Les Monstrueux Jumeaux, Partie 02

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Partie 2
2.4k mots
4.26
10.6k
4
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Partie 2 de la série de 4 pièces

Actualisé 07/12/2023
Créé 07/11/2023
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Dans la première partie, nous avions vu comment ces deux adorables jumeaux, élevés dans la plus haute bourgeoise américaine, avaient développé une perversité qui les avait conduits à contraindre la gouvernante à les dépuceler. Elle était devenue leur jouet sexuel.

Pete et Brian âges de tout juste 21 ans, avaient rejoint une prestigieuse école de droit à Washington. Les deux jumeaux habitaient ensemble dans un appartement moderne et confortable d'un quartier résidentiel.

Ils avaient l'argent, l'ambition et étaient possédés par une envie de luxure sans limites. Depuis qu'ils avaient abusé de leur gouvernante, ils avaient eu de courtes liaisons avec des filles de l'école, dont certaines étaient encore vierges.

Le scénario était toujours le même. Pete ou Brian les amenait dans leur appartement, leur faisait l'amour et prétextant une envie pressante, le jumeau s'absentait quelques instants, puis était remplacé par son frère. La jeune femme ne se rendait compte de rien si ce n'est qu'elle recevait dans sa chatte une bite à nouveau bien dure et qui la ramonait souvent encore longtemps. Certaines refusaient néanmoins la sodomie au grand dam de Brian, dont c'était une préférence.

Pete et Brian eurent envie de baiser une prostituée. C'était une expérience qu'ils voulaient connaitre. Ils choisirent une belle call-girl sur le net. Elle ria quand ils lui proposèrent un tarif de groupe. Olga était d'origine russe, ne craignait pas d'être baisée par deux hommes. Elle avait déjà tout pratiqué et n'avait que 25 ans. Les deux jumeaux passèrent un bon moment. Olga faisait l'amour sans passion, mais comme une pro et une sportive. Elle les branla et les suça avec application. Elle s'asseya sur leurs bites et put démontrer la force de ses cuisses. Elle ne fut pas trop surprise quand ils lui firent leur spéciale, leur doublette chatte/cul. Elle apprécia à sa juste valeur l'endurance des deux jeunes hommes.

Avec Maria, ils avaient baisé une femme soumise et apeurée. Cela les avait excités. Avec les jeunes femmes de bonne famille, ils expérimentaient des filles sans grande expérience, mais fraiches et se donnant par amour. Là, c'était une vraie pro de la baise.

Olga leur proposa de venir dans un club très sélect, pour des personnes d'un haut niveau social.

Olga : « Vous feriez sensation les beaux jumeaux...il y a des femmes qui ont besoin de se faire baiser devant leurs maris.. »

Pete et Brian, intrigués, et cherchant de nouvelles aventures, s'y rendirent un soir.

Le lieu était des plus discrets et l'intérieur tamisé. Une vingtaine de couples étaient présents, ou plutôt quelques putes avec des hommes friqués et pas toujours très beaux. Pete et Brian reconnurent un célèbre animateur de télé. Olga était assise a coté de lui et le branlait.

Olga (souriante) : « Salut les garçons... Allez au premier étage...y a du travail pour vous..je touche un pourcentage, n'oubliez pas... »

Au premier étage, un couple près d'un sofa. L'homme avait la cinquantaine, bedonnant. La femme devait avoir dans les 45 ans. Elle était assise nue, avec seulement un collier de perles autour du cou, qu'elle touchait nerveusement. On voyait ses seins qui tombaient légèrement. Elle avait croisé ses cuisses pour cacher son con.

L'homme : « Baisez ma femme.... Durement... »

La femme : « Charles... »

L'homme : « Fermes-là! »

Pete et Brian se regardèrent.

Pete : ' Tu ne trouves pas qu'elle ressemble à notre mère »

Brian : « J'allais te dire la même chose.. »

Les deux jumeaux n'avaient jamais fantasmé sur leur mère, mais la ressemblance était troublante et cela les excitait malgré eux.

Et ils la baisèrent, devant son mari cocu, qui se branlait et insultait de temps en temps sa femme. Celle-ci subissait le désir de son mari et était à peine consentante car elle pleurait. On sentait une femme d'une certaine éducation, une bourgeoise bon chic bon genre, mais qui n'avait pas le choix . Cette salope de Quadra ressemblait à leur mère ou à ses amies devenues mal baisées ou trop peu baisées.

Les autres couples étaient montés au premier étage car les cris de la salope se faisaient entendre. Elle n'était pas habituée à être pris une levrette tout en suçant. Elle cria avec la sodomie devant un mari au paradis. Des encouragements venaient des spectateurs, notamment de la vedette du petit écran. Olga était à genoux et le suçait. Une femme du même âge que la suppliciée, se branlait la chatte et l'on devenait qu'elle aurait aimé être prise de la même manière.

La doublette fut un franc succès. Ils n'avaient jamais baisé une femme aussi âgée. Ils se regardaient et savaient qu'ils pensaient à la même chose. Ils auraient adoré violer la chatte et le cul de leur propre mère. Pete et Brian rugirent de plaisir quand ils inondèrent de leur foutre les cavités de cette femme mariée, qui pleurait à chaudes larmes. L'expérience avait été autant humiliante que douloureuse. L'assistance se mit à applaudir. Le mari pris sa femme par les cheveux et l'obligea à prendre sa queue dans sa bouche puis éjacula.

Le mari : « Conasse!!! »

Plus tard, l'homme invita les deux jumeaux au bar.

L'homme : « Vous avez été formidable... Ma femme s'en souviendra... Votre ressemblance est étonnante! »

Pete : « Merci! »

Brian : « C'était une première pour elle! »

L'homme : « Oh que oui... Elle m'avait reproché de la tromper et voulait demander le divorce... Là, elle a été bien punie... Ce n'est que le début, croyez-moi. Je compte bien la faire défoncer par de nombreux hommes ... »

Ils trinquèrent ensemble.

L'homme : « Vous m'inspirez une grande confiance, et je vous trouve très sympathique...je connais une personne qui serait ravie de vous inviter sur son île pour un week-end. Elle est au large de la Floride. Il y a des fêtes très spéciales... L'entrée est très chère, mais vous m'avez rendu service et vous m'avez impressionné »

Cette île appartenait à celui que nous appellerons Mister X (mort en prison depuis, suicidé...). Il était accompagné de Miss X, une ancienne mannequin qui servait de rabatteuse. Mister X y faisait venir des filles très jeunes et a peine majeur. Elles avaient en commun d'avoir un corps d'adolescentes. Il réalisait des week-ends de fête et surtout de baise. L'entrée était à 500 000 dollars. Seuls des millionnaires pouvaient y avoir accès. Une vingtaine d'homme pour une dizaine de filles qui étaient le plus souvent droguées avec des tranquillisants. Sous le masque d'une soumission, c'était bien des viols auxquels on assistait. Ces filles avaient toutes rêvé d'une carrière de mannequins sous l'égide de miss X, dont la perversité était égale à son compagnon.

Les jumeaux avaient été invités pour leur beauté, leur ressemblance, et leur endurance dont avait témoigné le mari cocu. Ils partageaient aussi avec tous ces gens la certitude de se sentir supérieurs.

Ils passèrent un merveilleux week-end. Les dix jeunes filles devaient en permanence être seins nus et portaient toutes un mini string. Pour accentuer leur humiliation et l'excitation des mâles, on leur avait fait un tatouage temporaire sur la cuisse, avec un numéro.

L'île était composée d'une grande villa, avec piscine, de nombreuses chambres, un parc ombragé. Pendant 48 heures, drogue, pilules, sexe, et les meilleurs alcools furent disponibles. Pete et Brian rencontrèrent aussi un millionnaire très sympathique qui leur promit un stage dans un grand cabinet d'avocats. Pete et Brian, malgré leur perversité et leur absence de morale, voulaient être avocats d'affaires.

Si les deux jumeaux ne fantasmaient pas particulièrement sur des jeunes filles à peine sortis de l'adolescence, ils prirent leur pied, en baisant notamment une petite asiatique de Singapour, qui avait été reine de beauté. Son anglais était primaire mais elle eu tout le week-end pour apprendre ce que sucer ou écarter les cuisses voulaient dire. Sa petite chatte était étroite et nos deux pervers se régalèrent. Ils l'enculèrent à tour de rôle au bord de la piscine, ou d'autres filles suçaient, étaient pelotés, ou baisées. Les cris étaient fréquents.

Les filles étaient aussi contraintes de se gouiner. Miss X appréciait ce spectacle et aimait se faire bouffer la chatte par ces jeunes salopes. Comme elles prenaient toutes des tranquillisants ou des euphorisants, elles ne se rendaient pas vraiment compte qu'elles n'étaient que des objets sexuels.

Nénmoins, le dimanche, une fille tenta de s'échapper en prenant un zodiac. Pete et Brian la rattrapèrent en jet-ski, et la violèrent sauvagement sur la plage devant tous. Miss X se caressait la chatte. Les autres filles, soudain conscientes, se rendaient t compte de leur esclavage.

Miss X : « Ces deux jumeaux sont merveilleux n'es ce pas? »

Mister X : « Oui...numéro 7 a mérité sa punition! »

Miss X : « Peut-être remportera t'elle le concours? »

A la fin du week-end, était désignée par vote la fille qui baisait le mieux ou la plus excitante à baiser. Les votes furent unanimes : la numéro 7. C'était celle qui avait tenté de s'échapper. Une jeune française, parisienne, grande brune au beau visage, a la taille de guêpe. Malgré les médocs, elle n'appréciait pas d'être baisée, ce qui la rendait plus excitante encore.

Le protocole était simple : numéro 7 avait les mains attachés derrière le dos. Numéro 8 était chargé de maintenir ses épaules au sol. Numéro 9 et 10 devaient lui écarter les cuisses. Les six autres devaient rester à genoux, autour, les mains derrière le dos et sucer qui le voudrait bien, avant qu'il ne baise numéro 7. Celle-ci fut donc honorée par 20 bites, soit dans la chatte, le cul, ou la bouche. Rajoutons une 21 ième , avec celle de Miss X qui s'était affublée d'un long gode ceinture. La petite Française cria, hurla. Tous ces hommes, respectés dans la vie ordinaire, réalisaient leur fantasme. Celui de violer une jeune femme avec un corps d'ado. Le viol qu'ils n'auraient pu commettre sur leur propre fille mais qu'ils auraient peut-être souhaiter secrètement.

L'évanouissement de numéro 7 n'empêcha pas la poursuite de la baise infernale. Pete et Brian s'amusèrent à passer d'une suceuse à l'autre, avant de foutre numéro 7, que l'on avait réveillé.

Quand Pete et Brian retrouvèrent l'université le Lundi, ils étaient détendus, avec pleins de jolis souvenirs, et s'étaient fait de belles relations. Ils se sentaient intouchables.

Rien ne semblait les arrêter. Rentrés quelques jours chez leurs parents, ils furent accueillis avec chaleur et amour comme d'habitude, par des parents qui étaient si fiers d'eux. Les deux jumeaux eurent la surprise de ne pas trouver Maria.

La mère : « La pauvre est souffrante. Elle doit se reposer mais m'a dit qu'elle pensait bien à vous! »

Pete et Brian avaient compris le stratagème de Maria pour les éviter.

Cela ne fut pas suffisant car les deux jumeaux l'attendèrent devant chez elle, dans une banlieue fade, ou les immigrés étaient nombreux.

Pete : « Regarde tous ces métèques! »

Maria sortit de chez elle. Elle semblait très en forme, avec une jupe en jean et un tee-shirt lui moulant le haut du corps. Elle était toujours une belle femme.

Maria fut plus que surprise en voyant les deux jumeaux qui l'invitèrent à monter dans leur voiture. Maria avait un mauvais pressentiment mais voulait éviter les ennuis.

Pete conduisait. Brian était assis à l'arrière de la confortable voiture de luxe. Il caressait les cuisses de Maria, qui les gardait fermées, et l'embrassait dans le cou.

Brian : « Tu nous as manqué joli nounou...on était impatients de te revoir...on avait promis de te combler! »

Pete ( sourit) : « Tu aimes la nature, n'es ce pas? »

La voiture de Pete et Brian est garée dans le chemin d'une forêt isolée.

Maria est nue, penchée contre le capot avant de la voiture. Pete lui laboure la chatte en levrette. Elle suce Brian en même temps. Pete se retire et prend la place de Brian. Quand a ce dernier, il s'enfonce dans l'étroit anus de la Mexicaine.

Maria, depuis l'absence de ses deux tortionnaires, avait repris une vie normale. Son mari lui faisait l'amour de temps en temps. Cela lui convenait et jamais plus, elle n'avait été sodomisée.

La, sa chatte et son cul étaient a nouveau vandalisés. Elle n'avait plus l'habitude. Elle criait et implorait ses tourmenteurs.

Brian : « On avait promis de te casser le cul »

Quand ils eurent joui, Maria se laissa glisser contre le capot et tomba a genoux au sol.

Mais Pete et Brian n'en n'avaient pas fini.

Brian: « On reviendra pas avant longtemps et c'est pas gentil d'avoir essayé de nous éviter... »

Pete et Brian entraînèrent Maria contre un arbre, attachèrent des mains a une haute branche, puis mirent un peu de temps pour trouver deux belles branches souple.

Maria : « On nooonnn... »

Ils la frappèrent avec perversité. Les cuisses, les fesses, et même les seins. Ils s'amusèrent a lui enfoncer sa culotte dans la bouche pour couvrir ses cris. Ils furent satisfaits par les marques rouges.

Puis, saisi par une soudaine inspiration, Pete ramassa une pomme de pain.

Pete enleva la culotte de la bouche de Maria, et s'agenouilla entre les cuisses de la mexicaine.

Pete : « Tiens la bien! »

Brian comprenant ou voulait en venir son frère : « Excellent! »

Pete : (vers Maria) : « Pour terminer nos retrouvailles, que dirais-tu de cette pomme de pain dans ta chatte? »

Maria, prenait peur : « Par pitié...souvenez-vous de moi! »

Pete : « Mais oui gentille nounou... »

La pomme de pain était faite d'écailles en bois et avait la grosseur et la forme d'une grosse poire. Pete la posa à l'entrée du con.

Brian : « Vas-y putain...enfonces là.. »

Pete : « J'ai bien peur que ca lui fasse saigner la chatte. Les écailles vont lui déchirer les chairs... »

Brian : « Qu'importes, on la laisse attachée à l'arbre. Elle se videra de son sang. Une mexicaine en moins, peu importe. »

Pete : « Qu'es ce qu'on fait Maria? »

Maria articula simplement ; « Pitié..jai deux enfants... »

Pete : « Oui, c'est vrai...mais voir ta chatte saccagée... »

Brian : « Qu'attends-tu putain...enfonces-la!!! »

Pete commence à enfoncer la pomme de pain. Brian tenait fermement les cuisses de la salope qui se raidissait.

Puis Pete la retira soudainement et se met à rire avec Brian.

Pete : « On blaguait Maria!!! »

Ils ramenèrent Maria. Cele-ci à l'arrière de la voiture était prostrée.

Brian : « Fini les jupes avant un certain temps ma chérie. T'as de belles marques sur tes cuisses dorés. »

Pete : « Qu'es ce que tu vas raconté à ton cocu de mari? »

Les deux frères se mirent à rire.

Lorsqu'ils rentrèrent sur Washington, ils apprirent par leurs parents que Maria avait soudainement démissionné...

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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 10 mois

Merci pour ce nouveau chapitre imaginatif.

Rudy

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