L'elfe Qui Voulait des Gros Seins

BÊTA PUBLIQUE

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Et des mots lui vinrent aux lèvres, anciens, inconnus, mais ceux dont elle avait besoin. Sans hésiter, elle les laissa prendre possession de son corps et ils se déversèrent, doux, riches et complexe mais surtout incroyablement puissants. Le globe tinta doucement alors qu'il s'ouvrait et qu'une rafale d'étoiles la projetait tête la première à l'intérieur. La cité se déploya alors devant ses yeux, impressionnante même vue du ciel, et ces maudits chants montaient jusqu'à elle. D'une simple pensée elle se propulsa loin d'eux, loin de l'ennui, loin d'Esiresse et ses conseils stupides, loin de ces vieux arbres étouffants, vers l'inconnu, vers l'aventure. La forêt filait sous elle, immense et ancienne, et elle accéléra encore. C'est alors qu'elle heurta les protections. Son corps et son esprit restèrent suspendus dans les airs un instant, puis elle tomba.

Le sol était doux sous elle, et elle n'osait faire un mouvement, de peur de réveiller la douleur qu'elle était sûre de devoir ressentir. Non loin, elle entendait le clapotis d'une étendu d'eau, peut-être un lac. L'air était aussi tiède qu'une nuit d'été. Elle bougea prudemment un orteil, et comme aucune crise d'agonie ne semblait se manifester, elle se mit assise en ouvrant les yeux. Devant elle se trouvait la licorne. Pas une licorne. La licorne, celle qui l'avait aidé à surmonter l'ennui depuis tant d'année. Son corps d'un blanc pur n'était que puissance et majesté, contrastant avec sa crinière arc-en-ciel nuageuse, presque irréelle tant ses couleurs étaient vives, et sa corne nacrée qui reflétait la lumière du soleil. Ces yeux bleus la fixaient, curieux. Mais Edalas ne regardait pas si haut. Elle savait qu'elle était face à une créature mystique et puissante, probablement le dernier rempart entre elle et la liberté, mais elle avait trop souvent visualisé cette créature majestueuse pour que son esprit ne lui rappelle pas. La licorne penchée sur Esiresse étendu sur un rocher, la licorne debout face à la Lune Esiresse à genoux sous elle, la licorne galopant à travers la forêt... Elle devait savoir. Son regard se fixa entre les jambes musclées de la créature, et elle se pencha pour mieux voir. Le membre était du même blanc nacré que la corne. Il était aussi long que son avant-bras et d'une épaisseur comparable.

-- Je suis le gardien de cette terre sacrée, Edalas. Et j'ai pour mission de vérifier si tes raisons de les quitter sont bonnes.

La voix était profonde et douce, et elle senti son corps se réchauffer instantanément alors qu'elle faisait vibrer ses os. Elle n'avait pas écouté ce qu'elle disait, mais ce n'était pas important, car elle venait de remarquer quelque chose qui l'échauffait encore plus : le membre qu'elle fixait était dur. Elle le voyait palpiter doucement, se soulevant au rythme du cœur du gardien, pointé vers elle comme en accusation. La licorne était excitée par elle, et cela allumait un feu brûlant dans son ventre.

« Lève les yeux » L'ordre était sans appelle, et se rendant soudain compte qu'elle avait la bouche grande ouverte, elle s'exécuta, curieuse de la tournure que prendrait les événements.

-- Je sais pourquoi tu veux partir, Edalas, et je ne t'en empêcherais pas si telle est réellement ton désir. Mais sais-tu, toi, ce que tu désires.

Le feu que cette voix attisait en elle se faisait plus rugissant à chaque mot, et elle se demanda sérieusement de quel désire il était question.

-- Je veux partir pour explorer le monde, pour vivre une vie plus palpitante et pour avoir de plus gros seins!

À ces mots, le corps puissant de la licorne fût parcouru d'un frisson, et Edalas qui n'y tenait plus baissa les yeux à temps pour voir une goutte de liquide briller comme un cristal au bout de son membre. Quand elle reprit, Sa voix était légèrement plus rapide.

-- Le monde au-delà des terres elfiques est en mesure de t'apporter tout cela, et je peux t'en montrer un aperçu dès maintenant si tu le souhaites.

Sans parler pour ne pas se baver dessus, Edalas acquiesça. La licorne s'avança alors vers elle, la dominant de toute sa grâce. Une odeur de violette emplie alors ses narines, sa fleur préférée. En un geste souple, elle ôta sa robe, et aurait pu rougir si elle n'avait pas déjà si chaud quand le regard de la licorne s'anima d'une convoitise insatiable alors qu'elle la dévorait des yeux. Pour le moment, son corps était celui d'une elfe comme les autres : élancée, à la musculature longiligne, mais bientôt, elle serait bien plus que ça. Elle se mit à quatre pattes et avança sous la licorne, laissant sa chaleur l'envelopper tout entière. Son membre était juste devant son visage, palpitant de plus en plus vite. Elle savait qu'elle ne pourrait pas le mettre en elle, mais le prendre dans sa bouche serait de toute façon bien meilleur à en juger par l'odeur de violette qui lui imprégnait les narines. Elle prit la bite de licorne dans ses mains et commença à la caresser avec empressement. Sa peau était plus douce que n'importe quelle étoffe et pourtant aussi chaude et dure qu'une pierre restée au soleil toute la journée. Elle voulait le goûter sans tarder. Elle ouvrit grand la bouche, s'avança, l'odeur de la bite la submergeant, et referma ses lèvres autour du gland effilé. La licorne émit alors avec la force d'un orage d'été, et d'un mouvement vif s'enfonça plus loin dans sa bouche. Le gland chaud prenait toute la place, la maintenant grande ouverte, et pourtant Edalas faisait tourner sa langue tout autour, pour goûter à son effluve sucré. Un liquide se déversait dans sa gorge, et elle déglutit avec avidité car elle sentait la magie bienfaisante de la licorne l'inonder à travers lui. Pendant ce temps, sa chatte elfique réclamait son attention. Elle y plongea ses doigts, frottant frénétiquement ses parois qui étaient devenues tellement humide que son bras était rapidement trempé. Pendant ce temps, elle suçait avec avidité la bite qu'elle avait si souvent imaginé. Elle avait beau essayer vaillamment d'en prendre plus, seul le bout de ce mastodonte pouvait tenir dans sa bouche. De la salive lui coulait du menton et tombait goute à goute sur sa poitrine.

Une lumière dorée commença doucement à luire à travers son ventre, c'est alors qu'elle senti la magie de la licorne pousser en elle, se déplacer vers sa poitrine. Ses seins commencèrent à picoter, et elle les caressa d'une main, envoyant de nouvelles vagues de plaisir dans son corps déjà bouillant. Ses seins grossissaient sous sa pomme, elle en était sûre, à chaque battement de son cœur, elle avait plus de chère entre les doigts. C'était donc possible. La réalisation la frappa si violemment qu'elle en oublia la bite magique de licorne dans sa bouche alors qu'elle jouissait. Le plaisir la submergea, sa chatte se resserra si fort sur ses doigts que même si elle avait voulu elle n'aurait jamais pu les retirer, avant de se relâcher et de tremper ses cuisses et le sol de la forêt. Elle tomba en arrière, les deux mains sur ses seins qui faisait maintenant le double de leur taille normale. Elle sentait leur poids sur sa poitrine, leur douceur, et restait là, la bouche grande ouverte, haletante, à les sentir grandir entre ses doigts.

-- Le sort n'est pas encore terminer Edalas.

La voix de la licorne provenait de loin, à peine audible par-dessus le sang qui grondait dans ses oreilles. Mais elle comprit quand elle la vit se retourner et abaisser sa bite au-dessus de son visage. Le pré-sperme coulait encore de sa pointe, et dégoulinait sur ses joues. Elle se redressa et le pris dans sa bouche, seulement pour se faire pousser au sol par la licorne qui s'enfonça profondément dans sa gorge. Son gland apparu en relief sous sa peau, et la licorne commença à la baiser frénétiquement. Elle faillit jouir à nouveau en sentant cette énorme bite magique se forcer un passage dans sa gorge étroite. Gardant son souffle comme lorsqu'elle nageait au fond des lacs de la forêt, elle reprit ses seins. Leur croissance était plus rapide à présent. Elle les pétrissait brutalement pour tester leur fermeté, leur nouvelle sensibilité qui lui donnait l'impression d'avoir une deuxième chatte à chaque fois qu'elle les frôlait. Ils étaient si lisses et fermes, ses vrais seins de mortel, après tant d'années à les imaginer, elle les tenait enfin.

-- Prépare-toi, elfe, à connaître l'étendu de mes pouvoirs.

Sans plus d'avertissement, Edalas senti la bite dans sa bouche gagner en volume, ses lèvres s'étirer autour d'elle et la licorne émit à nouveau. Un arc-en-ciel de sperme fut projeté directement dans son ventre, chaud et picotant de magie. Ses seins grandir brusquement, doublant à nouveau de taille pour devenir aussi gros que sa tête. Elle émit un cri étouffé par le membre qui lui martelait la bouche et lui envoyait salve après salve de spermes magiques pour alimenter sa croissance. Elle gardait les mains sur ses mamelons, émerveillé par la quantité de chère qu'elle tenait serrée dans les bras. Un nouveau spasme la pris, plus violent que le précédent et elle lâcha brièvement sa poitrine pour s'occuper de sa chatte jaillissante, vaguement consciente que quelque part, il y avait un monde qui n'était pas fait que de plaisir en fusion mais n'y prêtant aucune attention. Quand elle voulut reprendre ses magnifiques seins en main, elle se rendit compte qu'elle ne pouvait même plus en atteindre le haut. Assommée par son désir, l'extase la prit tout entière, ne laissant sur le sol qu'une elfe tâchée de sperme arc-en-ciel, écrasée sous deux seins gigantesques qui recouvraient une bonne partie de son torse.

-- Que cet aperçu te guide dans le monde mortel, Edalas.

La licorne recula doucement pour extraire son membre de la bouche de l'elfe endormie. Elle fléchit ses pattes avant, inclina la tête et quand sa corne qui brillait d'une lumière argentée toucha les seins d'Edalas, elle disparue, transportée à travers les protections millénaires de la cité.


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La suite : bientôt, peut-être 🥗.

[1] Les jurons elfiques sont particulièrement longs et complexes. Celui-ci parlait de papillons, de colombes et d'escaliers, mais Edalas l'avait globalement raccourci pour obtenir quelque chose qui se rapprocherait, si on devait le traduire, ce qui serait une insulte à la langue elfique tant elle est pure et belle par « bordel de merde ».

[2] Beaucoup de mots pour simplement dire « cicatrices », mais quand votre peau est si parfaite que celles-ci n'existent pas, vous n'avez pas de mot pour les nommer.

[3] La crainte venant surtout du fait qu'elle devrait alors choisir entre les multiples moyens de lui nuire, et que ce serait beaucoup trop long.

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 8 mois

Original, bien écrit.. Vite la suite!

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