Les Dames de Piques - Partie 02

BÊTA PUBLIQUE

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— Euh... Non!

— Pas grave on va t'apprendre, lui répond doucement Monsieur Ali.

Elle ne sait plus où elle est, où elle habite, tremblante médusée, paralysée, sentant malgré tout sa chatte se liquéfier.

Les deux hommes éclatent de rire devant la tête dépitée de Sophie. En entendant le chef s'exclamer à haute-voix, certains clients se tournent vers la table et Sophie. Heureusement qu'elle leur tourne le dos, ils ne peuvent donc pas voir le visage pivoine de la femme qui exhibe sa poitrine aux deux amis.

— Laisse-lui un bouton, quand même! Celui du milieu! Je la ramène au boulot après déjeuner, il ne faudrait pas qu'elle s'enrhume!

Quelques coups de ciseaux plus tard, il ne reste plus que le bouton sous la poitrine et Philippe est retourné à ses fourneaux. Sophie est toujours debout, indécise.

— Qu'est-ce que tu attends? Assieds-toi!

Sophie s'assied, sous le regard noir de Monsieur Ali.

— Tu as déjà oublié ce que je t'ai dit pour t'asseoir?

— Euh non monsieur...

— C'est aussi une règle de conduite en ma présence, la jupe retroussée, les fesses directement en contact avec la chaise puis le fauteuil et...

— Et quoi?

— Interdiction de croiser ou serrer les cuisses, je dois pouvoir passer ma main entre tes genoux!

— Oooh non! Je vous en prie monsieur, je suis mariée!

— Je le sais mais tu es presque à poil devant moi, non? Et de ta propre volonté!

— Heu, non! Oui! Enfin de ma propre volonté je n'en suis pas si sûre...

— Comme je te le répète, je ne t'oblige à rien... je n'oblige jamais une femme à agir contre sa volonté.

— Tout de même ce n'est pas courant encore moins conventionnel, je suis troublée.

— Il faut savoir sortir des conventions, parfois!

— Heu... Oui... Enfin ce n'est pas si simple dit-elle en s'asseyant, troussant sa jupe

— Tu apprends vite, je vais t'aider, tu verras! Au fait, as-tu vu ma petite collection dans la boîte à gants? Comment l'as-tu trouvée?

— C'est choquant

— Pourquoi cela?

— Toutes ces femmes, c'est beaucoup!

Monsieur Ali rigole, si elle savait qu'il y en a eu au moins le triple.

— Je suis un amateur de jolies choses, j'aime en prendre soin... et je prendrais soin de toi aussi.

— Dois-je comprendre que je suis une jolie chose???? dit-elle un peu grisée par le cocktail

— En effet, tu es une jolie chose à modeler!

— Que voulez-vous dire? Comment cela, modeler?

— Je vais faire de toi la femme que tu as toujours rêver d'être, celle qui offre et reçois du plaisir aux hommes, de tous les hommes!

— Mais non vous n'y pensez pas je ne suis pas comme ça je suis une honnête femme et mère de famille!

— Vraiment? Et comment cela se passe entre tes cuisses en ce moment? Et ta poitrine, regarde tes tétons tout durs...

Elle rougit, se sentant percée, mise à nue et se tait en baissant la tête.

— Alors, veux-tu toujours garder ta culotte?

— Ooooh! Pas ça, je vous en supplie!

— Je suis sûr qu'elle est déjà tachée, non?

— Ooooh mon dieu... je... je... ou...oui!

— Va vérifier aux toilettes! Et si j'ai raison, tu me la donnes!

— Vous savez bien qu'elle est mouillée et vous voulez que j'aille la retirer aux toilettes c'est tricher ça! dit-elle.

Le cocktail faisant de plus en plus d'effet, son corps est envahi de bouffées de chaleur.

— Obéis! dit-il calmement les yeux dans les yeux.

Elle hésite et se lève en direction des toilettes, ce qui l'oblige à traverser mal à l'aise une partie du restaurant.

Elle ne comprend pas ce qui lui arrive elle veut fuir mais une envie irréfragable la tenaille et enfermée dans les toilettes, elle retire sa culotte humide. Elle revient tremblante cachant sa culotte le plus possible dans sa main. Morte de trouille. Debout, elle la tend discrètement à Monsieur Ali qui tend sa main au-dessus de la table. Elle lui donne son sous-vêtement devant tout le monde, gênée.

Quand il l'a dans la main, il regarde la femme et déplie le bout de tissu devant son visage. Lentement, il le pose à côté de son assiette au moment où un serveur arrive avec les plats.

Sophie est à deux doigts de tomber dans les pommes, s'accrochant à la table en se disant : "non! non! s'il vous plaît!"

Elle n'ose pas s'asseoir. Elle veut partir mais elle reste tétanisée, regardant sa culotte exposée. Elle est hypnotisée comme le lapin dans les phares de voiture, en voyant clairement la tâche humide au fond de la culotte.

Monsieur Ali change de sujet, comme si tout était normal et lui demande qui est la jolie rousse sur les photos, dans le couloir.

Le serveur voyant bien la culotte, demande à monsieur Ali, s'il désire qu'il le débarrasse.

— Non, ça va aller merci, répond-il.

—Puis, regardant Sophie, Monsieur Ali pose à nouveau sa question sur qui est la jeune femme sur les photos. Il regarde Sophie qui se rassoit sans oublier de retrousser sa jupe.

Elle déglutit et demande :

— Quelle femme? Quelle photo? quel couloir??

— La jeune femme rousse avec un bébé dans votre couloir?

— Ah! C'est Justine! La fille de Thomas, répond-elle stressée de sentir le velours de son siège au contact de ses fesses nues.

Elle serre les jambes pour se protéger en dépit des consignes de Monsieur Ali de conserver l'espace entre ses cuisses.

— C'est une si jeune femme, et déjà maman?

Sophie lui explique la candeur touchante de cette jeune fille et de sa capacité à attirer les garçons peu scrupuleux comme le père de ce petit garçon qui l'a abandonné quand il a su qu'elle était enceinte.

Cette conversation anodine alors qu'elle est seins nus devant un quasi inconnu la trouble davantage. Elle essaye de se concentrer sur ce qu'elle mange après avoir fini cul sec son cocktail. Elle lance la conversation pour penser à autre chose.

— Hier, nous ne vous avons pas dit Monsieur Ali que Thomas part ce vendredi à l'étranger pour un gros symposium, il sera absent toute la semaine.

— Vraiment, et donc tu vas te retrouver seule avec Ophélie, entre mère et fille?

— Et non, car ma fille part aussi faire un stage de quinze jours à Harvard.

— Heureuse fille, répond-il souriant.

Puis, il réfléchit, cela risque de contrecarrer ses plans pour la jeune fille, il va devoir agir plus vite qu'il ne le pensait. Mais, il va peut-être pouvoir profiter de la mère, seule pendant une semaine, c'est une occasion qui ne se manque pas.

— Tu vas être toute seule pendant une semaine?

— Oui et non, j'ai mon boulot qui m'accapare beaucoup!

— Oui bien sûr, je m'en doute. Mais, s'ils partent vendredi, ce week-end tu vas être seule, non?

— Effectivement! dit-elle, en scrutant toujours autour d'elle pour voir si elle est observée, exhibée comme elle est.

Monsieur Ali se tait, il réfléchit, il la regarde. Il regarde ce visage, cette poitrine.

— J'ai peut-être une idée, mais je dois vérifier mon planning...

— Ah oui?

— Oui... Oui... mais je ne peux pas t'en dire plus pour le moment... J'ai un emploi du temps très chargé. Mon travail! Mes obligations! Mes partenaires! Mes clients!

— Je comprends.

Elle baisse la tête un peu déçue que Monsieur Ali ne semble pas la placer dans ses priorités.

— Merci! Tu as eu de la chance que ce créneaux pour ce déjeuner se soit libéré sinon, je ne sais pas quand j'aurais pu t'inviter ce qui aurait été fort dommage.

Troublée, elle répond en avalant difficilement sa nourriture :

— Ah! Je... je... oui... bien sûr!

— Je te tiendrais au courant mais peut-être auras tu une bonne surprise! J'espère que tu aimes les surprises!

— Heu... oui... Bien sûr, comme beaucoup de femme surtout si elles sont agréables! répond-elle en retrouvant le sourire.

— Alors surveille ton téléphone cette semaine!

— Oui d'accord monsieur!

Elle jette à nouveau des yeux furtifs pour voir ce qui se passe dans la salle surtout la table des quatre hommes. Elle mange sans savoir vraiment ce que contient son assiette, obnubilée par la présence visible de sa culotte, sans oublier sa tenue scandaleuse. Tout cela l'échauffe.

De plus, Monsieur Ali lui sert un verre de vin pour accompagner son plat et il continue de la questionner sur sa vie, son passé. Elle lui répond, ce qui lui permet d'oublier sa situation. Elle lui raconte comment Ophélie était quand elle était enfant puis adolescente, ses galas de danses ou elle tenait souvent le premier rôle.

Quand il aborde son histoire personnelle, il la voit baisser les yeux, elle se sent responsable du départ de son ex-mari. Elle lui avoue qu'il est parti car il la trouvait un peu trop casanière, trop "coincée du cul". Il a trouvé ce qu'il cherchait dans les bras de son assistante.

Et, elle a rencontré Thomas, un homme adorable qui a élevé Ophélie comme sa fille et qu'ils sont maintenant très complices et que les gestes tendres de Thomas envers Ophélie n'ont aucun sous-entendu.

Pendant qu'elle parle, elle sent le pied de Monsieur Ali lui caresser le mollet et la forcer à garder les genoux écartés. Cela l'excite de se sentir utilisé comme cela. Monsieur Ali a raison quand il dit qu'elle est un objet. Elle est son objet.

***

Après le café, monsieur Ali sort un cigare et demande à Sophie d'aller demander du feu à la table voisine où déjeunent ces quatre sexagénaires qui n'ont pas arrêté de lancer des regards plus ou moins discrets dans sa direction. Ils n'en reviennent pas de voir une femme presque nue dans un restaurant de ce standing.

Quand elle s'approche, les hommes se taisent et regardent dans la direction de Monsieur Ali.

Quand elle leur demande un briquet, l'un d'eux lui répond, en rigolant mais un peu sévèrement.

Il lui tend un cavalier qu'elle, imprudemment, prend d'une main, libérant un pan, dévoilant un sein. Surprise, elle lit en laissant tomber l'objet réalisant sa bêtise, pour refermer son chemisier

— Voyons madame, reprenez-le et qu'est-il écrit? D'une main elle serre son chemisier et lit à haute voix : "il est interdit de fumer."

Elle rougit, vexée, comprenant qu'elle a été piégée par Monsieur Ali qui a voulu l'exhiber.

— Nous aussi, nous avons aussi de gros cigares, lui dit un autre.

Elle ne comprend pas l'allusion croyant qu'il y avait un coin fumeur où ils pourraient tous se rendre.

Elle s'excuse et revient à sa table sous les quolibets. "Quelle pute!" "Vous avez vu ses nichons?" "Avec un cul pareil, elle doit être bonne à enculer!"

Son téléphone sonne. Elle répond à une collègue qui demande où elle est? Elle n'a pas vu le temps passer et assure qu'elle va bientôt arriver mais qu'elle est un peu coincée pour le moment.

Monsieur Ali comprend la situation, il demande l'addition. Philippe s'approche pour leur demander s'ils sont satisfaits du repas. Il regarde la culotte de Sophie avec un grand sourire.

— Tout à fait, comme d'habitude, tu es un vrai chef!

— Je peux proposer un digestif maison à Madame, si vous le souhaitez?

— Une autre fois, dit Monsieur Ali. Madame a encore beaucoup de travail cet après-midi.

— Je comprends, répond Philippe, en faisant un clin d'œil complice à Sophie, se demandant quel est ce travail.

Il les regarde partir en se disant que ce n'est que partie remise, il aura d'autres occasions pour profiter de cette poitrine généreuse.

***

Dans la voiture, Sophie n'oublie pas de s'asseoir en retroussant sa jupe. Sa peau est directement au contact du cuir du siège. Monsieur Ali est satisfait, cette femme apprend vite. Il lui demande donc de mettre sa culotte dans la boîte à gants et s'amuse de sa gêne.

Quand il la dépose devant le bâtiment de sciences de l'université, il se tourne vers elle.

— Une dernière chose avant que tu descendes.

— Quoi Monsieur Ali?

— Ne me fais plus attendre pour me répondre quand je t'envoie un message!

— Oui Monsieur Ali, bien sûr, je répondrais de suite!

— Je me réveille tôt, je peux donc commencer à t'en envoyer à partir de 6h du matin, tu comprends ce que cela veut dire?

— Ooooh oui... oui Monsieur Ali! Je mettrais mon réveil.

— Bien, tu peux y aller!

— Merci Monsieur Ali.

Sophie sort de la voiture troublée par cette dernière instruction, elle qui aime traîner au lit le matin, va devoir se lever tôt. Monsieur regarde ces fesses rebondies qu'il sait nues remuer à caque pas de la brune qui regagne son laboratoire rapidement en évitant les couloirs trop fréquentés, dans son bureau, elle se dépêche d'enfiler sa blouse qui masque son chemisier qui ne ferme plus et surtout son absence de soutien-gorge. Elle est très confuse et a du mal à se concentrer sur son travail. Que venait-elle de faire? Qu'allait-elle devenir? Il faut cesser ça tout de suite!

Monsieur Ali lui envoie un SMS "si tu as envie de te caresser demande moi l'autorisation!"

Elle n'a pas vraiment envie de se caresser, ne s'étant que très rarement masturbée, son éducation le lui interdisait. Cependant, ce message la trouble, ne lui a-t-il pas dit qu'il fallait bousculer les conventions? Heureusement que je n'ai pas de culotte pense-t-elle, elle serait trempée. Après les sous-vêtements, la manière de s'asseoir, devoir demander l'autorisation pour se faire du bien, est-ce une nouvelle règle? Ces pensées se bousculent dans sa tête. Elle réalise qu'elle s'est assise en respectant la consigne de Monsieur Ali, ses fesses sont directement en contact avec sa chaise, finalement ce n'est pas si désagréable, tout comme de ne pas serrer les cuisses.

"Oui Monsieur, je vous demanderai l'autorisation pour me caresser"

"je raccompagne Ophélie!" Reçoit-elle en guise de réponse.

"Mon dieu? Ma fille! J'espère qu'il ne va pas être aussi pervers qu'avec moi! Non, pas ma fille! C'est pas possible! C'est un homme bien malgré tout. Il ne fera jamais ça!" pense-t-elle pour se rassurer.

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7 Commentaires
AnicetteAnicetteil y a 3 mois

Je me caresse la vulve en lisant.

mecdualmecdualil y a 7 mois

on en est encore à la mise en place, mais j'aime deja beaucoup

MoiaunaturelleMoiaunaturelleil y a 7 mois

Incroyable j'adore !!!! j'attend la suite avec impatience :)

Papa75Papa75il y a 7 mois

Magnifique vivement la suite

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