Les Jumeaux D'amour Ch. 12

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Fabienne abandonna le combat. Elle n'en pouvait plus. Son sexe en feu réclamait une présence, une bite, un gode, un barreau de chaise. N'importe quoi pour combler ce vide insupportable. Elle remonta l'escalier et se précipita dans la chambre de Françoise, se disant qu'une femme aussi sensuelle devait certainement avoir le matériel de premier secours pour femelle en quête de satisfaction . Elle ne fut pas déçue par le contenu de la table de chevet et jeta son dévolu sur un énorme vibro tout noir qui semblait être une copie conforme de l'énorme verge du géant black qu'elle avait entr'aperçue plus tôt. Elle faillit hurler de soulagement en envoyant le phallus artificiel tout au fond de sa grotte détrempée et le mit en route en remerciant la prévoyante Françoise pour les piles!

Elle dut se mordre les lèvres pour ne pas hurler en jouissant comme une folle moins de deux minutes plus tard. Elle se traîna plus qu'elle ne marcha dans la nursery et s'affala dans le fauteuil. C'est en s'asseyant qu'elle découvrit qu'elle avait le cul nu mais ne parvint pas à se rappeler où elle avait bien pu perdre son slip.

A ce moment-là, Antoine se mit à pleurer. Elle rassembla toute son énergie et se mit à préparer les biberons.

Le lendemain matin, Niki se réveilla pleine d'énergie. Elle avait été somptueusement baisée par son mari toute la soirée et en ressentait tous les effets bénéfiques. Elle avait bien réussi à enfiler les deux bites géantes des garçons mais leurs diamètres trop imposants si près de ses relevailles l'avaient empêchée d'en profiter pleinement. Elle avait fini par gober et faire jouir dans sa bouche la magnifique verge noire tandis que Walter surexcité par cette vision lui faisait l'amour avec une vigueur renouvelée. Il en payait sans doute le prix car il dormait toujours comme une souche lorsqu'elle se décida à quitter le lit.

Dans le couloir elle trouva un slip humide à l'entrejambe qui était trop grand pour Lucie et trop petit pour Françoise. Elle se promit de le rendre à cette coquine de Léa et continua son chemin vers la cuisine où elle prépara un petit-déjeuner pour huit affamés en se basant sur les appels de détresse de son propre estomac.

L'odeur du café dut avoir des effets magiques car cinq minutes plus tard, Léa et Toussaint débarquaient, suivis de Françoise et Lucie qui précédèrent de peu Walter. Seuls manquaient encore à l'appel Loïc et la jeune nurse que Françoise se proposa de ravitailler « dès que j'aurai bu mon café et mangé deux de ces délicieuses gaufrettes de chez Lacquemant ».

Niki tenta de rendre le slip à Léa mais cette dernière la regarda très étonnée et soulevant sa jupe lui montra qu'elle portait le sien. Perplexe, Niki plia la lingerie et la mit sur l'appui de fenêtre.

Alors que Françoise terminait son quatrième Lacquemant -- « ben quoi, je dois manger pour deux maintenant » - , Loïc fit son apparition très détendu en demandant s'il pouvait monter un plateau à la charmante infirmière. Pendant que Niki préparait le ravitaillement, Léa demanda à voix basse à son frère

« Tu l'as déjà baisée ou tu vas le faire? »

« Je mène 1-0 mais elle veut sa revanche. Rarement vu une fille autant en manque ... »

« Demande-lui s'il ne lui manque pas un slip » dit-elle en subtilisant la fine lingerie et en la lui glissant sous sa ceinture

Une demi-heure plus tard, on sonna à la porte. Walter regarda par la fenêtre du hall et vit la Citroën noire. Un peu inquiet, il ouvrit la porte pour découvrit comme il se doit le Colonel Perrin en compagnie d'une jeune femme africaine qui ressemblait beaucoup à Toussaint en version féminine, TRES féminine.

« Pouvons-nous nous joindre à vos invités Lévèque? J'ai à leur parler. »

Loïc redescendait justement l'escalier derrière Fabienne, bougonnant probablement parce qu'il n'était pas arrivé à conclure alors que la jeune femme arborait des cernes dignes d'un cratère lunaire et un sourire qu'elle ne parvenait pas à dissimuler même face au sévère Colonel.

Gabi sauta au cou de Loïc, toute heureuse de le sentir déjà en pleine érection alors qu'il venait à peine de la voir. A la grande surprise de Walter, Fabienne salua le Colonel militairement.

« Mes respects mon Colonel!»

« Repos Caporal!» « Lévèque, vos invités sont dans la cuisine je crois? »

« Comme d'habitude, vos renseignements sont impeccables Colonels, si vous voulez bien me suivre »

Walter fit les présentations et le Colonel prit tout de suite la parole.

« Mesdemoiselles Lucie et Françoise, auriez-vous la bonté de vouloir vous occuper des enfants pendant que je m'adresse à vos amis? Je vous remercie! »

Le 'remerciement' équivalait à un congédiement et Lucie se leva entraînant une Françoise que la curiosité rendait beaucoup plus réticente.

« Mesdames et Messieurs, j'ai pris la liberté de faire ramener Mademoiselle Sawané en urgence afin de pouvoir m'adresser à votre groupe en entier. J'irai droit au but. Nous avons identifié une nouvelle menace contre notre continent voire toute la race humaine si nos supputations se révèlent exactes. Cette menace est liée à la sexualité humaine et nous essayons de rassembler le groupe le plus doué et le plus résistant possible dans ce domaine. Nous pouvons heureusement compter sur le Major Lévèque et ses remarquables travaux pour nous aider à contrer cette menace mais , comme dans toutes les batailles, la victoire ne pourra être remportée que par l'Infanterie et nous comptons sur vous quatre pour faire partie de cette infanterie. »

« Mais Adju .. je veux dire Colonel » intervint Toussaint, vous ne pouvez pas leur demander de lâcher leurs études, leur carrière sportive comme cela ; ces jeunes ont un avenir à préparer! Moi, il n'y a pas de problème quoique .. « Il ne finit pas sa phrase, regardant Léa.

« Nous avons surtout besoin de vous quatre pour la première phase de notre contre-offensive. Si tout va bien, nous en avons pour quelques jours ; quelques semaines tout au plus . Nous devrions pouvoir vous libérer fin août »

« Une guerre fraîche et joyeuse, comme en 1914 » ironisa Loïc

« La comparaison n'est pas mauvaise jeune homme mais le jeu est à l'échelle supérieure cette fois. Si nous échouons, ce ne sont pas quelques empires qui sont menacés de disparition mais toute la race humaine! »

FIN DU TOME II! La suite à partir du Chapitre 6 de 'De la Chimie des Corps ' -- La Nouvelle Vie de Walter le Chimiste

Introduction

Le Colonel poursuivit

« Madame Lévèque, je vous laisse le Caporal Cartier, Fabienne pour vous, qui assurera votre sécurité tout en vous aidant pour les triplés. Elle est vraiment infirmière diplômée et c'est une garde du corps très dévouée.. Entre elle et vos deux amies, vous ne devriez pas trop souffrir de l'absence de votre mari. Contrairement à nos précédents accords, la raison d'état me dicte de vous l'enlever durant toute la durée de l'opération. »

« J'espère que Walter et les jeunes ne courront pas de danger, Colonel »

« Je ne peux hélas rien vous garantir, Madame, mais nous ferons l'impossible pour éviter les risques inutiles. C'est tout ce que je puis vous promettre. Ceci me rappelle que j'ai un dernier test à effectuer. »

Il se tourna vers les quatre jeunes gens qui se tenaient la main par couple.

« Nous savons que vous les Delmotte et Toussaint peuvent affronter des relations, disons, non- désirables . Vos prestations à la Villa d'Arcques en témoignent mais nous ne savons pas encore si Mademoiselle Gabrielle en est capable... Veuillez-vous approcher Gabrielle. »

Il la fit s'appuyer sur la table du déjeuner et baissa le pantalon de training et le slip de la sportive puis palpa son entrejambe avec une considération purement clinique.

« Ah! J vois que la présence de Loïc a eu son effet ; vous êtes parfaitement lubrifiée ma chère! »

Il ouvrit sa braguette et en sortit sa verge en érection. Il ne faisait pas le même calibre que les deux 'beaux-beaux-frères' mais disposait néanmoins d'une arme redoutable.

« Colonel .. » gronda Loïc tandis que Toussaint serrait les poings

« Fixe! » Aboya le Colonel. Les jeunes gens se pétrifièrent sous la Voix du Commandement

Le Colonel écarta les jambes de Gabi et s'introduisit d'un coup en elle. La jeune fille gémit et ahana sous la percée dans son vagin à peine préparé à cette intromission soudaine. Le Colonel la sabra avec délectation sous les yeux de l'assistance d'abord médusée puis fascinée par ce quasi viol.

« Votre intimité est de plus en plus moite, Gabrielle » commenta le pourfendeur « Je pense que vous allez jouir avant moi!»

« Aah, Colonel ... après .. ooh .. deux semaines ... sans Lolo ... oooh ... et mon frère ... et Léaaah .. . je pourrais .. jouir ... en mettant ... aaaah ... mon slip .. ;! »

« Voilà qui est ... han ... de bon augure ... han ... très .. chère .. Han! »

« OOOOH .. CO ... LO .. NEL! OUIII! JE JOUIIIS .. AAAAHH! »

Elle se coucha sur la table, le corps agité de spasmes

« Ooh, ça fait du bien »

« Voyons un peu jusqu'où vous pouvez aller » continua le Colonel qui se retirait lentement de la vulve contractée. « Caporal, veuillez prendre position »

Fabienne rampa sous la table et se mit immédiatement à lécher la chatte de Gabi pendant que le Colonel crachait sur ses doigts et les fourrait entre les fesses noires dont la cambrure l'excitait au plus haut point quoi qu'il n'en laisse rien paraître. Il présenta ensuite sa verge lubrifiée par les sécrétions intimes de la jeune franco-malienne contre son sphincter et donna un grand coup de reins qui perfora la rondelle pourtant contractée

« UUUGHHH! » geignit Gabi qui eut l'impression qu'un fer rouge s'était enfoncé dans son rectum.

La langue de Fabienne se déchaîna sur le clitoris rouge qui saillait au milieu des chairs brunes et les gémissements de douleur de Gabi passèrent dans le registre du plaisir. Le Colonel s'arc bouta à ses hanches et la sodomisa sans merci, concentré sur les délicieuses sensations transmises par son membre engoncé entre les fesses noires. Il ahanait , à moitié couché sur la belle afro-européenne. Pour augmenter l'amplitude de ses assauts, il passa ses mains sous le polo de la jeune femme et s'empara de ses seins qu'il découvrit nus, sans soutien-gorge. La sensation des tétons érigés l'excita encore davantage et son rythme devint frénétique, labourant l'anus de sa partenaire de sa verge au bord de l'explosion.

Fabienne avait envoyé ses doigts dans le vagin de Gabi, massant son point 'G' tout en caressant le membre du Colonel qu'elle sentait aller et venir dans l'anus voisin. Gabi n'en pouvait plus. Son premier orgasme l'avait à peine soulagée après sa longue abstinence et elle donna à nouveau de la voix

« AAAHH! C'est bon! ooh Lolo! Ces doigts .. ooh ...ils sont dia ... boliques ... ooh! Touss' ... je vais ... je vais ... OOOHHH! LEAAAHH! REGARDE! ... JE JOUUIS ..! EN...CORE! AAAAHHHH! »

Les contractions de Gabi furent la goutte qui fit déborder les bourses du Colonel. Serrant les dents pour ne rien laisser paraître, il se déversa en silence dans les tréfonds de sa partenaire. Seule sa respiration saccadée témoignait de l'intensité de sa jouissance. Après une minute ou deux, il s'extirpa du rectum défoncé et dit

« Le test est concluant. Veuillez me suivre jeunes gens, votre transport doit être arrivé! »

La suite dans les Chapitres 6 et suivants de 'De la Chimie des Corps ' -- 'La Nouvelle Vie de Walter le Chimiste'

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