Les Expatriés - La Bamboula

BÊTA PUBLIQUE

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Rainett
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Sa femme était derrière cette porte, avec un autre homme. Un noir. Avec une énorme bite ! Sa main se tendit vers la poignée de la porte, mais sa main retomba à son côté. Il avait promis.

Il attrapa de nouveau la poignée de la porte. Son esprit était plein d'images confuses. Son estomac se nouait. Sa main retomba de nouveau à son côté. Elle lui en voudra s'il l'interrompait. Il avait promis. Laisse-la tranquille, elle en a besoin... Il retourna, le cœur lourd, rejoindre les autres au salon. Il avait besoin d'un verre.

Il s'est installé à côté de Rick pour regarder la partie d'échecs. Le Vicomte lui lança un regard compatissant. Le jeune Roger était bouleversé, retenant ses larmes en essayant de se concentrer sur la partie.

Rick a pris la parole : « C'est chaque fois la même chose. Si vous travaillez pour un patron africain, mieux vaut ne pas être marié ou avoir des filles »

Thomas grimaça une approbation. Il regarda autour de lui, cherchant la présence de Kim. Il n'y avait aucun signe d'elle.

« Avez-vous vu Kim? »

« Elle a suivi Roberta »

« Oh ! Eh bien, au moins, elle ne risque pas se faire baiser ! »

Le Vicomte renifla bruyamment. Roger avait l'air encore plus catastrophé. Rick regarda Thomas, il y avait de l'amusement dans ses yeux.

« Roberta est une gouine » Thomas chancela, comme s'il avait été frappé.

Rick prit la parole : « C'est toujours pareil. Une fois qu'elles ont goûté à la bite noire, elles ne peuvent plus s'en passer. Juste un truc que vous devez comprendre, si vous voulez vivre ici, en Afrique »

Thomas ne pouvait pas se permettre de perdre son emploi : « Je suis resté deux ans au chômage ! »

« C'était 18 mois pour moi. Mike, c'était trois ans »

« Je n'avais jamais travaillé un seul jour de ma vie. Juste reconnaissant que Pierre accepte qu'un vicomte travaille pour lui »

« C'est ce que Pierre recherche chez ses assistants. La dépendance. Le besoin désespéré d'un travail, et marié avec une jolie femme. Le fait que nous soyons au chômage depuis longtemps lui permet d'avoir une emprise sur nos femmes. Maintenant, si vous avez une fille plutôt jolie, ou deux, il vous offrira un meilleur salaire. Après tout, vous ne volez pas l'argent qu'il vous donne » Le Vicomte paraissait amer.

Roger cachait son visage dans ses mains. Thomas était confus. De quoi parlaient-ils? Le Vicomte déplaça une pièce, espérant distraire Roger.

C'était une heure avant que Suzanne ne réapparaisse. Elle rayonnait, littéralement. Aucune autre épouse n'est réapparue.

« Viens, chéri. Nous devons rentrer maintenant »

Ses yeux affrontèrent brièvement les yeux des autres participants. Elle savait qu'ils savaient.

« Bien sûr, chérie » Thomas était soulagé. Il avait entendu des légendes sur l'endurance des Africains. Peut-être n'était-ce que des histoires. Il reposa son verre.

Le voyage de retour en voiture était étrange. Suzanne était gênée, inquiète et très excitée. Dithyrambique sur la taille et l'épaisseur du sexe de Pierre, et à quel point cela l'avait faite sentir femme.

Lorsqu'ils sont arrivés chez eux, Suzanne a demandé à Thomas de laisser le portail ouvert. Thomas demanda des explications. Ils fermaient toujours soigneusement les grilles pour dissuader les cambrioleurs. Suzanne rougit.

« C'est pour Pierre. Quand il aura renvoyé tout le monde de sa maison... »

« Mais... je pensais... vous ne l'avez pas déjà fait? »

« Si... enfin, en quelque sorte... mais il n'a pas fini... »

Elle hésitait à se confier : « Il a dit que j'étais vraiment spéciale... qu'il était très impressionné par moi... qu'il allait mettre tout le monde dehors pour passer un long moment fantastique avec moi »

Elle entra dans la maison. Laissant derrière elle un Thomas abasourdi et impressionné.

« Tu ferais mieux de ranger la maison. Ton patron ne peut pas la trouver dans cet état »

Suzanne se dirigea vers la salle de bain pendant que Thomas regardait autour de lui. Que voulait-elle dire? La villa avait l'air bien. Ils avaient un domestique pour nettoyer. Il était perplexe.

« Chéri, tu peux venir? »

Thomas s'arracha à ses contemplations pour se diriger vers leur chambre. Suzanne était assise devant sa coiffeuse, retouchant son maquillage. Elle était magnifique. Juste une touche sur les yeux, les joues, les lèvres, et c'était un délice à regarder.

Elle était assise et ne portait qu'un soutien-gorge. C'était un minuscule balconnet en dentelle qui dévoilait plus qu'il ne cachait. Il servait juste à mettre en valeur l'exquise douceur de ses seins ronds. Ce soir, elle se préparait pour avoir l'air d'une salope attendant son étalon noir.

« Viens, chérie, j'ai besoin d'aide »

« Ton patron a été brutal, et j'ai un peu mal, veux-tu me lécher? » Elle était si sensuelle, comment refuser?

« Viens ici, chéri. Mets-toi à genoux devant moi, près du miroir, pour que je puisse te regarder dans le miroir pendant que tu me lèches »

Thomas s'agenouilla entre les jambes de Suzanne. Peu importe si elle le taquinait. Son sourire espiègle et mutin le faisait fondre. Elle le taquinait. Elle ne lui demanderait pas de faire ça après avoir été avec un autre homme. Peut-être qu'il ne s'était rien passé après tout. Peut-être que Pierre ne viendrait pas, et qu'elle s'était préparée pour Thomas.

Thomas s'approcha de sa chatte. Elle était rouge, congestionnée et boursouflée. Elle avait servie. La main de Suzanne caressait tendrement ses cheveux tandis qu'elle le pressait contre elle.

« Lèche-moi bien, que je sois prête. Tu ne veux pas que j'ai mal, n'est-ce pas? »

Thomas commença à lécher. Timidement. Elle avait son goût habituel. Il lécha en insistant un peu plus, et Suzanne haleta. Il se rendait compte qu'il n'y avait pas de problème, et lécha agilement sa vulve humide, lapant ses jus. L'ardeur de Suzanne augmentait. Elle crocha ses doigts dans ses cheveux pour le presser plus fort contre elle. Il aimait quand elle était dominatrice. Cela ajoutait à son excitation.

C'était un renversement total de leurs rôles habituels. Suzanne étant naturellement docile par nature, du moins en ce qui concerne le sexe. Alors, quand elle devenait exigeante, le changement excitait Thomas. Il plongea sa langue en elle, puis la retira, pris d'une inquiétude soudaine. Mais tout semblait normal. Sa langue replongea. Suzanne s'agrippa à sa tignasse avec force. Elle le coinça entre ses cuisses musclées.

« Lèche ! Lèche-moi ! Plus profond ! Enfonce ta langue ! »

Thomas obéit, léchant plus fort et plus profond. Sa propre stimulation augmentait. Suzanne a commencé à broyer ses hanches.

« Tiens bon ! » exigea-t-elle.

Thomas se figea. La bouche ouverte, la langue tendue. Les hanches de Suzanne semblaient lui baiser la bouche. De puissants coups de reins poussaient sa chatte humide contre sa bouche ouverte. Quelque chose a jailli. Il s'étouffa. Suzanne gémit, un cri rauque et un flot de jus se déversa sur sa langue et dans sa bouche.

Ce n'était plus ses jus suaves. C'était âcre, épais et viril. Il lutta pour se libérer, mais Suzanne était déchaînée et l'entraînait dans sa folie.

« Oh, putain, c'est si bon » haleta-t-elle.

Thomas ne pensait pas que c'était si bon. Sa bouche se remplissait des jus qui coulaient maintenant à flots. Contre sa volonté, il sentait le liquide âcre et visqueux couler dans sa gorge.

« Lèche ! Mieux que ça ! » exigea Suzanne. Ses mains tiraient sur ses cheveux. Ses cuisses emprisonnaient fermement sa tête. Il allait s'étouffer. Il déglutit, se débattit et sortit sa langue. C'était le seul moyen pour lui de ne pas mourir asphyxié ! Sa langue plongea dans la chatte souillée. Elle relâcha sa prise.

« Continue de me lécher ! » Il ne l'avait jamais connue aussi dominante et tyrannique.

Sa langue était maintenant chargée de jus mélangé. Il lapait, craignant de s'arrêter. Suzanne haletait, ses hanches broyaient sa chatte sur la bouche de Thomas. Thomas était écœuré par cette odeur âcre et lourde, le mélange des jus barbouillait son visage. Il était vexé. Il était dégoûté. Mais il avalait. Il acceptait cette humiliation dégradante. Fasciné et penaud, il était excité et en érection. Agenouillé aux pieds de sa femme, il lapait et suçait le sperme d'un autre. Le sperme d'un noir !

Humilié, bafoué, outragé. Mais il était en érection. Exalté et ravi. Inexplicable.

Suzanne le repoussa.

« Dieu que c'était bon! Il a joui si profondément que j'ai cru que ça n'allait jamais ressortir... »

Un coup fort à la porte les fit sursauter. Suzanne tressailli et poussa un cri.

« C'est lui ! Va lui ouvrir ! » Son visage était tendu d'émoi et d'empressement.

Thomas bondit sur ses pieds pendant que les coups à la porte continuaient. Presque envoûté, il s'est précipité vers la porte. Il l'ouvrit juste avant qu'il ne la défonce. Pierre Thorons s'est engouffré dans la maison. Il pleuvait dehors. Il regarda Thomas. Puis son visage rayonna.

Il frappa Thomas sur l'épaule : « Bon gars ! Gentil garçon ! Tu l'as nettoyée pour moi ! »

Il passa devant Thomas qui se tenait tétanisé d'horreur. Il a passé sa main sur son visage barbouillé de foutre. Oh mon Dieu ! Son patron l'avait trouvé le visage souillé. Un cocu soumis, une lopette, voilà ce que son patron pensait de lui !

« Ne reste pas planté là, mec. Apporte-moi une bière » Il jeta ces mots par-dessus son épaule en se dirigeant vers la chambre. Thomas se secoua et regarda Pierre qui entrait dans sa chambre en claquant la porte derrière lui.

Thomas se précipita dans la cuisine pour récupérer quelques bières dans le réfrigérateur. Il s'arrêta, indécis, devant la porte fermée de la chambre. C'était ridicule, pensait-il, mais il hésitait. Il était chez lui, devant la porte de sa propre chambre, et il hésitait. Pierre était de l'autre côté de cette porte avec sa femme, en train de... En vainqueur !

Il frappa timidement. Il dut frapper une deuxième fois avant d'obtenir une réponse.

« Entre, mec ! Fais comme chez toi ! » Clairement, Pierre se foutait de lui. Il entra timidement et se figea.

Pierre se tenait debout au milieu de la pièce, poings sur les hanches. Il était complètement nu. Suzanne était accroupie à ses pieds, essayant de sucer sa queue. Essayer était le mot juste. Thomas était abasourdi. Sa femme n'avait pas menti. C'était colossal. La comparaison avec un concombre était exacte. Et encore, il n'était pas en érection totale. Sa bite pendait, demi-molle. Jusqu'à mi-cuisse !

C'était impressionnant. Suzanne essayait de le prendre en bouche. Sous la bite pendante, bouche ouverte, elle léchait et suçait sans parvenir à le faire entrer. Noir et épais, c'était une vraie bite de cheval.

« Donne-moi cette bière, ne reste pas planté là ! » Thomas sursauta et se précipita, servile. Ouvrir la bière pour Pierre. Pierre prit la bière, et lui dit : « Je dois bien admettre, Thomas, que tu t'y connais en femme. La tienne est magnifique. C'est une perle au lit. Un diamant brut que je vais polir »

Thomas regarda Suzanne, agenouillée aux pieds de son boss. Ses yeux fixés sur le visage de Pierre. Sa bouche grande ouverte avait enfin réussi à gober la moitié du gland. Elle essayait de gagner quelques centimètres de plus dans sa bouche. C'était un gros boudin noir qui étirait les lèvres de sa femme !

Elle était magnifique. Elle ignorait totalement Thomas. Son regard fixait fiévreusement son amant. S'assurant qu'il était satisfait de sa prestation, elle était en adoration, et commença à travailler cette bite avec sa langue. Il n'est pas resté mou longtemps.

Thomas voulait se cacher dans un trou de souris pendant que cette énorme bite croissait, épaississait en se développant. Suzanne a fait glisser les bonnets de son soutien-gorge. Elle frottait maintenant les tétons érigés contre les cuisses musclées de Pierre. Pierre souleva sans effort Suzanne, et la poussa sans ménagement sur le lit.

Suzanne couina, mais s'allongea sur le lit, jambes écartées. Elle avait l'air heureuse. Pleine de passion et d'excitation! Ses seins pointaient vers le haut, sans un soupçon d'affaissement. Pierre grimpa sur le lit, et Thomas regarda avec crainte sa femme replier et écarter ses belles jambes blanches.

Pendant que Pierre grimpait sur le lit, Thomas était rivé sur place. Cette épaisse bite noire pendait, comme si elle s'alignait déjà sur la féminité réceptive et avide de sa femme. Les mains fines et blanches de sa femme se tendirent vers l'objet de son désir. Suzanne caressa amoureusement sa longueur et guida le monstre.

Plus près. Viser. L'aligner. Le grand corps musclé de Pierre planait au-dessus du corps blanc de sa femme. Le contraste était saisissant.

Thomas regarda Pierre descendre sur elle. Les muscles des fesses se contractèrent, les hanches poussèrent, centimètre par centimètre, il enfouissait sa grande bite à l'intérieur de Suzanne. Suzanne semblait statufiée. Ses mains s'agrippaient aux draps. Ses jambes étaient écartées au maximum, tremblantes de douleur contenue. Pierre s'enfonçait plus profondément. Suzanne tremblait et geignait. Tout son corps se mis à trembler. Elle a eu un orgasme, causé juste par la pénétration de l'énorme bite !

Thomas était incrédule. Robert arrivait à faire jouir Suzanne juste en la pénétrant !

« Ça va, chérie? Comme te sens-tu? » La voix de Pierre était basse et câline.

Suzanne hocha la tête en signe d'accord. Prise par l'émotion, elle ne pouvait plus parler.

« Je vais te présenter mes amis. Tu vas tous les aimer »

Il lui souriait. Il entendit Thomas faire un borborygme, un signe d'étouffement. Il se tourna pour regarder son employé.

« Ne t'inquiète pas Thomas. Suzanne m'a raconté ta promesse. Mes amis ont des bites extraordinaires ! Des bites grandes, épaisses, et noires ! »

Il se tourna vers Suzanne en souriant : « Comme tu les aime ! »

Et il a poussé un grand coup qui l'a faite crier. Suzanne hurlait de plaisir. Ses belles jambes blanches s'enroulèrent autour de la masse noire et musclée de Pierre.

« Tu peux y aller maintenant, Thomas. Je t'appellerai si j'ai besoin que tu lui prépares l'anus »

Thomas quitta la pièce, misérablement vaincu.

Dans la chambre d'amis, Thomas était allongé sur le lit. Il ne pouvait pas dormir. De la chambre voisine lui parvenait des bruits divers. Des grincements de sommier. Thomas ignorait que le sommier grinçait. Parfois, la tête de lit heurtait le mur en cadence. Des grognements, des cris. Ils prenaient leur plaisir sans modestie.

Ses pensées dérivait vers les autres expatriés présents à la fête. Pierre avait-il vraiment couché avec toutes les femmes de ses collaborateurs? Pamela, Pénélope, Diana, Sarah... et la petite Kim?

Il pensait à la petite Kim... à ses seins blancs... pas si petite Kim !

Il doutait que Pierre avait eut la petite Kim dans son lit.

La pensée de cet énorme monstre noir baisant l'adolescente était très érotique.

Thomas était allongé sur le lit. Son imagination en ébullition pendant que sa femme se faisait baiser dans la chambre voisine.

Sa main s'est posée sur sa bite dressée. Il a recommencé à se caresser. Combien de fois, ce soir?

Il ne voulait pas compter, c'était son seul plaisir...

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