L'Education Sentimentale

BÊTA PUBLIQUE

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Lorsque je commançai à m'habiller, ma mère s'éclipsa pour rejoindre Eva, au salon.

Une fois prêt, je me regardai dans le grand miroir qui équipait le vestiaire, et je me pris à sourire et à me dire que j'étais "tout à fait bandant".

Mes cheveux longs, à la mode de l'époque, me donnaient un air particulièrement féminin et j'avais poussé la coquetterie jusqu'à me maquiller légèrement et à me peindre les lèvres en rouge écarlate.

-Tu as vraiment l'air d'une fille, mon salaud, murmurai-je, tandis que je m'attachais la bite le long de ma cuisse gauche, au moyen d'un lacet de coton blanc, afin que ma virilité ne déforme pas le bas de la robe, lorsque je viendrais à bander, ce qui ne manquerait pas d'arriver tôt ou tard.

Je pris alors la direction du salon, me dandinant avec excès, chaque fois que je passais devant un miroir et prenant des moues de vamp de manière caricaturale.

Quand je suis entré dans la pièce où était restées les deux femmes, la tension qui y régnait m'apparut palpable; une odeur d'alcool flottait dans l'air qui se mêlait à celle du bois qui crépitait dans la grande cheminée.

Ma mère et Eva étaient, maintenant, assises côte à côte dans le grand divan. Ma mère était très près de son amie et elle avait ramené ses deux jambes sous elle, tandis qu'elle avait passé son bras gauche sur l'immense dossier, derrière Eva.

Sa position combinée à l'étroitesse de sa jupe faisait que celle-ci était complètement remontée et laissait apparaître les cuisses, jusqu'au-dessus de la lisière des bas.

J'avais beau être entré depuis longtemps, maintenant, dans l'intimité de ma mère, une telle vision ne me laissait jamais indifférent.

De plus, Eva, quant à elle, avait les jambes croisées très haut, comme elle en avait l'habitude, montrant par le fait même, une bonne partie de ses longues jambes, et même, du côté de la jambe surélevée, le début d'une fesse.

Dès mon entrée, l'attention toute entière s'était portée sur moi, mais personne ne pipait plus mot.

La tension était extrême. Je m'étais mis à marcher lentement , de long en large dans la pièce, passant et repassant devant les deux femelles. Parfois je m'arrêtais et faisais mine de ramasser un objet sur le sol en me penchant du pus que je pouvais, jambes tendues, afin que ma robe courte remonte au milieu de mes fesses, à peine couverte d'un slip en voile de nylon, fendu dans l'entrejambe.

Eva parla la première:

-Je pense , ma chère, que ce n'est pas un spectacle pour une mère, que de voir son fils déambuler, ainsi vêtu et exhibant ses jambe et son cul. Mais, si je vois bien, ce spectacle semble te plaire, autant qu'à moi d'ailleurs, je l'avoue et tu semble apprécier la beauté du spectacle que ce petit salaud est en train de nous offrir. Il sait s'y prendre, ce petit morveux, malgré son âge, pour exciter deux vieilles salopes en chaleur, comme nous. Il a l'air de ne pas manquer d'expérience et je me demande de plus en plus si vous n'êtes pas, tous les deux, à me mener en bateau et à tenter de profiter de ma crédulité.

Elle pris un air exagérément grave et interrogateur en toisant ma mère, comme si elle voulait l'impressionner et la forcer à se confesser, mais, tout de suite elle enchaîna:

-Dis-moi, n'aurais-tu pas, déjà, commencé l'éducation de ce jeune homme? Dis-moi, hein, dis-moi? continua-t-elle en prenant le menton de ma mère entre ses doigts en l'attirant lentement vers elle, tandis qu'elle se penchait et approchait ses lèvres.

Elle murmura un dernière fois:

-Cela m'exciterait tellement si jamais, vous l'aviez fait …

A ce moment ses lèvres se posèrent sur celles de ma mère et, d'où j'étais, je vis nettement les deux bouches s'entrouvrir pour laisser passer les langues avides qui se croisèrent .

Elle avait glissé une main dans le cou de ma mère pour mieux assurer son baiser pendant que celle-ci s'était doucement blottie dans les bras de son amie en gémissant. Sa main droite était venue se poser sur la cuisse d'Eva et la massait lentement en remontant de plus en plus haut.

Je les regardais, immobile, ne laissant rien échapper de cette étreinte lesbienne qui m'excitait au plus haut point. Combien de fois ne m'étais-je pas masturbé en regardant des photos de gouines où en m'imaginant de telles aventures, et voilà qu'un tel spectacle s'offrait à moi, directement là, sous mes yeux. Je pouvais, non seulement, les voir, mais j'allais pouvoir les toucher, c'était inéluctable, les sentir, les lécher, participer à leur plaisir.

Ce baiser me sembla durer une éternité et je commençai à me sentir quelque peu délaissé, lorsque, comme à regret, Eva se dégagea et se tourna vers moi:

-Je comprend mieux, maintenant, votre complicité, votre décontraction et surtout, le plaisir manifeste que vous dégagez à être ensemble et que vous ne pouvez dissimuler à qui vous observe avec un peu de curiosité comme je l'ai fait lors de nos dernières rencontres.

Mon intuition m'avait fait sentir qu'il se passait quelque chose… d'anormal, entre vous. Je comprend tout maintenant, mais je devrais être scandalisée, offusquée, je devrais vous dénoncer, vous condamner, et au contraire, je suis là, excitée comme jamais je ne l'ai été et je n'ai plus qu'un seul désir, de vous voir baiser devant moi, là tous les deux, comme deux obsédés que vous êtes, toi la mère et le fils, toi le fils et la mère . Comme ce doit être érotique de vous voir forniquer! Toute cette luxure me rend folle et j'ai hâte de vous voir.

Pendant qu'elle parlait, je m'étais doucement approché et j'étais venu me camper devant le divan. Lentement, j'avais remonté le robe noir et dévoilé mes jambes gainées de nylon. Lorsque l'ourlet avait dépassé la tête de ma bite, fixée contre ma cuisse, j'avais vu ses yeux s'arrondir et sa voix s'était cassée, mais j'avais poursuivi mon geste inéluctable. Mon bas ventre étais maintenant complètement exhibé et je tenais le bord de la robe entre mes dents. A gestes mesurés, comme dans un film qui se déroule au ralenti, j'avais défais le lacet qui fixait ma queue et, lorsque je l'avait libérée de cette contrainte, elle s'était redressée, d'un seul bloc, tellement elle bandait.

Eva avait poussé un petit cri tellement son émotion était forte, mais ma mère, comme pour l'apaiser, avait commencé à lui caresser le visage et puis le cou, avant de défaire, un à un, les boutons de son chemisier, pour introduire la main dans les profondeur du corsage.

Je poussais mon ventre en avant, pour tenter Eva d'avantage et je m'étais saisi de ma grosse quéquette pour la décalotter à fond dans un geste d'une lenteur et d'une amplitude extrême.

Pendant ce temps, ma mère avait dénudé complètement le torse de son amie et avait libéré ses énormes seins. Je n'en avais jamais vus d'aussi gros et d'aussi pointus. Ceux de ma mère avaient l'air tout mignons à côté de ceux-là. C'était deux énormes masses de chair blanche, couvertes de taches de rousseur, qui les rendaient encore plus vulgaires et appétissant. Les mamelons étaient bandés comme des petites bites et ma mère se mit à les caresser et à les pincer doucement en embrassant le cou qui s'offrait à elle et en murmurant des paroles apaisantes à Eva qui semblait avoir perdu le sens des réalités tellement elle était excitée.

-Tu as raison, disait-elle, je lui ai fait découvrir la vie à ce petit salaud; je n'ai pas pu résister tellement il m'excitait à toujours me montrer son énorme queue et à se la branler partout où il croyait que je ne le voyais pas. Un beau jour, ce fut plus fort que moi, j'ai franchi le pas et depuis, nous baisons comme deux fous, chaque fois que nous en avons l'occasion. Plus je m'enfonce dans ce stupre et dans cette luxure plus je suis excitée. J'aime me faire mettre par mon propre fils et, lui-même, y trouve un plaisir certain. Jamais je ne l'ai obligé ou forcé, il est libre, mais vois-le, regarde le se caresser en nous matant, n'a-t-il pas l'air aussi heureux que nous?

Je me branlais langoureusement la bite et elles s'étaient remises à se sucer la langue tout en m'observant du coin de l'œil.

Je sentais que je ne pourrais me retenir très longtemps, mais peu importait, je voulais les arroser de mon sperme pour les souiller comme deux putains et leur montrer qu'elles étaient mes jouets et que j'allais faire d'elles ce que je voulais.

Mes couilles me chatouillaient, le jus bouillonnait dans mon ventre et soudain, ma bite se durcit d'avantage et se tendit.

Les deux premiers jets, les atteignirent en plein visage, sur leurs bouches accolées et sur la joue d'Eva; les deux suivants s'abattirent sur les gros seins que ma mère griffaient et pétrissait avec fermeté et le reste de mon éjaculation, qui semblait ne plus vouloir s'arrêter, s'écoula sur les cuisses et la jupe de notre invitée.

J'étais secoué de spasmes; çà ne s'arrêtait pas; j'avais craché une quantité incroyable de sperme sur Eva et ma mère poursuivais son ample massage lubrifié par le foutre dont j'avais enduit le torse de celle-ci.

-Je veux jouir, je ne peux plus attendre, qu'il enfonce sa queue en moi, je le veux, criait Eva.

-Non il ne faut pas, répondait ma mère, pas encore, laisse-toi faire, décontracte toi, je vais te caresser longuement, jusqu'à ce que tu deviennes folle de désir. Je veux que tu sois ma chose, ma putain, mon esclave et que tu ne jouisses que quand je l'aurai décidé.

Ce faisant, ma mère avait abandonné la poitrine et avait forcé le passage entre les cuisses, glissant la main entre les genoux pour les écarter, elle était remontée lentement sur le bas, en s'appliquant à étaler le sperme qui le maculait.

Lorsqu'elle toucha le sexe, toujours protégé par le voile du slip, Eva poussa un soupir profond et s'ouvrit complètement. Le tissus, trempé, avait glissé à l'intérieur de la chatte et irritait le clitoris.

Quant à moi, j'étais toujours debout devant elles. J'avais abandonné ma bitte qui était, maintenant à moitié débandée, tandis qu'un long fils de sperme pendait, suspendu au méat. Je les regardais faire, toute les deux, en me pelotant négligemment les couilles.

-Avant qu'il me baise, je veux vous voir, toi la mère, et le fils, forniquer ensemble devant moi; je veux être le témoin de votre dépravation, dit soudain Eva.

-Dans ce cas, vas, mets toi debout et déshabille toi; pendant ce temps je m'occuperai de lui car, comme tu peux le voir, il a bien besoin d'être aidé, si nous voulons qu'il soit capable de nous satisfaire.

En prononçant ces parole, ma mère avait abandonné ses caresses sur Eva et s'était redressée, saisissant ma queue et la secouant avec une moue pleine d'ironie.

Eva qui paraissait avoir quelque peu repris ses esprits, se leva péniblement et ma mère en profita pour m'attirer sur le divan, à côté d'elle.

Je me suis effondré , ainsi, jambes écartées et ma robe de satin noir relevée jusque la taille.

Ma mère m'attira dans ses bras et, tout en m'embrassant, me caressa les cuisses, juste à la limite du nylon.

-Déshabille-toi, dit-elle, ce sera plus facile.

En prononçant ces mots, elle commençait déjà à me déboutonner.

La robe de soubrette vola au milieu de la pièce, mais elle voulu que je garde le porte-jarretelles, les bas et les chaussures. Elle se remis, alors, à me caresser les jambes, tout en me suçant un sein car elle savait que j'adorais cette gâterie.

Ma bite avait repris sa position au garde-à-vous et ma mère l'avait enfournée dans sa bouche, me la tétant comme un sucre d'orge.

Eva, dont nous nous étions quelque peu désintéressés, s'était éloignée, pour mieux nous observer. Elle nous dévorait du regard tout en se pinçant un sein.

-Enlève tous ces vêtements superflus, dit ma mère avec autorité, pendant ce temps je vais lui chevaucher la bite, mais ne crains rien, comme il vient de jouir une première fois, il résistera maintenant très longtemps et, avant que je l'aie épuisé, il pourra s'occuper de toi également.

Eva ne se l'était pas fait dire deux fois et, avec des gestes précis, elle enleva tout se qu'elle portait à l'exception, comme moi, des bas et des chaussures.

Quel spectacle extraordinaire que cette femme qui aurait pu être ma grand-mère, vu son âge, mais qui n'en avait aucunement l'apparence physique.

Elle était magnifique, grande comme je l'ai dit, mais son corps, qu'elle exhibait maintenant, tenait toutes ses promesses: des longues jambes au galbe parfait surmontées de cuisses fortes mais fermes. Le ventre était un peu rond, bien sûr et les fesses rebondies, creusées d'un sillon très profond; sa chatte était fort différente de celle de ma mère, les grandes lèves étaient à peine marquées, par contre les petite étaient disproportionnées et formaient comme deux lambeaux de chair brun-rouge qui pendait bas, surmonté d'un capuchon très protubérant. A cette vue , j'ai repensé à des lectures que j'avais faites longtemps auparavant dans les livres de mon père, et selon lesquelles il était affirmé que la présence de lèvres aussi développées était le signe d'une masturbation précoce et effrénée. Mais c'était surtout par la vue de ses seins que j'étais émerveillé: ils étaient énormes, ils paraissaient gigantesques, même, en regard de la sveltesse de l'ensemble et ils se terminaient par deux mamelons, à peine rosés, mais elle avait cette caractéristique rare d'avoir des tétines très développées qui restaient apparentes tout le temps comme dans l'attente d'une bouche avide.

Son teint clair de rousse naturelle la rendait particulièrement appétissante et s'il n'y avait eu la bordure doublée des bas qui les rendait plus opaques, on eut dit qu'elle n'en portait pas car ils étaient très clairs.

Certes les bas et les escarpins très haut contribuaient à la mise ne valeur de ses jambes, mais avaient-elles besoin de cet artifice, je ne le pense pas.

Eva avait été une sportive renommée en son temps et même après avoir abandonné la compétition, elle avait toujours eu à cœur d'entretenir sa condition physique et son corps. La nature la payait bien en retour de ces efforts.

Pendant qu'elle s'était déshabillée, ma mère s'était mise à genoux dans le divan et s'était penchée sur moi pour continuer à me sucer. J'en avis profiter pour défaire, un à un, les boutons qui fermaient sa robe sur toute la hauteur et elle s'était, ainsi, retrouvée quasi nue, elle aussi, d'autant plus aisément qu'elle ne portait ni soutien-gorge, ni culotte.

Je profitais de sa position pour lui caresser les fesses car je savais qu'elle aimait beaucoup cela et j'avais glissé un doigt entre ses jambes jusqu'à sa chatte. Elle était trempée et, après l'avoir un peu titillée à cet endroit j'avais emporté de sa rosée sur les doigts pour en lubrifier son petit cul.

Mon doigt n'avait rencontré aucune résistance lorsqu'il s'était présenté à la porte plissée et je m'étais introduit au plus profond que je pouvais.

Je sentais, plus que je n'entendais, ma mère qui gémissait tout en gardant la bouche fermée sur ma queue et je prenais un malin plaisir à lui limer de plus en plus fort le rectum car je savais qu'elle ne tarderait pas à jouir.

Pendant tout ce temps, je regardais Eva qui se branlait la chatte tout en se caressant les seins. Elle avait déjà joui plusieurs fois, mais elle semblait avoir, en la matière, une technique particulièrement bien mise au point et je me souviens m'être dit, qu'elle ne pouvait cacher combien elle devait être une adepte, elle aussi, des jeux solitaires.

Ma mère jouis donc par son cul, en me mordillant la bite. Aussitôt après elle se leva et vint s'empaler sur mon sexe en me tournant le dos et en faisant donc face à Eva.

Ma bite était énorme, mais je pouvais tenir ainsi pendant des heures, vu que j'avais déversé mon trop-plein sur ces dames une fois déjà. Ma mère montait et descendait sur mon pieux de chair et, à ses cris ainsi qu'à ses gémissements, je pouvais imaginer, sans le voir, son visage déformé par le plaisir.

Eva s'était approchée et elle était venue se placer entre mes jambes et celles de ma mère, de manière à présenter ses seins à cette dernière.

Folle d'excitation, ma mère avait engouffré dans sa bouche en feu, une des tétines qui s'offrait ainsi à elle et elle l'aspirait comme si elle voulait y prendre l'oxygène dont elle manquait.

Nous avions maintenant, refermé tous les trois nos jambes l'une sur l'autre et l'on entendait distinctement le bruissement électrique des bas qui se pressaient et se frottaient.

Lorsque ma mère jouit, son cri empli la pièce et sembla ne pas devoir s'arrêter, mais après un chapelet de hoquets et de spasmes violent elles s'écroula en arrière contre ma poitrine.

Je me laissai alors glisser sur le divan, afin de m'étendre complètement sur le dos.

Lorsqu'elle eut repris ses esprits, ma mère se dégagea de ma bite qui l'emplissait toujours et elle vint s'asseoir sur mon visage pour que je lui bouffe la chatte. Elle fit signe à Eva de s'approcher et celle-ci vint prendre sa place sur ma bite.

Je n'avais jamais connu d'autre sexe de femme que celui de ma mère et lorsqu'Eva se laissa descendre avec tant de précaution et de lenteur que je cru qu'elle ne s'arrêterait jamais, j'eus la révélation qu'ils sont tous différents.

Eva, malgré son âge et le fait qu'elle avait eu plusieurs enfants était très étroite. Je ne pouvoir la voir d'où j'étais, mais je l'imaginais: elle embrassait la bouche de ma mère et elles se pinçaient réciproquement les seins tandis que j'en suçais une et que l'autre faisait coulisser son sexe aux lèvres énormes le long de ma queue.

Eva gémissait et criait à son tour.

-C'est trop! Vous allez me tuer! Il y a si longtemps que je n'ai plus pris un tel pied…comme c'est bon, cette énorme queue qui me ramone…aaah….je jouis sans arrêt…. La mère et le fils… comme cela m'excite…. ce petit salaud a une queue comme je n'en ai jamais vues et Dieu sait si je m'en suis enfournées de toutes les sortes… mais jamais une aussi grosse….aaah …je vais jouir…suce moi un sein, sale pute….

Je n'en pouvais plus et je sentais monter en moi une nouvelle poussée de sperme. Le clitoris de ma mère était turgescent comme une petite bite et je la connaissais assez pour savoir qu'elle aussi allait exploser.

Les deux femmes jouirent en même temps. Ce n'était que cris, plaintes et gémissements et chacune y allait de ses mots crus préférés pour s'exciter d'avantage.

Dès qu'elle fut apaisée, Eva s'arracha de ma bite et la saisi dans une main pour la branler avec frénésie, tout en approchant sa bouche pour recueillir mon jus qu'elle savait proche.

Elle en eut pour son compte. Elle n'eut pas le temps d'absorber les premières giclées qui montèrent bien haut et retombèrent sur ses épaules, ses cheveux flamboyants et son visage, mais elle engloutit le gland et reçu le reste dans sa gorge. Elle faillit étrangler, mais, en femme d'expérience, elle s'appliqua à ne plus rien perdre et elle savoura tout ce que je lui donnais, jusque la dernière goutte.

Je n'avais cessé de lécher le clitoris de ma mère qui était devenu comme une petite bite, au moment où elle se mit à jouir, mais elle ne supportait plus ma caresse maintenant et elle s'arracha à moi, comme avec regret.

Elle s'affala dans les bras d'Eva et toutes deux roulèrent sur le divan, à mes côtés.

Je crois que nous nous sommes endormis quelques minutes tellement nous étions éreintés, mais la première à émerger fut ma mère.

-Nous devrions , peut-être, penser à déjeuner, dit-elle doucement. Il est midi passé et si nous voulons reprendre des forces pour poursuivre nos jeux cet après-midi, il faut que nous nous alimentions...allez! debout tous les deux et venez m'aider à préparer un casse-croûte!

Ayant repris également nos esprits, Eva et moi, nous avons pris lentement la direction de la cuisine en nous tenant par la taille.

J'étais entre les deux femmes et j'avais posé les mains sur leurs fesses dodues tandis qu'elle m'avaient entouré les épaules de leur bras.

Nous nous sommes préparés un repas frugal que nous avons expédié assis à la grande table de la cuisine.