Les Jumelles Ch. 02

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Blanche s'ouvre complètement à moi.
3k mots
4.62
4.4k
1
Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 09/06/2022
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Ces trois jours ont été aussi fous que la nuit passée avec Blanche. Dès que je suis sorti de l'hôtel nous avons commencé nos échanges de messages, à un rythme ne permettant pas de faire grand-chose d'autre. En nous disant des choses qu'on ne peut pas se dire en face à face, car trop intimes, trop complexes ou qui risqueraient d'être trop éphémères. L'écrit permet de figer, de dire, de donner à l'autre donner à penser. De l'écouter profondément dans un fil, tout en se dévoilant dans un autre, ce que l'échange en direct ne permet pas. Et Blanche s'est ouverte de façon folle, sans aucun filtre, dans une confiance en moi qui me rempli de bonheur. Je ne lui cache rien, elle non plus ou presque. Il y a des choses que je ne veux pas lui demander, elle en parlera si elle le juge nécessaire. Elle est tellement fraîche, spontanée!

- Tu es dans ton train, là?

- Je viens de m'installer, je pense à toi, je suis épuisé de notre nuit!

- Oh je suis désolée, je crois que je n'ai jamais été aussi en forme. Et heureuse.

- Tu me remplis de joie, tu es une jeune femme merveilleuse, je ne connais rien de toi, mais ce que je vois, je sens, me comble au-delà de tout.

- C'est vrai? Tu n'as pas honte de moi?

- Oh non, j'ai toujours très envie de toi

- Et moi je ne rêve que de toi.

- Tu rêves de moi comment?

- Comme cette nuit, dominateur, impérieux, violent, doux, tendre, humiliant. A chaque seconde tu étais comme j'aurais rêvé que tu sois. Tout était parfait, je rêvais d'un homme comme toi depuis si longtemps!

- C'es cet homme que tu cherchais frénétiquement sur ton téléphone hier soir?

- Oui...

- Mais j'ai effacé tous mes profils et toutes mes recherches.

- Tu vas faire plein de malheureux.

- La moitié ne cherche qu'à baiser n'importe quelle fille, et l'autre moitié ne passera jamais à l'acte.

- Tu n'as jamais fait de rencontres?

- Si, souvent en fait, la plupart du temp un café suffit, parfois je suis allée un peu plus loin, pour me dire que peut-être, et puis rien.

- Tu es sur quelles messageries?

- Etais... Tu ne devines pas?

- J'aimerais que tu me le dises

- Tu es cruel Louis. Et je t'adore. Des messageries de domination soumission.

- Mmmhhh nous nous sommes surement croisés!

- Oh non je ne t'aurais jamais laissé passer!

- Mais du coup toi aussi tu aimes la domination SM?

- Oui, mais pas comme un jeu, ou une activité, mais comme un véritable mode de relation. Je crois que tout peut être sexualisé dans une relation, et c'est ce que j'aime, que rien ne soit banal ou répétitif.

- Oh mon Dieu, Louis!

- C'est moi ton Dieu?

- Tu aimerais l'être?

- Oui je crois bien

- Moi aussi j'aimerais beaucoup. Si tu savais...

- Si je savais?

- Les images que j'ai en moi, le désir qui m'habite, les émotions que j'ai ressenties hier pendant toute la soirée. Tout était incroyable, je me demandais quand j'allais me réveiller.

- Oui tout était incroyable, tu es incroyable, tu ne t'en rends pas compte.

- Non je ne me rends pas compte

- Hier Blanche, tu étais complètement béante, ouvrant toutes tes failles, me laissant plonger en toi, saisir ton âme au creux de ma main, laissant la mienne prendre cœur avec la tienne pour nous emmener dans un duo et une passion folle. Je n'ai jamais connu cela.

- Je n'ai jamais cru que c'était possible avec un homme

- Et avec une femme?

- Rires, deux femmes ensemble cela te fait bander? Ou mieux avec ma sœur?

- Non Blanche, ce qui me fait triquer c'est toi et moi.

- Oh je suis désolée, je t'ai blessé, tu as raison, je sais que tu n'es pas ainsi. Tu ne m'as pas posé une seule question sur Noémie.

- Ta sœur?

- Oui.

- Ta relation avec elle c'est au-delà de l'intime. Je pense que les mots ne conviennent pas à comprendre le lien que tu as avec elle. Et jamais je ne me permettrais la moindre intrusion, sauf si tu as envie de m'en parler et quand tu en auras l'envie. C'est la face cachée de la lune pour moi. Cela me passionne, mais je le respecte trop, je te respecte trop pour même y penser.

- Mais, mais comment tu ressens cela?

- J'avais un jumeau qui est mort né, cela ne m'a pas affecté mais je me suis intéressé à ces relations. Du coup il est devenu mon meilleur ami imaginaire, rires.

- Oh je suis tellement désolée.

- Ne le sois pas, mes parents en ont beaucoup souffert, mais moi non, je suis d'un naturel optimiste, ou plutôt positif, il faut prendre la vie comme elle vient. Et qui sait si ce n'est pas ce qui m'a rendu fou de toi si vite?

- Tu es fou de moi? Vraiment?

- Oui un dominant ne devrait pas dire ces choses-là, mais je m'en fous, oui je suis fou de toi. Et je maudis ce train qui m'éloigne à 302 km/h de toi.

- Il y a une chose que je ne devrais pas te dire moi non plus Louis.

- Une chose qui me ferait mal?

- Oh non! Jamais je ne te ferais de mal ni en action ni en pensée, ni par omission.

- Mmmhhh toi tu as été éduquée dans un lycée catholique.

- Rires, oui c'est vrai.

- Je t'aime Louis.

- Je t'aime Blanche

Ma résolution n'a pas duré bien longtemps, je ne suis même pas arrivé à Paris. J'ai le cœur qui fait tous ses efforts pour sortir de ma cage thoracique, sans succès. Je transpire de joie et de bonheur, j'ai mal au ventre et au sexe, j'ai besoin de dormir. Les trop grosses émotions agissent toujours ainsi sur moi. Blanche le comprend tout de suite, me demande à quelle heure elle pourra m'envoyer un message. Je lui dis qu'elle peut m'en envoyer autant qu'elle veut, mais que je ne répondrai pas avant quelques heures. Elle est folle de joie. Elle me demande si elle peut ouvrir une bouteille de champagne pour fêter cela avec Noémie? Je ris et avec une pointe de perversité je lui autorise le champony, le champagne ce sera avec moi.

Quand je coupe mon téléphone, pour ne plus recevoir les notifications de ses messages, c'est comme si je me débranchais. Je tombe instantanément et je dors le reste du voyage. Arrivé dans mon appartement, je prends une grande douche et je me regarde longuement dans la glace. J'éclate de rire, je suis heureux et je n'en reviens pas d'avoir ainsi rencontré Blanche. Mon sexe ne débande pas, elle me fait un effet de folie. Bien sur elle est à Lyon, bien sur elle a une sœur jumelle et qu'elles sont inséparables, mais Blanche c'est tellement fort, comme un halo qui m'aspire autour d'elle, je sens son âme à chaque instant. Je prends ma respiration et je reconnecte mon téléphone. 27 messages. Cette fille est dingue, presqu'aussi dingue que je ne peux l'être.

- Merci de m'avoir permise de t'écrire, je bouillonne à chaque instant, et j'ai tellement envie de toi. J'ai envie de t'appeler de tellement d'autres façons, mais je n'ose pas, je ne veux pas aller trop vite, te faire peur.

- Tu sais je suis normalement une jeune femme très sage et réservée. Tu dois me prendre pour une folle. Et tu aurais raison. Tu m'as complètement rendue dingue en une seule nuit. En quelques mots en fait. Dès que nous avons commencé à échanger j'ai fondu, j'ai su tout de suite. Etrange non? Je me demande ce que toi tu as ressenti, mais tu n'es pas obligé de me le dire. Je veux être totalement transparente vis-à-vis de toi, être totalement à toi. Mais bien entendu, la réciproque ne s'impose pas, à chacun sa place!

- Tu m'as faite jouir comme jamais je n'aurais pu imaginer jouir. Tes mots ont pris possession de mon corps et de mon esprit. Je me sens tellement honteuse de l'excitation qu'ont provoquées toutes ces images, mais elles sont toujours là avec moi, il suffit que j'y repense pour couler, et aller me soulager aux toilettes et me faire jouir en pensant à toi.

- Je ne devrais pas te le dire, mais je veux tout te dire. Je rêve de toutes ces images, de les vivre vraiment, pas seulement de jouir dessus. Est-ce que tu voudrais les vivre toi aussi? Est-ce que je ne te dégouterait pas après?

- C'est vrai que j'ai toujours eu des fantasmes et des désirs de soumission, mais je ne les comprends que depuis hier soir. Quand tu m'as collée contre ce mur pour m'embrasser puis me toucher, je me suis sentie incroyablement apaisée, prise et emmenée, à ma place. Je tremblais de tout mon corps, de désirs, mais aussi d'offrande. Je ne voulais plus que ce que toi tu voulais. Et je craignais tellement que tu me demandes. Tu sais, ceux que j'ai pu rencontrer m'ont toujours demandé ce que je voulais! Mais non ce n'est pas cela, moi je n'ai rien à vouloir!

- Et tout m'a semblé naturel, que tu me prenne sur cette voiture, que tu m'offres comme une salope, que tu me défonces mon cul comme jamais il ne l'a été. Je me suis sentie tellement femme, tellement offerte et soumise à mon Mâle dominant.

- Quand tu t'es vidé ce matin en moi, je n'en croyais pas mes sensations. C'est tellement dégradant d'être utilisée en urinoir et pire devoir me vider à quelques mètres de toi entendant tout. Je n'osais pas te regarder, j'avais trop peur de lire le dégoût sur toi, et rien de pire ne pourrait m'arriver que tu n'ai pas envie de moi.

- Je me sens tellement à toi. Si une amie me disait ressentir cela après une nuit, je lui conseillerais d'aller se soigner, mais là c'est une évidence. Et Noémie ne m'a traitée de folle. Elle est ravie pour moi et partage mon bonheur. Noémie sait toujours ce qu'il faut faire aussi je me laisse emporter.

- Nous buvons du Champony qu'elle est allée acheter. Elle a rajouté du Gin pour faire bonne mesure, je me suis dit que je n'avais pas le droit!

- J'aimerais que tu décides de tout pour moi, ne me nourrir que de ton souffle et de ton désir.

- C'est drôle les mots que nous nous sommes dits, ce ne sont pas des mots à la légère, alors que nous savons si peu l'un de l'autre. Enfin si peu de notre vie superficielle, car notre vie profonde on la connaît je crois.

- Alors que tu saches, j'ai un BTS de biologie et je travaille dans un laboratoire de recherche. C'est tranquille et agréable. Noémie elle travail dans une agence de communication digitale, c'est bien plus mouvementé! Nous habitons dans un grand appartement dans le 8ème arrondissement que nos parents nous prêtent, c'est une grande chance.

- Je rêve et je fantasme de tellement de choses, mais je voudrais que ce soit les tiens qui priment. Est-ce que j'ai le droit d'exprimer les miens? Je ne sais pas. Par exemple j'aimerais que je doive être à genoux quelles que soient les circonstances pour t'écrire un mot.

- Je me suis mise à genoux, est ce que cela te déplaît?

- Je pourrais passer ma journée à t'écrire ainsi, te dire, mais peut être je me dévoile trop, cela te gave et tu te dis que je vais complètement t'envahir. Je peux rester à ma place si tu veux. Je peux me taire, je fais tout ce que tu veux.

- Et toi tu me diras ce que tu fais, où tu vis.

- Peut être que tu n'es pas seul, que tu as des enfants. Je resterais dans l'ombre alors s'il le faut.

- Oh j'ai plein de stress d'un coup. J'ai le ventre qui se noue.

- Je vais aller dormir, cela me fait trop mal de penser que tu n'as peut-être pas envie ou la possibilité d'aller plus loin.

- Je suis bête tu m'as dit revenir vendredi, c'est que tu es libre et disponible.

- Ouf! Mais je vais aller dormir un peu quand même. Mon téléphone collé contre l'oreille quand tu me répondras.

Si j'avais rencontré Blanche dans d'autres circonstances, j'aurais pris mes jambes à mon cou et me serais enfuis. Elle a tout d'une obsessionnelle s'accrochant au premier qui passe. Mais je sais que ce n'est pas cela, du tout, mais l'enthousiasme béat d'une jeune femme découvrant son bonheur. Et c'est avec un sourire niais, et une solide érection, que je parcours ses messages. Moi aussi j'ai le ventre qui se tord. Je pourrais la torturer en étant plus distant, en exprimant moins le fond de ma pensée, mais j'en suis en fait incapable. Et je suis convaincu que cela ne diminue en rien sa passion naissante.

- Je suis seul depuis quelques semaines maintenant. J'avais une jolie relation avec une femme plus âgée et soumise, mais qui n'allait nulle part. Et je ne t'aurais jamais abordée sinon, je ne suis l'homme que d'une seule femme. Et cette femme c'est toi ma petite chose.

La réponse ne tarda guère, elle n'a pas du dormir.

- Oh merci, merci mon Seigneur, c'est si bon de te lire ainsi.

- Mon Seigneur? mmmhhh c'est joli, un Seigneur cela a droit de vie et de mort.

- Oh oui tu as tous les droits et moi tous les devoirs. Je t'appartiens.

J'aurais pu compter les messages que nous avons échangés en trois jours, mais je n'avais pas le temps. J'étais connecté en permanence avec Blanche et nos échanges allaient crescendo dans l'expression de nos désirs, de son désir d'appartenance, de mon désir de possession, dans la transparence qu'elle mettait sur ses désirs masochistes, ayant toujours peur de me faire fuir. Si elle savait ce que j'ai pu faire et vivre, peut être qu'elle fuirait elle aussi? Non en fait non, je crois que cela la soulagerait. Je décidais de la provoquer.

- Un soir en club, je suis sorti avec une fille qui se disait très masochiste. Après l'avoir longuement battue à la canne, et éprouvé son masochisme, je l'ai ramenée dans la pièce principale. Je l'ai suspendue par les seins en plein milieu, malgré ses râles et la souffrance terrible dans ses mamelles je l'ai laissée ainsi tandis qu'avec du fil et une aiguille je lui ai cousu le sexe. J'aurais pu prendre du fil chirurgical et une fine aiguille, mais j'ai préféré une aiguille du commerce, très épaisse. Le résultat était incroyable et je n'ai libéré la fille de sa couture qu'une semaine après.

- Oh Mon Dieu, j'ai le ventre qui explose mon Seigneur

- Tu as envie de t'enfuir?

- Oh oui! Et je le regretterais toute ma vie. Est-ce que je peux me faire jouir? S'il te plaît.

- Oui, vas y.

- Est-ce que vous voudrez bien me faire vivre cela aussi?

- Oui ma chienne, tu vivras cela et plein d'autres choses plus terribles et terrifiantes.

Après avoir eu son orgasme je demandais à Blanche si elle avait toujours envie. Sa réponse ne changea pas, elle était terrifiée et attirée. Nous prendrons notre temps quoiqu'il en soit. Mais ce court échange eu le don qu'elle ne craigne plus de s'ouvrir à moi.

A la descente du TGV, elle se précipite vers moi et se jette à mes pieds devant tout le monde! Avant de sauter dans mes bras dans une étreinte délicieuse. Notre baiser dure des heures, tandis que je sens, sans l'ombre d'un doute, qu'elle porte un corset sous sa robe à la taille en effet très marquée. C'est un cadeau pour moi me dit-elle, j'avais exprimé ce goût et elle n'a eu de cesse d'en trouver un qui me plaise. Noémie l'a aidée à le serrer au maximum et je sens bien la pression de son corps enfermé. Comme si je la tenais en permanence me dit-elle. Ses seins sont soutenus légèrement par le corset, la sensation est simplement magnifique.

Je l'entraîne dans des toilettes handicapés, à la bonne odeur de détergent, et la courbe sur les toilettes. Sa robe relevée, je découvre un cul nu de toutes culottes. Elle veut m'être offerte en toutes circonstances, et je lui confirme que sauf autorisation tout sous-vêtement est interdit. Mais j'adore qu'elle l'ai fait d'elle-même. Sa taille est tellement marquée, l'impression de ses hanches et de ses fesses est folle. Je plonge dans son cul qu'elle a légèrement lubrifié, retrouvant avec plaisir cette sensation de la posséder, encore et encore. L'endroit est glauque, la situation est divine, je suis tellement heureux, je jouis avec joie au fond d'elle. En me retirant, je constate que mon sexe est tout sale. Après un moment d'hésitation, je la traite de sale pute, de trainée dégoutante, et lui intime l'ordre de me nettoyer. Elle gémis, mais se met accroupie, et lèche délicatement puis plus franchement mon sexe, le prenant complètement en bouche avant qu'il ne ressorte tout propre. Je veux être certain, aussi elle le lèche encore longuement tandis que je lui ordonne de se caresser, puis de jouir. Ce qu'elle fait dans un cri strident, en quelques secondes.

Dans le taxi qui nous amène chez elle, après avoir maché un chewing gum pour enlever son gout saumâtre, elle m'avoue avoir su que son cul était plein, et voulait me montrer à quel point elle était prête à vivre toutes mes envies. Cette fille va me tuer de plaisir! Nous arrivons dans un appartement cossu et plutôt luxueux, décoré avec beaucoup de goût. Les deux chambres sont séparées par le salon, ce qui me va bien, même si Blanche m'apprend que Noémie ne sera pas là du week end. Nous avons deux jours de plaisirs et de découvertes devant nous. Je ne veux pas que baiser et l'utiliser, mais aussi tout connaître d'elle et pouvoir commencer à vraiment prendre possession de sa vie. Dans la limite de Noémie, que je ne souhaite pas franchir.

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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Et bien, ils ont l'air d'être autant accro l'un que l'autre...

Visiblement il sait faire preuve de sadisme pour pouvoir contenter ses envies masochistes, j'ai hâte de découvrir ce qu'il lui a prévu pour ce week-end

OlivX

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Ça monte en intensité

Rudy

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