Le Billard

BÊTA PUBLIQUE

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«Sois plus discrète, Camille pourrait t'entendre et venir voir ...»

«Non il ne viendra pas, bébé. Je lui ai donné l'ordre de m'attendre sur le lit.»

Cédric la baisait comme s'il voulait la détruire. Agrippé à ses hanches, son pubis claquait contre les fesses de ma femme, tandis que ses seins dansaient la gigue. Je l'ai vu tirer sa charge en elle. Elle vibrait sous l'intensité de son orgasme, et il a rempli sa chatte de sperme, profondément dans son ventre.

Quand il a sorti sa bite, elle s'est tournée et s'est agenouillée, pour nettoyer la bite luisante de leurs jus mêlés. Puis ils se sont embrassés, et il lui a dit d'aller s'occuper de la poupée. J'ai pensé : «Quelle poupée?»

J'ai couru dans la chambre me déshabiller et m'équiper rapidement avec ma nouvelle tenue de nuit. J'avais un peu de temps parce que Valérie est repassée par la salle de bain. Je me suis contemplé dans le miroir. Une nuisette et un short, plus ample que la culotte, dans une matière vaporeuse et soyeuse. Très doux mais très translucide. Je me sentais presque nu, accessible, disponible. Cela faisait ressortir mon côté féminin.

Quand Valérie est entrée, je venais juste de me coucher. Elle a admiré ma tenue avec un large sourire.

«Je suis contente, ça te va bien.»

«Oh, oui, Valérie, j'adore ce jeu ...»

«Ce n'est pas un jeu, Camille. C'est ta nouvelle tenue de fille, maintenant, Si tu es une bonne fille, on sera copines. Lève-toi, tourne un peu que je vois. Bon, je ferai une petite retouche ici, mais pour ce soir, ça ira. Bien, puisque ça te plaît, je pourrais t'acheter d'autres petites choses, plus sexy. Allez, au lit, fillette!» Et elle m'a claqué les fesses.

Quand elle a quitté sa sortie de bain, elle portait une nuisette et une culotte, donc j'ai compris que je n'aurais pas de rapports sexuels ce soir. Elle s'est blottie contre moi dans le lit, et sa main est allée droit sur ma bite. À travers le tissu soyeux, elle a massé mes bourses et ma tige lancinante.

Elle me parlait d'une voix douce, entrecoupant son discours de petits baisers sur la bouche, et de "je t'aime" dit d'une voix mourante. Elle m'a dit que j'étais une belle poupée, très féminine, que ma nouvelle tenue me sied à ravir, tout cela sans cesser de caresser ma bite.

De temps en temps, quand je grognais «Oh, ça vient!» elle s'arrêtait de me tripoter en riant «Pas si vite!»

Finalement, elle est allée chercher un rouleau d'essuie-tout, en disant : «Maintenant, nous sommes prêtes, bébé.»

«Valérie, je préférerais te baiser ...»

«Oh non, ma chérie, tu es une fille maintenant, les filles ne baisent pas, elles utilisent leurs doigts et leur bouche pour se faire plaisir. Pas de baise, petite coquine. Chérie, ton gros clitoris est tout congestionné ce soir, tu t'es encore masturbée en regardant la télé, vilaine!»

Elle a recommencé à me caresser la bite tout en me parlant : «Chérie, en caressant ton gros clitoris, je pensais à Cédric. Tu sais, il m'éduque bien, je l'aime beaucoup, et je pense qu'il m'aime aussi, J'ai une confession à te faire, pour le remercier d'être si gentil avec moi, je l'ai embrassé ce soir ... Non, ne te fâches pas. J'avais réussi un très joli coup, j'étais si contente que j'ai sauté de joie ... dans ses bras! J'ai sauté à son cou, je l'ai embrassé, et il m'a embrassé aussi. Comment te dire, ça s'est fait comme ça, naturellement, sans réfléchir ... Ensuite, il m'a touchée ... la minette! Non, ne dis rien, ma chérie, ne lui en veut pas, tout est de ma faute ...»

«Tu sais, Camille, ma culotte était si étroite qu'il n'a eu aucun mal à mettre ses doigts dedans ... ma chatte! Et je l'ai aimé, oh, j'ai adoré cela, Camille. J'aime beaucoup Cédric, tu sais, mais ce qu'il m'a fait avec ses doigts, mon dieu, j'étais incapable d'arrêter ça! Doucement, Camille, je vois que ça t'excite beaucoup, ce que je raconte!»

J'étais si proche de jouir, ma bite palpitait, alors Valérie s'est arrêtée de me caresser et elle a serré la base de ma bite très fort : «Doucement, calme-toi, Camille, je n'ai pas fini mon histoire. Je vois que ça t'excite beaucoup que Cédric m'a embrassée et doigtée la chatte. Tu sais, Camille, j'ai adoré!»

«Tu sais, Camille, quelque chose ne va pas bien chez nous. Un type, un noir, vient à la maison, m'embrasse, me tripote et ça nous excite. Moi, ça m'a fait jouir, et toi, tu ne parviens pas à te contenir. C'est excitant, n'est-ce pas, Camille, de savoir que ta femme est une salope infidèle? Du coup, tu aimerais qu'il recommence? Moi, j'aimerais bien qu'il me baise. Mais toi, Camille, tu serais d'accord?»

«Oui, Valérie, oui, je suis d'accord pour tout, mais ne t'arrêtes plus de me branler!»

«Camille, maintenant que tu es une fille, je pense que je peux te dire des trucs de fille ...»

«Valérie, t'es sérieuse, là?»

«Oui, très sérieuse, et je pense que tu vas adorer ça Camille. Fais-moi plaisir, je voudrais te raconter mes secrets de fille, habillées en fille, comme maintenant, dans nos tenues de nuit. Tu es d'accord?»

«Bon, d'accord, Valérie. Je t'aime tant, si cela peut te faire plaisir, mais seulement en privé, dans la maison.»

«Bien sûr, Camille, seulement dans la maison ...Je sais que tu vas aimer ça, bien, occupons-nous de ton gros clito, maintenant, il est tout congestionné!»

Elle m'a dit de me détendre, elle m'a embrassé en massant ma bite avec le papier absorbant enroulé autour. Mes couilles me faisaient mal, à cause de l'excitation de ce que j'avais vu et subi toute la soirée, sans pouvoir me soulager. Je savais que je ne viendrais pas rapidement, je m'étais trop retenu. Elle chuchotait à mon oreille. Elle tenait ma tête pressée sur son sein pour me raconter ses secrets de fille :

«Camille, tu l'as compris, j'aime beaucoup Cédric. C'est le premier homme noir qui m'a embrassé. J'étais tellement ... séduite! Si femme, si sexy, je voulais l'embrasser encore, Camille, je voulais le caresser comme je te caresse. J'ai voulu sentir sa bite en moi, me pénétrer, m'élargir, me remplir toute. Oh, comme tu respires fort, Camille, quand je te raconte ce que j'ai fait avec Cédric. Je vois bien que ça t'excite, toi aussi, tu aimerais que Cédric te prenne?»

«Oh, mais tu jouis, Camille, non, ne te tords pas comme ça, reste contre moi, pense à Cédric, tu n'imagines même pas comment il m'a fait mouiller, je le voulais dans mon lit. Imagine, Camille, toutes les deux, avec Cédric dans notre lit, comme on serait heureuses. Cédric veut venir avec nous dans ce lit, Camille. Il veut mettre sa grosse bite noire dans ma petite chatte blanche. Et toi tu l'aiderais, Camille. Tu le sucerais pour qu'il soit bien dur. Tu n'imagines même pas comme on serait heureuses, bien baisées. Viens, Camille, suce-moi, maintenant. Le sperme de Cédric suinte de ma vulve, lèche-le, c'est un nectar délicieux.»

Valérie m'a dit qu'elle m'aimait tellement, d'autoriser Cédric à dormir avec elle, ici dans ce lit ... J'ai dit ça, moi? Elle m'a dit qu'ils feraient de moi une fille adorable et docile. Elle m'a dit que j'avais eu ma meilleure éjaculation de tous les temps. Que je devais dormir maintenant, en rêvant de Cédric, dans ce lit, en train de lui faire l'amour, à elle, Valérie.

Le lendemain matin, dans mon tiroir, je n'avais plus que des culottes de filles. Valérie m'a dit que j'étais une fille maintenant, alors je devais porter des culottes de fille. Sous les vêtements, personne ne le saura. Ce soir, tu auras une autre surprise. Le soir, en rentrant du travail, Valérie était déjà là.

Je suis allé prendre une douche. En entrant dans la chambre, j'ai vu Valérie assise sur le bord du lit. J'étais un peu excité, à cause de la chaleur de la douche, elle a attrapé ma bite et me l'a sucée. Je gémissais, elle m'a dit que pour être une gentille fille, je devrais prendre des médicaments, pour que mon gros clitoris arrête de m'embêter.

Sans lâcher ma bite, Valérie m'a remorqué vers la chambre d'amis. Sur le lit, était étalé tout un tas de lingerie féminine. Valérie s'est accroupie devant moi pour m'aider à m'équiper, le porte-jarretelles, les bas, ajuster l'ensemble. Elle s'interrompait un instant, pour me sucer encore, mes couilles étaient dures, elle me parlait, me disait que j'allais être mignonne, docile, soumise, et puis je ne sais plus quoi. La tête me tournait, j'avais envie de baiser, mais elle m'esquivait en riant.

Elle me racontait des trucs de fille, qu'elle avait pris rendez-vous pour une épilation définitive, elle voulait se faire épiler quoi? Toujours en papotant, elle a sorti de dessous l'oreiller ma nuisette et ma culotte pour finir de m'équiper. J'étais étonné de trouver mes vêtements de nuit ici, d'ordinaire elle les rangeait dans ma chambre, sous mon oreiller.

Elle me parlait comme si j'étais une fille, me complimentait sur ma féminité, en suçant ma bite qu'elle appelait mon gros clitoris, et mon trou du cul une chatte de garçon. Une fois équipée, elle a sorti du tiroir de la table de nuit une boîte de gélules. Elle m'en a donné deux, avec un peu d'eau. Elle m'a dit deux tous les jours pendant la première semaine, ensuite ce sera une par jour. Elle a dit que ces médicaments allaient me rendre heureuse d'être une fille.

Valérie m'a dit que j'allais être choyée, que je serais la fille de la maison, qu'ils prendraient soin de moi, qu'ils feraient de moi une femme à part entière. Mon esprit se brouillait, je l'aimais trop pour la contredire, je pensais qu'elle se rendrait compte toute seule de son erreur. Elle m'a fait tourner sur moi-même devant le miroir pour m'admirer.

Elle m'a fait enfiler un petit soutien-gorge garni de faux seins en silicone, avec des tétons énormes, elle m'a maquillée, j'avais l'air d'une salope sexy. Ensuite, elle s'est équipée aussi. Un body en dentelle, transparent, découpé au niveau des nichons, avec juste une ficelle dorée qui le tenait entre les jambes, équipé de jarretelles pour retenir ses bas à couture. Des talons aiguilles, et une fois maquillée, elle avait l'air encore plus salope et plus sexy que moi.

Elle m'a embrassé à pleine bouche, passionnément, et m'a dit que j'étais sa petite amie. Elle m'a dit que cette chambre était la mienne, maintenant, ma chambre de fille, pour ranger toutes mes affaires de fille. Puis nous sommes descendues dîner, bras dessus, bras dessous, comme deux copines.

Valérie m'a dit que ça allait être génial d'avoir une copine pour l'aider dans les tâches ménagères, elle parlait beaucoup, me soûlait, planifiait l'organisation des tâches, essentiellement un maximum pour moi et presque rien pour elle. Elle disait que j'allais être heureuse de les servir, et que j'aurais ma récompense, si je le méritais.

Puis elle m'a parlé de Cédric, oh, je l'avais oublié celui-là, oui, bien sûr, il vient ce soir, oui, ma chérie, il m'a téléphoné pour me dire qu'il passerait m'embrasser, il m'a dit à quel point il aimait m'embrasser. Il a trouvé sympa que ça ne te dérange pas qu'il m'embrasse. En entendant cela, ma bite est devenue toute dure et a poussé sous ma culotte.

«Oh Camille! Ton gros clitoris est devenu tout dur quand je t'ai parlé de Cédric. Tu vois que tu commences à l'aimer, toi aussi. Viens ici, ma Camille, viens .... bonne fille!»

Valérie a posé sa bouche sur ma bite, et sa main a massé mes bourses. Elle a pris ma main pour la poser sur sa chatte. Elle était trempée et ouverte. Elle m'a dit :

«Tu vois, ma chérie, dès qu'on parle de Cédric, nous sommes mouillées toutes les deux. Rien que de penser à lui, ça nous excite. Cédric, c'est un vrai mâle, puissant, viril, tu verras, tu apprendras à le servir, et tu seras heureuse ...»

Nous avons fini de manger et de laver la vaisselle, puis nous sommes montées à l'étage, où Valérie m'a appris à plier le linge. «Maintenant que tu es une fille, chérie, tu dois savoir ces choses.»

Je n'ai pas entendu la porte d'entrée, ni le grincement caractéristique des escaliers. J'ai sursauté en entendant «salut, les filles». Cédric était sur le pas de la porte. Valérie a poussé un cri et s'est jetée dans ses bras. Ils se sont embrassés longuement, passionnément. Cédric avait la main sur son cul.

«Ah Camille, j'ai oublié de te le dire, Cédric fait partie de la famille, maintenant. Il est ici chez lui, donc ne sois pas surprise qu'il rentre sans frapper!»

Cédric m'a regardé, un drôle de regard. Je me suis demandé s'il me convoitait ou s'il se foutait de moi. Valérie a tenu à faire les présentations :

«Voici Cédric, mon amant. Sa grosse bite me rend dingue! Et voici Camille, ma nouvelle copine, elle suce merveilleusement bien!»

Cédric a joué le jeu, il m'a tendu la main. Il m'a serré la main, un peu trop, pour me montrer sa force, et pour être sûr que je me tienne tranquille, il m'a attiré près de lui et m'a caressé les fesses. Valérie a eu un petit gloussement en me voyant aussi humilié et sans réaction. Une vraie femmelette.

Sous le choc, je me suis assis sur le canapé. J'étais gêné, je ne pouvais pas les regarder, ils se tenaient enlacés, debout au milieu de la pièce, échangeant de doux baisers tout en se caressant voluptueusement.

Valérie a dit : «Camille, lève-toi, s'il te plaît» Je n'ai pas bougé, alors l'ordre a claqué, comme un coup de fouet :

«Camille, DEBOUT!»

Son ton était tellement impérieux, elle ne m'avait jamais parler comme ça avant, je me suis levé, les bras ballants.

«Approche, tourne un peu, encore, montre toi!»

Les ordres claquaient, les uns après les autres, et j'obéissais docilement.

Tournée vers Cédric, elle lui a demandé «elle est pas mal, non?» Valérie a tendu la main, écarté ma nuisette et fait glisser ma culotte sur mes cuisses :

«Tu vois, ce qui gâche tout, c'est son gros clito. Qu'est-ce qu'on pourrait faire? Le mettre en cage, tu crois?»

Cédric me regardait, et mon sexe rentrait dans sa coquille, rapetissant à vue d'œil. Il s'est approché de moi, m'a enlacé, et il a pris mon service trois pièces dans sa main :

«Ouais, je suis d'accord. D'abord, ça l'empêchera de grossir, et il te laissera tranquille, même quand je suis pas là.»

J'avais tellement peur qu'il joue au casse-noix avec sa grosse main puissante, je n'ai pas bougé. Sa main a glissé sur mon cul nu et il m'a complimenté sur mes fesses qu'il trouvait très douces.

Valérie a dit qu'ils allaient boire un verre, et ils se sont assis sur le lit. Je suis resté debout, les bras ballants, alors Valérie m'a dit :

«Rends-toi utile, descends nous chercher trois verres et une bouteille.»

Quand je suis revenu avec la boisson et les verres, ils s'embrassaient passionnément en se caressant. Ils savaient que j'étais là, mais ça ne les arrêtait pas, la main de Cédric entre ses cuisses, près de sa culotte. Ils ont arrêté de s'embrasser pour prendre le verre que je leur tendais. Elle lui a dit qu'elle l'aimait. Ils se tenaient enlacés, les yeux dans les yeux, comme des amoureux.

Je l'ai entendue lui dire qu'elle pouvait avoir un amant, son mari l'avait autorisée avant de disparaître, remplacé par sa nouvelle copine. Elle a demandé à Cédric s'il voulait être son amant, et il a accepté.

À force de les regarder s'embrasser et se tripoter, j'étais dur, et comme il n'y aurait pas de billard ce soir, je commençais à être en difficulté. Valérie l'a remarqué et m'a dit ne pas rester comme ça, avec mon gros clitoris tout raide, que je lui faisais honte, et que je devais aller me coucher dans ma chambre de fille. Elle a ajouté :

«Ne t'inquiète pas, je viendrai te border, et je jouerai un peu avec ton gros clitoris, ma chérie. Pour cette nuit, Cédric dormira ici, avec moi, ensuite on verra bien comment on s'arrangera.»

«Mais oui, Camille, Valérie et moi, nous serons amants cette nuit, et tu seras cocu, tu seras notre cocu soumis, notre petite poule mouillée. Mais nous sommes tous les deux très heureux que tu sois notre copine. Ne pleure pas, Camille, Valérie est tellement bonne, elle est trop bonne pour toi, tu ne peux plus la satisfaire avec ton clitoris. Il lui faut un homme, avec une grosse bite, un vrai mâle comme moi!»

Je suis allé dans ma chambre de fille, et je me suis couché pour attendre Valérie. Quand elle est venue m'embrasser, j'ai bien vu qu'elle avait les tétons tout durs, et la culotte tachée. Ses yeux brillaient d'un étrange feu que je ne connaissais pas. J'ai eu une énorme érection qui tendait ma culotte, en la voyant ainsi.

J'ai demandé à Valérie pourquoi elle avait mis tous mes vêtements dans cette chambre, elle m'a dit parce que c'est là que tu vas dormir désormais, ma chérie, c'est ta chambre de fille maintenant, et c'est plus facile d'avoir tes vêtements dans ta propre chambre.

Elle m'a dit que Cédric devait dormir dans la chambre conjugale, parce qu'il était trop grand pour ce petit lit, il ne tiendrait pas dedans. Elle m'a dit qu'ils en avaient discuté à midi, quand ils avaient été faire du shopping ensemble, et que c'était Cédric qui avait choisi toutes ces jolies choses sexy que je devais porter.

J'ai dit à Valérie que je voulais coucher avec elle, elle m'a répondu :

«Ne dis pas n'importe quoi, Camille, tu es une fille maintenant, et je ne suis pas lesbienne. J'ai besoin d'un homme bien monté comme Cédric pour me posséder. Civilement, je suis ta femme, mais pour le sexe et pour que mon corps exulte, j'ai choisi Cédric. Je vais arrêter les contraceptifs, car je veux être enceinte. Et Cédric va arrêter de payer une location pour rien.»

«Allez, Camille, tu dois être raisonnable, maintenant.» Elle s'est assise au bord du lit pour m'embrasser.

Elle a touché ma bite sous la couette : «Chérie, ton clitoris es tout dur, comme c'est sexy. Tu aimes regarder Cédric m'embrasser et me tripoter, petite cochonne. Oui, ma chérie, c'est un mâle alpha, un étalon reproducteur. Il va m'engrosser et me faire plein de bébés qui galoperont partout dans la maison. Je l'aime vraiment, ma petite Camille, je ne sais pas comment c'est arrivé, mais c'est arrivé.»

Elle a sorti de dessous le lit le rouleau de papier absorbant, elle a remonté ma nuisette, et entouré ma bite de papier pour me masturber. Tout le temps, elle m'a parlé de Cédric, de ce qu'il allait lui faire cette nuit, et de ce qu'elle allait lui donner. Elle m'a excité, et j'ai tiré ma charge bien trop vite. Elle a recueilli du sperme sur ses doigts, et m'a dit de les lécher :

«Maintenant, bébé, lèche mes doigts, chérie. Tu es une fille maintenant, tu dois t'habituer à lécher le sperme, et à le recevoir dans ta bouche.»

«Camille ... Je n'aurais pas toujours le temps de m'occuper de toi, le soir. Cédric m'a dit qu'il connaissait un garçon gay, un noir, avec qui tu t'entendras très bien, j'en suis sûre. Je l'ai invité à dîner, demain soir. C'est un garçon charmant, tu devras être gentille avec lui, ne pas faire ta farouche. Bien sûr, il a une grosse bite. Mais on s'habitue vite, tu verras ...»

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans

Merci Rainett pour cette histoire à la perversité si bien racontée un beau fantasme où chacun trouvera sa place j'y ai trouvé la mienne avec beaucoup de plaisir ;-) Vite la suite ! Aurailiens

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