L'Education Sentimentale

BÊTA PUBLIQUE

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Déshabillons-nous, nous serons ainsi plus à l'aise. Nous sommes tranquilles, ici, personne ne risque de venir, il n'y a aucun danger.

Joignant le geste à la parole, il ôta sa chemise, dégrafa sa ceinture et laissa tomber son pantalon en même temps que son slip.

Il avait toujours un corps magnifique, malgré son âge ; c'était un sportif de longue date et il était très musclé. Il n'était, par contre, par très poilu, ce qui, tout compte fait me plaisait.

Sa bitte, à demi-bandée pointait vers moi. Elle était très longue, mais plutôt fine et le volume de ses couilles contrastait par contre par sa grosseur imposante.

Je l'avais imité dans ses gestes et je me retrouvais complètement nu, en même temps que lui.

Il s'approcha de moi et en me serrant dans ses bras il se saisit de ma bitte qui était déjà très grosse.

-Quelle belle bitte tu as déjà pour ton âge! Manifestement tu as déjà dû tirer dessus et j'étais bien naïf de te prendre pour un niais.

Je sentais son souffle chaud dans mon cou et ma queue palpitait tellement que je croyais que j'allais jouir là, tout de suite, dans sa main.

J'avais, toutefois, l'habitude de me contrôler et je teins bon.

Lorsque sa bouche chercha la mienne je ne me dérobai pas et nos langues se mêlèrent avec ardeur. Je m'étais aussi emparé de sa bitte que je décalottais très fort pour frotter, ensuite de ma main libre, le gland que je sentais tout mouillé.

René haletait dans ma bouche ; lui aussi, se retenait de jouir et tentait de faire durer ce plaisir dont il ne pouvait dissimuler l'intensité.

Je me suis alors arraché à sa bouche et, en laissant courir ma langue tout le long de son corps, je m'accroupis lentement, jusqu'à ce que je puisse prendre sa queue en bouche.

Il me tenait la tête à deux mains tandis que je le pompais de plus en plus vite, ralentissant, jusqu'à m'arrêter, lorsque tant à la dureté de sa bitte, qu'à l'abondance des gouttes de sperme qui s'en échappaient, je sentais qu'il allait éjaculer.

Après quelques moments de cet exercice, je me suis relevé et, par un mouvement du corps, je lui ai fait comprendre que nous serions mieux couché.

Maintenant, c'était moi, le jeunot, qui menait la danse ; René était tellement excité qu'il semblait hors de lui, sur un autre planète et c'était moi qui menais les opérations.

Nous nous sommes allongés, têtes bêches pour nous sucer mutuellement, mais René, sevré de sexe depuis si longtemps, ne pouvait se contenter d'attouchement superficiels. Les femmes lui manquaient et je n'étais qu'un substitut ; il voulais me pénétrer.

Il me fit mettre à quatre pattes, se positionna derrière moi et je frissonnai au contact de sa bouche brûlante entre mes fesses. Il léchait et suçait ma petite rosace, pour la dilater et la lubrifier. Je me détendais sous l'emprise du plaisir, ce qui ne lui échappa pas, et, lorsqu'il me sentit prêt, il avança son ventre contre mon cul, plaça sa longue bitte pointue contre mon petit trou gluant de salive et poussa lentement.

Je sentais l'engin me pénétrer et la douleur, vive et presque insupportable au début, fit place à une chaleur bienfaisante qui me plu énormément.

Il me ceinturait de ses deux bras et, tandis qu'une main me titillait un sein, l'autre me branlait la queue à tout va.

Nous avons joui ensemble car lorsque j'ai senti la brûlure de son sperme qui m'inondait les intestins, j'en fut si excité, que je ne pus plus me retenir et que je crachai mon jus bien loin, jusque sur mon visage, ma bouche, mes yeux et même au-delà.

Ce fut le début d'une relation très ambiguë qui évolua rapidement vers des rapports sexuels complets.

René m'attirait de plus en plus fréquemment chez, sous toute sorte de prétextes, et je dois avouer que cela ne me déplaisait pas.

J'aimais nos caresses et j'apréciais le plaisir qu'elles m'apportaient et qui était si différents de celui que je connaissais avec ma mère.

Sans cesse, René me parlait de sa défunte épouse, qui l'avait quitté plusieurs années auparavant mais qui hantait toujours son cœur et son esprit. Manifestement, il n'avait jamais pu l'oublier et elle lui manquait beaucoup.

Lorsque nous baisions tous les deux, il m'appelait « Eva » du nom de sa femme et, en me caressant il me parlait comme si j'étais elle.

Je me prêtais volontiers au jeu, sachant que cela lui faisait plaisir.

Il me montra la chambre de Léa, qu'il avait gardée comme au jour de sa disparition et il me fit découvrir tous les vêtements ainsi que les tenue sexy qu'il lui faisait porter dans l'intimité et, de fil en aiguille, il en arriva à me proposer de les porter.

Heureusement, la taille correspondait et je pu revêtir les robes, les jupes, les sous-vêtements et même porter les chaussures à hauts talons.

Il m'appelait « sa petite pute chérie » et il me faisait me promener dans la chambre et même dans la maison, ainsi habillé en femme.

J'étais très excité de m'exhiber ainsi et de me travestir. J'aimais sentir sur ma peau la chaleur électrique du nylon ; je m'excitais au contact des sous-vêtements, qu'en d'autres temps, chacun s'accorde à trouver inconfortables : j'étais très vite devenu expert pour enfiler un porte-jarretelles, un soutien-gorge, des bas très fins, j'avais appris à marcher correctement avec des escarpin à talons aiguilles.

Ces séances exhibitionnistes se terminaient chaque fois par des explosions de plaisir.

Il me voulait tantôt soumis, tantôt dominant.

Il me prenait sauvagement le cul et crachait son jus au plus profond de moi ou entre mes fesses, ou il se masturbait contre moi et se répandait dans le nylon froufroutant qu''l me faisait porter.

Quelque fois il me couchait en travers de ses cuisses et me donnait une fessée en me coinçant la bite entre ses jambes pour que je finisse par jouir à force d'avancer et de reculer mon cul sous l'impact des coups de plus en plus fort qu'il m'assénait.

D'autre fois, par contre, je le trouvais dans sa chambre, habillé, lui-même, en femme, occupé à se masturber en regardant des photos de sa regrettée Léa.

Je devais, alors, le dominer, le contraindre, le forcer, le punir de fautes imaginaires et il jouissait, après de longues minutes de ce traitement, tandis que je l'enculais, à genoux, en lui fouettant le dos et en l'insultant.

Dès le début, j'avais mis ma mère au courant de cette relation et cela l'avait immédiatement intéressée et excitée.

Dès ce moment, lorsque je lui faisais l'amour, ou qu'elle se masturbait allongée près de moi, je devais lui raconter, avec force détails, tout ce que je faisais avec René et elle me posait toutes sortes de questions pour en savoir plus.

Elle jouissait, ainsi, en parlant comme à son habitude car cela ajoutait à son plaisir de prononcer des mots orduriers :

-Tu n'es qu'un petit pédé. Tu aimes te faire branler la bite par ce vieux de René.

Je vous imagine en train de vous enculer comme des obsédés et me vous sucer la queue.

Espèce de branleurs, de jouisseurs. Je te vois, salaud, avec la longue bite de l'autre dans ta bouche, comme tu aimes çà, hein?

Et elle jouissait bruyamment, les yeux révulsés.

Un jour, elle m'avoua que son plaisir serait de nous observer lorsque René et moi, nous nous touchions.

-J'aimerais vous mater, avoua-t-elle, mais très discrètement, car je ne veux surtout pas être vue, car si cela se savait, tout le village serait vite au courant, et tu imagines la catastrophe!

A partir de ce jour, nous avons beaucoup réfléchi à la manière de procéder et nous avons fini par considérer que la seule manière réellement efficace, serait d'attirer René dans ma chambre en lui laissant croire que j'étais seul à la maison, tandis que ma mère serait cachée dans la salle de bain jouxtant cette pièce. Pour que cette solution soit valable, il faudrait, au préalable, que nous remplacions la vitre translucide qui équipe le centre de la porte d'entre eux, par un miroir sans tain, et le tour serait joué ; ma salle de bain deviendrait un excellent poste d'observation.

Aussitôt dit, aussitôt fait : nous sommes allés commander un tel miroir espion chez le vitrier du village voisin et, après quelques jours nous en prîmes livraison et nous en équipâmes la porte intérieure de ma chambre.

Ce ne fut pas bien difficile de convaincre René de nous rencontrer, pour une fois, chez moi, en prétextant que mes parent étaient partis en ville pour toute la journée.

Ma mère s'était installée dans la salle de bain, bien avant l'heure prévue pour le rendez-vous.

Elle était nue, ne portant, provisoirement qu'une robe de chambre en stretch, retenue par un simple cordon noué sur le devant, et des mules rouges à très hauts talons. Elle portait toujours ce genre de chaussures lorsqu'elle était en tenue d'intérieur, et elle en possédait d'ailleurs un collection très variées, tant en couleurs qu'en modèles ; leurs seuls points communs étant la hauteur du talon et la découpe qui montrait le pied et le mettait en valeur.

De la pièce où elle se trouvait elle avait une vue magnifique sur ma chambre, car la baie vitrée était très large et très haute et aucun coin de la pièce ne pouvait lui échapper.

A un moment donné, plus tôt que prévu, cependant, la sonnette de la porte d'entrée retentit.

Nous étions occupés à ranger ma chambre, en guise de derniers préparatifs, mais nous sursautâmes tous les deux, échangeant un regard interrogateur.

Qui cela pouvait-il être? Quel emmerdeur avait-il choisi ce moment pour venir nous déranger et gâcher le plan mis au point avec autant de minutie et depuis si longtemps? Après tout, c'était peut-être une fausse alerte et, qui sait, René était-il en avance?

Ma mère s'enfouit se cacher, à l'endroit prévu et je refermai méticuleusement la porte derrière elle.

Je descendis alors et ouvris la porte.

J'en restai bouche bée : devant moi, hilare et joyeux se trouvait mon ami Gérard qui me sauta au cou, avant que je n'esquisse le moindre geste ni la moindre parole.

-Que je suis content de te revoir! Il y a si longtemps! Depuis que mes parents m'ont contraints à prendre ce logement d'étudiant, en ville, je n'ai plus guère eu le temps de revenir au village pour te saluer et saluer tes parents.

Comment vas-tu? Que deviens-tu?

Le temps de retrouver mes esprits, je lui dis que j'étais seul à la maison, car mes parents avaient du s'absenter ; que tout le monde allait bien et que, moi aussi, j'étais très heureux de le revoir.

C'était, à la fois, vrai et faux : vrais ans doute car c'était mon meilleur ami, et il me tardait depuis longtemps de le revoir ; faux, car le moment était mal choisi et ce n'était par vraiment lui que j'attendais!

-Entre et viens dans ma chambre, c'est là que j'étais occupé lorsque tu as sonné.

Il parlait sans arrêt, me racontant sa vie d'étudiant, en ville, me narrant ses aventures manquées avec les filles qu'il trouvait toutes allumeuses mais trop réservées ; bref, il était toujours puceau et réduit à « la veuve poignet » comme il disait sans vergogne, en joignant le geste à la parole.

Il s'était jeté en travers du grand lit et je m'étais assis à ses côtés, sagement.

-Et toi, mon vieux, dit-il en posant une main sur ma braguette, toujours aussi réduit à te branler?

Pour ne pas vraiment mentir, je ne répondis pas et fit un geste évasif des épaules qui ne voulait rien dire du tout.

Il ne retirait pas sa main et, au contraire, la refermait en saisissant ma queue.

Comme je ne portais pas de slip sous mon pantalon de lin, étant donné que je m'étais préparé à d'autres réjouissances, il pu s'en emparer comme si elle était nue et la sentir gonfler sous ses doigts.

Nos habitudes d'antan refluèrent à la surface et je mes soumis bien vite au plaisir que son geste m'apportait.

Je savais ma mère là, toute proche ; je l'imaginais déjà haletante, à dévorer ce spectacle inattendu en guise d'apéritif à celui que je me devais de lui offrir.

Gérard extirpa ma bite de sa prison d'étoffe et, en m'entourant de son bras libre, il me bascula sur le lit et me prit la bouche dans un profond soupir.

Je reçu sa grosse langue dans ma bouche et je me mis à la sucer, tandis qu'il me masturbait la quéquette avec douceur, mais conviction.

Je ne voulais pas jouir, toutefois, et, avec regret, je m'arrachai à son étreinte en trouvant comme prétexte de vouloir ôter mes vêtements.

Comme je n'en portais guère, ce fut vite chose faite et, lui-même, se dénuda aussi entièrement.

Nous nous sommes alors recouché sur le lit en adoptant une position inversée de manière à pouvoir nous sucer mutuellement le sexe.

J'avais discrètement imposé ce choix, car bien que j'adore cette caresse, je savais que je pourrais y résister très longtemps.

Nous étions donc occupés à ces gâteries réciproques lorsque la sonnette retentit, à nouveau.

Gérard tressaillit et je sentis sa bite ramollir directement dans ma bouche.

Je fit l'étonné, mais me ressaisi sur le champ.

-Ne bouge pas. Je dois te l'avouer, maintenant, mais ce n'est pas toi que j'attendais. Ne t'inquiète pas, il n'y a aucun problème ; reste là couché, à ton aise et je reviens bien vite.

Je ne le sus que plus tard, mais j'avais à peine quitté la chambre, que Gérard se mit à fouiller dans mon armoire à la recherche d'un livre érotique et, lorsqu'il eu, enfin, trouvé ce qu'il cherchait, il vint se recoucher sur le lit et se mit à se masturber car il se croyait seul.

Seul, il l'était effectivement, mais il ne pouvait pas savoir qu'une paire d'yeux avides l'observait et ne perdait rien de la scène.

J'étais, donc, descendu nu, convaincu, cette fois, qu'il s'agissait de René.

C'était bien lui. Il était en short et torse nu et ruisselait de transpiration car il repassait de son jogging.

-Quelle tenue vous me présentez-là, jeune homme, me dit-il sur un ton moqueur, tandis qu'il me dévorait des yeux. Vous me semblez déjà prêt à des exercices bien plus agréables que ceux auxquels je viens de m'adonner sous ce soleil de plomb, mais j'accepte, bien volontiers votre invitation à m'accorder le repos du guerrier que je mérite, enchaîna-t-il d'un ton emphatique, en me poussant pour entrer, avant même que je l'y invite.

Je lui dit que nous pouvions monter dans ma chambre, car, comme prévu, mes parents n'étaient pas à la maison.

-Je te réserve, toutefois, une surprise, mais ne crains rien, enchaînais-je aussitôt, à la vue de son air subitement inquiet, c'est une surprise agréable, tu pourras en juger par toi-même.

Pour lui montrer le chemin à prendre, je le précédai dans l'escalier, sachant qu'il observait mes fesses et mes jambes qu'il avait juste devant lui, à portée de bouche et de mains.

Je me déhanchais exagérément pour susciter son excitation et je sentais son regard lourd peser sur moi.

Lorsque je suis entré, sans bruit, dans la chambre, Gérard ne pouvait me voir car il avait le visage enfui dans la revue qu'il tenait grande ouverte devant les yeux. Il se branlait toujours langoureusement la bite et, d'où j'étais je pouvais voir aux muscles saillants de ses jambes, qu'il était très tendu et proche de la jouissance.

Je me retournai sur René en posant un doigt sur les lèvres pour lui indiquer de se taire et je me suis écarté pour lui permettre de découvrir le spectacle que Gérard nous offrait.

René me fit un clin d'œil complice et, faisant glisser son short, il s'approcha de mon ami, en se baissant

Il se lova contre ses jambes et, tandis que Gérard ne pouvait toujours pas le voir, derrière l'écran de son livre, il prit dans sa bouche la queue énorme que la main secouait lentement.

Croyant que c'était moi qui lui faisais subir ce doux tourment, Gérard soupira et s'allongea un peu plus, toujours plongé dans ses lectures, qui semblaient bien intéressantes.

Après avoir savouré ce spectacle quelques instants, je m'approchai, enfin et c'est ainsi que Gérard comprit qu'il se passait quelque chose d'étrange. Comment pouvais-je lui sucer la bite et être, en même temps, debout à son côté?

Il sursauta et se redressa d'un bond, en jetant le livre sur le sol et découvrit René, hilare qui, couché sur le lit, se léchait les babines en veillant à ne rien perdre de la saveur que ce sexe magnifique avait laissé sur ses lèvres et dans sa bouche.

Pour éviter un esclandre, j'intervins immédiatement et je calmai Gérard.

-Ne crains rien, c'est un ami, et si j'en crois ce que je viens de voir, il t'as déjà adopté. N'est-ce pas René? Je savais qu'il devait venir et c'est toi qui a, quelque peu, perturber nos plans.

Si tu le veux, et je crois que c'est la cas, tu peux rester avec nous et t'amuser comme nous avions d'ailleurs commencé à le faire ensemble tout à l'heure.

René, je te présente Gérard. Gérard, je te présente René. Les présentations étant faites, remettons-nous à l'ouvrage, dis-je en riant, sur un ton qui ne laissait aucune place à la contestation.

Déjà, René avait repris dans sa main, la bite quelque peu ramollie mais d'où s'échappaient des gouttes de spermes clair, et il se frottait, à nouveau, sur les longues jambes nues de Gérard.

Toujours debout, près du lit, je me déshabillai lentement et je me mis à caresser ma queue en les observant.

Doucement, René avait pivoté sur lui-même et se trouvait, maintenant couché tête-bêche au-dessus de Gérard, s'appuyant juste ce qu'il fallait sur ses genoux pour surélever son cul et laisser pendre sa grosse bite dans la bouche de mon ami.

D'où j'étais, je voyais clairement le derrière à peine poilu de René dont la position provoquait l'écartement total des fesses et mettait à jour son petit trou plissé, comme une invite. Ses deux grosses couilles pendaient mollement sur le visage de Gérard.

En m'approchant, je n'eus qu'à m'appuyer légèrement des genoux sur le bord du lit et ma bite bandée vint se placer d'elle-même dans le sillon rempli de sueur. Je laissai couler un cracha qui s'engouffra dans cette vallée torride et qui vint buter contre mon gland qui se présentait à la porte du plaisir, le lubrifiant juste assez pour qu'il pénètre avec aisance.

Gérard avait, maintenant deux paires de couilles devant les yeux et il dégagea une main pour les pétrir avec entrain.

Je me suis enfoncé ainsi, très profondément dans les chairs de René qui avaient déjà reçu tant de fois ma bite et qui étaient faites à son volume.

Une fois bien au fond, je me suis mis à aller et venir, me retenant pour ne pas jouir afin de ne pas faire retomber, ne fut-ce que quelques instants, la tension agréable qui m'habitait.

D'autre part, je tenais, aussi, à ce que le spectacle dure le plus longtemps possible en pensant à ma mère et, d'ailleurs, je m'évertuais, sans que les autres ne puissent s'en apercevoir, à toujours présenter dans la bonne direction, le tableau que nous offrions.

René suça ainsi, pendant de longues minutes la bite gonflée de Gérard , mais lorsqu'il sentit qu'elle allait jouir, celui-ci se dégagea brusquement et, se mettant aussi à genoux sur le lit, il vint se placer de dos contre René, qui se trouva alors pris en sandwich entre nous deux.

-Donne-moi aussi ta bite, dit Gérard, je ne l'ai jamais fait, mais à te voir et à t'entendre, cela paraît si bon, que j'ai envie d'essayer, moi aussi.

Glisse la dans mon cul, mais vas bien doucement pour ne pas me faire mal.

René s'exécuta et enfonça très lentement son sexe long et dur dans le rectum encore vierge.

Nous ne faisions plus qu'un, emboîtés comme nous l'étions et, feignant de nous regarder dans la glace, je nous fis placer de manière telle que rien ne pouvait lui échapper.

Le cul défoncé et la bite bien au chaud, René geignait de plaisir.

-Comme c'est bon! Que j'aime ce que vous me faites subir. Je sens que je vais décharger bien vite et que je vais exploser par tous mes trous.

Je l'entourais de mes bras et, tandis que je lui embrassais goulûment le cou, je lui pinçais et lui titillais les mamelons.

Il s'était redressé, se tenant des deux mains aux hanches de Gérard et tentait de tourner la tête pour m'attraper la bouche et me sucer la langue.