L'Education Sentimentale

BÊTA PUBLIQUE

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Gérard, quant à lui, avait le visage enfoui dans les draps du lit qu'il mordait pour ne pas hurler, tellement le plaisir d'être ainsi enculé le dévastait et il se caressait la queue violemment.

-Attends nous, ne jouis pas avant, dis-je à René, ce ne sera pas long car je sens que je vais te remplir le ventre de mon sperme bouillant, mais je veux que ce sois ou moment où tu te déverseras dans Gérard.

Accordant ainsi la montée de notre plaisir, l'instant fatidique approchait de plus en plus vite et tout à coup, René cria qu'il ne pouvait plus se retenir.

Alors Gérard se redressa sur se genoux, face au miroir, serrant un peu plus ses fesses et précipitant l'explosion.

-Cà y est, je crache! s'exclama René, je lâche tout! Je l'emplis ce petit pédé qui m'excite tant!

Ses seins que je pelotais toujours étaient devenus très durs et je m'imaginais le tableau que nous offrions à ma mère qui devait, de l'autre côté de la vitre sans tain, se défoncer le sexe et s'arracher les seins de plaisir.

Immédiatement, à cette pensée, je me mis aussi à jouir abondamment, en même temps que la quéquette de Gérard lançait se longs jets de jus contre la porte et dans la direction de mon espionne chérie.

Il nous fallu de longues minutes pour redescendre sur terre et pour nous ressaisir.

Lentement je retirai ma bite ramollie de son étui de chair et René se sépara aussi de Gérard.

Devant mes yeux, j'avais ces deux derrières magnifiques, écartelés, et rosis par le plaisir, qui dégoulinaient de sperme.

La pièce sentait le foutre et la sueur.

Après quelque temps de repos, je chassai de mon mieux mes deux amis, de crainte qu'ils n'envisagent de prendre un douche, dans quel cas, ils auraient voulu pénétrer dans la pièce qui leur était interdite.

Tout se passa bien et je fis mine de ne pas apercevoir les œillades que les deux nouveaux amants s'échangeaient et de ne pas comprendre qu'ils allaient se retrouver chez René pour poursuivre ce qu'ils avaient si bien commencé chez moi.

Pour les presser, je leur dis que je craignais le retour de mes parents et l'argument sembla les convaincre à accélérer le mouvement.

Dès qu'ils furent rhabillés, je les reconduisis à la porte et, après un au revoir amical, je refermai celle-ci à double tour et je repartis, en courant, vers la chambre.

Ma mère était sortie de la salle de bain et s'était allongée sur le lit défait.

Elle était nue, ne portant que se escarpin noir, et elle semblait fourbue. Elle avait les yeux gonflés et regardait fixement le plafond.

Ses seins étaient rouges d'avoir été pétris ; les mamelons pointaient, gonflés de sève.

Entre ses cuisses, je pouvais voir les traînées blanches de ciprine qui avaient coulés et séché, puisqu'elle n'avait pas de poils pour les retenir.

Lorsqu'elle me vit elle se lova sur la couche, en poussant un profond soupir et en se tournant sur son côté droit, comme si elle voulait dormir.

Personnellement, je n'étais pas de cet avis, car le spectacle que je venais de découvrir avait eu un effet remarquable sur ma queue qui bandait à nouveau.

Je me suis, alors, glissé contre ce corps magnifique qui ne laissait pas de m'exciter et je me suis emboîté, en chien de fusil, en le serrant très fort contre moi.

Elle était brûlante, comme fiévreuse; en l'entourant de mon bras pour la serrer, je lui pris un sein à pleine main et je sentis que son cœur battait la chamade, n'ayant pas encore récupéré des efforts violents qu'elle lui avait fait subir pendant plus d'une heure.

Ma bite, toute raide, était venue se placer tout naturellement dans la raie de se fesses et, comme j'exerçais une pression continue du bas ventre, je la sentais qui glissait lentement vers l'orifice qui l'attendait, aidée par la sueur moite qui s'y était accumulée.

Dès que mon gland heurta la porte du plaisir interdit, il s'enfonça lentement dans l'œillet brun qui frémissait d'impatience.

Le cul de ma mère était fait à ce genre de pratique et il était très accueillant.

Ma bite s'enfonça avec vigueur et précision dans la fournaise et je n'arrêtai ma pression que lorsque mon pubis heurta les fesses.

Ma mère qui avait fait mine de s'endormir murmura :

-Oui! Encule moi, mon chéri, il n'y a que ce plaisir que je n'ai pas pu me donner en vous regardant. Quelle joie, quel bonheur, quel spectacle vous m'avez offerts. Je me suis branlée comme jamais encore je ne l'avais fait. J'en ai la chatte et les seins tellement meurtris que je ne pourrai plus me les toucher avant plusieurs jours, mais je suis encore excitée ; la vue de vos trois bites, si différentes, mais si belles et si grosses m'a mise en état d'excitation permanente.

Défonce moi le cul comme tu sais si bien le faire! J'aime sentir ta grosse queue dans mon ventre, elle me rempli si bien ; j'aime rester ainsi, sans bouger, le cul bien empli.

J'aime me faire enculer par mon fils chéri, cette luxure, cette perversion ajoute à mon plaisir.

Je sens ta tige qui palpite dans mon rectum, mais retiens toi, ne crache pas ton jus maintenant, restons ainsi sans bouger, que je te savoure et que je récupère quelques forces, par la même occasion.

Je crois que nous nous sommes assoupis ainsi près d'une heure, mais quand je me suis réveillé, ma bite était toujours fichée bien au fond du cul de ma mère.

J'ai commencé à remuer lentement et lorsque le l'ai entendue gémir de plus en plus fort, j'ai compris qu'elle aussi, avait refait surface et que le plaisir l'emplissait déjà.

Je l'ai pilonnée de plus en plus fort. Toujours couché sur le côté, j'avais passé un bras sous elle et je lui caressais le ventre, tandis que de la main gauche, je m'accrochais à sa hanche, pour mieux aller et venir profondément en elle.

Je lui mordais la nuque et le cou et lorsque le sperme monta en moi et se mit à lui asperger l'intestin, mes cris rejoignirent les siens et le plaisir nous ravagea.

Nous nous sommes endormis à nouveau et la sonnerie du téléphone nous fit sursauter.

C'était mon père qui avertissait qu'il ne rentrerait pas ce soir car il était retenu par un client étranger.

Nous avons donc décidé d'aller dîner en ville comme deux amoureux et de nous payer un cinéma.

Une douche brûlante effaça tout, ou presque, des traces que les folies de cet après-midi avaient laissées sur nos visages et sur nos corps.

Ma mère s'habilla de la manière la plus sexy : jupe très courte et très serrante, pull très décolleté moulant à merveille sa poitrine aguichante et escarpins noirs.

-Pas de bas ni de slip, évidemment, tout cela a bien besoin de respirer, dit-elle dans un éclat de rire.

La soirée a été formidable. Après le restaurant italien où nous nous sommes comportés comme des amoureux un peu fous qui veulent croquer la vie à belles dents, nous sommes allés voir un film porno dans un cinéma de banlieue.

L'ouvreuse a bien eu un regard inquisiteur et quelque peu sceptique en voyant mon jeune âge, mais, comme j'étais avec une dame qui, manifestement, avait la maturité nécessaire pour fréquenter ce genre d'endroit, elle me laissa passer sans rechigner.

Pendant toute la durée du film, qui ,n'était comme c'est souvent le cas, qu'une suite sans cohérence d'images très crues et, somme toute, très ordinaires, ma mère et moi nous sommes embrassés et caressés.

J'avais la main sous sa jupe et je fourrageais dans sa chatte qui, contrairement à ses craintes, avait déjà retrouvé toutes ses aptitudes. En même temps j'étais penché sur elle et je l'embrassais à pleine bouche, tandis qu'elle avait ouvert ma braguette et qu'elle serrait très fort ma bite dans sa main.

Je devais faire preuve d'une volonté et d'une maîtrise extrême pour ne pas jouir et je me suis retenu, ainsi, jusqu'à la fin du film d'autant que je craignais de maculer sa jupe noire et mon pantalon.

Lorsque les dernières image de ce qui n'était pas vraiment une histoire emplirent l'écran, le moment de la délivrance approcha et je murmurai dans l'oreille de ma mère :

-Je vais jouir très fort, il faut que tu me suces pour que je n'envoie pas mon sperme par dessus la tête des spectateurs devant nous!

En riant, ma mère se pencha et engouffra mon sexe turgescent dans sa bouche chaude.

Aussitôt, je vins à flots abondants, déversant mon jus par saccades dans le fond de sa gorge.

L'hiver avait pris la place de l'été et, comme chaque dimanche, mon père partait souvent chasser.

Régulièrement, un ami venait le prendre à la maison et, parfois, son épouse Eva, restait pour nous tenir compagnie pendant ces journées maussades et froides.

C'était, toujours, le même rituel. Eva était là dès le petit déjeuner qu'elle prenait avec nous et ensuite elle aidait ma mère à préparer le rpas de midi.

Eva était une dame d'une soixantaine d'année, encore très belle et très grande. Elle était un peu forte, comme souvent le deviennent les femmes d'un certain âge, mais pas trop. Ses jambes étaient magnifiques, d'un galbe parfait à la peau très lisse. Malgré son âge, elle n'hésitait d'ailleurs pas à s'habiller très court, et cela lui allait à ravir.

Elle s'était un peu épaissie du ventre et des épaules, mais l'ensemble restait d'un aspect bien agréable à regarder. Ses seins énormes se dressaient encore fièrement. Sa rousseur naturelle lui donnait un teint laiteux particulièrement distingué et, de plus, elle savait s'habiller pour mettre l'ensemble en valeur.

C'est en pensant cela que je l'observais, à la dérobade, par dessus le livre que j'étais sensé lire pour préparer les examens scolaires du premier trimestre.

Nous étions assis, ma mère, Eva et moi, dans le petit salon. J'occupais, à moi seul, le grand divan dans lequel j'étais affalé; ma mère et Eva avaient chacune pris place dans un fauteuil profond.

Elles devisaient gaiement, tandis que, sans rien laisser paraître, je lorgnait sur la poitrine d'Eva et sur ses jambes.

Elle portait un pull de laine assez fin, noir comme sa jupe, mais très décolleté qui découvrait profondément sa gorge et la naissance de sa poitrine couvertes d'une myriade de taches de rousseurs.

Malgré la saison, ses jambes qu'elle croisait et décroisait sans cesse, étaient gainées de bas clairs et, enfoncée comme elle l'était dans la chauffeuse, je pouvais apercevoir la bande plus sombre du nylon et le début de la cuisse dont la peau très claire contrastait avec le tissu sombre de la jupe.

Jusqu'à ce que ces dames décident qu'il était l'heure de penser au déjeuner et qu'elles s'en aillent en papotant bruyamment dans la cuisine, j'ai pu me repaître de ce spectacle et le savourer de tout mon saoul.

Lorsque je fut seul, la vue fit place au fantasmes et je repassai en pensée toutes les images que je venais de voir, mais en les savourant et, bine sûr, en les édulcorant.

Je bandais et il fallu que je glisse une main sous l'élastique de mon pantalon pour me caresser un peu la bite et soulager quelque peu la tension qui me taraudait.

Cette femme mûres, il me la fallait; même si je devais avoir recours à la complicité de ma mère, j'étais décidé à mettre tout en œuvre pour qu'elle soit mienne.

Je décidai, donc, de mettre un plan à exécution pour arriver, tôt ou tard à mes fins.

Puisque l'heure du déjeuner approchait, je me dis qu'il serait peu être judicieux de prendre un apéritif. L'alcool a, paraît-il, pour effet de détendre l'atmosphère et cela ne pourrait que m'être profitable.

Lorsque je suis entré dans la cuisine, les deux femmes bavardaient de choses sans importance en vacant aux préparatifs du déjeuner.

-Mesdames, je vous propose un apéritif de ma fabrication pour vous mettre en bouche avant de manger et pour rendre un peu plus festive cette journée bien mausade! dis-je sur un ton exagérément pompeux.

-Quelle bonne idée, s'exclama ma mère, notre homme, le seul qu'il nous reste, a enfin décidé de s'occuper de nous. D'accord! Prépare-nous un cocktail bien revigorant, mon chéri, cela nous fera le plus grand bien, n'est-ce pas, Eva?

-Aussitôt dit, aussitôt fait, m'écriai-je, vous ne serez pas déçues!

Je mis mon plan a exécution: je connaissais déjà, pour les avoir mises au point avec mon père, quelques recettes de cocktails très agréables, mais je forçai sur les doses de ces dames, tout en veillant à alléger, dans la même proportion, celles de mon propre verre.

Je savais, pour l'avoir constaté dans les réceptions où mes parents m'avaient emmené, que l'alcool réussit bien aux femmes, à condition qu'elles le consomment avec modération toutefois. Il les rend plus belles et plus épanouies et, surtout, plus complaisantes.

Je mis tout mon savoir et mon savoir faire pour préparer trois verres d'une boissons très colorées et au goût suave, que je déposai sur un grand plateau, après les avoir garnis de fruits confits.

-Magnifique! Tu es un as, mon amour, s'écria ma mère en me voyant entrer, tenant à bout de bras l'offrande que je leur avais préparée.

Majestueusement, comme un majordome, je m'avançai vers Eva, et en me penchant suffisamment pour bien voir dans les profondeurs de son corsage, je l'invitai à se servir.

Ensuite ce fut au tour de ma mère, avec qui j'échangeai un regard plein d'amour et de complicité.

Je crois bien, qu'à ce moment, elle venait de comprendre à quoi je voulais en venir, et son regard me fit comprendre qu'elle m'approuvait et, donc, qu'elle m'aiderait dans mes desseins.

La boisson que j'avais préparée était, effectivement, délicieuse et très douce et elle se buvait facilement, ne laissant rien paraître de son efficacité et de sa traîtrise.

Après quelques minutes les verres étaient déjà vides et l'ambiance avait monté d'un cran.

Ma mère, qui était plus habituée à ce genre de petit plaisir, et qui accompagnait souvent mon père dans des soirées mondaines, résistait mieux, mais Eva, manifestement, était déjà très gaie et volubile.

J'en profitai pour m'esquiver, en reprenant les verres, vers la cuisine, où une deuxième portion attendait d'être réduite au sort de la première.

Eva ne remarqua même pas que j'avais, à nouveau, empli son verre et elle le sirota goulûment.

Nous étions revenus nous asseoir dans le salon où nous avions, chacun , repris notre place de ce matin.

Eva, de plus en plus échauffée par l'alcool, riait et parlait fort. Elle était de plus en plus exaltées et elle croisait les jambes de plus en plus haut, à tel point que, sa jupe était maintenant remontée sur ses belles cuisses, bien plus haut que la limite des bas.

D'où j'étais, je voyais le triangle de son slip blanc et elle ne semblait pas s'en apercevoir. Elle parlait d'elle, de son mari, de leur couple. Sa conversation s'orientait petit à petit vers des choses intimes. Elle se confiait. Elle nous disait combien son mari la délaissait depuis plusieurs années déjà et combien elle se languissait. Elle lançait des œillades entendues à ma mère, croyant que je ne pouvais pas comprendre, à quel point elle était en manque d'affection, en manque de sexe, aussi.

Quant à moi le message passait cinq sur cinq et mon plan se poursuivait mieux que prévu.

C'est à ce moment que ma mère me surprit en se mettant, elle aussi, à raconter des détails de plus en plus intimes de sa vie, mais je compris, tout de suite, qu'elle, contrairement à Eva, n'était pas gagnée par l'alcool. Elle marchait avec moi; elle contribuait à la réussite de mon projet.

Elle raconta qu'elle aussi elle n'était plus comprise par mon père, qu'il la délaissait petit à petit et qu'elle devait se satisfaire de plus en plus seule.

-Je dois jouer à des jeux qui me laissent chaque fois sur ma faim, même si, je dois l'avouer, il sont très agréables, dit-elle en clignant de l'œil à Eva.

-Oh ma chérie, comme je te comprends, car moi-aussi, j'en suis réduite à cela.

Je trouve aussi cela très agréable et je m'y adonne beaucoup, parfois trop, mais je suis cependant en manque d'homme. Rien ne peut remplacer ces salauds, malheureusement! éructa-t-elle comme pour bannir ce mauvais sort.

Clairement, ma présence gênait Eva qui se sentait en veine de confidences et qui prenait du plaisir à pouvoir parler à une amie, alors, comme pour se venger , elle s'adressa soudain à moi:

-Et toi, petit, sais-tu déjà seulement à quoi pensent les filles? As tu déjà une petite amie à qui un jour ou l'autre tu joueras un vilain tour et que tu rendras malheureuse?

Est-ce que toi aussi, la vie te démange déjà?

-Oh pour cela oui, intervint ma mère, à en juger par les linges que je retrouve cachés sous son oreiller; je crois qu'il sait déjà faire usage de son corps et comment en tirer du plaisir.

Eva était devenu écarlate, elle bafouillait, se contorsionnant d'avantage sur son siège, ce qui avait pour effet de dénuder encore plus ses jambes.

-Comment, si j'entends bien du joues déjà avec ta queue, à ton âge, espèce de petit branleur!

Je n'aurais jamais cru cela, moi qui n'ai pas eu d'enfant, je ne me rends pas compte! Les choses vont elles si vite? Ton fils, je ne l'ai pas vu grandir me semble-t-il.

Et ma mère d'enchaîner:

-Eh oui, il vient d'avoir ses quinze ans, vois-tu, et il se prend déjà pour un homme; non seulement il joue avec sa queue, comme tu dis, mais, je crois pouvoir affirmer que tout ce qui touche au sexe l'intéresse beaucoup. Il fouille dans la bibliothèque de son père, il nous espionne, la nuit, lorsque nous sommes au lit, il fouille dans ma lingerie intime, et une fois, il y a de cela longtemps, je l'ai même surpris à se tripoter la bite avec un copain de son âge.

-Comment est-ce possible! Je n'en reviens pas! s'exclama Eva qui était très émue et qui dont les pommettes et le front étaient écarlates, les jeunes sont donc bien plus précoces qu'à notre époque, mais, puisqu'il en est ainsi, j'ai une idée: tu m'as bien dit qu'il fouillait ta lingerie?

Oui, dit ma mère, avec fermeté, je crois même qu'il se frotte avec et parfois qu'il la porte pour s'exciter.

-C'est bien ce que je crois comprendre, enchaîna Eva qui échafaudait un plan bien diabolique, à en juger par les éclairs que lançaient ses yeux, et bien puisqu'il aime se travestir nous allons lui en donner l'occasion si tu es d'accord: il nous prépare des cocktails, il est aux petits soins avec nous, il nous sert des amuse-gueule, qu'il soit donc, pour cette journée, notre soubrette. Tu as, j'en suis sûre, de quoi lui permettre de se vêtir comme il convient et ainsi, il joindra l'utile à l'agréable.

-J'ai tout ce qu'il faut, j'ai même la tenue parfaite car son père aimait me voir travestie de la sorte, cela l'excitait lorsqu'il s'intéressait encore à moi. Viens, me dit-elle, je vais de fournir ce qu'il faut pour que tu te changes comme l'a décidé Eva.

J'étais aux anges. Eva croyait mettre un plan à exécution, et elle ne se rendait pas compte que c'était ma mère et moi qui la menions par le bout du nez là où nous le souhaitions.

Je pris, toutefois, un air soumis et obligé, et j'accompagnai ma mère vers les chambres à l'étage.

Dans les escaliers déjà, ma mère me pris par les épaules, tandis que nous montions gaiement en sautillant, et, une fois sur le palier, elle me plaqua contre le mur et m'embrassa sauvagement.

-Je ne sais si c'est l'alcool, la conversation où les projets en vue qui me mettent dans un tel état, mais je suis déjà toute excitée. J'ai la chatte trempée et je rêve déjà d'avoir ta grosse queue en moi.

Elle me repris la bouche avec encore plus de violence. Elle sentait la fraise et l'alcool et sa langue me fouillait avec passion.

Je la sentais qui appuyait son bassin contre le mien pour sentir ma bite qui était tendue au maximum.

Elle s'arracha à moi avec regret et nous reprîment la direction de sa chambre.

Elle me prépara une mini-robe de satin noir, un petit tablier blanc, un slip noir, un porte-jarretelles et des bas de la même couleur, ainsi que des escarpin en cuir à talons très hauts.

Ma corpulence de l'époque correspondait, à peu de choses près à la taille qu'il fallait pour enfiler et bien porter ces vêtements, et je savais, par ailleurs, exactement comment je devais faire pour revêtir cet attirail féminin, car, et en cela ma mère n'avait pas menti à Eva, c'est vrai qu'il m'arrivait de me travestir pour le plaisir, lorsque je me masturbais.