Les Jumelles Ch. 04 et fin

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Une double déclaration.
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Partie 4 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 09/06/2022
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Les adieux du retour sur Paris sont en général plutôt tristes. Blanche est au bout de sa vie et retient ses pleurs. Mais ce dimanche elle est toute guillerette et saute partout. Elle me susurre à l'oreille des mercis à ne plus en finir. Merci d'avoir accepté ainsi sa sœur dans mon lit! Elle est tellement radieue qu'elle me donne le sourire aux lèvres.

- Je sais mon Seigneur que tu n'es l'homme que d'une femme et je t'aime tant de l'avoir acceptée, et aussi d'avoir été aussi prévenant avec elle.

- Cela ne te rend pas jalouse?

- Oh non au contraire, est-ce que ta main gauche est jalouse de ta main droite?

- Vu comme cela, en effet.

- Et tu l'aimes Noémie?

- Plus je la connais et oui plus je l'aime

- Mais, euh, plus que moi?

- Mon amour, ma chienne, c'est ton sang qui coule dans mes veines, c'est ton cœur qui fait battre le mien, ce n'est pas de l'amour, mais de la passion, l'essence de la vie. Je t'aime tellement tu n'imagines pas.

- Oh mon Dieu, tu es mon Dieu, je ne veux que toi, je voudrais tellement que tu m'éprouves plus encore comme hier sur la croix, que tu sentes à quel point j'ai envie de m'offrir à toi.

- Mmmhhh je ne l'oublierai pas! Et je l'ai bien senti encore, j'ai plein d'images dans la tête, de tes cris, de tes pleurs. J'adore quand tu pleurs tout en t'offrant, tu es irrésistible.

- Tu sais, je crois que ton ex était un peu jalouse hier soir

- Je crois que tu surinterprêtes, je sais qu'elle a encore des sentiments, mais elle est bien à sa place et n'aurait jamais tenu le dixième de ce que tu as subi!

-

- Mon Seigneur? Mardi Noémie doit venir à Paris pour trois jours et rentrer jeudi. Est-ce que tu crois que tu pourrais l'héberger?

- Mais bien sur, pourquoi ne pas me l'avoir dit avant?

- Je n'étais pas certaine que tu serais d'accord!

- Et tu n'es toujours pas jalouse?

- Oh non c'est merveilleux d'imaginer les deux êtres de ma vie ensemble à passer du bon temps.

- Elle vient travailler, non?

- Oui, mais le travail ce n'est pas toute la journée, peut être que tu pourrais lui faire découvrir un peu ton Paris? Moi en tous cas j'aimerais beaucoup.

- Que je te fasse découvrir, ou que je lui fasse découvrir?

- Les 2 mon Amour.

- Dis lui que c'est ok et j'envoie les coordonnées. Il n'y a qu'une chambre mais je dormirai sur le canapé.

- Mais, pourquoi?

- Euh, je pensais que ce matin ce n'était que pour vous amuser?

- Oui et non. Tu lui plais beaucoup beaucoup.

- Blanche, tu es complètement folle!

- Plus que toi?

- Oui finalement je crois.

- Et cela te dérange? Tu veux que je sois plus raisonnable?

- Non, et je pense que tu en serais incapable!

Blanche rit, m'embrasse, se laisse palper, je lui ai remis son corset, j'aime sentir ses seins saillir et ses chairs comprimées. J'ai envie de la battre. Ses fesses sont encore boursouflées, elle en était ravie. Je les malaxe, arrachant quelques soupirs et sursauts. Il est temps de décoller.

Je suis dans le train du retour, toujours une sensation de vide malgré les messages qui continuent entre nous deux. Blanche me remplit tellement. Je n'arrive pas à trouver les mots tellement elle me rend ivre de bonheur. C'est un caractère si particulier, compliqué. En fait non, elle est ultra simple, mais ce n'est pas la normale. Elle est entière, pleine, envahissante mais très respectueuse, sensible aussi, c'est une pouliche à mener avec un touche de sagefemme. Mes sentiments eux sont compliqués, à la fois je veux la dominer, l'humilier, la faire ramper, pleurer, implorer, et en même temps je ne lui veux que du bien et quiconque lui ferait du mal le paierait cher. Et maintenant elle me demande d'organiser un séjour en amoureux pour sa sœur! Qui est loin de me laisser indifférent.

Si je creuse, cet attrait n'est pas déconnecté de Blanche. Pas seulement par le physique, mais aussi parce que les deux femmes sont indéniablement fusionnelles à un point que je ne pensais pas possible. Ces deux derniers week-ends j'ai plus vu Noémie. Et c'est vrai que son côté un peu dans les apparences et superficiel, cache une très belle âme et que j'aime la découvrir, subtile, drôle, attentionnée à l'infini avec Blanche. Elles se parlent à peine, c'est curieux, elles ne se disent pas bonjour. Toujours cette histoire de main droite et main gauche me rétorque Blanche. Oui mais cela fait curieux. Quand l'une commence une phrase, l'autre lui répond sans attendre la fin, connaissant le sujet, l'objet et la raison de cette prise de parole. Même leurs parents sont exclus de leurs échanges et de leur univers.

Je suis décontenancé à l'idée de la venue de Noémie. Je ne suis l'homme que d'une femme, je ne sais qu'aimer une femme, et gérer deux relations est complètement au-dessus de mes moyens. Et surtout je n'en vois pas la peine. Si je ne suis pas pleinement épanoui c'est que quelque chose cloche. Enfin je crois. Blanche me fait douter, Noémie aussi. En tous cas je n'ai pas à craindre d'impairs, et ce matin j'ai touché du doigt comme cela pouvait être agréable de toucher un autre corps, et sentir une autre vibration. Parce que le corps de Noémie est bien plus ferme et musclé, qu'elle est active, bien moins docile, que son corps vibre bien moins, et je ne me vois pas lui murmurer les mêmes histoires à l'oreille.

J'ai l'impression de ne faire que bander depuis un mois, que les surprises s'enchaînent, et le sentiment d'être devant une piste de poudreuse intacte et d'avoir le privilège de faire une descente magistrale, en essayant d'éviter le soleil à chaque instant!

Blanche me donne plein d'indications sur sa sœur, ses goûts culinaires, ce qu'elle aime faire, ce qu'elle ne connaît pas à Paris. Elle est surexcitée à cette perspective et cela commence à être communicatif. Je mets en place un petit programme avec les horaires que m'a communiqués Noémie, qui se débrouille aussi pas mal à pianoter. Je passe mon trajet à parler avec les deux sœurs, en faisant attention de ne pas mélanger les messages. Noémie me dit avoir un peu de courbature au cul et qu'elle adore cela, que le souvenir la fait mouiller et qu'elle se caresse en pensant à moi. Elle aussi se lâche, c'est amusant. Je ne suis pas en reste et j'ai peur que ma voisine de train de voit la bosse de mon pantalon!

Je suis allé chercher Noémie à la gare de Lyon et je l'attends au bout du quai. Sans un mot elle vient se lover contre moi et nous nous embrassons longuement. Je mets ses jolis cheveux bruns derrière son oreille pour mieux la regarder, mieux la percer. Elle semble presque un peu timide. Pas de pulsion dominante chez moi, je lui prends la main, je l'emmène à un UBER pour son rendez vous du matin. Nous nous embrassons une dernière fois dans le taxi et je me retrouve à nouveau seul et vidé. J'écris vite à Blanche pour tout lui dire, elle veut tout savoir de mes émotions. Je ne lui cache pas mon cœur qui battait à attendre sa sœur, le bonheur de la sentir collée contre moi, notre échange de regard, le vide de son départ. Elle conclut que je l'aime aussi et que rien ne peut lui faire plus plaisir. Oui, oui je sais main gauche et main droite...

Pendant les deux soirées que nous passons ensemble, nous visitons un Paris de fête, de couches-tard, voire de lève tôt. Nous ne dormons pas ou presque, occupés aussi à nous découvrir par les mots et par les corps. Nous faisons l'amour dans toutes les positions, tous les lieux, même les plus insolites comme la piste de danse du Rex Club, ou contre une barrière du sacré cœur. Je la mitraille pour partager tous ces moments avec Blanche qui est bien plus silencieuse que d'habitude, non par bouderie mais pour ne pas nous déranger. Quelle délicatesse. Le jeudi midi, je l'emmène faire quelques magasins, j'ai envie de les gâter toutes les deux. C'est amusant de tout acheter en double, et si facile alors de négocier!

Lorsque le train part, Noémie est autant radieuse qu'épuisée. Dans le creux de l'oreille elle me murmure des mots d'amour qui me hantent. Je les partage avec Blanche, je ne veux pas qu'elle doute de quoi que ce soit. Elle me dit qu'elle le savait déjà et qu'elle est comblée. Les deux piliers de sa vie s'aiment, que peut-elle espérer de plus? Elle me manque, là très fort. Je le lui dis. Je lui dis que je ne veux plus être séparé d'elle. Et de Noémie me demande-t-elle? Non plus c'est vrai, de toute façon elles vont ensemble.

Le lendemain matin je parle à mon directeur, qui refuse ma démission et me propose une mutation sous deux mois au bureau de Lyon, au même salaire, ce qui est avantageux. Tout se met en place, je garde le bonne nouvelle pour ce soir, il me tarde d'y être

Surprise, c'est Noémie qui m'attend à la descente du train. Nous nous sommes quittés hier, mais c'est comme si c'était il y a un an. Je connais bien la gare et ses toilettes pour handicapés, je me convainc que ce sera une belle expérience pour Noémie. Je l'entraine, nous nous enfermons. Elle a mis une robe blanche que je leur ai offerte, courte et assez osée. J'ai à peine à la relever une fois courbée sur la barre d'appui. Elle tourne la tête me souriant, quand je constate qu'elle n'a pas mis de culotte. La coquine! Mon sexe est énorme, j'ai l'impression qu'il gonfle de jour en jour. Est-ce possible? Je l'embroche violemment, la pilonnant au rythme de ses cris et gémissements. Elle se masturbe en même temps et quand elle se fait jouir ainsi, je ne peux retenir ma propre éjaculation dans un cri et une violence qui me fait trembler de tout le corps. Nous partons d'un fou rire de collégien, et elle se nettoie avant de repartir. J'ai hâte de retrouver ma chienne à la maison, qui nous attends me dis Noémie.

Pour nous attendre, elle nous attend. Et je comprends pourquoi je n'ai pas eu de message depuis mon départ de Paris.

L'image est saisissante et restera à jamais gravée dans mon esprit. Blanche est ligotée au centre du salon, à genoux assise sur ses talons, ses pieds de part et d'autre de ses fesses qui reposent quasiment sur le parquet, enfonçant un gode impressionnant dans son cul distendu. Ses genoux sont ligotés très serrés à ses mollets, et bien écartés, elle est très souple il est vrai. Son sexe est luisant coupé par une corde en chanvre qui lui serre démentiellement la taille et vient maintenir le gode anal. Une autre corde passe autour de son cou et enserre ses magnifiques seins, les faisant pointer à l'horizontal et leur donnant une taille énorme. Elle doit être ligotée ainsi depuis longtemps car ils sont déjà noirs. Ses bras sont attachés très serrés dans son dos ce qui fait encore plus ressortir sa poitrine. A son cou le collier que je lui ai offert, et dans sa bouche un bâillon boule qui la fait saliver fortement. Ma pauvre Blanche est défigurée par un crochet tirant son nez en arrière, accroché à se queue de cheval.

Elle me regarde des larmes dans les yeux au travers de ses lunettes, tandis que la vision dantesque me provoque une envie de violence étonnante. L'évidence me saisit, je suis vraiment idiot. Blanche est la chose de Noémie, et c'est ainsi que les jumelles me le dévoile! J'interprète le regard implorant comme son désir que je comprenne la situation et que sa dépendance à sa sœur n'enlève rien à son amour pour moi. Cela me semble impossible tellement je l'aime et tellement elle m'aime!

- Tu as vu notre jolie truie, me dit Noémie

- C'est toi qui l'a préparée ainsi?

- Oui, je voulais te faire une surprise, tu adores les surprises

- J'avoue qu'elle est magnifique et tellement laide ainsi, une vraie truie tu as raison.

- Tu as envie d'elle?

- Oh non, de toute façon j'ai l'impression qu'elle est déjà bien remplie. Et tu sais c'est de toi dont j'ai envie.

Je rentre dans le jeu de Noémie, et je sens Blanche frissonner de honte et d'humiliation. Une fois encore je me laisse porter. Dans le cas présent Noémie se met à genoux et après avoir sorti mon sexe, me suce longuement, sous le regard de sa sœur qui gémit doucement. Nous sommes cruels, d'autant que Noémie décide de mettre du son, en posant sur chaque téton une pince crocodile lestée, qui fait gémir bien plus fort Blanche. Je lui en suggère une sur le clitoris qui me semble très excité aussi, et c'est un concert de pleurs, gémissements et supplications de ma pauvre chienne.

Noémie me déshabille et sans quitter sa robe, vient s'empaler le sexe puis le cul sur moi, défiant sa sœur, la traitant de tous les noms, lui décrivant tous les plaisirs que nous avons pris pendant trois jours à Paris. Je me dis qu'il va falloir que je console et rassure beaucoup Blanche après cette expérience réellement traumatisante, mais je me laisse porter par la perversité de sa sœur. Après avoir fait l'amour longuement, je me suis vidé dans son cul, nous buvons une coupe de champagne tendrement enlacés devant Blanche épuisée et toujours immobilisée. Je n'en peux plus, j'ai envie d'elle et de la prendre doucement, amoureusement. Noémie m'embrasse et me regarde libérer Blanche de toutes ses tortures, masser sa peau marquée par les cordes très serrées, retenir ses cris en enlevant les pinces en l'embrassant fougueusement. Ma Blanche est là, et retrouve le sourire, elle se love contre moi puis rampe jusqu'à sa sœur à côté de moi et elles échangent une baiser profond et magnifique. C'est ineffable, je tremble tellement c'est beau, tendre, profond. Je crois qu'elles se sont décidées de se dévoiler à moi ce soir. Je ne dis rien, Blanche vient se lover à nouveau entre mes bras, Noémie m'embrasse à mon tour, qu'ai-je fait pour mériter cela?

- Je me suis dit que tu étais la personne, la seule personne qui pouvait nous comprendre, entrer dans notre intimité, notre relation si particulière et unique. Je ne pensais pas que cela était possible, mais Blanche cherchait frénétiquement quelqu'un car elle en ressent profondément le besoin. Plus que moi à l'origine, mais depuis que tu es rentré dans notre vie, je la rejoins pleinement dans son désir.

- Dans les couples de jumeaux, il y en a toujours un qui domine l'autre, c'est classique et banal. Nous pareil, mais nos pulsions ont été très fortes aussi loin que nous nous souvenons. Blanche a toujours eu envie de se soumettre, d'obéir, mais aussi à prendre du plaisir à être humiliée ou torturée par moi. Et moi cela m'a toujours semblé normal que Blanche soit mon esclave et qu'elle assouvisse tous mes désirs. Nous avons grandi ainsi, et nous vivons ainsi. Blanche a senti le besoin d'aller plus loin, d'altérité. Il est vrai que moi je sortais avec de nombreux hommes, et elle c'était plus compliqué et toujours décevant. Jusqu'à toi.

- Blanche ne s'intéresse à rien, ni à ses études, ni à son travail, ni à nos amis qui en fait sont mes amis, ni à la famille. Sa seule passion et son seul centre d'intérêt a toujours été moi et sa soumission qu'elle a poussée le plus loin possible. Moi je suis différente, j'adore la domination mais ce n'est pas ma seule passion, j'aime la communication, les échanges, les gens. Nous étions un peu dans une impasse quand elle t'a rencontré. Avant même ton premier baiser elle m'a dit que tu étais celui qu'elle avait vu si souvent dans ses songes. Et elle avait raison.

Avec ces deux femmes contre moi, je suis aux anges, le sexe toujours aussi dur, caressé par l'une ou l'autre, j'ai la tête qui tourne. Le champagne était-il drogué? Sans doute le trop plein d'émotions et de sensations, jai l'impression d'avoir le cœur qui va exploser. Comme si cela ne suffisait pas, d'un mouvement synchronisé, les deux jeunes femmes glissent à genoux à mes pieds.

- Mon Seigneur, veux tu me prends pour esclave à tes pieds et aux pieds de Noémie pour la vie?

Les yeux de Blanche sont remplis de larmes, je la sens totalement tendue vers moi. Je n'ai pas le temps de répondre que Noémie prend la parole.

- Louis veux-tu me prendre pour épouse et Maîtresse de ton esclave Blanche, pour une vie hors des sentiers battus, faire de plaisirs et d'émotions les plus folles?

Le regard de Noémie n'est pas moins intense. Je ne peux ouvrir la bouche. J'embrasse d'abord profondément Noémie à qui je promets une vie d'amour, de volupté et de complicité. Puis j'embrasse Blanche à qui je promets une vie de soumission absolue, contraintes et souffrances, plaisirs et humiliations pour notre plaisir à tous les trois. Nous nous précipitons dans la chambre de Noémie, en fait la vraie chambre de Blanche aussi ce dont je me doutais bien, et nous avons passé la nuit à entrelacer nos corps, faire gémir Blanche et faire jouir les deux femmes.

Nous nous sommes mariés avec Noémie très classiquement 6 mois plus tard, pour faire plaisir à nos parents respectifs. Je n'ai pas voulu que Blanche soit notre témoin, elle est tellement plus que cela, elle fait partie de nous. Beaucoup étaient surpris de la voir si heureuse, épanouie et gaie de ce mariage. Mais le fait que nous vivons à 3 fait tellement jaser. La réalité étant bien au-delà de tout ce qu'ils peuvent imaginer, cela nous fait sourire. Et une année plus tard Blanche a mis au monde notre fille, une magnifique Juliette. Suivie avec trois semaines d'écart par Julien notre fils à Noémie. Blanche a cessé de travailler conformément à ses espoirs les plus chers et nous faisons une famille soudée comme aucune. Tout le monde m'envie et ils ont bien raison!

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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Très beau récit dans son intégralité

Rudy

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Un beau Happy End

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