Les Jumelles Ch. 03

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Noémie s'immisce dans notre relation.
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Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 09/06/2022
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Pour fêter les un mois de notre rencontre, nous sommes invités à une soirée privée sm, dans la banlieue de Lyon. C'est très privé et organisé par une ex à moi, devenue la soumise d'un notable de la région. Notre arrivée fait son petit effet quand Blanche retire sa longue cape. Elle porte des talons aiguille de 18 centimètres qui la rendent plus grande que mon 1m85. Heureusement qu'elle a un grand pied pour supporter une telle hauteur toute la soirée. Elle n'est vêtue que de son corset qui met en valeur sa superbe poitrine, et d'une jupe en cuir qui tombe sur ses hanches, tant sa taille est affinée. Un collier noir Hermès avec une courte laisse complète le tableau, tandis que je lui menotte les mains dans le dos pour rendre sa démarche encore plus sensuelle.

Je retrouve la Blanche que j'ai découverte il y a un mois, timide, effacée, impressionnée, très en retrait. Cela me va bien. Je ne suis pas fana des soirées privées, c'est toujours difficile de pratiquer, ne sachant pas si l'envie est pure ou bien très influencée par les regards et attentes des autres convives. Et l'attitude du Maître me fait souvent me sauver : entre ceux trop fiers d'arborer une femme à leur poignet, les arrogants méprisants qui se croient vraiment Maître du Monde, et les Ouvriers spécialisés qui excellent dans une pratique en ayant complètement perdu le sens de la relation. Je décide d'être moi-même, avenant, souriant et positif.

Estelle nous accueille avec un grand sourire mais reste bouche bée en voyant Blanche, les yeux baissés. Elle n'a pas de mot, et sans doute traduit le ressenti général, en la trouvant tout simplement sublime. Blanche rougit de ce compliment, gênée d'être regardée. Estelle prend sa laisse avec mon autorisation et lui fait faire le tour du château, au moins du rez-de-chaussée. C'est superbe, le lieu est féérique, et je retrouve ma belle qui a longuement discuté avec Estelle. Elle est plus détendue, les yeu mouillés d'amour.

- Je t'aime encore plus

- Mais ce matin tu m'as dit qu'il n'était pas possible de plus aimer?

- Eh bien je me suis trompée! Estelle est tellement admirative de toi, cela me ravit de rencontrer une personne qui me parle de toi.

- Ca va ma petite chienne?

- Oui Mon Seigneur, je suis toute à toi, tu sais? Vraiment. Je voudrais tellement te le démontrer à chaque instant. Que tu m'éprouves encore et encore, me pousse si loin que personne n'a été par amour pour son Seigneur.

- Tu crois vraiment que tu pourrais tout endurer pour moi?

- Oh oui j'en suis certaine.

- Me voir faire l'amour avec une femme tandis que tu es enfermée dans le placard ou dans la cave?

- Oh oui je serais comblée de ton plaisir et tellement humiliée que mon sexe sera une fontaine!

- Tu sais je te ferais vivre bien pire que tous les fantasmes que je t'ai déjà murmurés à l'oreille.

- Oh oui mon Seigneur! Tu me le promets?

- Tu es folle!

- De toi!

Je l'embrasse avec passion, et nous prenons quartier dans un coin de la pièce. L'alcool aidant, ainsi que l'ambiance qui s'électrise, nous nous détendons tous les deux. Blanche est curieuse des autres femmes, n'a pas un regard pour les hommes. J'aime cette curiosité, comprendre ce qu'elles recherchent et font là. Elle, elle sait ce qu'elle fait là! Et quand je t'attache finalement à une croix noire et menaçante, je la sens soupirer, comme soulagée de ce qui lui arrive. Elle sait que de nombreux yeux la regardent, mais seuls les miens comptent. Une fois sa jupe enlevée, ses fesses sont magnifiquement offertes par la position et le corset qui retient ses bas. Le corset ne me permet pas de marquer vraiment son dos, aussi je vais me consacrer à son fessier.

Je commence à la fesser avec le paddle, d'abord doucement, faire monter les endorphines. Le bruit est sec et fort. Les fesses rougissent vite, elles sont déjà chaudes. Blanche gémit à chacun des coups, mais s'offre encore plus en se cambrant. Le silence autour est saisissant. Je n'aime pas être en spectacle mais j'oublie vite, je ne suis plus concentré que sur la femme de ma vie. Son offrande, son fessier magnifique qui me fascine.

Le premier coup de canne fait un bruit léger, mais l'impact est impressionnant sur sa fesse droite qui se déforme. Le cri attendu fuse, tout aussi impressionnant. Malgré les endorphines, le coup est douloureux. Préparé par le paddle, la marque devient vite noire, gorgée de sang. Je continue, doucement, calmement, à couvrir ses fesses de ces fines zébrures, qui souvent se croisent ou se chevauchent. Blanche crie, Blanche pleure, Blanche gémit, Blanche réclame encore, Blanche hurle son amour et sa dépendance. Nous sommes dans un tourbillon et ce n'est que la résistance de la canne, qui se brise, qui met fin au supplice. Je me colle à elle, ses fesses sont bouillantes, parfois sanguinolentes. Jamais je ne l'ai battue ainsi. Je la détache, la retourne, nous nous embrassons, elle pendue à moi comme un supplicié à sa corde. Je la prends dans mes bras, et nous retournons dans notre alcôve, j'entends à peine les applaudissements. Je ne sais quoi en penser. J'ai juste envie de prendre soin d'elle, de la protéger et de la ramener à la maison.

Il est plus de midi le lendemain quand je sens que Blanche vient dans le lit me réveiller. Presque un rituel entre nous. Elle se colle contre moi, me prodigue de légers baisers dans le cou et sur le visage, ses mains me caressent, avant de descendre sur mon sexe pour finir de le réveiller. Après quelques minutes, les yeux fermés je pivote sur le dos, elle se met alors à me lécher, comme aucune femme n'a jamais su me donner ainsi du plaisir : elle me lèche, me suce, m'aspire toute cela en même temps, en serrant mes couilles juste au seuil de la douleur. Il ne me faut pas longtemps pour jouir dans sa bouche gourmande. Après il y a deux variations, quand nous avons peu de temps, je me redresse au bord du lit, elle à genoux entre mes jambes pour me boire.

Mais aujourd'hui nous avons du temps, je la bascule doucement, j'enfonce mon sexe encore excité dans son vagin ouvert et offert, la prendre doucement, longuement, amoureusement. A chaque fois la sensation est unique, je suis au paradis, elle m'acceuille de façon divine. Parfois je lui demande de se caresser, pour le seul plaisir de voir ses doigts jouer de son précieux bouton. Chaque femme a une façon bien à elle de se toucher, et je suis fasciné toujours de les regarder. Après l'avoir bien ouverte, je m'attaque à son cul. Ce matin là je reprends mes précautions d'antan, ouvrant doucement son cul de mon pouce, prenant mon temps, au risque d'une érection à relancer. Je suis concentré, appliqué. Elle halète, je sens comme elle s'offre, je lui dis des mots doux, comme j'aime prendre possession d'elle. Après l'avoir bien dilatée, je viens enfin me positionner, la prendre complètement de face, les jambes complètement repliées sur ses seins, offerte comme jamais. Quand je serais bien au fond, je tendrai ses jambes pour pouvoir aller encore plus loin, la fendre en deux.

J'ai déjà jouis une fois, alors je n'ai aucun souci à me retenir, et cette fois-ci la sodomie dure une éternité, je veux qu'elle la sente en elle au moins toute la journée. Je joue avec son anus qui s'ouvre et se ferme une centaine de fois, ses gémissements deviennent des supplications, des râles, cela m'excite encore plus, avant de replonger profondément et l'épingler sur le lit. Quand je suis enfin rassasié de violence et de plaisir, de tendresse et de désir, je m'arrête quelques minutes, je me détends, et je sens le flot du matin couler en elle, comme cette première fois. Elle a l'habitude, elle n'ouvre plus les yeux affolés. J'adore ce sentiment, cette humiliation, je souris jusqu'aux oreilles. Je lui murmure que j'adore mon nouvel urinoir et d'aller vite se soulager et de venir me rejoindre après.

Elle s'allonge ensuite à mes côtés, la tête sur mon épaule, épuisée, tendre, collante.

- Vous jouez souvent ce jeu toutes les deux avec Blanche?

- Hein? Qu'est-ce que tu dis, je ne comprends pas.

- Noémie...

- Rires, bon d'accord. Oui on le joue souvent.

- Cela vous amuse beaucoup?

- Oui cela permet de mieux ressentir ce que l'autre vit. Et puis aussi voir si le garçon fait un peu attention!

- Attention?

- Oui, est-ce qu'il remarque et quand il remarque la substitution.

- Et que disent les statistiques.

- 0! Personne ne remarque rien!

- Tu déconnes...

- Mais non, toi quand est-ce que tu t'es rendu compte? J'avoue que je ne l'ai pas perçu peut-être mon tatouage différent du sien, ou bien mes fesses bien lisses alors que les siennes sont affreusement marquées?

- J'ai envie de te dire à chaque instant! Vous n'avez rien à voir l'une avec l'autre.

- Ben quand même. Nous sommes jumelles!

- Mais non, vous ne marchez pas pareil, par exemple avant même que la porte s'ouvre je savais que c'était toi!

- Sans déconner?

- Mais oui, toi et Blanche vous êtes très différentes. Tu es ainsi bien plus musclée, je suis certain que tu as 3 ou 4 kilos de plus à cause de tes muscles!

- Mais alors t'es un vrai salaud d'avoir fait tout cela!

- Je voulais te faire plaisir, c'est bien cela que tu venais chercher non?

- J'aurais pu me passer de la fin.

- Que de la fin?

- En fait même pas, je trouve que tu es un gros pervers mais tu t'y prends bien. J'ai pris mon pied.

- Tu crois que je prends autant de précaution pour sodomiser ta sœur? Je ris

- C'est vrai j'ai trouvé cela tellement délicat. Mais alors pourquoi l'avoir fait, tu aurais pu arrêter tout de suite.

- J'avais envie de toi. Tu m'as donné envie de toi, et comme Blanche est nécessairement complice, j'avais envie que Blanche me voit baiser durement sa sœur.

- Oh! Malgré Blanche

- Oui, malgré Blanche, je n'aurais jamais pensé quoi que ce soit, c'est quand tu es rentrée que j'ai réalisé que j'avais envie de toi et que d'évidence Blanche n'était pas contre.

- Au contraire, elle avait très envie que je fasse l'amour avec toi.

- Et toi?

- Moi j'avais et j'ai toujours très envie de faire l'amour avec toi!

- Mais tu sais que je suis l'homme d'une seule femme.

- Oui je le sais, et je sais que le lien que tu as avec Blanche est inouï, rassure-toi. C'était juste un petit jeu.

- Un grand jeu pour moi.

- Tu es trop mignon.

Je l'embrasse passionnément, et elle me répond non moins passionnément. C'est étrange Blanche sait tout de ce que nous faisons, et je ne me sens pas du tout fautif. Je ne commets surtout pas l'erreur de proposer un plan à trois, je détesterais cela.

Quand je retrouve Blanche dans la cuisine elle est rayonnante, se jette à mes pieds et montre pour la première fois à sa sœur l'étendue de son abandon et de sa soumission en ma présence. Comment aurais-je pu passer à côté de ses fesses qui sont magnifiques, et dont elle est très fière, baissant son shorty pour nous les montrer. Je suis déjà épuisé d'émotion et je sens que ma chienne en est loin elle! Elles vont me tuer.

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