Une Nouvelle Prof Prise Au Piège 01

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Une jolie prof victime d'un chantage aux photos volées...
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J'ai été recrutée il y a quelques semaines dans un lycée technique pour garçons du 18e arrondissement parisien. C'est pour moi une vraie évolution : j'ai quitté un job d'indépendante pour choisir la sécurité de l'emploi et parce-que j'adore la pédagogie. J'ai préparé les concours, les ai passés avec succès, et ai intégré mon premier poste en ce mois de septembre.

Je m'appelle Émilie, et je suis en couple avec Jean.

Je suis brune, de taille moyenne, et fine. Je fais des exercices quotidiens parce-que j'adore avoir un corps sans défaut. L'un de mes plaisirs : avoir un cul parfait. D'ailleurs Jean est aux anges. Il dit que je suis à la fois ferme et galbée, digne des bimbos les plus bandantes. Très souvent, je lui fais le plaisir de "séances photos". Je pose nue pour lui, dans toutes les positions qu'il désire, des plus érotiques aux plus humiliantes... Par amour, je suis prête à tout. Il me prend à chaque fois sous toutes les coutures. À chaque séance, je sais qu'il capte plus de 200 photos de moi! Le lendemain de ces jours-là, il les met sur notre ordinateur portable, et il adore les regarder quand je ne suis pas là. Ça me flatte, et je suis heureuse qu'il me regarde moi plutôt que d'autres filles! Je ne sais pas combien de fois on a fait ça, mais je sais que depuis des années de cette pratique maintenant, il a plusieurs milliers de photos de moi dignes des pornos les plus osés.

J'aime notre vie. Et mon nouveau boulot me plait énormément.

Moi qui suis fière de mon corps, je n'y vais pas à moitié pour m'habiller sexy au quotidien. J'adore l'idée d'être un fantasme pour mes collègues et les jeunes hommes qui viennent à mes cours. Et Jean adore ça, raffole que je lui raconte comment les hommes me dévisagent ou me draguent. Ça l'excite, et ce manège me plaît beaucoup. Alors, je porte le plus souvent des jupes très très courtes, avec un simple string dessous, des sandales à talons, et des top moulants, parfois avec, parfois sans soutien-gorge, parfois assez transparents. Et j'ai déjà prévu que cet hiver je rajouterai simplement des collants pour ne pas avoir trop froid, mais que je ne cacherai pas grand chose de plus. Et bien sûr, l'un de mes plaisirs sadiques est de faire celle qui ne voit rien, qui ne remarque pas que les hommes sont fous de désirs, celle qui allume malgré elle mais qui ne s'en rend pas compte, celle qu'on a envie de chopper coûte que coûte mais qui nous échappe. Bref c'est un plaisir de jouer avec les mecs et de les rendre dingues. Et même si ça m'emballe de jouer de la sorte, je suis complètement fidèle à Jean avec qui je suis très heureuse.

Depuis la rentrée donc, je m'amuse à remarquer que je fais tourner les têtes. Il y a trois hommes à l'école dont le regard me dérange terriblement. Il y a le directeur de l'animation : Akli. C'est un gros arabe, assez repoussant, qui me fait constamment des regards trop appuyés. Le directeur de l'école, Régis, est un quinquagénaire qui fait homme d'affaire véreux, et qui a aussi un regard torve. Je déteste avoir affaire à lui. Et enfin le chef de l'équipe de ménage, Bouba. C'est un noir, à la tête de son équipe d'hommes noirs. On sent qu'il est matcho. Pour moi, c'est un sauvage. Et souvent le matin quand je le croise, il me regarde comme un objet. C'est vraiment hyper désagréable. D'ailleurs, depuis la rentrée, à force de côtoyer Akli et Bouba, mon mépris pour les hommes "bronzés" s"est confirmé.

C'est la troisième semaine que tout a basculé. J'avais bêtement oublié l'ordinateur portable dans ma classe un vendredi soir, et on s'était dit avec Jean que c'était une bonne occasion de ne pas regarder d'écran pendant 2 jours. À part traîner un peu sur nos téléphones, on s'est un peu sevrés de nos habitudes modernes.

En arrivant dans ma classe lundi matin, au retour du week-end, j'ai compris que quelque chose n'était pas normal. J'ai déplié l'ordinateur et celui-ci avait des grosses traces blanches, encore fraiches, sur l'écran et le clavier. J'ai allumé l'alimentation, et là, stupeur, je vois une photo de moi en plein écran, nue, les jambes écartées, en l'air, pieds pointés, souriant à l'objectif. Je reste tétanisée. En appuyant sur la touche "Echap", un mot apparait : "Merci ma jolie pour cette fantastique collection de photos de toi. Ton bureau est tout tâché comme tu peux voir. Alors on ne va pas perdre de temps. Tu vas le nettoyer avec ta langue maintenant sinon... 30... 29...

Un compte à rebours a démarré. Je regarde mon bureau. Il est en effet plein de traînées blanches. J'en ai même sur les bras que j'avais posés sur le bois.

Je reste ébahie, sans trop comprendre. C'est quoi cette histoire???? C'est une blague ou quoi? Et cette demande complètement dégradante?? Mais c'est hors de question de rentrer dans ce jeu!! Le compte à rebours file. Je détourne le regard, le repose sur l'ordinateur. Le décompte se termine. J'allais rabattre l'écran quand je vois apparaitre ce message : "Tant pis pour toi. Je te conseille de courir à la photocopieuse en salle des profs."

Mon sang ne fait qu'un tour. Je bondis hors de ma classe, descends l'escalier comme jamais, et cours en salle des profs. L'imprimante ronronne. Commence à sortir une photo A4 couleur. Des pieds apparaissent, un cul tendu, un dos cambré... C'est moi, à 4 pattes, en train de sourire à l'objectif!!! Je pâlis. Je prends la photo entre mes mains tremblantes et reste figée. Je n'ai pas entendu Akli, le directeur de l'animation, entrer dans la salle, alors que je fixe la photo. "Jolie!", me dit-il. Je cache la feuille, le foudroie du regard, et tourne les talons.

Je me précipite dans ma classe, devant mon écran. Un message y est affiché.

"Cette impression était un premier avertissement. Tu as intérêt à coopérer ma petite Émilie. Enlève immédiatement ta culotte et lèche ton bureau."

Mes élèves arrivent dans 10 minutes. Je n'ai plus le temps de réfléchir. Pas de solution à première vue. Je retire mon string, le glisse dans mon sac, et me penche sur mon bureau. Toute cette substance étalée ne fait plus aucun doute. C'est du sperme en quantité. Je sors la langue avec dégoût et commence à lécher. Je regarde régulièrement l'écran, et heureusement. J'y lis "Allez lèche bien tout et avale, en regardant la caméra qui est sur ton bureau". Mon regard cherche et aperçoit, à côté de mon pot à stylos, une minuscule caméra qui ressemble à un taille-crayon, sur lequel un point rouge est allumé. Je grimace. Je n'aime pas le goût du sperme. J'accepte rarement de prendre celui de Jean en bouche, et avaler c'est hors de question pour moi. D'ailleurs je ne le suce presque jamais.

Je jette un œil vers l'écran. Un nouveau message y est affiché :"Remonte ta petite jupe, et cambre toi au maximum. Et puis fais un effort pour sourire en léchant", puis-je y lire. J'hésite un instant, remonte maladroitement ma jupe au dessus de mes fesses, et force un sourire en regardant la caméra. Quand je tourne la tête vers l'écran, je lis immédiatement : "Bien, tu es une bonne salope, et ton cul est encore plus bandant en mouvement qu'en photo". Je suis donc non seulement vue en direct, mais sous plusieurs coutures! C'est une certitude! Il faudra que je cherche toutes les caméras pour les enlever...

Alors que j'entends les élèves arriver dans le couloir, je me relève d'un bond, redescends ma jupe, et ai juste le temps de m'asseoir comme si de rien n'était quand entrent les premiers étudiants. Je rabats mon écran, et jusqu'à la récréation, mon heure et demie de cours est une torture. Qui plus est, je peux à peine bouger sur mon siège tant j'ai peur que les adolescents du premier rang aperçoivent mon sexe entièrement épilé.

Le cours passe lentement. Quand celui-ci se termine et que les élèves sont sortis, je rouvre l'écran. Un message y est affiché : "Ne t'avise plus de fermer ton écran sans autorisation. Tu seras punie pour ça. Tu devrais aller rapidement dans le bureau du directeur, inconsciente Émilie."

Je bondis, traverse les couloirs sous les regards étonnés de certains collègues et frappe à la porte de Régis. Pas de réponse. J'ouvre la porte lentement. Personne. J'entre, fais quelques pas en scrutant la pièce, et vois sur son bureau 3 photos A4 de moi absolument dégradantes. Sur l'une je suis attachée à mon lit, sur le ventre, les fesses tendues. Sur une autre, je suis baillonée, allongée sur le dos, en train de me caresser tout en regardant l'objectif. Sur la troisième, je suis aussi allongée sur le dos, les pieds dans les mains, les jambes grandes ouvertes, le sexe parfaitement épilé et brillant.

Je ramasse les photos en un seul geste et m'apprête à sortir quand entre Régis. Je me tétanise, écrasant les photos sur ma poitrine.

- Qu'est-ce que vous faites là Émilie, me dit-il.

- ... Euh j'avais des documents à vous soumettre mais finalement je pense que je dois les réécrire.

- A propos de?

- De... la réunion avec les parents lundi, balbutiais-je.

Il me regarde de haut en bas. D'être en mini-jupe me gêne atrocement à cet instant.

- Émilie, me lance-t-il. Je vous ai vu prendre ces feuilles sur mon bureau. Vous me volez des documents maintenant?

Je suis pétrifiée. Je deviens pâle.

- Émilie, je ne vais pas vous le dire deux fois. Soit vous me rendez ces documents, soit je porte plainte. Vous comprendrez que dans ma position je ne peux pas tolérer de pareils agissements.

Une larme monte. Je suis coincée. Tremblante, je le supplie. Il reste ferme. Je ne bouge pas.

Il me contourne, s'approche de son bureau et décroche son téléphone.

- Vous avez fait votre choix Emilie.

Je le regarde dans les yeux, il attend. Je lui tends les documents.

Il les saisit, s'assied, et commence à sourire.

- C'est très... charmant. Inattendu. Vous vouliez me faire un cadeau?

Je ne sais que répondre. Tout lui déballer?

La cloche sonne. Mes élèves doivent déjà être devant la classe pour certains.

- Revenez à la pause de midi, vous m'expliquerez, dit-il avec un sourire qui monte jusqu'au oreilles.

Et ce faisant, il ouvre un tiroir et glisse les papiers à l'intérieur.

- Allez dépéchez-vous d'aller donner cours, vous allez être en retard!

Je n'arrive pas à bouger, le poids est infini. Déployant le peu d'énergie dont j'étais encore capable, je sors de son bureau.

Quand j'arrive dans ma classe, les élèves sont installés. Je dévérouille l'ordinateur et lis : "J'espère que ça t'a servi de leçon. Pendant ce cours, tu vas ouvrir tes jambes pour faire plaisir aux gentils adolescents qui te regardent."

Au premier rang, il y a les trois élèves les plus turbulents que j'ai mis près de moi. Ils ont une vue imprenable sur mes jambes sous le bureau sans fond auquel je suis assise.

Un nouveau message : "Et ne t'avise pas de désobéir, il y a une caméra sous ton bureau. Tu ne voudrais pas d'une autre punition?"

J'ai envie de pleurer. En démarrant le cours, je commence à laisser mes jambes s'ouvrir légèrement. Je guette les réactions. Personne n'a l'air de remarquer.

Mais les messages s'enchaînent me commandant d'écarter plus les jambes, sinon...

Alors, je m'excécute lentement. Je vois que les élèves du premier rang commencent à s'agiter. Ils se donnent des coups de coudes. Et rapidement, une dizaine de mes élèves regardent fixement sous ma table. Je sais que mes jambes sont maintenant suffisamment ouvertes pour que mon sexe parfaitement lisse soit à la vue de tous. Je tiens quelques instants dans cette position dégradante, puis ressers les jambes, et regarde anxieuse mon écran.

Un message apparaît presque instantanément : "Tu désobéis encore? Alors ouvre tes jambes en grand, immédiatement! Sinon tu vas le regretter amèrement".

Mes yeux sont mouillés. Je dis à mes élèves de prendre leur livre à la page 36 et d'en faire tous les exercices en silence jusqu'à la fin du cours.

"Dépêche-toi, affiche un nouveau message. Ouvre tes jambes à 180 degrés, maintenant "!

Je ferme les paupières, et éloigne mes jambes l'une de l'autre. Mes années de danse m'ont rendue extrêmement souple, et je n'ai aucun mal à écarter mes jambes complètement.

Au bout de quelques longues secondes dans cette posture, j'ouvre lentement les yeux. Hamid et Mohammed sont en train de me prendre en photo avec leur smartphone.

- Posez vos téléphones immédiatement, leur dis-je avec un regard sévère! Je les regarde dans les yeux, méchamment. Mais je garde les jambes entièrement ouvertes pour ne pas désobéir, et avec mon sexe complètement offert à leurs regards, je sais que je ne suis absolument pas crédible. Ils hésitent, puis me sourient tout en reprenant de plus belle des photos. Je suis vaincue. Je viens de perdre toute mon autorité auprès de mes élèves. Mes jambes galbées, mon abricot tout lisse n'ont plus aucun secret pour les garçons qui se délectent de cette vue, tout en la captant pour leurs masturbations du soir.

Soudain, je peux lire sur mon écran : "Tu as été une bonne fille bien obéissante Emilie. Tu peux fermer les jambes".

Je les clos d'un coup et attends la sonnerie indiquant la pause de midi, démolie.

Assise dans le bureau de Régis, je décide de lui raconter toute l'histoire : les milliers de photos de moi au mains d'un maître-chanteur, les chantages qui ont commencé aujourd'hui. Je me livre, lui expose toute la situation.

Il m'écoute. Lorsque je me tais, Régis laisse un temps de silence, puis me dit :

- Eh bien vous êtes dans de beaux draps Emilie. C'est sûr que vous pourriez être renvoyée si ces photos se faisaient connaitre. L'image de notre école ne peut encaisser de tels agissements. Vous risquez de devoir assumer votre erreur. Je vais réfléchir à comment vous aider.

Il ouvre son tiroir, sors les trois photos et me dit :

- Vous voulez que je vous les rende j'imagine?

- Bien sûr, lui dis-je!

- Eh bien venez les récupérer. Je vous les rends.

Je me lève.

- Par ici ma jolie, me dit-il en m'indiquant de passer de son côté du bureau.

Je fais le tour et aperçoit son énorme sexe dressé entre ses jambes, son pantalon à ses pieds. Je me fige.

- Je ne vais pas y aller par 4 chemins, ajoute-t-il. Il va falloir me faire une petite gâterie Emilie si vous voulez acheter mon silence. C'est risqué pour un directeur de défendre un professeur dans cette situation.

Je le supplie, fonds en larmes. Mais je vois bien que mes larmes lui plaisent plus qu'elles ne l'apitoient.

- Allez, dépéchez-vous de me prendre en bouche.

Je m'agenouille vaincue, le regardant, suppliante.

Il me carresse les cheveux puis me saisit le crâne et dirige ma bouche avec force vers son sexe bandé. Mes lèvres frôlent son gland. Je les garde fermées. Puis, sous la pression de ses deux mains sur ma tête, mes lèvres cèdent et son braquemart s'enfonce dans ma bouche. Il appuie fermement sur ma tête pour enfoncer entièrement sa bite déployée et j'essaie de résiter mais déjà son gland tape au fond de ma gorge. J'ai un haut-le coeur.

- C'est bien Emilie. Il va falloir s'appliquer. Et regarde-moi dans les yeux pour me faire comprendre que je dois me taire. Ce serait plus prudent pour toi.

Il a lâché mon crâne et je peux reprendre ma respiration quelques instants. Il me tutoie le salaud. Quel avilissement! Il m'attrappe par les cheveux et enfonce à nouveau profondément son sexe dans ma gorge. Il me commande de le regarder dans les yeux, ce que j'essaie de faire de mon mieux alors que mes yeux sont brouillés par les larmes, et que je n'arrive pas à respirer entre deux étouffements. Il me demande d'aspirer. Je fais de mon mieux. Je sens son saucisson gonfler encore dans ma gorge. Il enfonce son pieu sans ménagement, il utilise ma bouche comme un vide-couille. Je suis dégradée. Je le vois saisir quelques chose sur son bureau. Il enfonce encore son sexe au fond de ma gorge. Je ferme les yeux quelques secondes.

- Regarde-moi, lance-t-il.

J'ouvre les yeux, les monte vers lui, et voit qu'il tient son smartphone en main. Est ce qu'il me prend en photo ou est-ce qu'il me filme? Impossible de savoir. Je sens son membre se raidir, et battre. Il décharge alors dans ma bouche d'énormes giclées de foutre.

- Avale tout. Je ne veux pas la moindre goutte par terre petite chienne. J'espère que c'est clair!

Je déglutis difficilement, avale par goulées le sperme qui coule dans ma bouche.

- Agite ta langue, dit-il tout en continuant à lâcher son liquide épais.

Je m'excécute, prenant soin de tout avaler. Je pompe avec dévouement en regardant l'appareil. Je tourne ma langue, aspire, avale, m'applique à ne pas contrarier mon directeur qui tient son objectif vers mon visage.

Quand enfin il lâche ma tête, il me regarde quelques intants, le téléphone pointé vers moi et me dit :

- Tu peux te relever. Tu mérites que je te rende tes photos. Tiens, les voilà.

Je rajuste mes vetements, saisit les feuilles en le traitant intérieurement de connard, et me dirige vers la porte. Alors que je l'ouvre, il me dit :

- Au fait Emilie...

Je le regarde. Il continue en me lançant un sourire pervers :

"J'ai gardé un double des photos au cas où. Il vaut mieux que j'ai un maximum de pièces pour pouvoir t'aider au mieux".

Je le fusille du regard. Quel enflure. l'étau se resserre. Je sors et referme la porte derrière moi. Quel est ce calvaire qui démarre?

À suivre...

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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21 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 2 jours

La suite est très attendue ;-)

AnonymousAnonymeil y a 3 jours

Vivement la suite. L'idée de la prof dominée et obligée d'être sexy à l'école me plait bien.

histoiresdellehistoiresdelleil y a 3 jours

C'est le courageux anonyme qui est pathétique, avec son commentaire désobligeant. Ca donne vraiment envie de publier un 1er texte si c'est pour se faire flinguer par un frustré. Prends ton temps, amuse-toi, tu ne lui dois rien. :) Bises

emiliedanseemiliedanseil y a 4 joursAuteur

Je ne me dégonfle pas ! Je peaufine ;)

Et super l'idée de préciser pourquoi l'ordinateur est oublié.

Merci !!

AnonymousAnonymeil y a 5 jours

Evidemment pas de suite ...

Encore une fantasmeuse qui se dégonfle ... pathétique

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