Le Chevalier Pervers

Informations sur Récit
Une nouvelle série, médiévale.
1.4k mots
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Partie 1 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 11/15/2018
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Je me nomme Xavier Dendraille et je suis de sang noble. Seul mon sang est noble. Un chevalier le devient par l'adoubement mais ne le demeure que par ses actes. J'ai été fait chevalier par le comte d'Angiviller, dans la chapelle de son château. Le comte était une vieille baderne qui régnait sur un petit domaine de paysans stupides. Mon élévation au grade de chevalier aurait due être le sommet de mon existence. Mais le prêtre était ivre, et le comte pressé, car ma cérémonie n'était que le prélude du mariage de son fils. Cela faisait bien d'élever quelques écuyers au niveau supérieur

Au repas, j'étais placé loin de la table d'honneur, à côté de la porte des cuisines et les viandes que l'on me servait avaient déjà été entamées et les meilleurs morceaux manquaient. Je jetais de fréquents coups d'œil sur les formes d'une des serveuses. Elle s'appelait Jeanne et dépannait souvent pour les repas de fête au château, en plus de son travail à l'"auberge du sanglier". Elle portait une robe largement décolletée et ses seins m'excitaient lorsqu'elle se penchait pour m'abreuver en vin. Elle sourit à mes compliments. En fin de soirée, les mariés s'ecplisèrent pour consommer leur mariage, et je quittais aussi la salle. Je ne sais pas danser, le bal allait débuter, et je ne voulais pas me ridiculiser.

Le village était calme, au pied du rempart. Les paysans se foutaient du mariage. La serveuse marchait d'un pas tranquille vers son logis. Elle avait la main sur la porte lorsque je la rattrapais. Elle sursauta devant mon apparition puis se rassura de suite en me reconnaissant.

-Ah, Xavier, vous m'avez fait peur. Dit elle.

J'effaçais son sourire tranquille en lui posant ma dague sur la gorge.

-Entre, catin. Dis-je.

Le vin m'avait chauffé les sangs. Je sentais mon sexe dur se presser sur ma cuisse. Elle entra, me précédant dans sa cuisine. Je la poussais contre la grosse table et relevais ses jupes. Sa jupe, elle ne portait pas de jupon, mais une étoffe de gros de coton. Je la dépouillais de son linge. Elle apparut blanche et laiteuse sous l'éclat de la lune

-Ne me faites pas mal. Gémit elle.

Je ricanais et poussais mon genou entre ses cuisses. Je détachais le devant de mes chausses et ma bite jaillit comme un ressort. Elle avait le con fourni, et je battais mon briquet pour allumer la chandelle. La lueur dorée projetait un éclat faible mais je discernais mieux sa chatte fermée dans la nuit. Ses gros seins montaient et descendaient vite au rythme de sa respiration affolée. Je lui saisis les mamelles sans douceur, étonné par leur tendreté. Elle gémit. Je guidais mon vit vers sa fente et coulissait le long avant d'y entrer. Son cri me surprit, ainsi que la légère résistance que j'avais sentie au milieu. C'était bon. Son corps résistait et je devais à chaque retrait forcer de nouveau mon chemin dans son con rétif. Elle sanglotait, à présent, et murmurait des phrases que je ne saisissais pas. Je me penchais vers ses lèvres.

-Ne me remplissez pas, je vous en supplie, sinon je vais être grosse.

J'hésitais un instant. J'avais vu un garde conduit à l'autel par une bergère qu'il avait engrossé. Je ne tenais pas à me lier à une fille de salle dès mes dix-huit ans. Je sortis mon chibre et la regardais. Du sang tachait le linge qui traînait là. Je lui prit les hanches et la relevais. J'écrasais mes lèvres sur les siennes puis la plaquais à plat ventre sur le plateau de la table. Je me haussais légèrement pour la prendre à la retourne. Elle tremblait. Ses larges fesses frémissaient tandis que je poussais mon gland vers son cul. Elle cria sa douleur alors que je forçais sa poterne de derrière. Je plongeais dans ses entrailles avec férocité. Je profitais de l'incomparable sensation de ce tube étroit crispé. Je pilonnais son fondement avec une sorte de colère, qui culmina par un éclair dans mes reins, et ma semence inondant son orifice secret.

Je me détachais de Jeanne qui se tenait le visage dans les mains. Je regardais mon sexe, sali de sang et de merde.

-Lave ça, gourgandine. Dis-je.

Elle mouilla un coin de son drap et m'essuya soigneusement, en me jetant de fréquents coups d'œil inquiets. Je durcissais de nouveau sous ces maladroites caresses.

-Je ne peux vous contenter, messire, je suis blessée. Dit elle d'une toute petite voix.

Elle commençait à faire aller et venir sa main sur mon sexe. Je n'allais pas me contenter d'une branlette.

-Fous la toi en bouche, ordonnais-je.

Elle pleura de nouveau, mais emboucha mon vit derechef. Arrivé à mon apogée, je lui tins la tête et lui arrosais la gorge. Elle ne put faire autrement que de boire ma liqueur amère. Je me couchais dès mon retour dans ma chambre au château. Ma nuit fut courte.

Je fus conduit dans la salle à manger du comte par deux gardes.

Le comte m'avisa que Jeanne était la fille d'un important bourgeois du bourg, le père Maurice. Le faquin prétendait que j'avais obligé la pauvresse à des actes contre nature et exigeait justice. En ces temps difficiles, il n'était pas souhaitable de devoir nourrir un prisonnier inactif. On castrait donc les violeurs à la tenaille chauffée au rouge. Je regardais le comte. S'il avait pris cette décision, je me serais réveillé dans un cul de basse fosse.

-Tu as quelque chose à dire? Me demanda mon suzerain.

-J'ai fauté, c'est vrai, mais la fille est malvenue de se prétendre rétive. Répondis-je.

C'était la bonne réponse. Je le vis hocher la tête.

-Il n'y a qu'une façon de régler cet incident. Depuis le temps que ce sacré Maurice me scie les côtes avec un anoblissement, la Jeanne pourra lui pondre des petits Dendraille.

-Il me faut l'accord de mon grand père, objectais-je.

-Ton grand père,seul parent survivant, m'a fait ton tuteur. L'affaire est réglée. Cela aura lieu cet après-midi après la messe.

Je ne dis mot. Le grand père vivait dans une ferme à peine plus grande que ma chambre au château et régnait sur une dizaine de dégénérés consanguins à trois lieux du château.

Jeanne se tenait très droite devant l'autel, dans une robe blanche, avec une couronne de fleurs. Le vieux curé anonait des stupidités en latin, quand il en vint au questions rituelles, je répondis d'un "oui" ferme tandis que ma promise approuvait du bout des lèvres. Le bourgeois Maurice ne se sentait plus de joie et avait déjà demandé au forgeron de lui fabriquer une enseigne "Maurice et Dendraille" je portais mon surcot de chevalier, aux armes de la famille, trois chauve souris noires sur fond jaune. Je sortais au bras de Jeanne et rejoignis la grange où la table avait été dressée.

La chambre nous accueillit. Je fermais la porte et mis la barre. Jeanne était plaisante, avec la robe de mariée de sa mère et ses fleurs mortes dans les cheveux. Elle tourna ses yeux clairs vers moi. Elle tremblait de terreur.

-Ce n'est pas ce que je souhaitais, commentais-je. Faire de toi une chevalière n'était pas mon projet.

-C'est indigne. Je voulais te voir châtré. Dit elle en reniflant.

-Si ton père n'avait pas été si influent auprès du comte, tu n'aurais même pas pu déposer ta requête. Comme cela, notre seigneur s'évite les frais de l'anoblissement d'un gueux. De toute façon, tu n'as pas plus le choix que moi.

-Mais le sang? S'inquiéta -t'elle. Ma tante veut étendre mon drap dans son pré. Tout le pays verra que je suis un fille perdue.

Je ris. J'ordonnai qu'elle se débarrasse de sa robe nuptiale. L'éclairage était meilleur que la veille. Elle était un peu grasse, mais très désirable. Elle écarta passivement les jambes. Je me dénudais à mon tour et me glissais entre ses jambes. Elle portait un bleu là où la nuit d'avant j'avais posé mon pouce pour écarter ses cuisses. Je n'avais pas à la violer. Elle m'avait juré obéissance. Sa chatte était plus accueillante mais elle demeurait inerte, subissant notre accouplement sans y prendre un part active.

Je me retirais sans conclure.

Je fis trois pas jusqu'à la table et tirais ma dague.

Elle poussa un petit cri de terreur. Je la poussais de la main et me coupais légèrement le bras . Un peu de sang coula sur son intimité et mouilla le drap. Elle éclata en sanglots. Je pressais la main sur la petite plaie et l'écoulement se tarit.

-Voila un pucelage tout neuf. Commentais-je.

Elle m'embrassa tendrement. Je la dirigeais doucement pour la placer à quatre pattes. Elle frémit quand je toquais à sa petite porte. C'était si serré que je ne tenais que quelques mouvements avant de rendre les armes dans son cul bien dompté. Après tout, j'allais peut être me faire au mariage.

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