L'Education Sentimentale

BÊTA PUBLIQUE

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Nous étions restés nus, seulement vêtus de nos bas et de nos chaussures à talons hauts.

Nous ne nous étions pas placés, comme à l'accoutumé, de part et d'autre de la table, mais bien, tous les trois du même côté.
J'étais installé entre les deux femmes et, tout en mangeant, nous n'arrêtions pas de nous caresser mutuellement.

L'ambiance était détendue et chaleureuse. Eva semblait particulièrement heureuse de la tournure qu'avaient pris les événements et elle était très loquace.
Elle parlait haut et fort et harcelait ma mère de questions. Elles voulait savoir, par le détail, comment notre aventure avait commencé et comment se passait notre relation.

Ma mère lui expliqua tout dans le moindre détail, insistant spécialement sur certains détails et certaines scènes que nous avions vécues et qui étaient particulièrement torrides. Elle ne cacha rien, au contraire, il fit totalement confiance à Eva, mais ce qu'elle voulait, avant tout, c'était l'exciter.

Et je dois dire que çà marchait comme ma mère l'avait voulu. Eva était excitée comme une puce.

Elle trépignait sur sa chaise, elle gesticulait, serrait les cuisses, les frottaient contre les miennes ou celles de sa voisine, les croisaient tout-à-coup, les décroisait; ses gros seins s'agitaient dans tous les sens, au gré de ses gestes; tantôt ils se soulevaient lorsque sa respiration se faisait haletante lorsque le récit de ma mère se faisait plus précis et enivrant.

De mon côté, toujours silencieux, je ne manquais rien de la scène et je n'avais pas assez de mes deux mains et de mes deux jambes pour toucher ces dames, me frotter à elles et entretenir leur désir.

Je me consacrais surtout à Eva car j'adorais son corps pulpeux, mais je me penchais de temps en temps vers ma mère pour l'embrasser et lui caresser la poitrine ou le ventre afin de ne pas attiser sa jalousie et lui prouver que je ne l'abandonnais pas.

J'aimais les seins de notre nouvelle amie et je les pelotais outrageusement. Je pinçais jusqu'à les faire rougir, ses grands mamelons et, très vite, j'avais compris que cette caresse plaisait beaucoup à l'intéressée car sa poitrine gonflait et devenait très dure dès que je m'y consacrais.

Lorsque je l'abandonnais, c'était pour glisser une main sur le bas de son dos et puis entre la raie des ses fesses.

Celles-ci étaient rebondies et le sillon était particulièrement profond. La sueur perlait à l'intérieur et facilitait l'introduction de mes doigts jusqu'au petit trou qui était très ourlé, preuve qu'il ne devait plus être vierge depuis longtemps. Je m'y introduisais sans difficulté et Eva, pour me montrer qu'elle appréciait cette intrusion, se penchait en avant sur la table pour se soulever légèrement et me donner d'avantage son cul, tout en poursuivant sa conversation avec ma mère.

Alors, dès que je l'avais astiquée un peu de la sorte et lorsque l'histoire en était à un de ses passages croustillants, elle se mettait à gémir en fermant les yeux et elle jouissait ainsi par ses entrailles les plus secrètes.

Lorsque ma mère en eut terminé avec notre histoire, Eva nous parla un peu d'elle.

Elle semblait particulièrement mal dans sa peau.

Délaissée par son mari, elle vivait très mal sa relative solitude, s'adonnant beaucoup à la masturbation et fantasmant sur toutes sortes de livres et de films pornographiques dont elle s'était constituée une collection qu'elle complétait sans cesse.

Elle nous avoua qu'il lui arrivait, parfois, de prendre un amant, ou plutôt de se faire baiser par un inconnu lorsque les circonstances s'y prêtaient. Elle fréquentait, pour cela, un cinéma de banlieue, semblable à celui où nous étions allés quelques fois, ma mère et moi, et, à certaines séance, il s'y retrouvait une clientèle d'habitués qui faisait en sorte que très vite, dès l'extinction des lumière et le début du film, le spectacle était plus dans la salle que sur l'écran.

Au fil des années elle avait eu un nombre incalculable d'amants de tous âges, de toutes origines, de toutes races et même des deux sexes, mais, avec l'âge elle se disait quelque peu assagie et, même si ses sens ne s'étaient pas calmés, elle avouait être devenue moins audacieuse et plus prudente dans le choix de ses relations occasionnelles.

Elle nous raconta qu'elle avait appris à se satisfaire de plus en plus des attouchements solitaires et qu'elle disposait d'une panoplie très variée d'objets et de gadgets qui l'aidaient à suppléer aux absences chroniques de son époux.

Pendant qu'elle nous parlait ainsi, je m'étais laissé glisser sur le sol, sous la table, et je m'étais mis à lécher les deux chattes qui s'offraient sans pudeur à ma vue.

D'abord ma mère, qui avait immédiatement compris mes intentions en me voyant disparaître et qui avait ouvert grand les jambes pour me faire comprendre ce qu'elle attendait de moi.

Je l'avais léchée consciencieusement, jusque dans les moindres replis, en centrant petit à petit le mouvement de ma langue sur son bouton tout érigé. Pendant ce temps je frottait mon corps nu contre se jambes et j'appuyais ma bite et mes couilles contre son pied.

Elle jouit très fort en criant et en tendant les jambes.

Je suis passé, ensuite, à Eva.

Sa chatte était si différente! Presque pas de grandes lèvres, un simple replis, mais des petites lèvres hypertrophiées, pendantes, comme un lambeau de peau rouge-brun surmonté d'un énorme capuchon de chair.

Ce sexe avait une beauté particulière, presque vulgaire. En d'autres temps il eut paru très laid, presque comique à regarder, mais dans les circonstances où je me trouvais, concentré sur les choses de l'amour et excité, je ne le voyais pas avec le même regard; je le trouvais particulièrement érotique et d'une beauté purement charnelle.

Je léchais cette fente béante en faisant coulisser lentement ma langue de bas en haut, à grandes lapées. Parfois je m'arrêtais sur l'énorme proéminence qui encapuchonnait le clitoris, je la contournais, je la massait, je la titillait et puis je l'abandonnais pour redescendre me perdre dans le profondeurs baveuses.

Eva mouillait de plus en plus. Le jus mêlé à ma salive lui coulait entre les fesses.

Je m'étais redressé sur mes genoux entre ses jambes qu'elle tendait très fort, mais, à un moment donné, je lui pris les deux chevilles et je ramenai ses pieds contre mon ventre.

J'avais coincé ma bite entre ses escarpins et, par un mouvement de va-et-vient que j'imprimais à ses jambes, je me branlais entre ses pieds.

J'aimais beaucoup la sensation que me procurait ainsi, le contact du cuir froid sur ma queue brûlante et, au fur et à mesure que l'excitation montait en moi, je redoublais mes coups de langues dans sa chatte.

Je ne voulais pas jouir et je me retenais afin de me réserver pour des instants meilleurs encore, mais elle ne tarda pas à exploser en agitant ses cuisses et en tentant involontairement à se libérer de mon emprise.

Je l'entendais crier et je devinais, à la position de ses jambes, que ma mère était penchée vers elle, probablement pour l'embrasser et lui caresser la poitrine.

-Continue! me criait-elle. Continue, je jouis encore, n'arrête pas, c'est si bon, j'en veux encore…je sens que je vais à nouveau jouir…çà n'arrête plus.

Tout à coup elle se mit à pisser, un jet dru qui me surprit et me frappa le visage.

Je ne m'y attendais pas et je sursautai, me dégageant de son sexe.

-Caresse-moi donc, salaud, ne me lache pas! Continue! Ne sens-tu pas que moi aussi je peux éjaculer , criait-elle comme hébétée.

Le premier moment de surprise passé, je me remis à lui lécher le sexe, en évitant le jet qui ne se tarissait pas et qui giclait, dru, entre ses jambes, sur ma poitrine et mon sexe que je serrais toujours prisonnier entre ses pieds.

Il fallut plusieurs minutes pour que nous reprenions nos esprits, moi, assis sous la table dans une mer d'urine et Eva affalée sur sa chaise, jambe et bras écartés.

Pendant ce temps, ma mère, parant au plus pressé était allée chercher de quoi nettoyer les lieu et rétablir une situation fortement compromise.

-Aller, ouste, debout tout le monde! C'est très agréable de s'envoyer en l'air, mais près il faut réparer les dégâts! Dit-elle joyeusement tandis que nous ne levions prêts à l'aider.

Pendant que les deux femmes achevaient de remettre la cuisine en état et qu'elles faisaient la vaisselle du dîner, j'étais allé dans la salle de bain, me débarrasser de mes bas et du porte-jarretelles complètement trempés et prendre une douche bien chaude.

Lorsque je revins dans la cuisine les femmes n'y étaient plus; elles étaient retournées au salon.

En entrant dans la pièce je les trouvai allongées dans le grand divan, l'une sur l'autre, têtes bêches, occupées dans un soixante-neuf passionné.

Ma mère était en dessous et Eva, à quatre pattes au-dessus d'elle, avait la tête enfouie entre ses jambes.

D'où j'étais je voyais l'énorme postérieur de notre invitée et je distinguais clairement la langue de ma mère qui allait et venait dans la fente écarlate.

Je me suis alors approché lentement en ne perdant pas une miette de la scène. Ma bite était, à nouveau, au garde-à-vous et je la caressais doucement en regardant le tableau particulièrement érotique qui s'offrait à moi.

Je me suis branlé, ainsi, pendant plusieurs minutes, ne perdant rien du spectacle.

Voir deux femmes faire l'amour étais un rêve que je caressais depuis si longtemps! Jamais je n'aurais osé croire qu'il se réaliserait un jour, et de manière aussi exceptionnelle: ma mère et une amie, plus âgée, était occupées à se peloter et à se masturber réciproquement sous mes yeux et, de plus, je pouvais participer, à loisir, à leur jeu et leur donner tout le plaisir que je voulais; que demander de plus, lorsque l'on a quinze ans et que l'on est obséder par le sexe, comme le sont, je crois, tous les adolescents de cet âge.

Je me retenais de jouir et de cracher, à nouveau, mon jus sur ces deux femelles en rut, comme je l'avais déjà fait tout à l'heure, car je voulais varier les plaisir.

J'étais très attiré par Eva, dont les formes plantureuses et mûres m'excitaient au plus haut point.

Cette femme aurait pu être ma grand-mère et cela ne m'enivrait que plus, d'autant que, physiquement elle était très appétissante; j'avais déjà, à l'époque, ce goût qui ne m'a jamais quitté pour les femmes rondes et bien en chair, par opposition aux mannequins squelettiques qui font la une des magazines et des journaux.

D'où j'étais, je pouvais admirer à loisir, l'énorme postérieur d'Eva et dans la position agenouillée où elle se trouvait, le sillon profond de ses fesses s'était entrouvert et invitait à l'exploration.

Je voyais l'œillet de son cul très proéminent et ourlé et j'eus, soudain, envie de le lécher.

En m'approchant, je posai un baiser complice sur le front de ma mère qui esquissa un sourire, mais ne cessa pas, pour autant, son travail dans la fente juteuse.

J'introduisis ma langue entre les fesses offertes et je me mis à titiller les alentours de l'anus, en cercles concentriques qui me ramenèrent, inéluctablement, au centre de l'intimité d'Eva.

Je léchais et entrais ma langue au plus profond, pénétrant de quelques centimètres à l'intérieur du conduit dont je faisais reluire les parois pour les préparer à une pénétration bien plus puissante.

Lorsqu'Eva eut joui plusieurs fois déjà sous les coups de langues que lui donnait ma mère et lorsque j'estimai que son petit cul était assez lubrifié, je me redressai, un pied de chaque côté de la tête de ma mère et je me courbai de manière à présenter ma grosse bite devant l'ouverture frémissante.

En imprimant une poussée contrôlée et régulière, je la sentis s'enfoncer inexorablement.

Je ne me suis arrêté que lorsque que je sentis mon ventre toucher les fesses chaudes: mes vingt centimètres de queue étaient entrés sans difficulté, et les cris d'Eva n'étaient pas des plaintes ou des cris de douleurs, mais bien des chuintements de plaisir.

-Comme c'est bon, disait-elle, comme j'aime être ainsi enculée par un sale petit gamin qui frotte ses couilles sur le visage de sa salope de mère…continue, je sens que je vais jouir à nouveau…aah…il y a si longtemps que mon cul n'avait plus été visité par une bite…j'avais faillis en oublier le plaisir que cela procure….aaah…que c'est foutrement bon…je suis une vieille salope…une vielle enculée…aah… çà y est…je pars…je joui…aah…encore…encore…encore, n'arrête pas…encore…

Elle jouissait de partout, ma mère lui astiquait le clitoris tandis que je lui ramonais l'intestin.

Lorsqu'elle sembla avoir donné tout ce qu'elle pouvait par son cul, je me retirai lentement pour ensuite me ficher brutalement dans sa chatte.

Elle poussa un cri strident et se remit aussitôt à jouir.

Prise par son propre plaisir, elle ne s'occupait plus de ma mère depuis un certain temps déjà et c'est pour cette raison que celle-ci s'était dégagée d'en-dessous de nous.

Elle s'affairait maintenant, autour de nous, à nous peloter et à nous caresser. Elle semblait ne pas avoir assez de ses deux mains pour nous toucher, passant de mes couilles aux mamelles d'Eva, m'introduisant un doigt dans le cul tout en me pinçant les nichons ou branlant le clitoris de son amie tout en l'embrassant et en lui massant les seins.

Lorsqu'Eva s'écroula, définitivement brisée par le plaisir que je lui avais fait atteindre, ma bite était toujours aussi raide, car elle n'avait pas encore craché son jus, pour la troisième fois.

Je m'étais volontairement retenu jusque là, à grand renfort de volonté et de maîtrise de soi, mais je n'avais qu'une idée en tête: celle de me finir dans le ventre de ma mère, car je pensais que je lui devais bien cet honneur et ce plaisir.

Donc, lorsqu'Eva se fut écroulée, à plat ventre sur le divan et que ma grande queue, rendue à l'air libre, se mit à osciller au bas de mon ventre, ma mère s'approcha et me la saisit à pleine main tout en me donnant sa bouche.

Je dus poser ma main sur la sienne pour lui faire comprendre qu'elle devait cesser son va-et-vient afin de ne pas me faire jouir, et je la saisis par les hanches pour la faire pivoter d'un demi-tour.

Elle se pencha en avant, et s'appuya sur l'accoudoir du fauteuil en me présentant son beau derrière.

Sa chatte était tellement mouillée que je n'eus qu'à me présenter à l'entrée et elle engouffra d'un trait ma queue turgescente.

Elle adorait se faire prendre ainsi par son fils et, cette fois encore, elle le cria haut et fort en jouissant comme une chienne.

Lorsque je ne pus plus me retenir, je me mis à cracher mon sperme juvénile, d'abord dans le ventre maternel, pour me retirer, ensuite, et lâcher le reste sur le dos et les fesses tant aimées.

Ce soir-là, quand les hommes revinrent de la chasse, ils nous trouvèrent bien sages, devisant devant le grand feu ouvert, et, si ce n'est par les cernes qui barraient nos visages, mais qui n'étaient apparents que pour nous, rien ne transparaissait de nos activités effrénées de la journée.

A partir de ce moment je me suis mis à fréquenter beaucoup moins assidûment René et Gérard. Le premier surtout qui n'avait été mon ami que pour des raisons purement sexuelles et avec qui, je n'avais guère de connivences, par ailleurs, étant donné la différence d'âge.

Gérard continuait à venir à la maison de temps en temps, et puis, de toutes façons, je le voyais tous les jours à l'école, mais nos activités intimes étaient de moins en moins fréquentes et finirent par s'estomper complètement lorsque que mon ami connu sa première fille.

Quant à moi, je me partageais entre ma mère et Eva. Celle-ci prétendait qu'elle ne pouvait plus se passer de moi et que je lui faisais connaître une nouvelle jeunesse…qu'elle revivait grâce à moi…qu'elle avait repris goût à la vie…

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