L'Education Sentimentale

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L'éveil sexuel d'un jeune homme.
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IL me revient des souvenirs de plus en plus précis, de plus en plus pressants, d'une période de mon existence tellement lointaine maintenant, que je me demande, parfois, si j'ai réellement vécu ces moments particuliers, ou si je les ai rêvés.

Je devais avoir, à cette époque, entre douze et quatorze ans et je vivais, comme il se doit, avec mes parents qui formaient un couple uni et sans histoire .

Comme tous les garçon de cet âge, je m'éveillais progressivement à la vie et je dois avouer que ma sexualité progressait à grands pas.

Depuis mon plus jeune âge, en effet, j'avais toujours été très curieux de ce que les adultes, à l'époque dont je vous parle, traitaient avec beaucoup d'hypocrisie et de mystère : le sexe et tout ce qui l'entoure.

Vers mes dix ans, déjà, j'échangeais des attouchements fort précis avec des garçons de mon âge, curieux, comme moi, et tout était prétexte à retraite dans des endroits discrets, pour nous adonner à ces plaisirs, somme toute naturels.

C'était, en vérité, très innocent. Nous nous contentions de nous pincer la quéquette, parfois même, au travers du tissus de notre short.

Au fur et à mesure que le temps passait, ces jeux de mains se précisaient cependant .

A la piscine, dans un grenier ou dans les bois, nous nous isolions, deux par deux, pour nous toucher mutuellement. Nous bandions très dur , mais nous ne connaissions pas encore la jouissance.

Je fréquentais, à l'école, un ami avec qui j'étais un peu plus lié, et avec qui, les échanges de confidences se développaient de plus en plus.

Gérard était assez grand, comme moi, d'ailleurs, et il était d'environ une année mon aîné.

C'est lui qui m'expliqua que, le soir, dans mon petit lit douillet, si je m'y prenais bien, je pouvais, en caressant suffisamment longtemps ma queue, et en tendant bien les jambes, « éclater tout à coup » comme il disait.

Lui-même y était arrivé et, me racontait-il, il avait même vu, après quelque succès de ce genre, gicler par le petit trou de sa bite, un liquide blanc et chaud.

Nous en avions, immédiatement conclu, qu'il s'agissait bien là, du liquide qu'il faut introduire dans le ventre de la femme pour la féconder.

Peut importait, à vrai dire, mais que c'était agréable, me disait Gérard.

Dès ce moment, tous les soirs, et parfois le matin, je tirais comme un enragé sur ma bite qui durcissait telle une épée entre mes jambes soudées et tendues à se rompre. Et un beau soir, arriva ce qui devait arriver.

Comme j'en avais pris l'habitude, j'atteignis ce qui, comme je l'ai su plus tard, s'appelle un orgasme.

Lorsque je détachai ma main de mon sexe brûlant, je la sentis inondée d'un liquide chaud et gluant que je pris, sur le coup pour du sang.

Bien vite toutefois, je réalisai que j'avais craché le liquide dont Gérard m'avait parlé.

Nos jeux se précisèrent, à l'époque.
Nous n'avions plus qu'un but, nous faire jouir le plus souvent possible.

Un de nos jeux favoris était de nous caresser dans la cabine de déshabillage à la piscine.

Après le bain, nous partagions le mains lieu clos aux regards indiscrets et, après avoir enlevé, au plus vite nos maillots, nous nous offrions réciproquement nos deux bites, glabres mais toujours au garde à vous.

Nous nous manipulions le sexe en de savantes caresses, de plus en plus rapides, imposant à l'autre le rythme que nous souhaitions pour nous même, jusqu'à ce que, souvent au même moment, nous nous mettions à cracher, par saccades notre sperme juvénile, sur nos cuisses, notre ventre voire sur le mur carrelé du local.

C'est, aussi, à cette époque, que tous deux, nous nous étions rendus compte que les bibliothèque de nos pères respectifs, recelaient des trésors intéressants.

Mon père possédait de nombreux livres dont le contenu était très instructif me semblait-il.

Ce n'était pas seulement des ouvrages de texte, mais aussi, plus souvent des magazines illustrés de photographies de femmes nues dans des poses aussi suggestives que la censure de l'époque le puisse tolérer.

De toutes façons, à cet âges j'étais encore fasciné par la partie du corps de la femme que je considérait comme le sommet de l'intimité et de l'érotisme : la poitrine, et je me repaissais donc, de ces photos, ne m'inquiétant que fort peu de ce qu'elles cachaient.
Poussant peti à petit, mes investigations, j'avais trouvé dans l'armoire de lit de mes parents, toute une mine de livres qui combinaient textes et photos et qui constituaient, à eux seuls, mieux qu'un cours d'éducation sexuelle très avancé.

Il y avait, en outre, dans cette caverne d'Ali Baba du sexe, divers accessoires qui m'étonnèrent, au début, mais dont, très vite, grâce à la documentation que j'avais entre les mains, je pus imaginer l'usage que mon père pouvait en faire sur ma mère ou que ma mère pouvait se faire lorsqu'elle était seule, comme les filles des photos.

Je découvris, aussi des lettre que mes parents s'étaient échangées, avant leur mariage ou lors des rappels militaires de mon père.

On n'est guère scrupuleux, à cet âge et le désir d'apprendre l'emporta sur les hésitations.

Petit à petit, car je n'osais m'aventurer trop longtemps dans la chambre de mes parents, de peur de me faire surprendre , je me suis mis à dévorer ces lettres, en plus des livres que je connaissais maintenant par cœur.

Ce que je découvris me choqua au début. C'était normal, à cet âge, j'estimais que mon père avait été un beau salaud d'écrire des mots aussi crus à ma mère et de lui promettre de lui faire des choses aussi sales.

Très vite, toutefois, et surtout, dès que je me mis à lire les réponses que ma mère rédigeait, je compris que les intentions, partagées, du reste , n'avaient rien de méchant et que le but, après tout, n'était que de partager du plaisir, ce qui ne peut être mauvais, en soi.

Je découvris, dès ce moment, ces missives amoureuses comme de simples histoires pornographiques, à la différence, cependant, que les acteurs avaient un visage et un corps que je connaissais.

J'appris beaucoup de choses à ces lectures, à vrai dire, tout ce qu'un jeune garçon doit savoir ; en théorie en tout cas.

Je devais approcher de mes quatorze ans et mes jeux avec Gérard ne me satisfaisaient plus comme avant.

Pourtant nous avions franchi des étapes dans notre quête du plaisir : nous nous sucions maintenant la queue avec une délectation et un savoir croissants.

J'aimais, lorsque nous étions à la piscine, nu dans une cabine, lui prendre la bite en bouche et je me souviens, encore aujourd'hui, de ce sexe très dur au goût si caractéristique, dont le gland se décalottait de lui-même, tellement il se tendait. Je revois cette couronne duveteuse que j'avais devant les yeux et que je frôlais de mes lèvres et de mon nez lorsque j'enfonçais sa bite dans le fond de ma bouche.

Nous n'allions pas jusqu'à éjaculer dans notre gorge à cette époque, car cela nous dégoûtait, enfin, nous n'osions pas nous avouer que nous souhaitions parfois le contraire, et lorsque notre plaisir était suffisant, nous nous achevions « à la main », comme nous disions.

Je l'ai dit, cela ne nous suffisait plus!.

Dès que je le pouvais, je me glissais dans la chambre parentale et je me caressais pendant de longues minutes enlisant, soit des lettres que je ne connaissais pas encore, soit des nouvelles revues que mon père achetait chaque mois, et qui venaient réapprovisionner le stock.

La plupart du temps, je ne tardais pas à cracher des flots de sperme dans ma main que j'essuyais prestement dans mon mouchoir ou que je léchais avec gourmandise.

Depuis un certain temps, et surtout depuis que j'avais lu ces lettres, je ne regardais plus mes parents avec les mêmes yeux.

Plus particulièrement ma mère, d'ailleurs ; je l'admirais évidemment comme tout adolescent admire sa mère et je la considérais comme le centre du monde l'âtre qui m'était le plus cher, mais, je m'en rend compte, maintenant, mon regard s'était fait plus pénétrant, plus incisif, plus fouineur peut-être aussi.

Je la trouvais très jolie, très belle ; elle l'était d'ailleurs, à en juger par la manière dont les hommes la dévisageaient, en rue.

Je possédais suffisamment de références, de par mes lectures spécialisées , pour savoir que ma mère était « bien faite » comme l'on dit.

Très brune, elle était mince, mais pas trop, se jambes étaient très lisses et superbement galbées, et j'imaginais qu'elle devait être assez poilue, car j'avais remarqué, dans la salle de bain, tout un équipement spécialement conçu pour le rasage des femmes et j'en avais tiré les conclusions avec l'aplomb et les certitudes qui caractérisent un jeune homme de mon âge.

C'était surtout ses seins qui m'impressionnaient. Non qu'ils étaient démesurément gros, mais, plutôt parce qu'ils représentaient la partie de la femme que j'avais pu le mieux découvrir dans mes expéditions livresques et avec laquelle je pouvais, par conséquent, établir les mieux des comparaisons.

Les seins de ma mère étaient volumineux, certes, mais ils étaient surtout très pointus et, grâce aux soutiens-gorge de l'époque, elle les portait très droits et très hauts.

A vrai dire , ma mère avait, à peine plus de trente ans, à cette époque. Elle s'était mariée jeune et j'était venu très trop.

Ma mère occupait, donc, de plus en plus mes pensées, et, lorsque je me caressais, le soir, je me faisais un cinéma très compliqué dans lequel ma mère tenait le premier rôle ; un rôle de femme obsédée par son corps et le sexe, de femme qui se caresse sans cesse, qui couche avec des amies et, petit à petit, qui m'inclut dans ses jeux.

J'avais remarqué, lorsque j'étais seul avec elle, à la maison, qu'elle s'enfermait, parfois, de longues minutes dans les toilettes et, comme la porte qui fermait celles-ci avait subi, diverses modifications, elle possédait un trou, probablement l'ancien logement d'une clenche qui n'existait plus, à environ cinquante centimètres du sol.

Sa position très basse laissait à penser qu'il ne constituait pas un danger pour les regards indiscrets et c'est la raison pour laquelle, mon père n'avait pas jugé utile de le reboucher.

Quelle erreur! C'était sans compter sur ma perspicacité et ma débrouillardise ni, surtout, sur ma curiosité et mon voyeurisme naissant.

En effet, j'avais mûrement repéré les lieux pour constater que, par cet orifice, je pouvais découvrir le qui se passait à l'intérieur du local, tout au moins jusqu'à une certaine hauteur et que, de plus, étant moi-même plus bas que le champ de vision de l'occupant des lieux, je ne pouvais être remarqué par celui-ci.

C'est ainsi que je me mis à épier les habitudes de ma mère et je remarquai, ainsi, que parfois, elle restait dans les toilettes un temps infiniment plus long que la normale.

Cela m'intriguait, mais j'avais bien mon idée là-dessus et, un jour, ce qui devait arriver, arriva.

C'était un après-midi de vacance et j'étais seul, à la maison, avec ma mère.

Ma décision était prise : si elle se rendait au « petit coin », comme elle disait, j'irais l'observer.

Tout à coup, alors qu'elle venait juste d'achever la vaisselle du repas de midi, je la vis se diriger vers l'endroit convoité et, tandis que dans ma poitrine je sentais battre mon cœur à tout rompre, j'entendis le verrou se refermer derrière elle.

J'étais, à la fois, très excité, poussé par l'envie et la curiosité, et terrorisé par la portée du geste que j'allais accomplir.

L'attrait du défendu l'emporta, toutefois, sur la culpabilité que suscitait la décision, et, à pas de loup, je me rendis à mon poste d'observation.

Un tableau magnifique m'attendais. Dans ma courte existence, il ne m'avait encore jamais été donné de voir « en chair et en os » et de si près, un corps de femme et même si je ne pouvais voir la totalité de celui-ci, je n'en ressentais pas moins un immense bonheur.

La pièce était assez profonde et la cuvette du WC posée au fond, ce qui me permettait d'avoir un champ de vision allant du sol jusqu'au cou de ma mère qui était assise.

Sa robe de vichy rose était retroussée jusqu'au ventre et j'avais, en gros plan devant les yeux, ses deux genoux joints et ses jambes.

Je pouvais distinguer clairement la maille brillante des bas nylons brun clair et, en remontant le long de la cuisse gauche, mon regard heurta l'attache du porte jarretelles blanc qui tranchait sur la face externe de la cuisse laiteuse et allait se perdre sous le tissu rose de la jupe.

Au centre des deux cuisses barrées par la bande plus sombre des bas, deux jarretelles blanches courraient, également, jusqu'au ventre et encadraient un triangle de poils noirs et courts.

Les cuisses étaient magnifiques, très lisses et je ne pouvais m'empêcher de les comparer avec celles que j'avais vues dans les livres de mon père ; et elles soutenaient facilement la comparaison!

Plus bas, des genoux biens serrés descendaient deux jambes au galbe irréprochable vers des pieds mignons et fins qui semblaient enchâssés comme deux diamants dans des escarpins blancs, aux talons très hauts et très fins, à la mode de l'époque.

Elle ne bougeait pas ; je ne voyais pas son visage mais par le mouvement de ses bras, je me doutais qu'elle feuilletait un magazine.

Instinctivement, j'avais porté la main à mon sexe que je malaxait au travers de la toile fine de mon short.

Je jouis très vite et j'inondai mon vêtement de sperme brûlant m'obligeant ainsi à m'enfouir dans ma chambre pour me nettoyer et effacer toutes traces .

Mais ma jeune pine ne pouvait être satisfaite de ce plaisir rapide et, dès que je me suis mis à frotter mon gland pour le débarrasser des dernières traces, l'envie me repris et mon sexe durcit aussitôt. Je me mis à le caresser avec plus de douceur et d'application que la première fois et, tout en revivant les moments délicieux et les images savoureuses dont je venais de me repaître, je me fis jouir à nouveau, en crachant bien loin, cette fois, ma semence juvénile.

Le plis était pris et chaque fois que j'étais seul avec elle et que ma mère se rendait aux toilettes, je me mis à l'épier et ainsi, au fil de mes observations, mes découvertes se firent de plus en plus intéressantes, et agréables.

Parfois, ma mère enlevait complètement le slip qu'en d'autres temps elle gardait en travers des mollets ou des chevilles. Alors elle écartait insensiblement les jambes tandis que, d'une main elle fourrageait délicatement dans les poils de sa chatte.

C'est de cette manière qu'un jour, enfin, je pu détailler, à loisir, ce sexe de femme dont j'étais issu.

C'était un sexe magnifique, c'était le premier que je voyais, mais, j'en étais sûr, c'était le plus beau du monde. Il était recouvert de poils très noirs, comme je l'ai dit, mais assez courts. Mon expérience acquise à la vue des phots de professionnelles me permis de conclure d'emblée, qu'il avait été retaillé au rasoir et au ciseau, car il formait un triangle parfait et l'entrejambe quant à lui était quasi glabre.

Plus tard et au fur et à mesure de mes observations, je découvris, d'ailleurs, que tantôt ma mère avait la chatte parfaitement épilée, comme celle d'une petite fille, tantôt elle laissait repousser son buisson de jais.

Mais revenons-en à mes premières découvertes et, à ce moment, ma mère était poilue. Les cinq doigts jouaient donc, doucement dans cette toison mais, petit à petit, je vis le majeur de faire plus insistant et plus pénétrant , s'insinuant progressivement entre les lèvres du sexe.

Tandis que le doigt fureteur entreprenait un long et lent va et vient dans la fente, je voyais les deux jambes, maintenant très écartées, se tendre de plus en plus jusqu'à ce qu'elles soient raides et bandées comme deux pieux de chair.

Je distinguais les muscles des cuisses tendus qui tressaillaient et les deux pieds que je ne pouvais plus voir, s'appuyaient probablement au bas de la porte qui me servait de rempart.

Je ne voyais pas la deuxième main mais je l'imaginais sous la robe, pétrissant un sein, un de ces énormes seins qui me faisaient tant envie et que je ne pouvais encore, voir.

Le majeur glissait de plus en plus loin et je le voyais pénétrer profondément, à chaque passage, dans ce sexe béant que le pouce et le petit doigt tenaient grand ouvert.

Dans cette fente écarlate, une protubérance énorme, un bouton turgescent comme une petite bite, dardait, qui me donnait envie de le sucer comme je l'aurais fait de celle de Gérard.

Qu'à cela ne tienne, j'avais sorti ma queue et je l'agitais comme un forcené.

Petit à petit le doigt actif de ma mère circonscrit son travail autour du bouton seulement. Il le titillait, le contournait, l'abandonnait parfois, pour permettre aux deux autres, l' pouce et le petit, de la prendre en étau et de le traire comme je le faisais de ma quéquette.
Soudain, j'entendis distinctement ma mère gémir de plus en plus fort et piusser des soupirs énamourés.

-Jouis, salope! se disait-elle à voix haute, éclate-toi, sale putain! crache le ton jus…

Et elle se remettait à gémir tandis que son doigt appuyait de plus en plus frénétiquement sur le haut de son clitoris.

Elle se cabra d'un coup en serrant les cuisses sur sa main et elle étouffa un dernier cri, au moment précis où, de l'autre côté de la porte, j'eus juste le temps d'extirper de ma poche un mouchoir pour y cracher des flots de spermes qui, si je ne les avais pas contenus dans ce linge, auraient maculé le rempart opaque qui nous séparait.

Cette dernière découverte m'encouragea, s'il le fallait encore, à poursuivre mon observation indiscrète.
Chaque fois que je le pouvais, j'allais me repaître de ce spectacle magnifique.

Souvent, toutefois, j'étais déçu car ma mère ne se caressait pas, mais je me satisfaisais alors, de la vue de ses belles jambes et de son ventre.

Une fois, par contre, j'eus l'agréable surprise de la trouver debout.

Elle se tenait de profil, le bas du corp entièrement dénudé. Elle avait ôté sa jupe et sa culotte et, comme c'était l'été, elle ne portait pas de bas.

Je voyais ses jambes légèrement fléchies car elle semblait pousser son ventre vers l'avant pour présenter sa chatte au dessus de la cuvette, comme l'aurait fait un homme pour uriner.

De ses deux mains, elle écartait complètement les lèvres de son sexe et, tout-à-coup, des gouttelettes dorées s'échappèrent de la source et se perdirent en un chapelet dégoulinant dans le pot du WC. Aussitôt, ce fut la cataracte, l'abondance. Un long jet de pisse brillante frappa dru l'émail froide et rebondit dans l'eau de la cuvette en un bruit caractéristique.
J'entendais ma mère murmurer des mots crus, comme à son habitude :

-Oh oui! Pisse bien tout ton jus! Crache le, ton sperme de salope.

Oh comme je voudrais être un homme et avoir entre les jambes une grande bite qui cracherait tant de sperme!

Que c'est bon de pisser ainsi! Que c'est bon! Que çà me plaît!

En prononçant ces mots, elle agitait son sexe comme pour faire couler davantage de pisse et extraire les dernières gouttes .

Lorsque la source fut tarie, elle resta immobile un long moment. Ensuite, elle leva la jambe gauche et la posa sur le rebord de la cuvette.

D'où j'étais, je voyais son pied à peine caché par les brides éparses des sandales à hauts talons. Les orteils semblaient jaillir de ce chaussures légères et les ongles parfaitement vernis brillaient comme autant de miroirs.

L'autre jambe, par contre était restée bien tendue.

Que ses jambes pouvaient être belles! Musclées, mais pas trop, toujours parfaitement entretenues et lisses, souvent bronzées, bien fuselées et, surtout, pas trop maigres.

Dans cette position, je la vis qui commençait à se caresser. Tandis que sa main gauche courait de la hanche à la cuisse tendue, la droite s'agitait dans le sexe trempé. Trempé à la fois de pisse et d'envie car j'entendais le clapotis que le mouvement de plus en plus rapide des doigts provoquait.

Le plaisir fut prompt. Très vite, je vis la cuisse qui se trouvait si près de moi que j'aurais pu la toucher, se bander et les muscles se durcir. La main s'activa au rythme des gémissements. Le cri de la délivrance ne tarda pas, signal du plaisir de ma mère mais aussi du mien.