L'Education Sentimentale

BÊTA PUBLIQUE

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Plaisir partagé dans le secret et l'ignorance réciproque, mais plaisir devenu indispensable et dont je ne pouvais plus me passer.
Les semaines et les mois s'écoulaient. Je continuais, bien sûr à fréquenter Gérard et à entretenir, avec lui, des relations de plus en plus poussées car nous tirions, chaque fois, les leçons de nos expériences précédentes.

Nos gestes étaient plus précis et nous nous guidions mutuellement vers un plaisir de plus en plus complet.

Complet? Peut-être pas, car ma mère m'obsédait de plus en plus l'esprit et j'avais des phantasmes et des désirs de plus en plus violent à son égard.

Tout aurait pu en rester là, comme c'est le cas pour la plupart des adolescents, mais, en ce qui me concerne, il était écrit, qu'elles tourneraient différemment.

Je venais d'avoir mes quinze ans et les grandes vacances étaient là.

Il faisait beau et chaud et Gérard était venu me rendre visite. Nous étions en maillots de bain et nous nous frôlions très souvent, échangeant des regards complices.

Nos jeux nous avaient amenés dans le grenier de la maison pour y faire des recherche, mais aussi pour y trouver l'isolement dont nous avions besoin pour échanger quelques caresses et nous soulager.

Gérard s'était agenouillé devant moi et avait descendu mon slip sur mes pieds ; il avait pris ma bite énorme dans sa bouche et il me suçait délicieusement. J'étais aux anges et j'avais les oreilles qui bourdonnaient ; elles bourdonnaient tellement que je n'avais pas entendu ma mère arriver. Elle nous cherchait car un troisième copain venait d'arriver et nous demandait.

Soudain je la vis dans l'embrasure de la porte. Elle était immobile et bouche bée. Elle était écarlate, les yeux rivé sur Gérard qui me tétait la queue avec gourmandise.

A ce moment, je ne sais pour quelle raison, la peur sans doute, je me mis à éjaculer tout mon jus dans la bouche de Gérard qui ne pouvait déglutir suffisamment vite et qui en laissait échapper de longs fils sur ses propres cuisses.

La scène aurait pu être très érotique, mais, en l'occurrence elle était plutôt dramatique.

Je m'attendais à des cris des pleurs, des remontrances, mais rien de tout cela n'arriva.

Ma mère disparut, comme elle était venue et on n'en reparla pas.

Entre nous, l'atmosphère devint toutefois assez bizarre. Je sentais son regard peser sur moi souvent et j'étais moi-même, fort gêné de me retrouver en tête à tête avec elle.

En tête à tête, nous allions l'être, sans aucun doute, car quelques jours après ces évènements, nous devions partir en vacances à la mer.

Mon père, retenu par son travail, ne serait pas des nôtres et nous allions donc passer quinze jours à l'hôtel, ma mère et moi, dans la même chambre, selon ce qui était prévu depuis longtemps.

Nous sommes donc partis un beau matin, avec armes et bagages.

Ma mère conduisait la voiture. Elle portait une mini-robe blanche et le mouvement des jambes nécessité par la conduite avait attiré mon attention.

Ses cuisses étaient dévoilées très haut. En était-elle consciente , Etait-elle surtout consciente de l'effet qu'elle me faisait. Elle était là, à portée de ma main, mais jamais je n'aurais osé la toucher. Mon regard se glissait furtivement vers elle et je m'excitais de cette vue.

Le voyage devait durer plusieurs heures. La conversation allait bon train, au début, et puis, naturellement elle s'est estompée quelque peu. Je me suis même assoupi et quand je me suis réveillé, nous avons recommencé à papoter de plus belle.

Nous parlions de tout et de rien. De l'école, des vacances, des garçons, même des filles lorsqu'elle me demanda si j'en fréquentais déjà.

C'est ainsi que la discussion bifurqua vers des sujets un peu plus scabreux. Elle me questionnait de plus en plus précisément sur mes fréquentations. Nous en vînmes même à parler de Gérard.
Immédiatement elle remarqua mon hésitation, mais me coupa :

-Ne t'en fais pas, j'ai bien vu ce que vous faisiez, l'autre jour. C'est vrai que cela m'a surprise de prime abord, car je ne m'y attendais pas, mais je comprends et j'ai été jeune moi aussi. Je sais qu'à ton âge, les adolescents qui n'osent pas encore fréquenter des jeunes de l'autre sexe, se satisfont à des jeux entre eux. C'est normal, tant que çà ne dure pas au-delà d'un certain âge.

J'étais assez gêné, malgré tout, mais immensément heureux qu'elle réagisse ainsi.

Nous parlions maintenant comme des adultes, enfin elle, surtout, car moi, je n'osais pas trop me confier, impressionné par cette femme, qui avait l'air d'en savoir des choses et que je ne connaissais pas vraiment sous ce jour.

Elle me demanda si j'étais souvent excité.

-Oui assez souvent, répondis-je timidement.

-Et que fais-tu alors? Tu te masturbes?

-Hé bien, oui parfois…

-Parfois ou souvent?

-Plutôt souvent, mais çà dépend des moments, dis-je pour minimiser ma réponse.

-Tu sais, je suis très compréhensive sur le sujet et je sais, par expérience, que c'est très agréable, à tous les âges, ajouta-elle après une seconde d'hésitation.

Si elle avait su tout ce que je savais d'elle à ce propos!

Une fois installés à l'hôtel, nous sommes sortis pour découvrir la petite station où nous avions choisi de passer ces quelques jours.

Malgré le soir tombant, il faisait encore très beau et chaud et nous prîmes notre dîner à la terrasse d'un petit restaurant situé face au port.

Puisque l'ambiance s'y prêtait, ma mère me proposa de prendre un apéritif et, mieux, nous en bûmes chacun deux.

Le repas frugal, mais excellent fut aussi accompagné d'une bouteille de vin blanc et c'est assez joyeux que nous avons regagner lentement notre gîte.

Je me suis couché premier, tandis que ma mère se rafraîchissait dans la salle de bain.

J'avais une bite d'enfer, brûlante et dure comme du bois. Elle me faisait mal tellement elle bandait. Heureusement que, par décence vu que nous dormions dans le même lit, j'avais enfilé un pyjama.

Toutefois, comme elle semblait s'éterniser à sa toilette, je glissai la main droit sous le pantalon et me saisi de l'engin que je commençais à malaxer tendrement en repassant devant mes yeux les images charmantes que j'avais savourés pendant cette journées.

Très vite je dus m'arrêter car je sentais que j'allais jouir, et, de toutes façons, la voilà qui arrivait.

Elle portait une longue robe de nuit en satin noir qui lui descendait jusqu'au pieds, mais dont le décolleté profond, laissait apparaître ses épaules, sa gorge et la naissance de ses gros seins. Je mes souvient avoir admiré leur tenue. Malgré leur grosseur, il ne pendaient pas et pointaient sous le vêtement qui semblait trop petit pour les contenir.

Je me dis qu'après tout, c'était normal qu'elle ce soit vêtue, elle aussi, avec pudeur et j'eus été bien sot d'espérer le contraire.

Elle s'est couchée en prenant bien garde de rester sur son côté du lit, à ma droite, pour ne pas me toucher et elle s'endormit très vite.

J'avais repris mes caresses avec une extrême délicatesse pour ne pas me trahir par des mouvements inopportuns et je m'endormi ainsi.

A un moment donné, dans mon sommeil, je ressentis une impression de froid qui se fit de plus en plus insistante, à un point tel que, doucement, je sortis de la torpeur et des rêves dans lesquels j'étais plongé. En revenant ainsi à la surface, je ressentis également la présence de la lumière, la sensation précise que je n'étais plus dans la chambre noire où j'étais sensé être.

Sans bouger, j'entrouvris très lentement les yeux, en gardant les paupières presque closes, pour ne pas me démasquer, et le spectacle que je découvris faillit me faire crier d'étonnement.

Ma mère était debout, près du lit, à mon côté. Elle était complètement nue.

Elle avait enlevé les couvertures qui me recouvraient et avait fait glisser la culotte de mon pyjama. Elle se masturbait, un pied appuyé sur le bord du lit juste à hauteur de mon visage. Je voyais ses yeux exorbités et sa bouche entr'ouverte tandis que sa main droit s'activait dans sa chatte et que , de la gauche elle pétrissait violemment un sein.

J'avais donc son pied, à portée de ma bouche ; le talon était posé sur le rebord du lit et je le voyais se contracter au rythme du plaisir qu'elle se donnait. Je n'osais pas bouger, mais j'avais envie de prendre en bouche ses magnifiques petits orteils aux ongles écarlates et dont l'odeur enivrante me chatouillait les narines.

Je bandais très fort et elle dût se douter que je m'étais réveillé, mais son état d'excitation ne lui permettait plus de faire marche arrière ; elle continuait à se donner du plaisir sans se poser de question .

Je n'ai pas pu résister quant à moi. J'avais l'impression très nette que je vivais la chance de ma vie ; la chance de pouvoir, enfin, atteindre le but que je m'étais fixé, de pouvoir entrer dans l'intimité de ma mère.

Imperceptiblement, je glissai la tête sur l'oreiller pour être plus près encore de son pied, et, lorsque j'eus atteint ce but, je saisi tout le courage que je pouvais avoir et je sortit la langue de la bouche.

Lorsque je touchai la plante du pied pour fondre, immédiatement sur les orteils et me mettre à les sucer, ma mère tressaillit. Elle se raidit d'un bloc, mais elle se détendit tout aussitôt.

-Tu ne dormais donc pas, petit salaud! Puisque tu m'a vue, tant pis, c'est plus fort que moi, il faut que je continue. Continue à me lécher le pied, çà m'excite au plus haut point. Vois-tu dans quel état tu me mets avec ta grosse queue qui bande tout le temps? Penses-tu que je ne la vois pas dans ton short, toujours dure? J'en avais mal au ventre de me retenir, il fallait que j'assouvisse cette petite chatte qui ne me laisse jamais tranquille.

Il me semblait que çà l'excitait encore plus de parler ainsi, et qu'elle y trouvait une contenance.

-Branle-toi la bite, reprit-elle, je veux voir comment tu fais si souvent, lorsque tu n'a pas ce grand pédé de Gérard pour te la sucer! Branle toi et fais sortir ce jus dont tu as empli la bouche de ton copain l'autre jour.

N'y tenant plus et n'attendant que cet ordre, je m'allongeai sur le dos et me saisis de ma quéquette qui était devenue énorme, pour la branler, comme ma mère chérie me l'avait commandé.

-Comme tu es beau et que ta bite est grande, dit-elle, j'en ai vu beaucoup, mais jamais d'aussi grosses. Quel beau spectacle tu offres à la perverse que je suis. Je sais que c'est mal ce que nous faisons, mais cela m'excite d'avantage. Fais toi jouir maintenant, je le veux! Je veux voir comme tu sais cracher bien haut et bien loin ce sperme que tu as en toi.

On ne peux refuser ainsi un ordre aussi doux, surtout dans l'état où j'étais à ce moment, et je me mis à juter des litres de sperme brûlant dans tous les sens.

Je l'entendais crier et gémit son plaisir en même temps que moi, mais il était dit que je n'étais pas au bout de mes surprises.

Quand elle eut joui, je l'entendis dire :

-J'en veux encore de cette luxure dans laquelle nous sommes maintenant plongés. J'ai besoin de ton sexe en moi pour achever de me satisfaire. Puisque ton père n'est pas là, tu le remplaceras avantageusement .

Elle se pencha sur moi et, tout en frottant ses seins sur le sperme qui recouvrait mon ventre, elle m'enjamba et s'assit sur ma bite.

Heureusement qu'à cet âge on ne débande pas trop vite, et, qu'effectivement, j'étais encore bien au garde à vous.

Je senti la gaine brûlante de sa chatte me prendre la bite et je crus que j'allais défaillir. Elle hurlait de plaisir. Nous avons dû réveiller tout l'étage, mais qu'importaient les autres par rapport à notre plaisir.

Elle profita que je venais de jouir pour faire durer son plaisir très longtemps et je la sentis exploser plusieurs fois. Chaque fois qu'elle atteignait un orgasme, elle me prenait la bouche et enfonçait sa grande langue dans ma gorge. Elle me demandait sans cesse, de lui peloter les seins, et je ne m'en privais pas le moins le monde.

Nous avons fais l'amour ainsi, toute la nuit et nous avons joui jusqu'à l'épuisement, avant de nous endormir, enfin repus et heureux.

Le lendemain matin, tard lorsque je me suis éveillé, ma mère n'était plus à mes côtés. Au bruit de l'eau dans la douche je compris qu'elle était occupée à faire sa toilette dans la salle de bain.

Je me levai, nu comme j'avais dormi. La bite pendante dans mes poils collés par le sperme et je me dirigeai vers la pièce voisine.

Ma mère sortait de la douche précisément et quand elle me vit elle sourit et s'avança pour m'embrasser.

Ce fut un baiser chaud et passionné qui réveilla ma queue ; ce qu'elle ne manqua pas de remarquer.

-Déjà prêt à l'ouvrage? plaisanta-elle en la saisissant et la secouant amicalement. Décidément tu n'es jamais repu! ajouta-t-elle, en précisant : tu tiens à la fois, de ton père et de ta mère, déjà complètement obsédé, malgré ton âge!

-Cette nuit, nous avons fait des folies, nous avons baisé comme des bêtes ; je ne regrette rien et çà m'a beaucoup plu, mais si tu le veux, nous en resterons là, car tout cela est très mal et je comprendrais, bien sûr, que tu ne veuilles pas poursuivre, plutôt … entamer, une relation tout à fait interdite et contraire à la loi et à la morale.

-Il n'en est pas question, maman chérie! Il y a trop longtemps que je rêvais de ce qui vient de m'arriver, grâce à toi. Puisque tu es d'accord, continuons ; j'irai jusqu'où tu voudras, avec toi.

Elle ne put cacher sa satisfaction et me serra dans se bras nus.

La fin des vacances ne fut qu'une suite de coucheries et de baise effrénées.

Chaque jour, j'espérais au fond de moi-même que le temps serait mauvais pour nous donner prétexte à ne pas mettre le nez dehors et, par chance, je fus souvent, exhaussé .

Elle m'apprit tout ce que j'ignorais encore : elle me montra et m'expliqua comment lécher un sexe de femme ; comment le caresser de mes doigts, en découvrir et en exploiter tous les replis ; elle me fit découvrir comment ses seins pouvaient être sensibles aux caresses, mais si délicats, en même temps ; elle me guida pour que je sache comment les torturer sans les meurtrir pour l'aider à jouir lorsque le moment était venu.

Pendant ces jours de bonheur intense, elle m'apprit tout ce qu'un homme doit savoir pour plaire à sa femme et la satisfaire à l'envi.

Suivant son humeur, elle était tour à tour câline, tendre, autoritaire ; elle se montrait jalouse ou complice. Son tempérament changeant me confrontait à toute sorte de situations et cela ne faisait qu'ajouter à mon désir et à mon plaisir.

Lorsque nous allions à la plage, elle aimait m'exciter en me dévoilant, à l'insu de la foule qui nous entourait, toutes les parties les plus intimes de son corps car elle savait combien cela me faisait bander et me mettait au supplice.

Quand, par contre, nous étions dans la chambre à l'hôtel, elle se baladait torse nu, vêtue d'une jupe et de ses chaussures seulement.

Elle savait que j'appréciais par dessus tout, cette tenue car, selon moi, renforce l'impression de nudité et donnait à l'ambiance cette touche de vulgarité que j'aimais déjà à l'époque.

Lorsqu'elle se déplaçait, ses gros seins, bien que fermes, oscillaient et tressautaient d'une manière follement aguichante.

Elle ne profitait, alors, pour me les glisser sous le nez, en me servant une boisson, lorsque je lisais, affalé dans le grand divan et qu'elle trouvait que je ne me consacrais pas suffisamment à elle.

Ce fut évidemment des vacances magnifiques ; les plus belles que je connus jamais, mais les meilleurs choses ont une fin et il fallu rentrer.

La vie à la maison reprit son rythme habituel ; ma mère avait repris place dans le lit conjugal et quelque fois, poussé par l'envie et la jalousie je me glissais contre la porte de la chambre parentale et je me torturais à les écouter faire l'amour bruyamment comme ils étaient habitués.

Je me disais que c'était normal ; qu'il fallait bien qu'il en aille ainsi et que, de toutes façons, c'est indispensable pour que mon père ne se doute de rien.

Nos rares moments d'intimité se résumaient au lever lorsqu'une fois mon père parti pour son travail, ma mère venait me lever pour aller à l'école.

Souvent je dormais encore, alors elle glissait une main sous les couvertures et me caressait tendrement la bite.

Je bandais probablement aussitôt et la tension douloureuse me réveillait bien vite. Son peignoir tombait aussitôt et elle me rejoignait dans la chaleur du lit. Elle se lovait contre moi et nous faisions l'amour profondément.

Parfois je savais qu'elle était encore toute excitée des gestes de mon père. Parfois je savais, pour les avoir espionnés, qu'ils avaient fait l'amour une partie de la nuit et que son ventre, dans lequel je me glissais, était encore empli du foutre de mon père. Ainsi, certains matin, lorsque je me réveillais à peine allongé sur le dos et qu'elle venait s'assoire sur ma bouche pour que je la lèche, je sentais couler dans ma bouche son jus d'amour mêlé à celui de mon père, mais cela, finalement, m'excitais plus que çà ne me dégoûtait.

C'est à cette époque que j'avais été sollicité par un voisin âgé, pour effectuer certains menus travaux à son profit, moyennant un rémunération minime que me venait bien appoint.

René était un veuf d'une soixantaine d'années qui possédait une assez grande propriété, voisine de la nôtre et il lui était devenu assez pénible d'en assurer seul l'entretien régulier.

Il faisait de plus en plus souvent appel à moi et j'allais l'aider avec plaisir.

Fort de mon expérience, j'avais bien remarqué qu'il lui arrivait de plus en plus souvent de me parler de sexe, de m'interroger à ce sujet afin d'en savoir plus sur mes habitudes.

Je me prêtais au jeu et je veillais à ne pas me montrer sous mon vrai visage et à ne pas révéler que j'en connais une bout sur la question.

Sous prétexte de me montrer le travail à exécuter et de me faire voir certaines choses prétendument intéressantes, il me frôlait. Je le sentais appuyer son ventre contre moi et j'avais bien remarquer que, souvent, sa bite était dure et grosse.

Un matin, alors que nous étions occupés à ranger le grenier il s'approcha de moi pour me montrer un livre qu'il venait de découvrir dans une vielle malle.

C'était un livre d'images et de gravures pornographiques qui datait probablement, du XIXè siècle, mais qui n'avait rien à envier à ce que j'avais vu de mieux dans le genre.

Tandis qu'il feuilletait le bouquin en faisant des commentaires de plus en plus graveleux, il me demanda :

-Est-ce que çà t'excites de voir toutes ces images cochonnes? Est-ce que ta petite bite se réveille dans ton pantalon à la vue de ces dessins? Moi, cela me fait beaucoup d'effet! Veux-tu t'en rendre compte par toi-même ,

Et en disant cela, il s'était emparé de ma main et l'avait portée à sa braguette.

Pour la forme, je faisais l'effarouché mais je ne m'éloignais pas et je repris, très vite, une attitude sereine.

Il me disait :

-Sens-tu comme je suis gros? As-tu déjà bandé? As-tu déjà eu, toi aussi, ta quéquette toute dure? Prend la mienne dans ta main et sens comme elle est raide.

S'il avait pu savoir tout ce que savais déjà! Peut-être en connaissais-je plus que lui , malgré son grand âge!

Mais, pour dire vrai, j'étais très émoustillé par la situation et je ne voulais rien manqué de cette opportunité de m'adonner, une fois de plus, à la débauche.

Je me fis élève doué et compréhensif et je me mis à malaxer l'engin turgescent à travers la toile du pantalon.

Il bandait ferme, le salaud et il soupirait déjà alors que je ne faisais que le caresser gentiment.

En pédéraste égoïste, il ne s'occupait déjà bien sûr plus de moi, mais je lui dis :

-Moi aussi ça me fait de l'effet toutes ces gravures et si tu veux que je soulage ta grosse queue, il faudra que tu t'occupes autant de la mienne.

-Hé bien, espèce de petit cochon, tu ne manques pas d'audace, mais puisqu'il en est ainsi, tu vas en avoir pour ton compte!