Les Expatriés - La Bamboula

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L'Afrique équatoriale et libertine
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Rainett
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Thomas s'énervait. Il savait qu'il ne devrait pas s'inquiéter, mais il s'angoissait. Ses tourments étaient causés par sa femme, Suzanne.

Pendant de leurs cinq premières années de mariage, il n'avait jamais eu l'occasion de s'inquiéter. Il était donc plus navrant de s'inquiéter maintenant. Sa femme était une épouse parfaite. Aimante, attentive, compréhensive, et le soutenant envers et contre tous. Le ton n'était jamais monté entre eux en cinq ans. Elle était toujours aussi désirable que lors de leur première rencontre.

Son teint clair, ses cheveux bruns coupés courts, sa taille était toujours aussi fine, elle ne vieillissait pas. Elle n'était pas maigre, elle avait de belles rondeurs, aux seins, aux hanches, aux fesses. Son derrière, bien emballé dans un jeans moulant, ferait retourner beaucoup d'hommes. Elle avait une grâce naturelle pour se tortiller en marchant. Ses seins fermes, ronds, aux mamelons bruns clair pourraient contenter la plupart des hommes.

Ses yeux bleus s'étaient un peu ternis après ces deux années de chômage. Ces deux dernières années avaient été difficiles, mais elle était restée à ses côtés, sans aucune critique. Qui aurait cru il y a seulement 4 mois qu'il obtiendrait un tel poste ! Pas seulement un job, mais un poste de directeur !

Et que ce soit en Afrique Noire, c'était la cerise sur le gâteau. Mais il était inquiet. Sa femme dansait avec un homme. Cet homme avait posé ses mains sur ses hanches évasées. Elle avait posé ses mains fines sur les épaules de son cavalier. Ils se déplaçait lentement, en se frottant l'un contre l'autre. Le problème, c'est que ce n'était pas n'importe quel homme. Elle dansait avec le patron de Thomas.

Pierre Thorons était un homme puissant. Il était charismatique et influent. Proche du pouvoir, il avait fait jouer ses relations pour racheter une bouchée de pain la société Thorons Électrics. Poussant l'ancien propriétaire à vendre par une combinaison de malversations, allant de la corruption à la calomnie. Après plusieurs revers successifs, l'ancien propriétaire était décédé d'une crise cardiaque.

De sombres rumeurs prétendaient que ce suicide était étrange. Mais Thomas ne voulait pas écouter les rumeurs. Quand on est resté deux ans au chômage, on se moque des rumeurs sordides. Certaines prétendaient que Pierre a fait plus qu'acheter l'entreprise. Qu'il avait détruit, écrasé, toute cette famille. Les gens aiment les commérages, par ici. Thomas n'a pas cru les rumeurs.

Cela faisait maintenant deux mois que Thomas travaillait pour Pierre Thorons. Il le trouvait intelligent, malin et compétent. Redoutable, ça oui. Il savait ce qu'il voulait, et savait l'obtenir. Tous ceux qui se mettaient en travers de sa route, en payaient le prix fort. Ceux qui pensaient pouvoir le gruger le regrettaient, tôt ou tard. Pour dire la vérité, Thomas le craignait. Il reconnaissait son habileté, mais la brutalité sauvage était juste sous le vernis.

Pierre était physiquement très impressionnant, presque inquiétant, un taureau féroce, pensait Pierre. Les bras musclés, les larges épaules, le cou épais. Il ressemblait à première vue à un lutteur professionnel. Les élégants costumes taillés sur mesure, les cravates en soie, les bijoux en or lui donnaient une apparente sophistication qui cachait sa vraie nature.

Cette apparence physique avait beaucoup troublé sa femme, qui dansait maintenant avec lui, étroitement enlacée. Après deux mois de travail pour lui, Thomas avait presque oublié que Pierre était noir. Très noir ! Regarder sa femme à la peau si claire blottie dans ses bras musclés faisait remonter à la surface des peurs primitives enfouies.

Thomas savait qu'il avait changé son nom en Pierre Thorons lors de l'achat de Thorons Électrics. Tous ceux qui le connaissaient l'appelaient Arkham. Mais à des fins commerciales, il était Pierre Thorons et malheur à celui qui commettrait un impair. Les rumeurs de sa prise de contrôle de Thorons Électrics étaient glauques.

Le créateur de l'entreprise, Pierre Thorons, ne voulait pas vendre. Arkham avait essayé de nombreux subterfuges pour ruiner l'entreprise avant de l'acquérir, mais le propriétaire tenait bon. Une semaine avant la fin de la transaction, l'ancien propriétaire était brusquement décédé d'une crise cardiaque. Même s'il n'avait aucun antécédent cardiaque, le toubib avait signé l'acte de décès sans problème. C'est l'Afrique !

Sa veuve en deuil avait signé le compromis de vente. Une semaine plus tard, elle était décédée d'une intoxication alimentaire. Mais cela n'avait intrigué personne. Leurs deux filles à peine majeures avaient reçu l'argent de la vente, plus la protection du nouveau propriétaire. Arkham les avait adoptées comme ses propres filles, et elles travaillaient désormais pour Thorons Électrics dans le marketing et les relations publiques. Bien que personne ne les ait jamais vu à l'usine. Pierre s'occupait aussi de leur argent, et il investissait pour elles.

Thomas sirotait son verre. Une pinte de bière ambrée agrémentée d'un alcool local. Il fallait le boire doucement, sinon cela donnait mal à la tête. Il jeta un coup d'œil à sa femme. Discrètement, pour ne pas déplaire à son patron. Il n'aimait pas qu'on le surveille de trop près. Suzanne s'amusait au moins. Après deux années difficiles, ce travail avait été une aubaine. Ils en avaient vraiment besoin. Suzanne avait retrouvé le sourire depuis leur installation ici. Il n'allait pas lui faire une scène et gâcher sa soirée.

En voyant sa femme danser avec Pierre, il ne voyait pas une femme danser avec le patron de son mari. Il voyait une femme blanche, très désirable, dans les bras d'un despote local, noir de surcroît. Très noir ! Il luttait pour combattre ses préjugés, en vain.

Après deux mois de vie ici, ils s'étaient tous les deux habitués aux frotteurs. Décontractés ou déterminés, ils frôlaient le derrière bombé de Suzanne, dès qu'ils étaient dans une foule dense. La pression soudaine d'un corps au milieu de la populace, accompagnée d'une main pressant l'un de ses seins. Ils savaient tous les deux à quoi s'attendre des hommes noirs en Afrique.

Et maintenant, sa femme dansait avec l'un d'eux. Même si Pierre ne pouvait pas être confondu avec ces mecs qui traquaient les femmes blanches dans la foule. Toute l'élégance et l'opulence de Pierre ne cachait pas le fait que Pierre était noir. Un de ces noirs qui convoitaient les blanches sexy comme Suzanne. Thomas combattait ses peurs. C'était irrationnel, pensait-il. Pierre était un industriel, d'un niveau bien supérieur à ces racailles qui traînaient dans les rues. C'était son patron. Quelqu'un de bien. Mais Thomas s'impatientait.

Il sirota une nouvelle gorgée et jeta un coup d'œil circulaire. Ils étaient les seuls français. Les autres managers étaient britanniques. Leurs épouses aussi. Toutes très jolies, avec la peau très blanche. Sa femme n'était pas la seule à danser. Les quatre autres épouses de ses collègues managers expatriés étaient également en train de danser. Toutes avec des managers noirs.

Sarah dansait. Elle était la femme de l'ingénieur production. Elle avait une poitrine fantastique, et quel arrière train ! Pierre lutta pour penser à autre chose. Il ne devrait pas penser à Sarah comme ça ! Elle était l'épouse d'un de ses collègues. Mais elle ne dansait pas avec son mari, elle dansait avec Farida, la directrice de la comptabilité.

De même, Pamela dansait avec Kabuki, le directeur de l'ingénierie, bien que Pierre n'avait pas encore découvert ses compétences en matière d'ingénierie. Il avait surtout la capacité de créer la terreur dans la main-d'œuvre locale. La jolie petite Diana n'avait que 19 ans, et elle n'était mariée que depuis six mois. Pourtant, la façon dont elle était serrée de près par l'entreprenant Robert Musai, un esprit malsain aurait pu croire qu'ils avaient une aventure ensemble.

Restait Pénélope. Magnifique Pénélope. Grande, avec un corps svelte, elle s'exposait majestueusement partout où elle allait. Elle était une ancienne directrice d'une des meilleures écoles privées pour filles d'Angleterre. La nièce d'un duc anglais, mariée à un Vicomte. Ses longs cheveux descendaient jusqu'à sa taille, mais ils n'étaient pas assez longs pour cacher les mains de son cavalier qui lui pétrissait fermement les fesses. Avec un doigt sondant activement ses profondeurs.

Le Vicomte avait connu des revers de fortune. Le jeu et les femmes avaient accéléré sa chute. Réduit à travailler pour gagner sa vie, il était venu se réfugier en Afrique pour échapper aux quolibets de ses amis aristocratiques. Il n'envisageait pas de retourner au Royaume-Uni. Les yeux du Vicomte étaient fermement rivés sur l'échiquier. C'était un échiquier fantastique, sculpté dans de la malachite avec des pièces sculptées dorées. Il jouait avec Roger, le jeune mari de Diana. Tous deux ne levaient jamais les yeux de l'échiquier.

Le mari de Sarah surveillait sa femme. Il ne semblait pas du tout troublé de voir Sarah se cambrer lentement sous la poigne ferme de Farida. Steve, le mari de Pamela n'était pas venu. Pamela avait bredouillé une excuse à propos d'un travail urgent à finir à la maison. Pamela avait présentée sa fille, Kim, tout juste sortie de l'adolescence. Une gamine adorable. Ceux qui pensaient que son père était resté chez lui pour ne pas voir tous ces pervers noirs s'agiter autour de sa fille, avaient l'esprit mal tourné.

Thomas avait essayé de détourner son regard, surtout devant Pamela, la mère de Kim. Tout juste majeure, elle était très affriolante, et très court vêtue. Ses seins blancs et ronds semblaient vouloir sortir de son haut moulant. Ses yeux bleus, ses lèvres rouges, ses joues roses et ses cheveux noirs ondulés évoquaient un bonbon anglais de la plus haute qualité.

Thomas avait observé Kim près de la fenêtre, où le contre-jour traversant sa jupe la rendait translucide. Il était clair que Kim portait des bas sous cette jupe bleue légère et tourbillonnante. Pendant un instant, il lui a semblé qu'elle ne portait pas de culotte. Sa vulve brièvement exposée par un jeu de lumières, lui avait laissé l'image gravée sur la rétine.

Il chercha du regard la petite Kim.

Elle était assise dans un recoin avec la femme de Pierre Thorons, face à face, très proches l'une de l'autre. Elles bavardaient. Kim avaient les joues rouges. Roberta avait sa main sur le genou de Kim et ses doigts massaient la cuisse de la jeune fille, en disparaissant par instant sous la courte robe. Elle lui parlait intensément avec des étincelles dans le regard. Roberta avait un charisme à la hauteur de celui de son mari. Elle était un membre actif du mouvement des Femmes pour le Progrès. Les affaires et la politique étaient étroitement mélangées par ici.

Thomas avait une vue parfaite sur la poitrine de Kim, et sur ses cuisses écartées par la main de Roberta.

« Coucou, chéri ! »

Thomas sursauta en entendant la voix de sa femme juste à côté de lui. Il rougit, coupable d'avoir été pris la main dans le pot de confiture par sa femme, alors qu'il reluquait sans vergogne la gamine. Il se tourna vers Suzanne. Ses joues étaient très rouges, mais Suzanne ne parut pas s'en apercevoir. Ses yeux brillaient d'un feu étrange. Son visage rayonnait.

« Tiens, chéri. Je t'ai pris une nouvelle boisson » Elle lui tendit le verre. Il a bu et il a toussé.

« Waouh ! Tu l'as dosé fort ! »

Suzanne sourit et lui fit un câlin. Elle pressa sa tête contre son ventre. Elle sentait bon. Ses seins fermes poussaient contre lui lorsqu'elle se pencha pour l'embrasser légèrement sur le front.

« Je t'aime » murmura-t-elle. Thomas sentit son cœur bondir. Il l'enlaça et l'embrassa doucement.

« Je t'aime aussi, ma chérie »

« Viens, mon chéri, allons dans la cuisine, nous avons à parler »

Suzanne prit sa main dans la sienne. Sa main était douce lorsqu'elle le conduisait dans la cuisine. Elle adressa un sourire gêné à Pierre lorsqu'ils passèrent devant lui. Thomas se laissa conduire par la main jusque dans la cuisine.

Dans la cuisine, elle hésita. Elle avait l'air troublée, ne sachant pas par où commencer. Thomas posa son verre et la prit dans ses bras.

« Je t'aime » lui répéta-t-il. Suzanne sourit. Elle avait l'air un peu anxieuse.

« Je t'aime aussi, mon chéri. Je t'ai toujours aimé, et je t'aimerai toujours » Il lui rendit son sourire, leurs regards se croisèrent.

« Chérie, tu te souviens de ta promesse quand tu m'as demandée en mariage? » Thomas se souvenait. Suzanne avait l'air radieuse. Cela lui rappelait leurs fiançailles.

« Je n'étais pas sûre... j'avais des doutes... » Suzanne chuchotait.

« Mais plus maintenant, chérie ! » Thomas, anxieux de savoir où cela menait, ne pouvait pas croire que Suzanne avait changée. Toutes ces épreuves qu'ils avaient traversées les avaient soudés.

« Non, plus maintenant. Je t'aime... Je n'aime que toi ! » Suzanne rougissait comme une écolière. Elle ne voulait pas lui faire de mal. Mais elle savait que ça allait lui faire mal. Elle hésitait, tergiversait.

« Pour que j'accepte de t'épouser, tu m'as fait une promesse »

Thomas sentit son cœur chavirer. Non, pas ça, pas maintenant ! Suzanne pouvait voir la consternation sur le visage de son mari. Elle rougit encore, mais il était trop tard. Elle pensait à Pierre, tout contre elle, elle se souvenait de l'engagement de Thomas, de cette offre qu'il avait faite pour la convaincre.

« Il est énorme, chéri, je veux dire énorme de chez énorme ! » Ses yeux brillaient d'excitation.

« D'abord, je n'y ai pas cru. Je pensais qu'il essayait de me taquiner en glissant un concombre dans son pantalon. Un truc d'ado, pour embêter les filles. Juste une sale blague de potache. J'ai pensé que c'était puéril, un homme de son rang, cachant un concombre dans son pantalon pour se frotter ensuite contre moi. Mais, son truc... c'est incroyable, chéri... un truc de malade...c'est une vraie bite. Au début, c'était mou. Mais maintenant, ce n'est plus si... mou ! C'est une très grosse bite, chéri... Chéri ! »

Thomas déglutit difficilement. Il était tétanisé. Il lui fallait trouver une solution. Vite. En effet, il avait promis. Il avait pensé que Suzanne ne voudrait peut-être pas l'épouser. Pourrait trouver quelqu'un d'autre, un mec mieux que lui, et qu'il la perdrait pour toujours. Alors il avait fait cette promesse. Il avait promis que si jamais elle rencontrait un homme équipé d'attributs exceptionnels, il ne l'empêcherait pas d'essayer autre chose. À condition que cela reste exceptionnel. Mais après cinq ans de bonheur, il avait oublié.

La voix de Suzanne était douce, cajoleuse : « Je t'aime, chéri. Je veux juste l'essayer»

Il la regardait dans les yeux. Elle était troublée, excitée, anxieuse, mais le feu brûlait dans ses yeux.

« J'ai promis » Il a reconnu.

« Il... il est vraiment grand. Même sacrément énorme » Elle leva ses mains, voulant montre à Thomas l'ampleur du phénomène.

« Aussi gros et aussi long que mon avant-bras ! » Ses mains tournaient en l'air. Thomas avait l'air sceptique. Suzanne lui sourit.

« Tu me laisses essayer? » Thomas avait du mal à parler. Son estomac se retournait.

« Tu avais promis... »

« Mais, chérie, c'est mon patron. Tu ne pouvais pas trouver quelqu'un d'autre? »

Suzanne secoua négativement la tête.

« Tous ces gars, avec qui je travaille, sauront.. » Suzanne se contenta de lui sourire.

« Peut-être que ce sera plus facile pour toi, après tout on pourrait penser qu'il te doit une faveur, si tu le laisses baiser ta femme ! »

Baiser ta femme. Les mots roulaient dans sa tête. Baiser ta femme. Sa charmante épouse subissant l'assaut de ce taureau noir, l'image était pénible, choquante, mais en même temps érotique. Sa charmante femme défoncée par une énorme bite noire ! Après tout, il avait promis.

Il acquiesça. Suzanne poussa un cri et bondit dans ses bras.

« Oh merci, chéri. Merci, merci, merci. Je ne serai pas une ingrate. Tu n'y perdras rien. Je te promets »

Elle était surexcitée, tremblante d'énervement. Ses yeux brillaient de passion et d'excitation. Elle se dirigea vers la porte, puis s'arrêta. Elle sembla réfléchir un instant, puis se retourna vers Thomas.

« Moi aussi, je t'avais fait une promesse. Je t'avais promis de ne jamais enlever ma culotte pour un autre homme, ni de permettre à un autre homme de me l'enlever » Suzanne le regardait, debout, les jambes légèrement écartées. Elle avait l'air si sexy.

« Tu dois me l'enlever » Elle l'a dit avec tant d'innocence. Thomas a failli s'étouffer. Elle lui souriait.

« Allez, chéri, viens m'enlever ma culotte ! » Thomas fit deux pas vers Suzanne, puis se laissa tomber à genoux. Suzanne tendit la main pour lui caresser la tête, comme elle l'aurait fait pour un bon chien.

Il a glissé ses mains sous sa jupe. Caressant les jambes nues toniques. Ses mains palpèrent sa culotte et la chair tendre de ses fesses. Il leva les yeux vers Suzanne qui lui souriait avec exaltation. Il lui pelotait les fesses, en massant tendrement ses douces courbes. Il hésitait. Pouvait-il vraiment faire cela?

Son trouble était immense, agenouillé aux pieds de sa femme. Ses mains devaient lui retirer sa culotte pour qu'un autre puisse la baiser. Quelle folie ! Il l'imaginait, les cuisses écartées, subissant l'assaut de ce taureau noir. Visualisant la monstrueuse bite noire pénétrant à l'intérieur de sa fragile épouse. L'estropiant peut-être à tout jamais. Se jetant sur ses beaux seins blancs pour les presser et les sucer.

« Si tu ne m'enlèves pas ma culotte, je ne le ferai pas... »

Thomas agonisait. Il avait promis. Il regarda sa femme. Il y avait une telle exaltation dans ses yeux. S'il ne le faisait pas, garderait-elle ce regret pour toujours? S'il rompait son serment, lui en voudrait-elle? Il ne voulait pas la décevoir et risquer de le perdre. Il tremblait de confusion et d'humiliation.

Ses mains firent glisser la culotte soyeuse sur les douces courbes de ses fesses. Il caressa brièvement sa chatte, puis s'arrêta à mi-cuisse. S'il continuait, ce serait pour offrir sa femme à ce... ce... Il leva les yeux vers Suzanne. Il y avait une telle sauvagerie dans son regard qu'il n'hésita plus. La culotte de Suzanne glissa jusqu'à ses chevilles.

Suzanne a quitté la pièce immédiatement, insouciante et légère. Thomas a mis du temps à s'en remettre. Il termina son verre cul sec. Finalement, ayant rassemblé ses esprits, il a rejoint la surprise-partie.

Suzanne dansait avec Pierre. Il n'y avait plus aucun signe de Pamela, Diana, Sarah ou Pénélope. Roger et le Vicomte continuaient leur partie d'échecs. Rick les regardait en sirotant son verre. Thomas regardait sa femme. Peut-être avait-elle changé d'avis? Pierre, se voyant observé, avec une nonchalante désinvolture, posa ses larges mains sur les fesses de Suzanne.

Il parut soudain surpris. Ses mains palpaient son cul comme s'il l'explorait. Il venait de découvrir qu'elle ne portait plus de culotte. Il se pencha vers Suzanne et lui chuchota à l'oreille. Elle leva les yeux et hocha la tête, rougissante, en désignant Thomas du regard. Pierre regarda Thomas avec surprise puis lui sourit.

Suzanne ne pouvait pas voir son sourire. Il n'avait aucune amitié, aucune élégance dans son sourire. C'était un sourire carnassier, vaniteux et féroce adressé à Thomas. Il prenait possession de Suzanne en lui pétrissant les fesses, et en défiant du regard son employé. Devant l'apathie de Thomas, il souleva le menton de la jeune femme pour l'embrasser à pleine bouche.

Oh, non! Pas devant ses collègues de travail. Thomas faillit défaillir, mais les autres ignoraient prudemment la scène. Tous sauf Rick. Rick aimait regarder Pierre peloter Suzanne. Thomas se sentait humilié, et en même temps impuissant.

Pierre a glissé son bras autour de la taille de Suzanne et l'a entraînée hors de la pièce. Thomas a hésité à les suivre, fait quelques pas, s'est arrêté, et a hésité. Finalement, il a suivi le couple hors de la pièce. Il arriva juste à temps pour voir la porte d'une des chambres se refermer. Il vint coller son oreille à la porte.

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