en la serrant dans ses bras. Debout, Jules se plaque sur le corps de sa femme, dont la nudité est encore chaude des caresses de son amant d'un soir.

« Mon amour, ma salope, je t'adore », lui dit-il, ajoutant :

« Tu ne peux savoir le plaisir que tu me donnes en te faisant baiser par un autre homme ».

Puis, il la renverse sur le lit. Couché à côté d'elle, il la caresse lentement, tendrement, sur tout le corps, puis lui dit :

« Raconte ».

« Comme tu l'as vu, Sacha m'embrassait à pleine bouche en dansant », commence-t-elle, « Il laissait ses mains courir sur mon corps. J'avais aussi envie de sa bouche. J'étais bien ainsi dans ses bras. Puis il m'a emmenée dans sa chambre. Il m'a d'abord déshabillée et nous nous sommes allongés, nus, sur le lit. Il m'a encore embrassée sur la bouche, puis il m'a caressé les seins. Il en a sucé les pointes. J'aimais bien sentir ses lèvres sur moi ».

Pendant le récit, Jules refait avec son épouse les mêmes gestes, cherchant à lui faire revivre une seconde fois ces sensations. Anna, poursuit:

« Enfin, il s'est allongé sur moi. J'ai senti son membre contre mon sexe. J'étais toute humide, et il m'a pénétrée facilement. Il a commencé son va et vient en moi. Cela me faisait du bien, tu sais. Mais, alors que je commençais à y prendre beaucoup de plaisir, il s'est retiré. Son sexe avait perdu de sa rigidité. Il m'a dit alors, un peu gêné, qu'il avait certainement trop abusé de l'alcool ce soir. J'ai pris son membre dans mes doigts et je l'ai branlé pour le faire bander de nouveau. En même temps, Sacha me caressait le sexe, glissant ses doigts dans ma fente humide. J'ai senti son membre durcir dans ma main. Il est alors revenu se coucher sur moi. Son gland a écarté mes lèvres et est entré de nouveau dans mon vagin. Son sexe s'est enfoncé en moi jusqu'au bout. Il m'a prise un moment, mais malheureusement, il n'a pas réussi à atteindre la jouissance ».

Pendant qu'elle raconte sa nuit d'amour, Jules depuis un moment déjà baise sa femme, lentement, savourant doublement les sensations physiques et celles plus intellectuelles du récit. Alors, au moment de la dernière phrase d'Anna, il éjacule en elle, la remplissant du sperme que son amant n'a pas pu lui offrir.

Dans le moment de détente qui suit, Jules lui redit encore son amour, le plaisir qu'il prend à la livrer ainsi à un autre.

« As-tu aimé? », lui demande-t-il.

Alors Anna lui répond :

« Je n'ai pas pu atteindre l'orgasme avec lui, mais j'ai tout de même été très excitée d'avoir fait cela ».

Quelques jours après leur retour de vacances, alors qu'Anna s'installe à table pour dîner en face de Jules, elle remarque un écrin, posé à côté de son assiette.

« C'est pour moi? », s'enquiert-elle.

« Évidemment », lui répond son mari.

Anna s'étonne :

« Mais ce n'est pas mon anniversaire ! »

Jules lui dit alors, énigmatique :

« Pourtant nous avons un événement à fêter ».

Anna découvre une bague dont la pierre jaune jette des éclats. Elle la passe tout de suite à son doigt, et, la contemplant, dit à son mari :

« Merci mon chéri. Cette topaze est très belle », puis après un instant ajoute :

« C'est bien une topaze, n'est-ce pas? »

Jules lui répond alors :

« Oui, une citrine, mais je préfère l'appeler 'adultèrine' ! »

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... à suivre ...

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1 Commentaires
CocuforeverCocuforeveril y a environ 2 ans

Vivement les vraies cornes du mari cocu. Super récit

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