Les Monstrueux Jumeaux, Partie 03

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Partie trois
2k mots
4.44
5.4k
2
Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 4 pièces

Actualisé 07/12/2023
Créé 07/11/2023
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Dans la deuxième partie, nos deux jumeaux avaient franchi encore un cap dans l'ignominie en participant à une fête privée, ou de toutes jeunes femmes devenaient pour le temps d'un week-end les esclaves sexuels de millionnaires sur une île au large de la Floride. De retour brièvement chez leurs parents, ils avaient tourmenté encore une fois leur gouvernante, avec une extrême dureté.

Pete et Brian sont désormais dans leur dernière année de droit a Whashington . Grâce au piston d'un millionnaire qu'ils avaient rencontré lors de ce fameux week-end de plaisir, ils avaient pu effectuer un stage dans un grand cabinet d'avocats, ce qui avait été très apprécié par leurs professeurs. Ils continuaient à baiser ici et là des filles insouciantes et de bonne famille, à se comporter comme des machos, se jouant des sentiments de jeunes femmes dont les trois orifices ne servaient que de trous a bite.

Pourtant, l'époque était en train de changer. Le mouvement « Me too » venait d'apparaitre. Le milliardaire, Mister X, avait été arrêté. Il mourra en prison, prétendument d'un suicide...Le wokisme devenait de plus en plus prégnant, agaçant au plus haut point nos deux jumeaux.

Et, une étudiante faisait parler d'elle. Elle s'appelait Alicia Stevens. Afro-américaine comme on disait, elle défendait la cause des noirs et stigmatisait les hommes blancs. Par ailleurs, elle revendiquait d'être une lesbienne. Elle avait sa chaine youtube et devenait de plus en plus populaire.

Pete : « Cette négresse mériterait une bonne leçon! »

Brian : « Clair! »

Mais Brian et Pete devaient faire profil bas. Il était de bon ton d'afficher des idées progressistes. Nos deux jumeaux étaient les champions du faux semblant, de l'hypocrisie, mais ils n'en pensaient pas moins.

Brian : « Et si on la baisait! »

Pete : « Et l'humilier aussi! »

Il faut dire qu'Alicia était une superbe jeune femme. Grande, avec les fesses bombées d'une noire, une poitrine arrogante, un beau visage, avec de très belles lèvres. Alicia avait beau dénoncer le sexisme et l'attitude machiste, elle aimait poser avec des tenues suggestives ou l'on voyait des cuisses magnifiques ou l'échancrure d'un corsage. Pour Pete et Brian, c'était une véritable allumeuse et narcissique.

Pete : « Cette salope aime se montrer, et se faire brouter le minou »

Brian : « C'est deux bonnes bites qu'il lui faut...des bites de blancs »

Alicia excitait Pete et Brian qui rêvaient de la baiser, de la violer, et de l'humilier. Sur l'île privée, ils avaient baisé une jeune Africaine, dont la soumission les avait rendus nostalgique d'un temps passé qu'ils n'avaient pas connu, ou les femmes noires étaient des esclaves. La petite Sénégalaise avait dû regretter son voyage, après que ses trois trous d'amour avaient été remplis par tant de sperme blanc.

Mais Pete et Brian ne pouvaient pas la violer sans être reconnus et risquer assurément la prison. Il y avait là un challenge des plus risqués, mais qui les obsédait de plus en plus. Ils auraient pu l'enlever, mais ce n'était pas leur genre et trop compliqué.

Pete : « Et si on la droguait? »

Brian : « Excellente idée...tu te souviens? »

Pete et Brian se sont souvenus du club où ils avaient baisé la femme mariée (voir partie 2). Quelques semaines plus tard, on les avait conviés à participer à un fantasme. Un père avait amené sa belle fille de 20 ans, inconsciente, car droguée, grâce à un ami médecin. Il voulait qu'elle soit baisée par tous les couples présents. Lui, se contentant de filmer. La fille, nue et allongée sur un large matelas, avait été violé par les hommes et les femmes présentes. Celles-ci, utilisant des godemichets, ne furent pas les dernières à saccager le con ou le cul de la jeune femme inconsciente.

Pete : « Oui, c'était bandant... »

Brian : « Il faut qu'on arrive à chopper cette pute de négresse! »

Ils commencèrent à enquêter sur les allées et venues de la black, ses fréquentations. C'était des plus fastidieux, mais toute peine méritera salaire, c'est ce qu'ils se disaient.

Une fille blanche et petite allait de temps en temps chez elle. Ils devinaient qu'elle était sa copine lesbienne et qu'elles devaient bien se bouffer la chatte ou se goder.

Alicia se rendait tous les jeudis soir a un club de sport puis rentrait chez elle. C'est là qu'ils décidèrent d'intervenir. Ils contactèrent le médecin qui avait permis le viol de la jeune femme dans le club. Sans l'informer de leurs projets, il voulait savoir s'il existait un gaz soporifique qu'ils pourraient utiliser pour faire une blague à un camarade. Le médecin fit semblant de les croire avec un sourire entendu et leur donna une petite bonbonne utilisée en anesthésie.

Le médecin : « L'effet est de trois ou quatre heures. Vous pouvez diffuser le gaz dans l'air, mais cela doit être un tout petit espace.. »

Brian : « L'effet est immédiat? »

Le médecin : « Oui, dès les premières respirations »

Pete et Brian avaient imaginé un plan autant délirant qu'audacieux. Pour cela, ils louèrent aussi les services d'Olga, la pute d'origine russe qu'ils aimaient baiser de temps en temps (voir partie 2).

Olga s'était inscrite dans le club de sport que fréquentait Alicia. Le jeudi soir, elle se retrouva en même temps qu'elle dans le vestiaire. Les deux femmes échangèrent un sourire, puis Olga regarda Alicia ranger ses affaires dans le petit casier avec un digicode et pianoter dessus sans prendre gare au fait qu'Olga regardait les numéros.

Olga, profitant d'être seule, ouvra le casier et pris les clefs de l'appartement d'Alicia. Elle sortit dehors et les donna à Pete, qui prit rapidement sa voiture pour rejoindre Brian à 10 minutes de là au pied de l'immeuble d'Alicia. Les deux hommes s'introduisent dans celui-ci puis entrèrent dans l'appartement au 3 ième étage. Pete repartit avec les clefs et retrouva Olga, après avoir laissé Brian dans l'appartement.

Olga ( sourit) : « Bonne baise! »

Celle-ci remit rapidement les clefs dans le casier. Dans la salle, Alicia courait sur un tapis.

Alicia descendit du bus qu'il la ramenait chez elle. Pete prévient Brian au téléphone.

Pete : « Elle monte! »

Brian avait trouvé une cachette sous le lit, dans cet appartement d'une étudiante qui avait aussi des moyens. Influenceuse lui rapportait de l'argent, semble-t-il.

Alicia entra chez elle, en chantonnant, et mis de la musique. Elle se déshabilla complètement, en jetant son survêtement sur le lit, puis alla se doucher.

Quand il entendit l'eau couler, il attendit une minute avant de sortir de sa cachette. Il quitta la chambre et s'approcha avec précaution de la salle de bain. Elle n'était pas grande, heureusement. Brian glissa un tuyau fin sur le sol relié à une bonbonne. Il actionna la vanne, tout en mettant une sorte de masque.

Bientôt, Alicia quitta la douche, comme gênée, puis glissa sur le sol inconsciente. Brian se précipita pour la tirer hors de la salle de bain. Il ouvrit une fenêtre pour que le gaz se dissipe et ferma la porte. Il souleva le corps d'Alicia et la porta sur le lit. Il enleva son masque, satisfait.

Alicia était nue, allongée sur son lit, le corps encore mouillé. Brian avait fait rentrer Pete.

Brian : « Putain!, on a réussi! »

Pete : « Génial, tu as vu cette bombasse!!!! »

Pete et Brian furent bientôt nus. Ils se masturbaient devant le corps d'Alicia, ses cuisses galbées, ses seins magnifiques, sa chatte presque rasée. Ils étaient comme deux enfants devant un cadeau au pied du sapin. Ils n'avaient qu'une envie, c'est de la baiser! Ils avaient tellement fantasmé sur elle, voulaient lui faire payer aussi son arrogance. Ils n'avaient plus aucune patience.

Et ils la baisèrent. Pete attacha les poignets d'Alicia avec un gros scotch blanc. Bien sûr qu'elle ne bougeait pas, mais ils voulaient aussi l'humilier, et quand Brian, après avoir mis un lubrifiant sur sa queue, pris la chatte de la pute, Pete pris les premières photos et de petits clips vidéo.

Brian : ' Trop bonne cette négresse! »

On ne devait pas voir le visage ou les corps de Pete ou Brian, mais des bites entrant dans sa chatte ou son cul, avec des plans larges permettant aussi de voir son beau visage endormi, qui parfois grimaçait ou poussait de légers gémissements.

Brian avait soulevé les cuisses d'Alicia.

Brian : « Tu crois qu'elle rêve? »

Pete : « Plutôt des cauchemars! »

Pete approcha sa queue de la bouche entre-ouverte de la salope. Il réussit à la rentrer un peu et pris des photos.

Pete : « J'ai envie de jouir sur sa gueule! »

Brian : « Prends-la d'abord...a ton tour »

Pete : « Merci frère! »

Pete retourna Alicia et la fit tenir à genoux, à l'équilibre, puis l'a pris en levrette.

Pete : « Alors, ca fait quoi salope de négresse d'être baisée par un blanc...tu vas aimer crois-moi!! »

Quand Pete se retira, Brian pris le relais mais en visant le cul.

Brian : « Elle est grave serrée! »

Finalement, la bite entra et commença de lents vas et viens. Alicia geignait.

Brian : « Je crois qu'elle aime ».

Pete fit un gros plan.

Puis, ils la prirent tous les deux ensemble, sur le côté. C'était leur spécial. Pete filmait en passant du cul à la chatte défoncée et le visage de la salope qui grimaçait.

Brian : « Putain, je vais jouir dans son cul... »

Pete : « Vas-y et laisse en sortir, je filme et prend des photos. »

Brian : « Arghhh »

Le foutre blanc dégoulinait autour de l'anus de la jeune femme.

Pete se retira de la chatte, désormais bien ouverte, pour enfoncer sa bite dans la bouche de la pute. Il se mit cracher son foutre sur les lèvres et le visage de la négresse.

Pete (tout en photographiant et filmant) : « Prends ça, connasse! »

Pete : « Comme c'est beau mon foutre sur sa gueule! »

Brian « Et le mien sur son cul du foutre de blancs!!! »

Ils rirent et se tapèrent dans les mains.

Mais ils n'en restèrent pas là. Ils voulaient en profiter au maximum, et avaient prévu de l'humilier sévèrement. Pour reprendre des forces, ils utilisèrent Alicia comme un pantin.

Ils lui firent prendre des poses autant érotiques qu'abjectes.

Les cuisses écartées, Alicia se tenait un sein, et l'autre main, un doigt dans la chatte. Ils avaient ramené un poireau. Ce n'était pas fin, mais le symbolisme du légume blanc, entrant dans sa chatte les faisaient rire. Les cuisses écartées, Alicia avait la main sur le poireau entrant dans sa chatte.

Ils utilisèrent le scotch blanc pour l'attacher de bien des manières, parfois écartelée ou ramassée sur elle.

Les seins de la négresse étaient beaux. Ils les sucèrent, tiraient les tétons avec les dents et donnèrent quelques gifles aussi.

Brian : « Prend ça sur tes mamelles! »

Pete filmait tout.

Ils lui donnèrent quelques gifles sur le visage. La pute grognait.

Les lèvres de la chatte furent étirées. Le fond de la chatte filmé en gros plan.

Ils s'amusèrent à trouver dans l'appartement ce qu'ils pouvaient lui enfoncer dans la chatte et dans le cul. Un sèche-cheveux, une statuette Africaine, manche à balais...

De nouveaux bien bandés, ils attachèrent ses mains aux montants du lit. Et, là, la baise dura longtemps, profonde, violente.

Quand ils eurent joui à nouveau, ils mirent le point final à ce qu'ils estimaient être leur chef-d'œuvre. Ils prirent de la peinture blanche qu'ils avaient amenée. Il écrivèrent « négresse » sur le front. Une flèche sur le ventre ou au-dessus était écrit : « baisée par deux grosses bites de blanc ». Pareil sur le dos avec une flèche vers de l'anus.

Ils peignirent ses nichons en blanc et accrochèrent une pince à linge sur les tétons. Ils lui détachèrent les mains, mais lui attachèrent les pieds. Cuisses écartées, le poireau reprit sa place dans la chatte de la négresse. Ils posèrent les deux mains d'Alicia dessus et firent une belle photo.

Pete avait amené son ordinateur portable et après un rapide montage le montèrent sur une clef-usb. Ils mirent la clef dans un tube transparent qu'ils enfoncèrent dans le cul de la suppliciée.

Enfin, ils pissèrent sur la salope, en riant.

Brian : « J'aurais aimé être là à son réveil... »

Pete : « Un beau poireau au petit déjeuner »

Puis, ils partirent....

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6 Commentaires
Alexandre1965Alexandre1965il y a 10 moisAuteur

Oui, je le concède...ils se sont comportés comme des brutes....la frustration !

APVapvAPVapvil y a 10 mois

Assez violent. J'aurai aimé que ça monte plus doucement. J'aime bien voir la préparation..

AnonymousAnonymeil y a 10 mois

Pour le moment c'est très encourageant ...

... J'attends la suite !

MoiaunaturelleMoiaunaturelleil y a 10 mois

j'ai moins accroché je trouve que tu vas trop vite sure celui-ci mais excitent quand meme

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