Promenade Dans La Lande

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Rencontre avec une meute de loups-garous.
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Une jeune fille qui rentre à pied chez elle, en traversant la lande, rencontre une meute de loups-garous.

« Ouais, c'est ça, casse-toi, connard ! » Plantée au milieu de la route, j'essaye de déterminer quel est le plus court chemin pour rentrer à la maison de vacances où je loge avec mes parents. Malgré mes vingt ans, j'ai accepté de partir en vacances avec mes parents pour bénéficier de vacances gratuites en Irlande. En pensant que ce séjour allait être génial. Mais les gars du coin sont des ploucs qui ne sont pas intéressants pour une touriste étrangère. D'ailleurs leur accent irlandais rend mon anglais parfaitement inutilisable. Et les touristes en vacances ici n'ont qu'une seule idée en tête, me baiser !

Dans l'espoir de me faire des copains, j'en ai laissé quelques-uns me tripoter, mais je ne veux prendre de risque en allant plus loin, après tout j'ai mon petit copain qui m'attend à la maison. Ce soir, c'est un plouc du coin qui a obtenu mes faveurs. Après une balade dans sa vieille guimbarde, on se gare dans un village pittoresque de la côte. Quelques pas, bras dessus, bras dessous, avant d'entrer dans le pub typique du patelin.

Il m'offre une bière, on s'installe à une table, et voilà qu'il commence à me tripoter sous la table. Bonne fille, je le laisse s'amuser un peu, histoire de lui rembourser la balade, mais lorsqu'il veut mettre sa main dans ma culotte, je me fâche et je l'envoie promener.

Ce crétin s'est vexé, il est remonté dans sa guimbarde, et il est parti en me plantant là. À la réflexion, j'aurais peut-être dû le laisser me ramener à la maison avant de l'envoyer balader, en lui donnant quelques échantillons de mes plus belles injures en français et en anglais. Salaud de cul-terreux !

Tandis que les phares de sa voiture disparaissent au loin, je décide que, grâce au clair de lune et à ma bonne constitution physique, je peux rentrer à pied. J'ai jeté un coup d'œil à la carte du coin, et je me suis aperçue qu'en suivant leurs putains de routes de campagnes qui serpentent à travers la lande, j'aurai une bonne douzaine de kilomètres à parcourir. Mais si je coupe à travers la lande, je fais le pari que j'ai moins de trois kilomètres à faire.

Il fait bon, c'est la pleine lune, qu'est-ce que je risque? Me faire attaquer par un mouton ombrageux? Je me redresse, je bombe le torse en faisant saillir mes seins, je prends une bonne inspiration, j'attache mes longs cheveux en queue de cheval, et j'enjambe la clôture en riant avant de partir à travers le pré. J'estime à peu près la direction à prendre par rapport à la position des étoiles, la force du vent et l'âge du capitaine, et je fonce droit devant.

Même si c'est l'été, la brume commence à tomber, le fond de l'air est frais, et l'humidité imprègne mes os à travers la fine robe d'été en coton que je porte. J'augmente la cadence de mes pas en espérant qu'un rythme plus soutenu me permettra de garder un peu plus de chaleur. Mais je ne peux pas avancer très vite à cause des nuages qui cachent la lune de temps en temps, et me dissimulent les pièges du terrain.

Après environ 15 minutes de marche, je suis maintenant au milieu de nulle part, lorsque je crois voir cette ombre se déplacer. Une ombre curieuse, un homme courbé, se déplaçant presque à quatre pattes. Ce ne peut pas être un grand singe, il n'y a pas de cirque par ici. Un mouton ou un chien? Impossible, pas assez grand. Un baudet? Il ne pourrait pas se déplacer aussi vite. Parce que l'ombre se déplace très rapidement, avec beaucoup d'agilité. La vision a été fugace, j'ai beau scruter la lande, les jeux d'ombres et de lumières auxquels se livrent la lune et les nuages m'empêchent de distinguer quoi que ce soit.

Ce doit être mon imagination qui me joue des tours, je reprends ma marche, lorsqu'un hurlement derrière moi me glace le sang. Un loup? Il n'y a pas de loup par ici. Un autre hurlement répond au premier, loin sur ma droite. Aussitôt, je me mets à courir aussi vite que je peux. Je commence à décaler ma course vers la gauche, pour m'éloigner le plus possible, lorsqu'un hurlement éclate sur ma gauche, celui-ci plus proche de moi. Aussitôt, j'incurve ma course vers la droite. J'ai conscience que les hurlements guident ma course vers l'endroit où ils veulent que j'aille, mais que faire d'autre?

Mon cœur bat la chamade, j'ai le souffle court, je cours aussi vite que je peux, mais je trébuche et voilà que cette stupide sandale à lanières s'envole dans les bruyères. Je ne perds pas de temps à la chercher, je jette l'autre d'un coup de pied, et je reprends ma course. J'ai failli m'étaler en trébuchant sur une forme étalée en travers du sentier. Les nuages s'écartent, la lune éclaire la scène, et je ne peux pas retenir mon cri d'horreur. Un mouton égorgé git en travers du sentier, et le sang qui bouillonne dans sa gorge arrachée m'apprend que cela vient de se produire.

Je cours, je ne peux pas dire dans quelle direction, mais je cours aussi vite que je peux. Un hurlement sur ma droite me fait virer à gauche, un autre sur la gauche me fait partir à droite, ils me pilotent sans télécommande. Même si la lande est verdoyante, des pierres et des épines piquent la plante de mes pieds nus, et me font grimacer de douleur. Les hurlements se sont tus, remplacés par des grognements et des halètements. Au début, j'ai cru que c'était moi, le bruit de ma propre respiration caverneuse.

Mais ils sont derrière moi, et de chaque côté. Ils m'escortent? Je ne veux pas réfléchir, ni regarder, je veux juste courir, le plus vite et le plus longtemps possible. Je sens leurs souffles se rapprocher, ils sont sur mes talons. Les nuages se dissipent, la lune éclaire la lande, et je m'arrête net. Devant moi, un être simiesque me barre le chemin. Un orang-outang? Il est trop grand. Il est immense. Et ses yeux ! On dirait des flammes, un feu intérieur qui jaillit par des trous dans son visage. Il est recouvert de fourrure sur tout le corps.

Il est nu et, entre ses jambes, le truc qui pend est plus grand qu'un bras d'enfant, rougeoyant comme de la braise. En me voyant, ce qui doit être son sexe se contracte, se dresse, et projette quelques jets de fluide. Visiblement, il m'envoie un message, comme un rite de passage. La bête ouvre sa gueule, montre ses dents en retroussant ses babines, et pousse un long hurlement qui me glace l'échine. Un coup d'œil à droite et à gauche pour tenter une évasion, mais je n'ai pas le temps de choisir, un coup violent me heurte dans le dos, et me projette au sol en m'étourdissant légèrement.

Avec une agilité déconcertante, d'un bond la bête est sur moi et me plaque au sol. Le poids de son corps m'oppresse, il est beaucoup trop lourd pour que je puisse me dégager, et mes ruades ne rencontrent que le vide. Ses griffes dont ses extrémités sont équipées, au bout de ses mains et de ses pieds, déchirent et arrachent ma robe et mes sous-vêtements humides à cause de la brume. Je suis nue et immobilisée, il écarte mes jambes avec force, et me maintient exposée et vulnérable, épinglée comme une grenouille dans un cours de vivisection.

Plaquée au sol, son corps massif pesant sur mon dos, son énorme bite puissante balance entre mes cuisses, heurte mes chairs, pousse plus haut, en cherchant l'ouverture. Mes cris ne l'effraient pas. J'ai tellement essayé de serrer mes jambes, mais la créature ne m'a pas laissée faire. Sa force colossale ne me permet pas de lutter, je suis à sa merci. Je sens le bout de sa bite me heurter, touchant ma chatte, écartant mes lèvres. Je distingue d'autres formes humanoïdes dans la brume nous encercler et refermer le cercle qui m'emprisonne.

Je sens mes lèvres s'écarter, ma chatte s'ouvrir, sa bite pousser et entrer en moi. Je ressens l'ampleur de son membre qui m'ouvre lorsque le bout me pénètre et s'enfonce en moi. Il reste là, comme s'il hésite sur la conduite à tenir, sa force tranquille me soumet sans effort, je ne lutte plus, je suis vaincue et je sanglote, mais ça ne va pas m'aider. En plus, c'est fou comme sa bite m'étire, c'est si douloureux que je ne peux pas le supporter.

Dans un ultime effort, j'essaie de me relever, mais son poids sur mon dos est trop lourd. Je ne peux pas empêcher que cela se produise, je ne peux rien faire pour que cette créature s'arrête et s'en aille, je suis obligée d'accepter l'inéluctable. Je libère ma main pour me toucher. J'essaie d'atténuer la douleur en branlant et en frottant furieusement ma petite chatte, espérant moins souffrir avec un peu de plaisir.

La créature enfonce sa bite plus profondément en moi jusqu'à heurter mon col, je la sens presser le bout de sa bite contre mon col, et le franchir. Rien n'est allé aussi profond en moi et je halète. La créature arrête sa poussée, me saisit par les hanches, me soulève et m'installe agenouillée, le front au sol et les fesses en l'air. Je n'ose pas bouger, même pas me toucher. Elle me maintient là, sans bouger, et elle s'enfonce de nouveau, fort et vite, plus profond, encore plus profond, et plus rapide que le rythme humain. Plus profond, plus fort, plus vite, plus épais et plus long.

La bête me baise, sa bite pulse sans arrêt, cela facilite la pénétration en réduisant les frictions. Un sentiment de plénitude m'envahit. Je n'ai même plus besoin de me toucher, j'exulte continuellement. D'habitude, je ne fantasme pas sur la taille, mais là je suis tellement remplie et baisée que je suis bien obligée de reconnaître la supériorité de la créature. Je suis rassasiée et repue, et j'aimerais que cela ne s'arrête jamais. Je sens mon humidité s'échapper de ma chatte et tremper mes cuisses et, non ... la bite de la créature gonfle encore !

Mon halètement plein de gémissements se transforme en un long cri de plaisir, je glapis en sentant la bête s'abaisser sur moi. Sa fourrure me caresse le dos, sa gueule se referme sur mon cou, et je la sens palpiter en moi. Une soudaine sensation de chaleur intense lorsque qu'un feu d'artifice jaillit en moi, la raison m'abandonne et je hulule un long cri de jouissance, comme les autres bêtes groupées autour de nous. Je participe à cette bacchanale en mêlant ma voix à celles du clan. Je suis acceptée, intronisée, j'appartiens à la meute désormais.

Je suis la femelle du mâle dominant, et tous les membres du clan doivent m'honorer. Le chef se relève, sa chaleur s'éloigne, et je frissonne. Mais je reste en position, agenouillée, le front au sol et les fesses en l'air. Je me sens vide et ouverte tandis qu'un flot de semence s'échappe de moi. Bientôt une autre fourrure me caresse le dos, me couvre, m'enveloppe dans sa chaleur, et me pénètre. Tout le clan se succède, et j'entends les grognements qui indiquent aux individus la préséance et l'ordre de passage.

Les créatures m'entourent, se groupent autour de moi, grondant et reniflant dans une frénésie d'accouplement primitive, chacune revendiquant son tour avec la nouvelle femelle de la meute. Leur chaleur se transmet, je suis au chaud à l'intérieur du cercle, même si leur haleine fétide m'écœure un peu. Ils me prennent tous dans la même position, par derrière, accroupie au sol, en me couvrant avec leur fourrure chaude, et en prenant mon cou dans leur gueule au moment d'éjaculer.

Je pense que le cérémonial dure trop longtemps par rapport au nombre d'individus, et je suis certaine que certains petits malins ont dû passer plusieurs fois, d'où les grognements de rage des autres. Il n'y a aucune variante dans leur coït. Ils me prennent tous de la même façon, sans aucune imagination. Je suis baisée encore et encore, et le miracle c'est que j'exulte à chaque fois.

Finalement, la lune descend à l'horizon, l'aube approche, quelques grognements et jappements, j'ai l'impression qu'ils me remercient et me saluent, et toute la troupe se met en marche et disparaît rapidement. Je reste seule, nue dans la brume froide et humide, mon corps est couvert d'égratignures et de pinçons à cause de leurs étreintes brutales. Mais je suis aussi couverte de sperme qui me réchauffe. J'essaie de me relever, j'ai les reins en capilotade, mes jambes chancellent, ma chatte baille lamentablement, je pourrais rentrer ma main là-dedans comme dans un sac à main.

Je fais quelques pas en titubant, mais les premières lueurs de l'aube m'obligent à me presser, je ne veux pas que mes parents me voient rentrer dans cet état-là. Je sais que ma vie vient de changer pour toujours. Ce n'est plus un patelin pour passer des vacances, c'est maintenant ma demeure, et je sais qu'à la prochaine pleine lune, je serai là, à parcourir la lande, prête et impatiente, attendant de m'accoupler avec ma meute.

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1 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a 10 jours

Excellent... bref mais intense ! Et sauvage

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